La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1004)

Alain au Château – (suite de l'épisode précédent N°1003) – Cours du matin –

Tandis qu’une large main accroche une laisse à son collier... L’esclave soumis se prépare pour la suite de sa formation. Il est traîné dans des couloirs aux murs équarris de la crypte du Château. Le déplacement à quatre pattes est plus ou moins douloureux à ses genoux aux difficiles contacts contre la dureté des dalles vieilles de plusieurs siècles. Alors Alain ne peut s’empêcher de penser qu’il est en train très certainement de fouler, en quadrupédie, un lieu historique où le célèbre Marquis de Sade est très certainement passé. Alain a le sentiment de marcher un peu sur ses traces … C’est par une petite porte grinçante et dérobée au détour d’un étroit couloir qu’apparait devant lui la grande cour du Château. Le soumis, une fois à l’extérieur, est alors arrêté devant deux écuelles métalliques. L'une contient une sorte de bouillie épaisse et l'autre semble contenir de l'eau claire. Alain reste fixe sur ses quatre pattes devant les deux écuelles, sans détourner la tête, il entend les bruits d'une intense activité autour de lui. Le soumis corrige sa position pour montrer sa nouvelle fierté en public, il redresse sa tête, il creuse son dos pour mettre en valeur sa croupe exposant ainsi un anus offert. Il écarte ses jambes pour permettre un accès aisé et ainsi offrir aussi une belle vue sur un sexe toujours émoustillé qui semble être apprécié par le Maître lorsqu'il daigne jouer avec, en douceur ou pas quand cette tige de chair qui est maintenant Sienne, répond instantanément et de sa propre initiative, à tout événement…

Dès qu'il reçoit la permission, Alain mange rapidement, mais pas goulûment, sa ration de bouillie riche en protéines, calories et vitamines. Il lèche du mieux qu'il peut pour ne rien gaspiller, sans l'aide de ses mains, tirant au maximum sa langue râpeuse dans tous les recoins de la gamelle. Une fois qu'il a terminé le soumis regarde le Majordome de façon interrogative et celui-ci lui donne son acquiescement.

Alain comprend progressivement comment laper l'eau comme le chien qu'il est… Le Majordome le tire afin de traverser la cour où le soumis a mal au genoux à cause des graviers qui le blessent. Alors il apprécie et est soulagé quand Walter gagne les pelouses plus doucereuses aux genoux. Ils continuent leur chemin vers les premiers arbres de la forêt du Domaine. Là-bas, Alain reçoit une courte mais sévère formation de soumis-chien. Le fouet aidant, il apprend à se soulager en public en levant la jambe arrière contre un arbre afin d’y évacuer sa vessie. Le Majordome lui apprend aussi à se mettre à genoux, buste très droit et à présenter ses deux mains contre sa poitrine afin de faire le beau tout en imitant des aboiements. Walter corrige ci-et-là la position par le bout de sa cravache afin d’obtenir chez le soumis une position parfaite. Alain aboie alors et pensant d’abord qu’il serait ridicule, il découvre un véritable plaisir à obéir, plaisir que sa nouille ne peut dissimuler par de spontanées érections …

De retour dans la cour, un puissant jet d'eau froide nettoie le corps du soumis-chien, puis il est ramené vers l'arrière du Château. Walter ouvre une autre petite porte dérobée et, une fois entré, il tire sur la laisse pour hisser Alain sur ses pieds. La laisse pend maintenant dans son dos et c'est une large main maintenant bien connue qui prend possession de la hampe dressée de l’esclave pour le mener devant une petite porte de bois. Le Majordome corrige de nouveau la posture d'Alain, toujours à l’aide de sa cravache qui ne le quitte jamais et saisit la laisse pour la fixer à un crochet sur le chambranle de la porte. Le soumis est anxieux lorsqu'il voit Walter s'éloigner. L'attente est inquiétante, Alain n'ose pas bouger même lorsqu'il entend des pas ou des conversations derrière lui. Son regard est attirer vers le dessus de la porte où le mot "Classe" est gravé avec style dans un long morceau de bois et puis, la porte s'ouvre et Madame Marie apparaît et c’est sur un ton sévère envers Alain et des yeux réprobateurs, qu’elle s’adresse au soumis :

- En retard dès le premier jour ! …

Sans même réfléchir, Alain s'entend prononcer d'humbles mots d'excuse. Dès que Madame Marie s'écarte pour le laisser entrer, le spectacle qui s'offre à lui et incroyable. Sur le mur devant lui, se trouve un grand tableau noir et un écran géant. A un mètre devant ceux-ci, se dresse un magnifique pupitre de bois plein sculpté où reposent divers papiers. En plein milieu de la pièce se trouve un cheval d'arçon. Mais, de chaque côté de la pièce se trouvent déjà d'autres "élèves". A sa gauche, il peut voir trois jeunes soumises totalement nues et parfaitement épilées positionnées sur des tabourets, cuisses largement écartées montrant des vulves glabres. Alain s'interroge de suite sur la taille du plug enfoncé et fixé à la verticale sur chaque tabouret, qui encule et scelle chacune des jeunes filles à leur siège. Le soumis a une vue directe de leurs entrejambes imberbes, dans la mesure où leurs chevilles sont soulevées par des crochets de chaque côté à l'arrière, assurant un appui parfait sur le plug qui parait assez volumineux et qui doit très certainement encombrer parfaitement toute la cavité anale des femelles enculées. Il est fasciné par ses vues resplendissantes. Mais un claquement rappelle Alain à l'ordre et il est dirigé à droite où ses deux compagnons d’infortune sont déjà là. Ils sont debout, complètement nus et incroyablement bandants et dégoulinants aussi. Le soumis est sidéré de voir aussi leurs corps totalement épilés comme lui et il peut maintenant imaginer le spectacle qu'il offre lui-même. Leur position debout est assurée par un support entre leurs jambes qui emprisonne solidement leurs couilles et les mettre en valeur, du moins facilement accessibles. Alain est mené par Madame Marie qui prend un malin plaisir à empoigner le sac à couilles d'Alain et le presser plus que nécessaire pour l'emprisonner à son tour. Madame Marie peut enfin commencer son cours.

- Vous serez réunis ici deux fois par jour pour apprendre les règles essentielles que tout esclave doit connaître et pour mettre celles-ci en pratique au quotidien. Ces cours sont obligatoires et se termineront toujours par des récompenses ou des punitions.

Le soumis remarque que le mot récompense semble principalement s'adresser aux filles tandis que le mot punition a été accentué par un ricanement sadique et un regard froid vers les trois garçons, envoyant un frisson de peur mélangée de plaisir à travers tout le corps d'Alain.

- Vous apprendrez ici l'anatomie de la femme et celle de l'homme afin de mieux servir Le Maître. Vous apprendrez à utiliser vos mains pour caresser convenablement une chatte ou une queue jusqu'à la jouissance du Maître ou tout autre dominant. Vous apprendrez à sucer ou à lécher une chatte, un anus ou une queue pour donner la satisfaction attendue. Vous apprendrez à caresser le corps entier d'une femme ou d'un homme pour le propre plaisir de votre propriétaire. Vous apprendrez même à embrasser correctement si besoin en est. Vous apprendrez à être enculés et à procurer du plaisir avec tous les muscles de vos misérables petits culs. Vous apprendrez donc à devenir de simples objets de plaisirs, de simples vides-couilles afin d’être utilisés à tout moment …

La joie perverse est visible sur le visage de Madame Marie comme elle cite toute ces actions qui allaient maintenant remplir la vie d'Alain.

- … Vous allez apprendre les bonnes positions, les postures de base indispensables, apprendre la perfection et l'endurance. Au final, vous serez conditionnés pour le plaisir du Maître et de tous ceux à qui il daignera vous prêter.

À ce moment-là, Madame Marie s'adresse plus particulièrement aux trois garçons ébahis dont les sexes dressés dégoulinent toujours abondamment.

- Vous allez apprendre à contrôler vos vulgaires érections, principalement par le port d'un manchon à pointe comme la douleur vous fera oublier, de force, les indécentes pensées qui traversent tous les petits cerveaux pervers des garçons, vous allez apprendre à bander ferme sur un ordre du Maître, un mot, une phrase ou un simple geste tel que le pincement d'un téton pour finalement bander ou débander à volonté sur un simple claquement de doigts uniquement selon l’Exigence et le plaisir du Maître.

Bien sûr, comme de bien entendu, cette dernière déclaration dite avec un regard lubrique et un sourire ironique attise les envies sexuelles d'Alain de plus belle. Ces effroyables mots combinés à la pression croissante dans ses couilles comme il se tortille, amène alain presque au bord d'un orgasme sans même se toucher la nouille prête à exploser tellement elle est tendue à l’extrême… Et le cours commence, Madame Marie explique les différentes anatomies en détail, les parties les plus érogènes chez la femme comme chez l’homme, appuyant ses explications par quelques photos, des petits films et utilisant même ces six modèles vivants ...

(A suivre …)