Une Tranche De Vie 12
Jeudi 28 août 1980 - Jean raconte
À midi, jallais en reconnaissance pour bien si limmeuble, que je connaissais déjà, et dont je voulais observer les environs. Après avoir suivi les instructions de Véro à 12,30 h je frappais 2 coups à la porte de droite. La porte souvrit aussitôt, à peine entré, la porte se fermait et Véro un doigt sur les lèvres pour mimposer silence me fit signe de la suivre.
Le temps daller dans la salle de séjour, jobservais que Véro portait un corsage blanc assez large et une jupe droite bleue courte, même très courte et elle était chaussée descarpins à talons hauts. Cela mettait en valeur le galbe ses jambes mais surtout faisait remuer son joli petit cul dune façon tentante pour des mains baladeuses.
Alors que nous rentrions dans la salle de séjour, jusque là, aucun mot navait été échangé, comme elle était juste devant moi, je lattrapais par la taille et lattirais à moi. Elle se laissa aller contre moi, je lembrassais dans le cou et de la taille mes mains remontèrent, vers ses seins quelle avait généreux, dont la peau était douce, mais qui étaient fermes que je pris à pleines mains, cétait dautant plus aisé quelle ne portait pas de SG. Je sortais le chemisier de la jupe, alors que Véro défaisait les boutons, le chemisier fut vite jeté sur un fauteuil, pendant que je continuais à lembrasser dans le cou et lui caressais les seins, le ventre. Elle se laissait faire, même plus elle participait à sa façon en frottant ses fesses à mon ventre, en fait à ma queue
Me souvenant de ce quelle aimait entendre et que ça lexcitait, je lui dit: « Jai envie de toi »
Véro : « Oui,
, moi aussi et,
»
Moi : « Jai envie de baiser une belle salope »
Véro : « Oh,
oui,
je suis à toi,
»
De ses seins jétais descendu vers le bas et essayais vainement de passer une main dans la ceinture de sa jupe pour aller plus bas, mais ny arrivant pas, je changeais de tactique et relevais la jupe pour essayer datteindre son intimité.
Elle séloigna un peu de moi, ma main descendit jusquà son abricot, elle écarta les cuisses, ce qui me permettait de poser la main sur sa chatte dont les lèvres étaient gonflées et légèrement humides. Je lui caressais la chatte, elle haletait gentiment, et brusquement jenfonçais un doigt dans son intimité.
Véro : « Ohhhh
Oui,
encore»
Elle glissa une main entre nous deux et défit la ceinture de mon short que je laissais tomber avec le reste. Jen profitais pour placer ma trique entre ses fesses.
Elle se laissa faire puis se retournant elle se colla à moi.
« Embrasse moi »
et dans un souffle doucement dans le creux de loreille elle reprit :
« Fais moi jouir, jai été une jeune fille et une jeune femme sage et sérieuse, maintenant je veux profiter de la vie, je veux jouir de la vie, fais moi jouir,
, oui,
, fais moi jouir et je ferais ce que ru veux, mais fais moi jouir »
Moi : « La table est là »
Véro : « Dis moi que tu as envie de moi »
Moi : « Tu le sens, oui, jai envie de toi, de te baiser, de te faire jouir»
Véro : « Oh oui, encore, dis moi ce dont tu as envie, ce que tu veux de moi, je suis à toi »
Me souvenant quelle aimait que je lui dise ce que je voulais delle et que cela lexcitait, je lui dis :
« Je vais commencer par moccuper de tes seins, les lécher, les sucer puis tu vas aller tasseoir sur la table, bien écarter les cuisses et ouvrir ton joli abricot, pour que je vienne le manger, puis quand tu seras bien chaude bien ouverte je menfoncerais dans ta chatte et je la remplirais et tu te caresseras »
« Oh, oui ,
occupes toi de mes seins, jaime que tu les lèches,
»
Effectivement, je me mis à moccuper de ses seins, que je léchais, suçait,
« Oui,
têtes moi,
jaime sentir tes lèvres, ta bouche qui les aspire
ils sont très sensibles et ça mexcite »
Nous étions arrivé contre la table de la salle de séjour, je laidais à sasseoir, sans hésiter elle écarta les cuisses ce qui me permit de me positionner entre et je moccupais activement des ses seins, quand elle bascula sur les coudes et écartant encore plus largement les cuisses elle me dit :
« Tu aimes mon abricot, dis moi que tu as faim, tes tenté de vouloir le manger ? »
Comment refuser ? Cest la que je maperçus que sa toison était taillée vraiment très courte et ne laissant quun petit triangle.
Quand je mapprochais entre ses cuisses, elle ouvrit sa chatte et dit :
« Régales toi, manges mon abricot, je louvre pour toi, rentres. Jattends ça depuis la dernière soirée»
Je men occupais au mieux, le suçais, le léchais, laspirais et comme elle se cambrait jallais plus avant jusquà son petit trou qui subit la même épreuve, sans que sa propriétaire se plaigne bien au contraire. Elle était complètement offerte et ouverte.
Après plusieurs va et vient de ma langue de lun à lautre de ses trous, alors quelle avait la respiration qui saccélérait, elle me dit :
« Les fruits ça se mange aussi avec les doigts, pas seulement avec la langue »
Cest vrai, je lui enfonçais, assez brutalement, deux doigts dans le sexe, qui pénétrèrent facilement tellement elle était mouillée. Elle poussa un « Oh » de contentement et je commençais à la masturber, puis je retirais mes doigts, jeu alors droit à « Non, restes, continues », jallais jusquà son petit trou et lenfonçais légèrement, ce qui me valut lassentiment de sa propriétaire. Je revenais au sexe et faisais des allers et retours entre chaque trou.
Elle se laissa aller sur la table, les cuisses bien écartées et je décidais de lui « bouffer » la chatte, ce quelle sembla apprécier, elle dégoulinait de plaisir et ses gémissements mindiquaient que jétais sur la bonne voie.
Pendant que je moccupais de son intimité bien chaude et dégoulinante de son jus, elle soccupait de ses seins gonflés, les caressant, les titillant, puis elle descendait sur son ventre et allait jusquà glisser un doigt dans sa chatte, pour caresser ses petites lèvres, puis remontait sur ses seins.
Le jeu dura un certain temps, mais la pression montait chez Véro car elle gémissait et coulait de plus en plus. Quand jestimais pouvoir retirer ma bouche de sa chatte, elle mit ses mains sur ma tête et lappuya sur sa chatte en disant : « Restes,
continues,
jaime, encore,
oui,
je vais jouir,
» Et tout dun coup elle se cabra et un violent spasme la secoua.
Elle reprit son souffle et se redressa, se colla contre moi et me dit : « Désolée », je suis partie sans men rendre compte, cétait très bon. Tu mas fait jouir et je tai laissé, mais laisses moi faire »
Elle se laissa glisser au sol et sagenouillant, elle me prit en bouche et commença à me sucer, me pomper, lécher la tige, le gland, les boules,
et quand je commençais à ne plus y tenir, elle relâchait le rythme, puis reprenait,
Elle senti que jallais exploser, elle se remit à me pomper encore plus vite et plus fort, je lâchais tout. Elle avala le tout avec un grognement de plaisir.
Véro : « Tu as aimé ? Cétait pour me faire pardonner dêtre partie trop vite tout à lheure. Viens on va aller sur le canapé, jai encore envie de toi, je veux que tu me baises, viens ».
Impossible elle mavait fort bien pompé et popol navait pas fière allure, plutôt fatigué.
Véro : « Viens avec moi sur le canapé, jenlève ma jupe et je moccupe de toi et je suis certaine que tu auras bientôt envie de moi »
Elle mavait fait mallonger et était venu sur moi, son corps se frottant au mien, elle montait membrassait sur la bouche puis elle descendait ses seins meffleurant, sa bouche membrassant partout arrivant sur mon sexe, le caressait, le prenait en bouche, le suçait, le léchait et elle remontait. Ce doux et sensuel « corps à corps » dura un petit moment et fit leffet attendu par ma partenaire. Quand elle estima la chose rigide à son gout, elle se mit à genoux sur le canapé, les bras appuyés sur le dossier, les jambes bien écartées.
« Viens, prends moi, fais moi jouir,
»
Je minstallais debout derrière elle me guida en elle et pour que je puisse mieux linvestir elle se cabra et je menfonçais dans son fourreau chaud et mouillé. Le va et vient commença rapidement et à chaque entrée, elle se cabrait, pour me permettre de linvestir et exprimant fort son plaisir par des gémissements rauques.
« Oui,
, continues,
encore,
je sens que ça vient,
, ne tarrêtes pas,
baises moi fort,
enfournes moi ta queue,
. OuiIIII
dis moi que je suis ta salope
continues
»
Elle était tellement chaude et excitée que de nouveau elle partit, alors que je restais sur ma faim avec une trique pas possible. Jétais cramponné à ses hanches et continuais à linvestir avec encore plus dénergie, dautant que je sentais le plaisir venir et quil fallait que je me libère de ce plaisir. Véro, subissait ne disait plus rien, ne faisant que respirer plus fort, puis, je la vis cramponner le dossier du canapé, se cambrer et :
« Oh oui continues,
je te sens,
,
Sentant le plaisir monter en moi, je continuais à la travailler brutalement, ce qui ne semblait pas la gêner, bien au contraire si je men tenais à ses gémissements et ses soupirs.
Pendant quelle continuait à me subir, sans déplaisir, je finis par sentir que la pression avait atteint son paroxysme et que jallais jouir et me vider en elle.
Son plaisir se déclencha quelque seconde après le mien et elle maccueillit avec un « Oui, cest bon »
Je nétais pas trop fier de ce qui cétait passé, javais été un peu brutal et manquant dégards vis à vis de ma partenaire, qui aurait pu mettre désagréable.
Chacun de nous reprenant notre souffle et nos esprits, Véro se mit debout et se collant à moi me dit : « Tu es un salopard, mais tu mas fait jouir, comme je nai pas joui depuis longtemps, embrasses moi »
Puis se levant, elle me « Je vais aller à la salle de bains et prendre une douche »
Pendant quelle se douchait je récupérais mes affaires et commençais à me vêtir.
En sortant de la salle de bains, elle dit :
« Tu devrais prendre une douche avant de partir »
Moi : « Pourquoi ? »
Véro : « Tu sens lamour, tu viens de membrasser et sur tes lèvres jai senti mon odeur. Si en rentrant tu embrasses AL et quelle a un peu de nez, elle te posera certainement des questions auxquelles il te sera difficile de répondre.
Moi : « OK tu as raison. Tu as fait beaucoup de sport ? »
Véro : « Oui, surtout au lycée, jétais dans la section gymnastique. Pourquoi ? »
Moi : « Parce que tu as un sacré coup de rein »
Véro : « Ça tas déplu ? Dépêches toi, le temps court »
Le temps courait, il fallu sen rendre compte et je partis, discrètement, laissant à Véro le soin de fermer lappartement.
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