Barbara 1

Rencontre.

Par un soir d’été, je rentrais dans ma région après un déplacement long et difficile. Je vivais seul après une séparation douloureuse qui avait laissé des traces. Je roulais peinard en écoutant de la musique douce.
A la sortie d’un virage, je vis une voiture arrêtée sur le bord de la route avec les warnings qui clignotaient. Je dépassais la voiture et comme c’était dans la campagne et que la luminosité commençait à baisser, je m’arrêtais pour voir si quelqu’un avait besoin d’aide. Je descendais de ma voiture et m’approchais lentement, au cas où ce serait un traquenard. La portière du chauffeur s’ouvrit et je vis descendre une femme assez distinguée vêtue d’une robe d’été à bretelles. Cette femme était élégante et souriante, bien que paraissant ennuyée d’être dans ce coin de campagne.

- Bonjour Madame, vous avez besoin d’aide ?
- Bonjour Monsieur, écoutez, je suis ennuyée, le moteur de ma voiture s’est arrêté et je n’arrive pas à la redémarrer.
- Ha c’est embêtant, surtout ici.
- Oui, je n’ai pas vu passer une voiture depuis une heure.
- Vous avez de l’essence dans le réservoir ?
- Oui, oui, la moitié du réservoir.
- Je ne connais pas bien la mécanique auto.
- Vous pourriez me déposer au prochain village pour que j’appelle un taxi ?
- Bien sûr, je vous emmène.
- Je vais fermer ma voiture.
- Oui, faites je vous attends.
Je vis la dame faire demi-tour pour fermer sa voiture. J’avoue que sa démarche était d’une élégance rare de nos jours, elle avait dû recevoir une certaine éducation. Je sais que l’âge d’une femme ne se demande pas, mais je lui donnais environ 55 ans.

J’attendais qu’elle revienne vers moi pour l’accompagner jusqu’à ma voiture. Je lui ouvris la portière du passager pour la laisser monter.
- Après vous madame.
- Oh merci cher monsieur, vous êtes très aimable.
Je ne pus m’empêcher de la regarder remonter légèrement sa robe pour pouvoir rentrer sa jambe gauche dans la voiture avant de s’assoir.

Sa cuisse se trouva dénudée à moitié et je m’aperçus que cette femme devait faire une activité physique car ses jambes étaient très bien dessinées.
- Mais je vous en prie. Attention, je ferme la portière.
Je passais par le devant de la voiture, et du coin de l’œil, je vis que cette femme me suivait du regard. Je montais à mon tour dans ma voiture et redémarrais le moteur.
- Ouf, elle redémarre.
- Oui, heureusement, sinon nous étions coincés là tous les deux.
- Oh madame, votre présence m’aurait rassuré. (je la vis rosir des joues).
- Décidément, vous êtes trop aimable.
- Comment ne pas être aimable avec une charmante personne ?
- Merci.

Nous roulions depuis quelques minutes.
- Pardon madame, mais je peux vous demander votre prénom ?
- Oh oui, pas de problème, je m’appelle Barbara, et vous ?
- Michel, enchanté Barbara.
- Moi aussi Michel. (avec un petit sourire)
- Vous habitez où, si ce n’est pas indiscret ?
- A Chalon sur Saône, enfin dans la banlieue, à l’extérieur de la ville.
- Ha ben moi aussi, si vous voulez je peux vous ramener directement.
- Je ne voudrais pas r de votre temps.
- Pensez donc, vous n’allez pas poireauter à attendre un taxi. Je vous ramène.
- Dans ce cas, merci.
- C’est un plaisir.

Plus nous approchions de l’adresse de ma passagère, plus je sentais mon désir envers cette femme augmenter. Cette femme opérait en moi une réaction en chaine que je n’arrivais pas à juguler bien que mon éducation me fît me retenir mais jusqu’à quand ?

- Voilà, c’est là, la maison à droite. Attendez, je vais déclencher l’ouverture du portail.
- D’accord, vous avez une très belle maison.
- J’ai hérité de mon ex-mari qui était assez riche. Ion a divorcé il y a dix ans.
- Ha je suis désolé.
- Ne le soyez pas, vous n’y êtes pour rien, et puis c’était un macho qui méprisait les femmes, dont moi. Alors maintenant, je suis libre de faire ce que j’ai envie et quand j’en ai envie.

- Ha, dans ce cas, je suis très content pour vous.
- Merci. Et je compte bien continuer à rattr le temps perdu.
- Je vous comprends, vous méritez d’être heureuse.
- Décidément, vous êtes très aimable.

J’arrêtais la voiture devant l’escalier qui menait à la maison.

- Venez Michel, suivez-moi.
- Je vous suis, avec plaisir.

Je suivais Barbara dans les escaliers, je ne pouvais détacher mon regard de son bassin qui balançait quand elle montait les marches. Elle montait les escaliers divinement, on aurait cru qu’elle montait sans peine, avec une légèreté déconcertante. Et ce que je remarquais c’est que, comme je le pensais, elle ne portait pas de soutien-gorge. Là, quand elle se déplaçait ses seins ballottaient. Il n’y avait plus de doute. D’ailleurs cette robe d’été à bretelles fines se portait sans rien dessous.
Barbara ouvrit la porte puis nous arrivâmes dans le hall d’entrée. Je pouvais sentir son parfum qui sentait l’abricot et qui se mariait parfaitement à l’odeur de sa peau que je commençais à deviner. Barbara ouvrit les portes du salon et me fît entrer.

- Venez Michel, vous voulez boire quelque chose ?
- Je veux bien un verre d’eau.
- De l’eau, à cette heure-ci ? vous ne voulez pas l’apéritif ?
- Oh si vous voulez, je n’osais pas demander ça.
- Vous êtes charmant, franchement. Vous avez du tact, j’apprécie.
- C’est mon éducation, je crois.
- Oui, sûrement. Je vous sers du champagne ?
- Ah ben je veux bien, merci.

Barbara alla à la cuisine pour chercher une bouteille de champagne. J’en profitais pour jeter un œil au salon qui était meublé avec des meubles de valeur. Des meubles en marqueterie de toute beauté. Je voyais Barbara revenir de la cuisine avec la bouteille et deux flutes, je pouvais admirer sa silhouette de femme mûre qui à mes yeux était beaucoup plus agréable que les silhouettes des jeunes femmes trop parfaites. Je devinais des seins lourds et denses, avec pourquoi pas, de beaux tétons épais entourés de belles aréoles larges et brunes qui se devinaient sous le tissu fin de la robe.
Surtout les tétons qui dressaient ! Bref, tout ce que j’aime chez une femme de cet âge. Quant a à ses fesses, je devinais de belles fesses rebondies, certes un peu moins fermes que chez une jeune femme mais tout de même ondulant à merveille sous l’effet du plaisir. J’étais en train de me faire un film sur Barbara quand celle-ci me dit :

- Michel, vous voulez bien ouvrir la bouteille, le bouchon est assez dur.
- Mais bien sûr Barbara, donnez-moi cette bouteille.
- Merci, la force me manque un peu.

Je débouchais la bouteille et servis en remplissant nos deux flutes. Je tendis la première à Barbara.

- Merci Michel, vous êtes adorable
- De rien Barbara, avec plaisir.

Nos regards se croisèrent.

- A votre santé Michel, et encore merci de m’avoir raccompagnée chez moi.
- A votre santé Barbara, c’était vraiment avec plaisir, vous êtes une femme charmante.
- Merci, mais l’âge avance doucement mais sûrement.
- Mais qu’est-ce que vous me chantez là ? Vous êtes une très belle femme mûre, je vous assure, beaucoup de femmes aimeraient vous ressembler et avoir les mêmes atouts que vous.
- Oh vous me flattez et j’en rougis.
- Pas du tout, je suis sincère.
- Alors, vous restez dîner avec moi.
- Je suis seul aussi, alors j’accepte avec plaisir, à une condition.
- Laquelle ?
- Nous faisons la cuisine ensemble.
- D’accord.

Barbara était assise en face de moi pendant que nous prenions l’apéritif. Etant assise sur le rebord d’un fauteuil, sa robe était remontée un peu plus haut que la moitié de ses cuisses. Elle avait croisé ses jambes me laissant voir le dessous de ses cuisses. Sa peau avait l’air douce et bronzée. Elle souriait quand elle me parlait, ses yeux étaient brillants. Elle me dit qu’elle était cadre administratif. Je me disais que je n’avais jamais eu la chance d’avoir un chef comme elle. Elle sourit. Elle décroisa ses jambes tout en les écartant légèrement mais de façon délicate.
Je me battais contre moi-même pour ne pas baisser mon regard en direction de cet entre jambes. Je commençais à avoir chaud.

- Je vous propose qu’on aille à la cuisine pour commencer à préparer le dîner.
- Avec joie Barbara. Je vous suis.

Je la suivais dans la cuisine. Elle s’arrêta devant moi à côté de la table. Elle se tourna vers moi, nos regards se croisèrent de nouveau. Je la sentais perdue, elle ne savait plus quoi dire.

- Qu’est-ce qu’il y a Barbara ?
- Je ne sais pas comment vous le dire, ça fait tellement longtemps que je n’ai pas ressenti ça !
- D’avoir un homme en face de vous ?
- Oui, Michel ….

Barbara se mit à pleurer à gros sanglots.

- Je ne croyais plus plaire à quelqu’un, mon ex-mari m’a tellement méprisée.

Je m’approchais d’Barbara, je la pris dans mes bras. Elle se blottit contre moi, pleurant de plus belle

- Oh Michel, merci, si vous saviez ce que ça fait du bien.

Je la décollais légèrement de moi, elle me regardait. Je me penchais légèrement vers elle, elle me tendit ses lèvres, je plaquais mes lèvres sur les siennes, elle entrouvrit sa bouche pour accepter mon baiser qui dura et qui fût passionné. Nos langues et nos salives se mélangeaient. Sa main caressait ma joue, la mienne caressait sa nuque. Nous fûmes obligés d’arrêter ce baiser pour reprendre notre souffle.
Barbara me fit un sourire. Je lui répondis par ces mots :

- Bon cette cuisine, on la fait ? je meurs de faim.
- Oui Michel, avec plaisir. Tu es un homme si gentil.
- Parce que tu es une femme délicieuse Barbara.

Nous fîmes la cuisine dans la gaieté. Je surpris même des éclats de rire de la part d’ Barbara.

- Tu veux bien mettre le couvert Michel ?
- Oui, oui, dis-moi simplement où se trouve tout le matériel.
- Dans le placard là.

A sa demande, je descendis à la cave à la recherche d’une bonne bouteille. En remontant de la cave, Barbara s’était changée. Elle avait mis une robe noire moulante ainsi que des talons noirs. Elle avait rectifié son maquillage.

- Barbara, tu es magnifique.
- Merci Michel, je suis flattée.

Je pouvais voir ses tétons pointer sous le tissu de sa robe, je la sentais très émue.

- Bon appétit Barbara.
- A toi aussi Michel.
- Je crois bien que c’est la plus belle soirée que je passe depuis des lustres.
- Moi aussi tu sais.

Barbara se leva et s’approcha de moi en me tendant la main. Je me levai.

- Viens Michel, suis-moi.

Nous sortîmes de la cuisine pour nous diriger dans le salon. Elle se tourna de nouveau vers moi et me tendit ses lèvres que je prenais avec envie. De nouveau nos langues se mêlèrent, mais cette fois avec fougue. Je sentais mon désir monter, j’entendais la respiration d’Barbara qui s’accélérait. Ses seins montaient et descendaient au même rythme. Je commençais à caresser par-dessus le tissu de la robe les seins d’Barbara qui se cambrait pour me les offrir. Je baissai les bretelles de sa robe et la fît tomber à ses pieds. Je découvrais deux seins merveilleux d’une femme de soixante ans. Ils étaient comme je les avais imaginés, lourds et denses. Ma bouche quittait la bouche d’Barbara pour rejoindre un de ses deux tétons qui était pointé vers moi. Je remontais légèrement son sein avec ma main pour commencer à lécher puis à téter ce téton tendu vers moi. Il ne fallut pas longtemps pour que j’entende de petits gémissements d’Barbara qui avait fermé les yeux pour mieux ressentir ce toucher de ma langue puis de ma bouche sur son téton.

- Oh Michel, c’est merveilleux. Si tu savais ce que je ressens, tellement de plaisir monte en moi.

Mon autre main descendit sur son ventre puis sur son pubis pour enfin gagner son intimité. Je sentis son clitoris qui commençait à grossir, mais surtout quand ma main passa entre ses lèvres, je sentis qu’Barbara commençait à devenir très humide entre ses jambes. Mais pour l’instant je retenais cette envie de rentrer mes doigts dans sa grotte pour faire durer cette montée de plaisir.
Barbara s’assit sur le canapé et commença à déboutonner mon pantalon. Je regardais cette femme mûre qui redécouvrait le désir, le plaisir, l’envie. Elle se libérait. Il n’y avait aucune vulgarité, simplement une envie de retrouver le plaisir charnel. Mon pantalon tomba à mes pieds ainsi que mon boxer. J’enlevai ma chemise pour me retrouver nu comme Barbara.
Elle saisit mon sexe qui était dressé devant elle.

- Ton sexe est beau, bien droit
- Merci, et si tu savais comme il a très envie de toi.
- Oui je vois, bien droit.


Elle caressa mes bourses et tira légèrement dessus pour décalotter mon pénis.
Barbara commença à lécher l’extrémité de mon gland tout en me masturbant, c’était divin. A mon tour je fermais les yeux pour mieux profiter de ce moment magique. Barbara prit mon sexe en bouche et commença des mouvements de va et vient qui me firent gémir de désir.

- Oh ma chérie, ce que tu me fais est divin.
- Parce que je le fais avec envie mon cœur.
- Oh Barbara c’est si bon.

Barbara s’arrêta de me sucer, j’avais le sexe bandé et dur.

- Allons dans ma chambre Michel, nous serons plus à l’aise.
- Je te suis chérie.
- Qu’est-ce que ça fait du bien de s’entendre appelée chérie.

Nous arrivâmes dans sa chambre, Barbara s’allongea sur le dos et écarta les jambes. Mange moi Michel, bois ma cyprine.
Je montai sur le lit en me glissant entre ses cuisses. Je sentais ses odeurs intimes qui m’enivraient, c’était un délice. Mes lèvres firent ventouses sur son intimité, j’avais envie de tout goûter en même temps, son clitoris enflé, ses lèvres humides et son vagin trempé de cyprine. Ma langue se déchainait sur son clitoris, déclenchant des gémissements répétés d’Barbara qui serrait les draps dans sa main.

- Oh oui Michel, mange-moi, c’est trop bon.

Je voyais son ventre qui se soulevait, ses seins qui bougeaient dans tous les sens. Son sexe s’ouvrait réclamant le mien.

- Oh mon chéri, viens, prends-moi, maintenant.

Je me relevais, j’approchais mon sexe tendu en face de l’entrée de sa grotte. Je la pénétrais progressivement. Son vagin aspirait mon gland, j’allais au plus profond de son sexe pour la posséder totalement. Je commençais mes vas et vient.

- Oh oui chéri, vas-y, baise-moi.
- Hummmm ma belle, c’est si bon de te pénétrer.
- Ouiiiiii

Barbara s’abandonnait totalement, elle gémissait de plus en plus fort. J’accélérais mes va et vient. Je la prenais maintenant avec plus de vitesse, je forçais l’entrée de son col. Elle criait.

- Ouiiiii, viens viens !

Sentant que mon gland grossissait pour laisser passer mon sperme, je restais au plus profond de ma maitresse pour jouir et lui donner mon sperme. Je criais en subissant un orgasme violent. Barbara se mit à hurler de plaisir, et je sentis des jets de cyprine qui inondaient mon sexe. Je pris conscience qu’elle était très expressive, bruyante et aussi qu’elle bougeait de tout son corps. Avec ses mains et ses doigts, ses ongles, elle grattait le drap du lit comme pour le griffer.

Je m’allongeais à côté d’elle et me mis sur le dos. Je n’avais encore jamais senti un vagin aussi confortable et souple. La cyprine continuait à sortir de son sexe, tachant les draps.

Il était bientôt minuit et nous nous endormîmes.

Au petit matin, je me levais sans faire de bruit. Je laissais mon numéro sur la table de la cuisine avec le dessin d’un gros cœur.

Barbara reprendrait elle contact avec moi ?

Nous verrons bien.

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