1ere Expérience Homosexuelle
À 30 ans, je navais encore jamais eu dexpérience homosexuelle et je nen avais même jamais eu le fantasme. Non pas que de voir des femmes ensemble meût dérangée, chacun mène sa vie comme il lentend, mais en mon âme et conscience ce nétait pas mon truc. Aujourdhui encore je ne pense pas être lesbienne, même si souvent les apparences sont contre moi. En tout état de cause, je ne me ressens pas comme telle. dailleurs, Annie mise à part, je néprouve vraiment aucun désir de ce côté.
Cette Annie en question était une petite brune mignonnette venue sinstaller avec son mari dans ma résidence. Aussi brune que je peux être blonde, elle n'était pas très grande non plus: 1 m 65, petits seins ronds, fesses rebondies et joli visage. Jai tout de suite sympathisé avec elle, dès les premiers jours en fait. Nous allions faire nos courses ensemble allions nous promener et déjeuner en ville si bien qu' en deux ou trois mois cétait devenu une de mes meilleures copines. Je dois dire que cétait loin dêtre le cas de nos maris respectifs. Je ne sais pourquoi mais ils nont jamais pu se côtoyer malgré nos efforts respectifs pour essayer de les rapprocher. Cest vrai quau départ ils navaient pas beaucoup datomes crochus. Le sien était du genre sportif, alors que le mien était plutôt cérébral, , intellectuel ., deux mondes assez différents mais malgré cela nous aurions aimé qu'ils fassent quand même un effort dautant plus que Jean son mari était charmant et Damien, malgré son intellect était resté très abordable. Mais non, il devait y avoir quelque chose de particulier dans leurs caractères respectifs, quelque chose qui faisait quils ne pouvaient pas se supporter.
Et après leur avoir imposé deux ou trois soirées, pendant lesquelles ils se regardaient en chien de faïence, nous décidâmes darrêter. nous nous sommes donc vus sans eux, dans la journée, pour ne pas les déranger.
Nos rapports faits damitié et de complicité auraient pu rester ainsi toute la vie si un jour en rentrant chez Annie à limproviste, je ne lavais trouvée à moitié nue sur son canapé et en train de se caresser.
Pour moi cétait nouveau cétait la première fois que je voyais une fille se caresser en réel devant moi-même si bien sûr je lavais déjà vu dans des films érotiques. Aussi, je restai là quelques instants par simple curiosité. Simple curiosité oui, aucun voyeurisme et aucun désir trouble. Je pensais même que jallais méclipser pour la laisser tranquille et que je reviendrai plus tard. Partir à petits pas de loup comme jétais venue, sans rien dire pour quelle ne se sente surtout pas violée dans son intimité, et jallais le faire
Mais tandis que je reculais, jentendis une voix qui me dit :
Excuse-moi sissi, je suis désolée, jaurais dû pousser le verrou pour faire ça
Et je la vois qui se redresse lentement.
Euh ! Non, cest moi, jaurais dû frapper avant dentrer.
Et comme je continuais à reculer :
Non, reste, tu ne me déranges pas. Dailleurs jai fini et je peux recommencer plus tard si jen ai envie.
Je suis navrée, je tai tout coupé ma pauvre.
Elle éclata de rire.
Oh ! Arrête, ce nest vraiment pas grave. Je ne tai pas choquée au moins ?
Non pas du tout, moi aussi ça marrive. (Ce qui était vrai, bien quassez rare en ce moment jen conviens !)
Et si on le faisait ensemble ? Tu penses à quoi quand tu le fais ?
Je suis très gênée car je nai pas trop lhabitude de ce genre de confidence, même à ma meilleure amie.
Euh !
Jaimerais te demander quelque chose sissi mais je nose pas trop.
On est copines ou pas ?
Comme tu voudras ! Maintenant que tu mas vue faire, est-ce que ça te gênerait beaucoup de me montrer comment tu fais toi, comme ça nous serions à égalité.
J 'étais extrêmement gênée, je navais pas imaginé ça, inutile de dire que je nen avais pas du tout envie.
Euh
Si tu nas pas envie dis-le-moi franchement, je ne ten voudrai pas.
Malgré moi, presque à contrecur, je me vis relever ma jupe et commencer à me caresser maladroitement par-dessus la culotte. Jétais hyper gênée, dautant plus quelle me matait les yeux grands ouverts. Jessayais de mappliquer.
Sans grande conviction, jécartais ma culotte et glissais mes doigts entre mes lèvres .
Elle nen perdait pas une miette. De son côté, elle avait relevé de nouveau sa robe et avait recommencé à se caresser. Elle ne portait pas de culotte et sa petite chatoune était presque entièrement rasée avec simplement une petite touffe en haut. Elle était plus douée que moi en tout cas. En plus j étais stressée, coincée, je faisais cela entièrement pour lui faire plaisir, mais pour ma part je navais aucun plaisir.
Elle sen aperçut bien entendu.
Allez viens sissi, cest juste pour rigoler, viens tasseoir près de moi, si tu veux on arrête.
Je vins près delle tout en continuant à la regarder. En passant à ses côtés, je sentis son odeur qui me monta au nez, Linstant davant impersonnelle, maintenant je suis troublée. Assise à côté, je recommençai à me caresser mais cette fois pour de vrai, je me sentis mouillée, javais envie de plaisir et surtout je ne pouvais me détacher de lodeur qui émanait de son fruit. Elle s'aperçût de mon trouble et se retourna face à moi. Je sentis sa main me caresser la poitrine par dessus mon chemisier puis le déboutonner pour me sucer mes tétons durcis malgré moi, qu'elle aspirait et mordillait presque jusqu' à la douleur parfois pendant que son autre main descendait su ma chatte pour y exciter mon clito déjà proéminent elle le pressait doucement, faisait tournoyer son doigt tout autour, cétait une femme bien sur et elle connaissait exactement les gestes à faire pour me faire jouir puisqu'elle le faisait sur elle.
Cest ainsi que tout a commencé. Et depuis ce jour, malgré nos vies de couple et nos occupations professionnelles. nous nous arrangeâmes toujours pour nous retrouver, ne serait-ce que quelques minutes, nous ne pouvions plus nous passer l'une de l'autre , et pourtant aucune de nous navait eu la moindre expérience féminine avant cette rencontre. Nous avions peu à peu appris à mieux nous connaître, à apprécier nos réactions et à les domestiquer, à nous exciter mutuellement, en cherchant à nous donner le maximum de plaisir et ce fût vraiment des moments inoubliables.
Quelques années plus tard , elle et son mari ont quitté la ville, alors nous nous sommes écrit, téléphoné, puis les contacts se sont espacés, trop espacés, sa ligne ne répond plus, sans doute a-t-elle déménagé une fois de plus
Je nai jamais remplacé Annie, et jamais envisagé de le faire
Je me masturbe en pensant à elle.
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