Je Suis A Prendre

La saison arrivée enfin à son terme avec en match de fermeture. Un derby contre Nancy qui devait nous assurer la 3eme place au classement. Nous avions prévu Richard et moi-même d'assister à l'ensemble du match en compagnie de Daniel le président du club. Le match se jouait à huis clos avec un nombre limité de spectateurs en raison des règles sanitaires, nous permettant toutefois en tant que dirigeant d’assister à l'événement. Je m'étais préparée pour l'occasion, avec une jupe crayon mi-longue en cuir de couleur marron, mise en valeur par un chemisier blanc en satin avec un flot noué à l'encolure en guise de col. Richard avait insisté pour que je mette une guêpière noir de la collection de lingerie Wish de la marque Simone Pérèle. Cette lingerie était époustouflante avec des broderies travaillées une incrustation de tulle et fil cordelé et un empiècement brodé de chaque côté des hanches. J’étais à nouveau distinguée, chic et terriblement sexy, à en croire par les marques d’affection de mon mari qui me tournait au tour comme un animal assoiffé. Je reconnaissais les prémices d'une soirée de fantasmes, pendant laquelle mon mari allait sûrement me faire jouer le premier rôle comme à son habitude. J'avais fini de me préparer, installée devant ma maquilleuse afin de peaufiner mon maquillage, quand j’aperçus, dans le reflet du miroir ,Richard derrière moi. Alors que sa main se posa sur mes seins caressant ma poitrine volumineuse au travers de mon chemisier en satin, il dégrafait son pantalon libérant son sexe déjà bien droit dressé devant moi.
- Fais-moi une belle pipe avant de partir, ma salope, tu m'excites trop avec ton look de bourgeoise.
Il me prit le rouge à lèvres des mains et poussa son sexe entre mes lèvres me forçant à le sucer alors que j'étais assise devant lui. Son sexe gonfla dans ma bouche. Il m’attrapa par les cheveux afin de motiver cette fellation. Je ne pouvais protester, bâillonnée par son sexe de chair, mais aussi soumise sexuellement à la moindre de ses volontés.


- Pompe-moi pouffiasse fais-moi gicler entre tes belles lèvres, d'ailleurs, je vais t'aider à finaliser ton maquillage
Alors que je le suçais, il s'amusait à me maquiller avec mon rouge à lèvres, appuyant fortement afin d'accen les marques. Je gémissais sous cette nouvelle contrainte tout en continuant à pomper son sexe bien dur, alors qu’il dégrafait les boutons de mon chemisier faisant apparaître ma poitrine énorme juste protégée par ma guêpière noire. Il me palpait mes gros seins avec frénésie alors que je continuais à faire coulisser son membre entre mes lèvres. Je savais qu'il allait jouir et se vider laissant volontairement des traces sur mon corps, afin de montrer ma soumission à notre entourage et prouver que j’étais son esclave sexuelle. Il se vida enfin, sortant son sexe de ma bouche pour répandre son sperme sur mes gros seins et ma guêpière, replongeant ensuite son sexe dans ma bouche afin que je le nettoie. Il referma d'autorité mon chemisier ne me laissant pas le temps d'essuyer le sperme qui dégoulinait entre mes seins et me tourna en levrette contre ma table de maquillage relevant ma jupe en cuir marron pour laisser apparaître mes grosses fesses mises en valeur par mon string et ma guêpière.
- Tu peux finir de te maquiller, sois bien docile pendant que je termine de préparer ton gros cul avec quelques instructions.
Alors que j’étais debout devant ma table de maquillage, attendant de savoir ce qu’il avait en tête, il alla dans le dressing pour revenir avec quelque chose dans la main. Il me poussa en avant et écarta la lanière de mon string. Je sentais son doigt, tourner autour de mon petit trou, et avait une idée précise de ce qu’il avait en tête. Il enfonça son doigt dans mon anus, et joua avec pendant quelques instants, avant de le remplacer par un nouveau jouet.
- Regarde ce que je viens d’acheter, n’est-il pas magnifique, tu vas le garder toute la soirée, jusqu’à ce que je le remplace par ma grosse bite.... Compris ma salope ?
- Ohhhh Richard, quel démon tu es .
.. Vas-y mets le moi dans mon cul....
C’était un bijou chic et glamour qui allait me donner les plaisirs exquis de la pratique anale, habillant mon anus avec charme et sensualité. Il avait une forme arrondie avec une surface lisse assurant une insertion agréable et pourvu d’une base plate facilitant le retrait, mais aussi assurant une sécurité pour qu’il n’aille pas plus loin que prévu. Une fois l’objet inséré, il prit mon rouge à lèvre et dicta à haute voix ce qu’il écrivait sur mes fesses « je suis à prendre », pour remettre ensuite ma jupe en place me laissant terminer ma préparation. Le ton de la soirée était donné et je savais qu’il allait une fois de plus me donner en pâture, afin de pouvoir me mater, réveiller son excitation et me posséder à nouveau. Ces moments de soumissions m'excitaient au plus haut point. Savoir que j'allais être prise, tout en ignorant par qui et comment me rendait totalement folle.

1h plus tard, nous étions arrivés au basket club ou nous attendait Daniel, qui nous conduit dans le carré VIP. Malgré les restrictions sanitaires, il avait quand même prévu du champagne et des petits fours pour fêter le dernier match de la saison avec une éventuelle victoire à la clé. Le match démarra, et malgré le pronostic positif de Daniel, l'équipe adverse menait cette partie tambour battant. N'étant pas une fervente amatrice de sport, je ressentais toutefois une certaine tension, espérant bien évidemment que mon équipe l'emporte à la fin. Daniel et mon mari échangeaient sur la prestation des joueurs, Richard restant pessimiste quant à l'issue du match.
- Si ils continuent à jouer comme ça, il n'y a aucune chance qu'on puisse l'emporter, trop d'erreurs trop de cafouillages.
- Je suis confiant notre équipe à de la ressource
Ils échangèrent pendant les 2 premières périodes, Richard continuant à le taquiner alors que Daniel commençait à s'agacer sur la prestation de son équipe. Poussif et pas motivé, faisant preuve de lenteur, tout cela annonçait la défaite.

- Eh bien cher Daniel la prestation n'est pas à la hauteur de mon investissement
- Ne vous inquiétez pas Richard, ayez confiance, vous ne le regretterez pas, d'ailleurs, j'espère un bonus spécial à la victoire de l'équipe.
- Faudrait-il encore qu'ils gagnent pour l'instant, c'est plutôt très mal parti ?
- Eh bien, je suis prêt à parier que nous allons l’emporter.
- Pari tenu, je ne prends pas beaucoup de risque de toute façon. S'ils gagnent, je vous offre une fois de plus de goûter les charmes de ma charmante épouse.
- Richard, j'espère que tu plaisantes !!! C’est hors de question.
- Ma chérie souviens-toi les instructions sont claires et précises.
Il me caressait les fesses pour me rappeler ce qu'il avait écrit sur ma croupe, alors que Daniel me regardait tel un prédateur, un animal lubrique me dévorant des yeux. Sa main s’attardait sur mon jouet toujours bien ancré entre mes fesses. Il le prenait entre ses doigts, au travers de ma jupe en cuir, afin de le faire légérement tournoyer dans mon anus. Soumise, je le laissais faire, et cela, sous les yeux de Daniel qui n’en perdait pas une goutte.

La partie se poursuivait et alors que le SLUC menait de 4 points à une poignée de secondes de la fin du temps réglementaire, un shoot miraculeux avec un lancer en prime nous emmena en prolongation. Cet incroyable scénario fit perdre le fil à nos adversaires qui concédèrent la défaite, nous confortant dans le top 3 du classement. Daniel éructait de bonheur.
- Bravo Daniel, quelle belle victoire, je suis ravi de cette position
- Et moi donc, nous allons fêter cela avec une coupe de champagne bien méritée, et allons féliciter les joueurs, Patricia, j'espère que vous nous accompagnez ?
Il me tendit une coupe de champagne que j’acceptais trinquant à la victoire de l'équipe. Personne ne mentionnait le pari restant très discret quant à la suite des événements. Nous nous rendions aux vestiaires afin de les féliciter, je restais toutefois à l'extérieur l'endroit étant réservé uniquement aux hommes.
Richard et Daniel étaient rentrés et je pouvais entendre les chants et les cris de l'extérieur. Alors que je patientais à l'extérieur, la porte des vestiaires s’ouvrit, avec Quentin et Antoine sortant du local m’attrapant par le bras pour m’entraîner à l'intérieur. Je protestais en vain, et me retrouvais au milieu de ce vestiaire rempli d'hommes pratiquement nus seulement protégés par leurs serviettes. C'était définitivement une très mauvaise idée, alors que tous ces hommes ivres de plaisir chanter à tue tête
- Pour le président, chalalalalalalala, !!!!!!!
- Pour les sponsors hip hip hip !!!!!!!
- Pour Patricia chalalalalalalala !!!!!!
Craignant que cette ivresse de joie ne dé, je me réfugiais et me blottissais contre mon mari alors que tous les joueurs se ruaient contre moi afin de m'embrasser amicalement. Chacun me faisant la bise ou essayant de danser, j'étais poussée de bras en bras au milieu de cette dizaine d'hommes ivre de joie. Nous étions tous en cercle, à l’intérieur du vestiaire, alors que pour ma part, j’avais Daniel et mon mari de chaque côté en garde du corps. Ils chantaient, tous à tue tête. Je sentis la main de Daniel qui s’était posée sur mes fesses me caressant le cul au travers de ma jupe en cuir, et sous les yeux des joueurs qui ne se doutaient de rien. Sa main s’arrêta sur mon jouet, surpris de la présence de cet objet inattendu entre mes fesses. Il se pencha vers moi, me glissant à l’oreille.
- Je vois que ton mari, t’ as mis en condition, ça t’excite d’avoir un gode dans le cul ma belle ménagère.
- Je vous ai déjà demandé de ne pas m’appeler comme ça...
- Hummmm, on va passer une bonne soirée, beauté, je vais te baiser sous les yeux de ton mari... Je te promets que tu vas jouir comme une folle...
Il continua de me caresser mon gros cul pendant plusieurs minutes avant de nous faire ressortir définitivement du vestiaire afin d’éviter un viol collectif qui à la vue de mes formes pulpeuses et mon aspect de bourgeoise ne faisait aucun doute. Je regagnais avec Richard et Daniel le carré VIP afin de récupérer nos affaires et de rentrer à la maison, espérant que le président finisse la soirée avec ses joueurs plutôt qu'avec nous. Daniel nous proposa de reprendre un peu de champagne.
- Bien qui paye ses dettes s'enrichit, donc je vous propose d’aller chez moi pour finir la soirée qu'en pense la belle Patricia ?
- Daniel, je suis un homme de parole, et je paye toujours mes dettes, allons ma chérie finir la soirée chez Daniel. Je vous propose qu’on prenne ma voiture.
Silencieuse, je suivais ces deux hommes, regagnant le parking ou était la voiture de Richard. Alors que j’allais prendre place à l’avant, Daniel, me prit par le bras, me poussant sur la banquette arrière.
- Mettons-nous à l’arrière belle dame, ça ne vous pose pas de problème Richard ?
- Non, installez-vous, je vais conduire...
- J’ai pu observer que votre charmante épouse avait quelque chose de pas banal en dessous de sa jupe, ça ne vous dérange pas si je joue un peu avec.
- Non aucun problème, mais interdiction de la sodomiser, son petit trou est réservé à mon usage personnel...
- Je crois que votre magnifique femme à d’autres atouts qui vont largement compenser cette restriction...
Ils parlaient de moi comme si je n’étais pas là, comme un jouet, un objet qu’on se partage entre ami, pour la soirée. Richard démarra la voiture et quitta le parking. Sans attendre Daniel dégrafa son pantalon libérant son sexe fièrement dressé, m’attrapant par l’épaule, pour me faire descendre le visage entre ses cuisses, afin d’enfourner son sexe entre mes lèvres...
- Vas-y, ma belle sois généreuse et prends ton temps...
Bien que son sexe était déjà en érection, il me poussa à quelques préliminaires, me forçant à s’occuper de ses zones érogènes en créant des vibrations à travers son pantalon avec mes ongles et le caresser tendrement. Je le masturbais de mes mains exerçant une plus forte pression lors du mouvement du bas vers le haut et veillant à ce que le rythme soit suffisamment soutenu. Je continuais par des baisers doux, du bout des lèvres, le long de l’urètre et jusqu’au frein, faisant ensuite passer le bout de ma langue entre mes lèvres pour des baisers plus mouillés. Ma langue caressait tout le long de son pénis, m’arrêtant avant le gland pour créer une frustration et augmenter son envie. J’amorçais la fellation en passant ma langue sur le frein et tout autour de sa couronne, léchant ensuite le gland tout doucement. J’engloutis enfin son sexe dans ma bouche, décalottant le gland avec mes lèvres. J’amplifiais les sensations ressenties, en masturbant son pénis ainsi qu’en stimulant ses testicules. La pratique du sexe oral n'étant pas liée au plaisir sexuel chez les femmes, il profitait de son plaisir, entre mes lèvres, impliquant un sentiment de soumission avec un caractère un peu dégradant, dont il accentuait l’effet en me tenant par les cheveux. La pratique de ce sexe oral n’avait pour objet que de mettre en évidence sa conception d’une sexualité asymétrique, principalement concentrée sur ses désirs, besoins masculins et ma disponibilité. Il continua à pousser ma tête afin de lui pratiquer une gorge profonde. Son pénis s’introduisait le plus loin possible dans ma bouche et dans ma gorge déclenchant un réflexe nauséeux naturel. Ma langue était immobilisée et la succion devenait impossible.
- Haaaaaaaaaa, quelle suceuse cette maman... T’es vraiment la meilleure des butineuses, mais ne crois pas que tu vas réussir à me faire jouir comme la dernière fois jolie Maman. Remonte-moi ta jupe que je joue un peu avec la marchandise... C’est vraiment du premier choix ta bourgeoise...
- Oui, continue, vous me faites bander...
Il avait sorti son sexe de ma bouche, posé en érection sur mon visage, alors que ses mains remontaient ma jupe dévoilant le bas de ma guêpière et qu’il déboutonnait les boutons de mon chemisier en satin pour libérer ma poitrine voluptueuse.
- Hoooooo, elle a quand même les plus beaux nibards de la terre, bien laiteux comme je les aime...
Il me caressait mes gros seins d’une main, alors que sa seconde main s’était saisie du plug anal ; avec lequel il jouait, tournoyant dans mon anus dilaté. Je gigotais mes hanches sous la pression du gode qui m’écartait le cul en deux, pendant qu’il le faisait coulisser doucement, le faisant sortir pour me re sodomiser de plus belle. Mes gémissements envahissaient le véhicule de mon mari qui bien que conduisant prudemment n’en perdait pas une goutte, nous regardant dans le rétroviseur. Daniel se pencha sur ma croupe pour apercevoir enfin l’inscription.
- « Je suis à prendre », oulalalalala, mais quel programme, ne t’inquiète pas belle cochonne, ce ne sont que les hors d’œuvres, je te promets que tu vas dérouiller...
- Ça t’excite ma chérie, dis moi ce qu’il est en train de te faire, raconte moi....
- Ohhhhh Richard, il me défonce mon petit trou, avec ton jouet...
- Tu aimes te faire prendre l’anus ma belle dis le nous ....
- Ohhhhhhh, Ouiiiiiii, Richard dis-lui d’arrêter il me va me faire jouir...... Hahhhhhhaahhahaha
Il repositionna le plug anal bien calé dans mon anus, me releva pour m’installer entre ses cuisses, accolant mon dos à son torse en faisant face au rétroviseur avec lequel mon mari jouait les voyeurs. Il plongea sa main entre mes cuisses sous ma culotte pour s’emparer de ma chatte en feux, et m’enfonça ses deux doigts en moi. Il me doigta comme une folle, rapidement avec force et violence, m’arrachant des cris et hurlements, alors que son autre main continuait à me palper mes gros seins libres. Il poussa cette masturbation à l’extrême, déclenchant des orgasmes multiples entre mes cuisses. Nous étions arrêtés à un feu rouge, quand une voiture stoppa à nos côtés, Daniel me poussa couchée sur la banquette, plaquant sa main contre ma bouche tout en continuant à me doigter violemment. Il me forçait à jouir et crier em même temps, tout en me baîllonant, comme un paradoxe démontrant juste qu’il était le maitre et moi l’esclave. Richard, repris la route, toujours appréciant le spectacle de sa femme sur la banquette arrière de sa voiture, se faisant détruire le vagin. Arrivé à destination, j’avais déjà joui plusieurs fois. Il me fit sortir de la voiture, totalement débraillée. Mon chemisier ouvert laissait dépasser mes gros seins, et ma jupe relevée dévoilée ma guepière bourgeoise.
- Descendons à la cave, je vais vous faire visiter mon bureau privé.
Récemment divorcé, il vivait seul dans cette grande maison, et avait crée son propre espace à l’atmosphère d’un donjon bdsm. Utilisant des moyens relativement simples, les murs étaient recouverts de pierres de parement en brique pour donner, un coté rustique avec un éclairage en LED donnant plusieurs couleurs différentes. Il avait accroché au mur toute une série d’accessoires fouets, martinets, masques bdsm, cravaches ou paddles. La décoration du donjon apportait la touche finale au développement de nos sens avec des rideaux de velours du sol au plafond.
- Ne vous inquiétez pas j’ai aussi insonorisé la pièce. Je ne voudrais pas réveiller mes voisins avec les cris de notre soumise.
Dans le centre, il y avait la pièce maîtresse du donjon, un meuble, banc BDSM pour bondage et fessée. En aluminium noir et mat, avec des coussins et des oreillers en cuir rouge.
- Enlève ton chemisier et ta jupe jolie maman, et installe-toi sur le banc.
Pendant que je me déshabillais, Richard s’était installé dans un fauteuil afin de mieux m’observer, alors que Daniel lui servait une coupe de champagne. Il me coucha en levrette à quatre pattes sur le banc, fixant chacune de mes jambes par deux sangles, et mes mains sur le devant par des menottes attachées à une longue chaîne. Ma taille était également fixée par une ceinture. J’étais donc immobilisée, offerte, les fesses en l’air, prête à me faire posséder par Daniel juste protégée par ma guêpière mon string noir et mes bas. Il était derrière moi, me caressant les fesses, tout en commentant l’inscription sur mon gros cul.
- « Je suis à prendre », en effet, c’est tout indiqué beauté, je vais te prendre, te baiser, te défoncer. Dis-moi que ça t’excite la morue de savoir que tu vas te faire prendre sous les yeux de ton mari...
- Oui, prenez-moi, baisez-moi...
- Tu veux ma grosse bitte ?
- Oui, je la veux, je veux votre grosse bite.
- Mets-lui une petite fessée avant. Une belle jument comme elle mérite un petit dressage.
Positionnait derrière moi, avec une vue imprenable sur ma croupe offerte toujours envahie par le plug anal de mon mari, il m’appliqua de grandes claques sur les fesses , chacune son tour, droite, gauche. Il me faisait rougir mon gros cul, alors que mes plaintes et gémissements raisonnaient dans le donjon.
- Ohhhh, elle a son gros cul tout rouge maintenant la ménagère... T’aimes ça te faire claquer les fesses pouffiasse. Moi, j’adore voir les bourgeoises comme toi dans cette position de soumise prête à se faire démonter le cul... Dis-moi que tu as envie que je te prenne maintenant. Demande gentiment ma grosse bite ...
- Oui, Oui, Oui, Prends-moi, fourre-moi comme une oie...
- Hummmmm, prends-la, maintenant, fourre-lui ta bite dans son gros cul... Prends ma belle bourgeoise.
Il était derrière moi debout sur le banc, plongeant son sexe entre mes fesses, ses mains bien accrochées à mes hanches et à ma guêpière. Il me posséda comme un fou, se déchaînant sur ma croupe, tout en jouant avec mes formes pulpeuses. J’étais défaite, prise comme une chienne, comme un animal restreint offerte tel une proie à son chasseur. Il me claquait les fesses tout en me baisant tel un forcené, un prédateur sexuel s’acharnant sur sa captive. Alors qu’il se défoulait coulissant son sexe en moi, Richard s’était approché de nous, attardant ses mains sur ma croupe prenant le plug anal, avec lequel il joua, le faisant tourner dans mon anus. Il avait libéré son sexe qu’il plongea dans ma bouche, alors que Daniel continuait à me saccager ma croupe toute rouge.
- T’aimes ca grosse pute, ça te plaît de te faire defoncer
- Un peu moins arrogante la bourgeoise, on ne t’entend plus
- Elle a la bouche pleine, c’est pour ça.
- Hummmmmm, Hooooooooooo, Ouiiiiiiiiii, Houuuuuuuuuuuu
- Ohhhhhh, elle est vraiment trop bonne ta bourgeoise... Vas-y poulette bouge moi bien ton gros cul...
De peur de me gicler dans la bouche trop rapidement, Richard sorti son sexe, laissant Daniel seul s’occupait de mes formes pulpeuses. Je n’en pouvais plus, m’abandonnant à l’effet de ce marteau-piqueur. Il continua à se déchaîner sur mon corps, en m’insultant avec des mots des plus cochons, alors que j’étais dans un état sexuellement proche du malaise vagal du fait de la stimulation intense. Les battements de mon cœur explosèrent suite à un dernier orgasme s’accompagnant d’une brève perte de conscience. Son sperme se répandit enfin sur mes fesses alors que écroulée sur le banc j’essayais de retrouver ma respiration. Il poussa son sexe à nouveau dans ma bouche. Alors que je prenais son membre dans ma bouche, je sentis Richard qui s’était positionné derrière moi, m’enlevant mon plug anal.
- À mon tour ma belle, donne-moi ton petit trou, il est suffisamment dilaté... Pompe Daniel pendant que je t’encule, nettoie-lui sa grosse bite, ma gourmande...
Il poussa son sexe qui avait bien re durcit, au fond de mon anus, et m’encula avec violence. À peine remise de la brutalité de Daniel, je subissais les assauts de mon mari qui me dominait en me prenant par mon petit trou, après m’avoir partagé avec son ami. Il me pilonnait, alternant parfois entre mon vagin et mon anus, comme pour me montrer que j’étais à lui, sa chose, sa propriété, son jouet.
- Vas-y salope bouge moi ton gros cul de bourge.
- Ohhhh, elle est vraiment top bonne, elle va me refaire jouir une deuxième fois. J’ai bien fait de prendre mes petites pilules bleues ma beauté, je vais te gicler une deuxième fois dans la bouche.
Alors que je me faisais sodomiser par mon Mari, je sentais le sexe de Daniel dans ma bouche qui était toujours aussi dur. Il me tenait par les cheveux, forçant l’entrée de ma bouche dans laquelle il faisait coulisser son membre encore dur. Ces deux animaux profitaient de chaque partie de mon corps, m’utilisant de toutes les façons possibles, jouant de mes formes ravagées par ces multiples assauts qui duraient depuis qu’on avait quitté notre domicile. J’étais sexuellement détruite, défaite, anéantie, possédait par ces deux brutes qui continuaient à violer mon corps de bourgeoise qui leur appartenait. Richard se vida dans mon anus, essuyant son sexe sur mon chemisier en satin qui traînait par terre alors que Daniel finissait de se branler dans ma bouche ponctué par le rythme de mes gémissements. Il fini par se vider à nouveau du peu de liquide qui lui restait, le laissant se répandre dans ma bouche et entre mes lèvres. J’étais remplie de sperme, mais vidée de toute force, laissant mes deux amants me détacher afin de me poser sur le canapé sur lequel je m’assoupis, pendant qu’il terminait la bouteille de champagne. À mon réveil, je me rhabillais rapidement pour reprendre la voiture et rentrer sans un mot à la maison. J’avais joui comme une folle, mais ressentais un peu d’amertume, quant à cette situation, ne souhaitant pas poursuivre cette relation avec Daniel.

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