Je Suis Une Femelle Salope 56 - Expérience Douloureuse À Passy
JE SUIS UNE FEMELLE SALOPE 56 - EXPÉRIENCE DOULOUREUSE À PASSY
Le récit qui suit remonte à plus de vingt ans. A lépoque, je traversais une période de soumission à qui voulait bien me traiter comme une lope. Je passais mon temps à rechercher et à rencontrer des dominatrices et des dominateurs pour être leur esclave. Tout était bon, les sites de rencontres, les annonces sur Internet, je narrêtais pas.
Un jour, au hasard dun dialogue sur un site, je tombe sur un mec qui recherchait un soumis. Nous discutons un moment et finalement, il me propose un rendez-vous chez lui, dans Paris, près de Passy. Je my rends en voiture, je me gare dans un parking et je le cherche du regard dans la rue. Très vite, japerçois un type, plus jeune que moi, coiffé dun bob, signe de ralliement quil mavait donné. La conversation sengage, cest bien lui, il me jauge du regard et il me fait signe de le suivre.
Nous arrivons à un immeuble, nous rentrons, montons au dernier étage et il me fait rentrer chez lui. Cest surprenant, une pièce immense sous les toits, haute de plafond, avec des poutres de bonne taille et une petite mezzanine où trône un matelas.
« Déshabille toi ! »
Je mexécute, il mordonne de déposer mes vêtements sur le lit en haut dune petite échelle, et je le retrouve en bas. Il me jauge à nouveau du regard. Il saisit une badine sur une chaise et me tourne autour, lair menaçant. Il me caresse de temps en temps avec la badine, je suis terrifié mais en même temps je ressens une bouffée de plaisir en moi.
Il me fais mettre face à une table, en appui sur les mains, le torse légèrement courbé. Je lentend farfouiller dans un tiroir puis il revient vers moi.
« Écarte les fesses ! »
Je mexécute et il passe la badine entre mes fesses, sattardant sur mon anus. Puis je ressens une fraîcheur sur ma rondelle, il est en train de me tartiner avec, je suppose, du gel.
Il marque un temps darrêt, retourne à son tiroir puis il revient vers moi et je sens quil presse un objet contre mon cul.
Une fois écarté un maximum, il se recule pour contempler mon cul puis jentends des claquements en même temps que je vois les éclairs de flash. Ce salaud est en train de prendre en photo ! Une fois ceci fait, il desserre peu à peu le spéculum et le retire de mes fesses. Mon cul reste ouvert, du moins cest limpression que jai.
Il me fais me redresser et mamène à un autre endroit de la pièce, sous une grande poutre.
« Lève les bras salope ! »
Je lève les bras et il me les attache à la poutre au dessus de ma tête. Dun coup, je réalise que je suis totalement à la merci dun type que je ne connais pas, nu comme un ver, attaché comme un futur supplicié, et javoue que je nen mène pas large à ce moment.
Javais oublié de préciser quhabitant à lépoque en dehors de Paris, javais conformément à ses ordres, ramassé un gros bouquet dorties que javais apportées dans un sac plastique. Il ouvre ce sac et sort les orties.
« Cest bien, elles sont bien piquantes, tu vas déguster ! »
Je commence à avoir la chair de poule, entre rêver de se faire corriger avec des orties et la correction elle-même, il y a une marge et je suis en train de constater que cette marge est de plus en plus mince
Il prend une touffe dorties et il commence par effleurer mon corps avec un peu partout. Je ressens les premiers picotements, je le supplie darrêter. Bien évidemment il ignore mes paroles, se recule un peu, me regarde dun air goguenard et « paf », il me cingle le ventre. Jai à peine le temps de crier quil se met à me fouetter tout le corps, le ventre, les fesses, les cuisses, le sexe, jusquà ce quil ne lui reste que les branches en main.
Je reste immobile devant lui, jai envie de me gratter partout, je pleure à moitié, une vraie loque.
Il me saisit à lépaule et me fait agenouiller par terre. Il retire son pantalon puis son slip, enfile un préservatif, le lubrifie avec du gel, et dune poussée puissante il mencule à fond jusquà appuyer ses couilles contre mes fesses. Il reste un moment immobile puis, me prenant par les hanches, il entame une enculade comme je nen avais pas eu souvent. De temps en temps il sort de mon anus pour y rentrer dun coup, cest douloureux mais je sens mon sexe bander peu à peu. Dun coup, je le sens se raidir en moi, puis il pousse un grand cri et je comprends quil vient de jouir en moi.
Il se retire, me donne une bonne claque sur les fesses et il mordonne de mallonger sur le dos. Cest pas possible, je vois quil est en train de bander à nouveau, je suis tombé sur M. Sexe. Il me relève les jambes et me pénètre à nouveau, sa queue est de nouveau bien dure et il recommence à me ramoner. Je prend mon sexe dune main et je me caresse de plus en plus vite, au rythme de ses mouvements. Je gémis de plaisir, ma queue est tendue au maximum et dun coup, jéjacule sur mon ventre en gueulant. Il continue à me sodomiser quelques instants puis il se retire de mes fesses sans avoir joui. Il me tend sa queue capotée et je la prends en bouche. Elle est légèrement maculée mais je nen ai rien à faire et je le suce goulûment mais sans arriver à le faire jouir.
Il se rhabille, mordonne den faire autant, puis il me congédie sans un mot, avec un air méprisant. Quand jarrive chez moi une heure plus tard, la peau me brûle encore et les irritations sont encore là.
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