La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1007)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°1006) -
La semaine qui précéda fut riche de surprises
Généralement, avec les évènements étaient organisés au Château, les chiennes et chiens soumis du Cheptel pouvaient bénéficier de la présence du Maître. Celui-ci profitait souvent des deux jours des week-ends, pratiquement toujours exempts de tâches professionnelles, pour savourer la beauté et des richesses de Sa région et de Son pays quelles soient culturelles, touristiques et surtout gastronomiques. En revanche, pour tous ceux qui Lui appartenaient, il ny avait aucun jour de repos. Entre les corvées, lentretien de limmense Demeure Ancestrale, celui des Terres du Domaine comprenant de nombreux étangs, des prés et forêts et des terres cultivées, sans compter les entraînements, il y avait toujours à faire... Je fus donc étonnée lorsque le samedi soir, précédent linauguration de la nouvelle aile du Château, Walter vint me chercher dans mon Cachot, une heure après le couvre-feu, et sans un mot, memmena par la laisse dans Son bureau. Le Châtelain nétait pas présent. Le Majordome mordonna alors de Lattendre dans la position qui convenait, et après avoir vérifié la bonne exécution de cette exigence, quitta la pièce.
Des pas, reconnaissables entre mille, ne tardèrent pas à se faire entendre et à sapprocher de ma petite personne. En passant à côté de moi, une main vint me flatter la croupe, puis le Maître se dirigea vers son bureau et mit en ordre Ses papiers et travailla. Grâce au tic-tac de lhorloge je suivais le temps qui défilait. Au bout dune demi-heure, je nentendis plus aucun bruit. Si javais osé relever la tête, jaurai pu voir le Noble, profondément enfoncé dans son luxueux fauteuil de bureau, le regard fixé sur le corps de Sa chienne-soumise, et semblant méditer. Il réfléchissait à la décision quIl avait prise depuis déjà plusieurs semaines, se remémorant pourquoi Il en arriva à la conclusion que cétait la bonne, sachant quIl ne la regretterait pas.
- A genoux !
Sa voix était monocorde, comme toujours lorsquIl donnait un ordre. Comme la bonne petite chienne obéissante que jétais, je me redressais immédiatement, écartant plus largement les cuisses, croisant mes mains dans le dos, baissant la tête et les yeux.
- Ma chienne, Jai une chose importante à tannoncer ! Demain soir, tu quitteras le Château.
Il laissa planer un silence, guettant la moindre réaction qui aurait pu paraître. Mais il y avait longtemps que ce genre de phrase, effrayante pour les nouveaux arrivés, ayant peur davoir commis quelques fautes pouvant valoir lexclusion, ne matteignait plus. Javais ma conscience pour moi, je savais navoir commis aucun manquement. Je ne bougeai donc pas dun poil, et attendais patiemment la suite, même si la raison engendrait un peu de curiosité dans mon esprit.
- Walter va taccompagner vers une destination que tu ne connaîtras que lorsquil ty déposera. Il te remettra une enveloppe sur laquelle sera écrit ce que Jexige de toi. Et il reviendra au Château. De toi seule, de la façon dont tu te sortiras de ta mission, de la satisfaction que cela pourra et devra me procurer, dépendra ton retour en Ma Noble Demeure. Tu nas pas besoin den savoir plus pour le moment
Je te reverrai si tu mérites de te retrouver de nouveau sous Mon regard.
Maintenant, retourne dans ton Cachot
Il retourna derrière Son bureau et se remit à travailler sans plus sintéresser à moi. Je me mis donc à quatre pattes et regagnais ma cellule. Je ne mattardais pas sur ce qui allait mattendre ces prochains jours. Je savais juste que je ferai tout pour mériter mon billet retour. Je mendormis donc sereinement, sachant que le Maître ne me demanderait rien que je ne sois capable de réaliser.
Le dimanche se passa comme habituellement.
Vers 3h du matin, il me fit monter en voiture. Il me banda les yeux pour que je ne puisse pas deviner notre destination. Malgré que je sois habillée en mode vanille, je fis le trajet à ma place, dans le coffre de la voiture. Je trouvais cela étonnant, dhabitude tout était fait pour que les vêtements que nous étions occasionnellement autorisés à porter soient protégés. Je prenais donc soin de me positionner de manière à éviter de trop froisser le tissu. Mais je ne tardais pas à mendormir, vu lheure tardive et le bercement des mouvements de la voiture et malgré les vibrations de luf dans mon vagin, que Walter prenait un malin plaisir à mettre en route assez souvent et parfois lorsque je commençais juste à massoupir. Mais la fatigue fut la plus forte, et je finis par rejoindre les bras de Morphée.
- Eh bien, eh bien ! Jespère que tes saletés ne tacheront pas le tissu de ce magnifique tailleur que Monsieur le Marquis a bien voulu te donner pour cette sortie, sinon il y a fort à parier que même pour tes sorties extérieures tu seras amenée à rester nue si tu nes pas capable de prendre soin de ce que lon veut bien te prêter
Bien, ce nest pas pour cela que nous nous sommes arrêtés. Il faut que je fasse le plein du réservoir de la voiture. Comme tu peux le voir, la station est un peu plus loin. Là nous sommes au niveau de laire de pique-nique. Tu vas te déshabiller, et je vais tattacher à un de ces arbres. Je vais également mettre une pancarte devant toi « Vous pouvez faire ce que vous voulez de moi tant que ça ne marque pas. Ordre du Maître qui me soumet, Monsieur le Marquis dEvans, et qui vous fait ce petit cadeau gracieusement ». Tu devras bien évidemment faire tout ce quon exigera de toi. Je vais aussi en profiter pour prendre un café. Nous avons encore de la route à faire. Maintenant que jai eu la bonté de texpliquer un peu ce qui tattendait, fais ce que je tai ordonné !
Je rougis. Bien que cela fasse un moment maintenant que jétais la propriété de Monsieur le Marquis dEvans, les situations comme celle-ci en public vanille me faisaient toujours monter un peu de rouge aux joues. Toutefois, mon éducation était bien ancrée en moi, et il ne me serait pas venu à lesprit davoir la moindre hésitation ! Je me déshabillais donc entièrement, ce qui fut rapide, et mapprocha à quatre pattes près du Majordome, qui dun geste du doigt, me fit comprendre que je devais me mettre à genoux.
- Fais le beau !
Je relevais alors la tête, tout en gardant les yeux baissés, et montais mes deux mains, coudes pliés, au niveau de mon visage, et ouvrant la bouche et tirant la langue, je haletais comme une chienne avant de japper doucement.
- Bonne chienne
Ce qui me fit frémir de plaisir. Puis il passa mon collier et ma laisse. Il me posa des pinces à mes tétons après les avoir pincés, étirer et vriller, ainsi quà mes lèvres intimes. Elles étaient toutes les quatre reliées entre elles par une chaîne. Il passa alors une main entre mes cuisses, et sourit sadiquement en constatant lhumidité accrue qui sy cachait. Il retira alors luf de ma chatte et me le fourra dans la bouche. Il me flatta à nouveau le crâne, puis il donna une impulsion dans la laisse pour que je reprenne ma position en quadrupédie et que je le suive. Il memmena vers les arbres, me fit pisser contre lun deux et mattacha à un autre comme il men avait prévenu. Il avait emmené avec lui la pancarte quil posa non loin de moi. Je devais rester à genoux, cuisses écartées, mains dans le dos. Il séloigna avec la voiture, mais au lieu de se diriger directement vers la station et la boutique, il passa dabord au milieu des nombreux camions garés pour annoncer que si le cur leur en disait, il y avait une petite salope de chienne bonne à être utilisée qui attendait au pied dun platane.
Même si le jour nétait pas encore arrivé, on devait être très proche du petit matin car quelques routiers étaient déjà réveillés. En effet, un groupe dune dizaine dhommes et de femmes sapprochèrent. Ils étaient visiblement excités mais hésitaient un peu à se lancer. Je ne relevais pas la tête, mais imperceptiblement, je mis mon bassin et ma poitrine en avant, et écartais légèrement plus mes cuisses pour les inviter à venir en profiter. Un homme dune taille impressionnante, son biceps avait la taille de ma cuisse !, finit par faire le premier pas. Il passa ses larges mains viriles sur mes mamelles de chienne, les malaxant fortement. Il mappuya sur les mâchoires pour me forcer à ouvrir la bouche, y vit luf quil enleva et lança au sol. Il ne lui fallut pas longtemps pour défaire sa ceinture et sortir son énorme sexe déjà en érection de son pantalon. Il me lenfila dun coup au fond de la gorge et me bloqua la tête pour ne pas que je puisse essayer dy échapper. Il ne pouvait pas savoir que mon éducation mavait appris à supporter et subir, tout ce que bon semblerait à la personne voulant user de moi. Il me baisa donc la bouche longuement jusquà ce que de longs jets épais saccadés ne lenvahissent. Je dus avaler son sperme, puis il ne me laissa pas le nettoyer. Il préféra sessuyer sur mes joues, alors que du foutre était encore entre les commissures de mes lèvres buccales
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!