Un Débroussaillage Rondement Mené 1/2

Je n’étais pas revenue à notre maison de campagne depuis le décès de mon mari il y a deux ans suite a un accident tragique, je commence juste à émerger des douloureux souvenirs et des nombreux tracas, il me manque terriblement, je n’ai que trente cinq ans et je ne pense pas du tout a refaire ma vie
Maison de campagne est un terme pompeux pour une vielle bicoque venant de ses parents, mais Pierre y tenais comme a la prunelle de ses yeux et je dois continuer à l’entretenir
Lorsque j’ai vu l’état extérieur j’ai faillis faire demi-tour, une vraie forêt vierge envahit le jardinet devant et surement pire derrière... derrière... il s’en est passé des choses à l’abri des regards sous ces grands arbres, prés du puits où nous batifolions entièrement nus... une fois attrapée par ses grands bras je me laissais allonger dans la pelouse rase et …quel merveilleux amant , au plus fort de sa jouissance il me disait des trucs cochons comme : ‘ ma salope un jour je ferais défoncer ta petite chatte par Martin ‘… qui était ce Martin et y pensait-il vraiment ? un jour je lui ai posé la question, il m’a répondu que c’était un gars du village surnommé ainsi a cause de sa réputation de mec viril ,il avait un âne nommé lui-même Martin d’où ce surnom équivoque, quelques temps plus tard mon époux décédait… je ne dois plus y penser , aller courage ma vieille, tu as du boulot !
Le lendemain déjà fourbue de dépoussiérer l’intérieur j’ai réalisé que je n’y arriverais jamais seule, aussi je suis allée déposer une annonce chez le boulanger et a l’épicerie afin de recruter de la main-d’œuvre locale
Trois heures plus tard un jeune homme hèle mon nom au portail

- Madame G ? je viens pour l’annonce
- C’est gentil mais vous ne viendrez pas seul à bout de ces hautes herbes, il y en a deux fois autant derrière la maison, venez voir si vous y tenez

De savoir un homme me suivre dans le parc m’a filée la nostalgie en voyant la margelle du puits où je me faisais prendre sauvagement …j’ai dût faire un effort pour revenir a la réalité

- Vous voyez l’ampleur du désastre ?
- Cela ne me fait pas peur mais si vous voulez j’ai deux ou trois copains, ça iras plus vite
- Alors vous commencez dés que vous pouvez !
- Demain matin aux aurores à cause de la chaleur ! nous feront le moins de bruit possible pour ne pas vous réveiller
- Ça me va, a demain, monsieur ?
- Charlie
- Moi c’est Lili, vous pouvez m’appeler ainsi

Une fois seule je me suis mise a gamberger, que vont penser les voisins, même s’ils ne sont qu’a cent mètres, de voir quatre garçons d’à peine dix sept ou dix huit ans chez une jeune veuve ? Celui qui es venu a des yeux de braise qui me transperçaient au-delà de mes vêtements, a propos de vêtement il va falloir que je m’habille plus léger, je sue a grosses goutes, j’ai opté pour une blouse boutonnée devant et bien sûr sous-vêtements indispensables
J’ai mis longtemps à trouver le sommeil, des envies qui m’avaient abandonnées depuis deux ans reviennent me hanter, ma main s’est égarée malgré moi entre mes cuisses.

.. quelle touffe ma vielle tu devrais faire comme au terrain, débroussailler !
A l’aube, a travers les volets la lumière commence à filtrer, des sont inconnus me parviennent, ha oui, c’est certainement ‘mes ouvriers’ ! avec mille précautions, car je dors nue, j’entrouvre un volet de bois vermoulu… quatre jeune éphèbes en shorts, torse nus, épaules dignes de sportifs, suant sang et eau, ont déjà tondu la moitié du jardinet de devant, rester insensible devant de si beau gars n’est pas facile… je vais prendre une douche et en même temps raser ce qui me tient si chaud entre les jambes, mais je doute que ça suffise pour empêcher les gouttelettes que je croyaient taries a jamais, le jet bien dirigé sur ma motte lisse a suffit a me faire jouir malgré mon opposition au plaisir, au fait, ces garçons ont surement soif ou faim ? vite ma blouse …mince ! j’ai oublié mes sous-vêtements ? tant pis ce sera pour plus tard

- Bonjour messieurs !
- Bonjour Lili, nous vous avons réveillée ?
- Pas du tout j’aime profiter de la fraicheur de matin, surtout ici, ça me rappelle un tas de souvenirs
- Je me souviens de vous et votre défunt mari, il était beau, j’étais jeune
- Vous l’êtes encore ! restez ainsi le plus longtemps possible !
- Nous voulons grandir pour connaitre des femmes !
- Ça aussi ça viendras
- Oui mais quand ? !
- Vous êtes tous séduisants, les filles vous tomberont dans les bras, avez-vous faim ou soif ?
- Les deux !
- Alors posez vos outils un moment et entrez vous restaurer

De voir ma cuisine emplie d’hommes bruyant m’a complètement retournée, je ne voyais même les yeux concentrés sur les boutons mal fermés qui laissaient voir mes cuisses et la naissance de ma poitrine, était-ce vraiment un oubli volontaire ?
En buvant leur café ils échangeaient des regards de connivence ponctués de coups de coudes, deux d’entre eux se massaient la braguette, à nouveau j’ai fait un formidable effort pour ne pas ôter ma blouse …heureusement Charlie qui a l’air d’avoir de l’emprise sur eux a compris mon désarroi

- Aller les gars au boulot si nous ne voulons pas mourir de chaud
- Hhhhaaaaaaaaaaaaa dommage
- Déjà ?
- Je serais bien resté un peu avec Lili moi !
- Venez j’vous dis !
- Je vais vous apporter de l’eau fraiche dans un moment les mômes
- Surtout restez comme vous êtes Lili, ne changez rien !
- Vous êtes très belle Lili !
- Vous aller bouger oui ou non ?
- T’es dur avec nous Charlie !

Après ça je me suis précipitée dans la salle de bain, vous devinez pourquoi, …un peu apaisée j’ai repris le ménage de la maison quand plus tard.
..

- Lili ? vous êtes là ? il fait trop chaud, nous finiront l’arrière de la maison demain
- Attend Charlie, nous n’avons pas parlé rémunération
- C’est pas grave
- J’y tiens, ne pars pas j’arrive
- Bon, les gars filez, ont se retrouvent au bistro dans un moment
- Entre Charlie
- Excusez moi Lili je suis tout poussiéreux
- Prend une douche
- Ce n’est pas de refus, montrez moi la salle d’eau

Ce garçon va se mettre nu chez moi … une étrange sensation envahi tout mon être et aussi ma chatte, il ne prend même pas la peine de se renfermer, la porte reste entrebâillée … comme ma chatte …impossible de résister a l’envie de jouer les voyeuses, et je suis récompensée lorsque je vois ce membre entouré de poils brun, et quel membre … il pendouille et roule lourdement posé sur des testicules rondes, l’eau ruisselle sur son corps jusqu’au bout de sa queue, vision dont je suis privée depuis deux ans, du gel douche au creux de sa paume il parcourt toutes les parties les plus secrètes , même et surtout entre ses fesses …plus un bouton ne tient fermée ma blouse, mes doigts viennent se nicher là où ma sève suinte de plus en plus…hélas le garçon termine trop vite, il m’interpelle et je répond d’une voix rendue rauque par l’excitation

- Lili ? LILI ?
- Oui Charlie ?
- Je n’ai rien pour m’essuyer
- Oh c’est vrai, je t’apporte ce qu’il faut

C’en est trop, j’entre sans prendre la peine de refermer mon vêtement, le garçon surpris cache sa virilité avec ses deux mains puis voyant ma tenue légère libère son membre qui aussitôt enfle étonnamment vite, la serviette a la main adossée au lavabo je contemple sans honte le manche qui monte maintenant a l’horizontale, je ne cherche pas a me sauver lorsqu’il ouvre la porte vitrée et fait le seul pas qui le sépare de moi

- Lili …
- Charlie …
- Tu es belle
- Tu es bien bâtit
- Prend ma queue dans ta main …
- Caresse ma chatte …elle est en manque depuis trop longtemps
- Allons dans ta chambre

Je m’assois impudiquement sur le bord du lit, il s’agenouille entre mes cuisses et du dos de la main caresse mon mont de vénus avant que ses doigts n’entrent en action pour finir d’ouvrir ce qui me semble être devenu une véritable crevasse assoiffée de sexe, mon clitoris effleuré ôte mes dernières réserves, je me laisse tomber a la renverse dans la position a laquelle aucun homme ne peut résister, avançant sur les mains il vient au dessus de moi, je n’ai qu’a tendre la main pour me saisir de son sexe collé a son ventre et le guider là où ça me démange

- Pas de préliminaires, j’ai besoin de sentir une verge en moi, enfile-moi d’un coup
- Je vais te pourfendre …tiiiiiiieeeeeeeeennnnnnnn !!!!
- Hhhaaaaaaaoooouuuuuuuuuiiiiiii !!!! tape dans ma chatte petit salaud !
- Accroche toi a mon cou ça va cogner dur

Jamais je n’ai été baissée ainsi, les coups tendres et lents succèdent aux assauts presque douloureux, mon premier orgasme arrose ses parties ainsi que les draps, les va-et-vient sont rendus bruyants par l’humidité ce qui décuple son envie de me faire grimper aux rideaux, j’ai jouis trois fois avant qu’il ne se résigne à m’injecter puissamment son foutre abondant
La tension retombée je n’ose regarder mon jeune amant qui se rince nonchalamment la bite sous le robinet du lavabo

- C’était bien ?
- Heeeu oui bien sûr.
.. excuse moi de m’être laissée aller de la sorte
- Y’a pas de mal Lili, et je considère que je suis largement payé pour mon boulot !
- Mais tes copains ?
- Arrange-toi avec eux …
- Je vais y réfléchir

Comment m’arranger avec eux autrement qu’avec de l’argent ? J’avoue que je ne suis pas riche et ‘l’autre solution’ : le cul, m’angoisse un peu …la nuit porte conseil, au matin, dés leur arrivée je fais signe a Charlie de venir me voir

- Ne me prend pas pour une pute mais finalement s’ils veulent la ‘même chose’ que toi je suis partante
- Te baiser ? ils seront ravis ! ensembles ou séparément ?
- Séparément, je ne me vois pas assaillie par trois hommes à la fois
- Tu as tors mais c’est ton choix, je leur en parle, tu me fais signe lorsque tu veux le premier et lequel ?
- N’importe, je vais sur mon lit, envoie celui que le sort auras élu lorsque les volets seront mi-clos pour protéger ma pudeur
- Bonne bourre Lili !

Je préfère ne pas réfléchir davantage à ma décision scabreuse, je vais m’allonger nue sur le drap sous lequel par précaution j’ai mis une alaise afin de protéger le matelas, mon cœur bat a tout rompre lorsque des pas résonnent dans le couloir, je feins de dormir, les yeux mi-clos derrière mes cils …le jeune s’arrête au pied du lit pour me contempler, il att une cheville pour écarter ma jambe et avoir une vue plus panoramique de mon anatomie, je n’oppose aucune résistance au contraire je replie l’autre genou ainsi il peux jouir de ma chatte comme il le désire, une fois nu et le sexe érigé il monte sur le lit la tête inclinée entre mes cuisses , son souffle chaud confirme ma pensée il veut me brouter le minou, ce qu’il fait maladroitement mais par politesse je feins le plaisir

- Baise-moi …
- Je peux jouir dedans ?
- Bien sur …
- Alors j’y vais, depuis hier je ne rêve que de ça, Charlie dit que tu es bonne
- Charlie est un bon mâle
- Pose tes jambes sur mes épaules …et hop ! tu la sens ?
- Ho oui ! baise moi mon grand, éjacule dans mon ventre
- Muuuuuuummmm ça glisse tout seul, c’est si bon que je ne vais pas tarder à décharger
- Fait moi jouir !
- Toi t’es une bonne baiseuse ! pas comme les petites connes d’ici… ho putain ça vient ….
.hhhhhhoooooouuuuuuuuaaaaaaaaaaaaa

Une éjaculation interminable me remplie la chatte à déborder, à la façon d’une pute je resserre les cuisses et abrège l’accouplement

- C’était bien ?
- Houais super !
- Tu envois le prochain ?
- Il te veut à quatre pattes, moi j’ai hésité, peut être le prochain coup ?
- Non, c’est terminé
- Ha merde ! bon, je vais bosser plus léger ! merci Lili

Je n’ai pas le temps de m’essuyer même pas la fente qui dégouline une fois en levrette, voilà déjà mon second amant, froissement de short qui glisse et le matelas accuse une présence à mon cul, ma raie est écartée pour le plaisir des yeux et un gland frotte mon vagin pour déceler le trou béant créé par la position, un grognement sourd lord de la pénétration brutale qui produit l’échappement peu discret de l’air et du sperme encore accumulé, deux mains agrippent mes hanches, me voila saillie comme un truie que je suis devenue, si mon pauvre mari me voit depuis là-haut que va-t-il penser ? m’aurait-il faite baiser comme il le promettait ? je préfère penser que je lui rend hommage… soudain des doigts fureteurs taquine mon petit trou, un pouce s’y aventure , il ne me fait pas mal donc je laisse faire, bientôt il est élargi et prêt a servir mais ….ah, mon amant se crispe a mon cul, des jets drus fusent sur mon utérus, jusqu'à son départ pas une parole n’a été échangée

- Ah, le dernier veut que tu monte sur lui
- Très bien envoie-le
- Salut a plus

J’attends donc que mon dernier ‘client’ se mette en place, il tient une bite raide pointée vers le plafond, je me décide à l’enjamber et me laisse empaler sans difficultés étant donné l’état de ma moule

- Allonge-toi sur moi … encore, voilà, je veux t’enlacer
- Ne me serre pas trop sinon je ne peux plus bouger sur toi ! mais qui est-ce ?
- C’est nous ! nous voulons terminer en apothéose tous les cinq
- Tu peux nous accueillir par tous tes trous ils sont très accueillants
- Ils sont bien ouverts et bien gras !
- Qui touche mon anus ?!
- C’est moi Charlie laisse toi faire
- Tu es gros, il y a des lustres qu’il n’a pas servis

Submergée par le plaisir je me laisse faire et ne bouge plus le temps que Charlie ajuste son calibre sur ma rosette, dors et déjà j’ai une verge a ma droite et l’autre a ma gauche qui n’attendent plus qu’a être sucées, une brulure intense survient comme si on me déchirait le trou du cul, je serre les dents sachant que ça allait passer et donner suite a un immense bonheur, si mon mari me vois du paradis il va être surpris de mon audace !
C’est mon amant du dessous qui n’est pas à l’aise ! il ne sait ou tourner son visage car je bave intensément et bientôt du sperme va choir sur lui, quand tous le monde a trouvé un rythme raisonnable, je jouis sans interruptions, je vais être remplie de foutre mais vidée physiquement, dans un brouhaha indescriptible ponctués de remarques salaces ils déchargent quasiment ensembles, mes cheveux, mes yeux, mon visage mes seins sont maculés de trainées épaisses sans compter mon entrecuisses qui récupère des litres de sève masculine ,je me retrouve bousculée sur le coté tandis que mes amants se congratulent

- Ont a assuré hein les gars ?
- Ont s’est bien vidé les burnes !
- C’est garce à Martin !

Ce nom a résonné comme un coup de canon dans ma tête … Martin ? serait-ce …. ?

- Excusez moi qui avez-vous appelé Martin ?
- Ben Charlie pardi
- Il a récupéré le même surnom que son père
- Oui c’est vrai, je ne sais absolument pas pourquoi on le surnomme ainsi
- Moi j’ai ma petite idée …
- Mais vous devez le connaitre car il m’a parlé de vous ou plutôt de votre mari, d’ailleurs il ma dit qu’il passerait pour fignoler le terrain avec sa tondeuse
- Ha bon ? …. C’est quand il veut
- Je vais lui dire qu’il passe demain matin

A SUIVRE …….

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!