Rencontre En Partant De Vacances
J'étais en vacance avec mon amie, c'était le dernier jour, on faisait les magasins pour ramener les souvenirs.
Alors que je venais de sortir d'un des magasins, j'entendis derrière moi un homme crier ;
"Mademoiselle, mademoiselle !"
Il courrait vers moi avec mon porte-monnaie à la main, arrivé à ma hauteur, il me le tendit, souriant.
- Vous avez oublié ceci sur le comptoir !
- Oh, merci beaucoup ! Dis-je un peu gênée.
- Tout le plaisir est pour moi !
Il me fit un petit sourire et se retournait reprenant son chemin vers le magasin.
- Il m'a même pas regardée ! Dis mon amie.
- En même temps, il me ramenait juste mon porte-monnaie... C'est gentil, il était plutôt mignon en plus...
- Allais, oublie-le ! On continue !
Je lançais un dernier regard vers moi et je vis qu'il revenait vers moi, son téléphone en main.
- Excusez-moi, c'est un peu maladroit, mais puis-je vous demander votre numéro ?
Ni une, ni deux, je pris son téléphone et je l'enregistrais, je lui souris, fuyant un peu son regard et on reprit notre route.
- Enh, t'excite pas ! C'est encore un qui veut juste te baiser ! La proposition avec moi et mon amoureux tiens toujours hein !
- Tu es trop dégueu... 1. Ton mec ne me plais pas, 2. c'est ton mec, 3. Me retrouver entre vous deux ne m'excite pas et en plus vous voulez qu'il me prenne par derrière à sec...
Une seconde de silence.
- Il faut vous faire soigner !
On reprit notre route et continuait à faire les magasins.
De retour chez nous, j'attendais des nouvelles de ce charmant inconnu, ce qui ne tardait pas à arriver !
On s'échangeait tout ce que l'on pouvait pour discuter, il y a tellement de moyens de discussion à l'heure actuelle !
Il habitait à 30 minutes de chez moi en plus.
On se mit à discuter tous les jours, de tout et de rien, de lui, de moi, parfois brièvement de lui et de moi...
On s'envoyait des photos, espérant toujours se charmer l'un l'autre, parfois c'était des photos où on faisait des grimaces, voir des plus sexy, mais jamais trop osée !
Sur quelque temps, j'en étais bleu ! Un vrai gentil, toujours à m'envoyer une petite pensée, à discuter des heures avec moi.
Alors un jour, je lui proposais que l'on se voie... Évidemment, c'était l'une des rares fois où il ne répondait pas de suite !
Mais la réponse fut plaisante : "Je n'aurais plus tardé à le faire, je m'impatientais... Bien sûr que je veux te voir !"
Et on se donnait rendez-vous le vendredi soir, il m'emmenait au cinéma, puis restaurant.
Mon amie me ressortit le même refrain : "il veut juste te baiser, etc etc.."
Je ne l'écoutais pas, était-elle jalouse ?
Sortie de ma douche, drap autour du corps, cheveux dans un autre, je regardais ce que j'avais dans ma garde-robe.
J'optais pour une robe noire, pas trop courte avec des sous-vêtements assortis, évidemment pas de string, car je déteste cela, mais une petite culotte !
Et la sonnette retentit peu de temps après, j'enfilais mes chaussures et partit lui ouvrit, il resta bouche béé lorsque j'ouvris, lui était en jeans, chemise avec une veste par dessus.
Relax, mais bien !
On rentrait dans la voiture et parti alors au cinéma, on ne cessait de rire, de se lancer des petits regards, arrivés dans la salle, on se mit à moins parler, comme si nous étions tout deux gênés.
Le film commençait, et il me prit timidement la main, nos doigts s'entrent lassèrent.
On ne s'échangeait aucun mot, mais de temps en temps un petit regard accompagné d'un sourire.
Après cela, nous partions au restaurant, très chic, très bon d'ailleurs ! On parlait facilement, de tout et de rien, nous nous lâchions pas du regard !
Les heures passèrent et il finit par me ramener, il me ramena au pas de ma porte.
C'était LE moment !
- J'ai passé une bonne soirée, j'aimerais que l'on remette ça ! Dit-il.
- Moi aussi...
Il s'approchait de moi et me fit un bisou sur la joue.
- Je te fais un message lorsque je suis rentré.
- Tu ne veux pas rentrer deux minutes ?
- Non, je dois me lever tôt demain, travail obligé...
Et je le regardais repartir dans mon allée et rentrer dans sa voiture, me faire un petit signe suivi d'un sourire et partir.
Je rentrais et contactais mon amie, en attendant en même temps son message !
- T'es peut-être pas à son gout ?! Dit-elle.
- Peut-être...
- Tu sais..
- Ah non ne recommence pas ! Dis-je avant de raccrocher.
Et je reçus son message.
"Super soirée ! Il me tarde de te revoir ! Désolé d'avoir du filé... Je t'embrasse."
Et on continuait de parler les jours suivants, mais j'étais frustrée, un peu plus froide, il arrivait pas à libérer pour moi en plus !
Je sortis en soirée avec des amis, et après avoir bien picolée je lui fis un message.
"Viens, me voir..."
Pas de réponse, je refis un autre.
"Tu me manques"
Toujours rien !
"J'ai envie de toi..."
Rien ? Mais ! Je m'offre à lui ! Un tas d'insultes fusaient dans ma tête !
Je partis rejoindre mes amis et danser, des mecs m'accostaient, mais je les dégageais, sauf un...
On finit par s'embrasser au milieu de la piste et à continuer de danser et rester ensemble, on sortit de la soirée.
On allait dans sa voiture et plus précisément sur la banquette arrière.
Je me retrouvais vite en sous-vêtement et même nue d'ailleurs, à sentir ses doigts jouer en moi et puis me demander à le sucer.
Ce que je fis, il n'avait pas un gros sexe d'ailleurs, mais il gardait ma tête au moment de cracher.
Offusquer, je me redressais, sa main sur ma bouche me disant d'avaler, et son autre main se remettant à jouer entre mes cuisses.
Il y descendit, allant s'y amuser avec sa langue... C'était pas mal, mais sans plus.
Lorsqu'il se ressentit puissant assez pour rebander, il enfilait une capote et me pénétra, ça ne dura que quelques minutes.
- Rhabille-toi, je dois y aller ! Me dit-il d'un air presser.
Je me rhabillais, je sortis de la voiture et il démarra me faisant simplement un signe sans même me regarder.
Je me sentais humiliée, je pris mon téléphone et refis un message.
"Connard, je veux plus te parler !"
Et retournais dans la soirée demander à mes amis de me ramener.
Le lendemain, je me réveillais dans mon lit toujours habillée de la veille, j'avais deux messages.
message numéro 1 : "Je dormais, je travail aujourd'hui, sinon j'aurais répondu... J'espère que tu vas bien petite puce" message numéro 2 : "Avoue que t'étais saoule ! J'espère que t'as pas rencontré quelqu'un !" smiley d'un émoticône avec une langue.
Je réponds quoi ? Punaise j'ai honte, les messages que je lui ai fais !? Je lui dis que je me suis faite sautée à l'arrière d'une voiture ?
Non... Il voudra plus me parler, de toute manière j'ai tout gâchée ! Quelle cruche. Je vais attendre son prochain message.
Que je reçus quelques heures plus tard.
"Et bien, tu dois avoir sacrément bu ! Marmotte ! lol"
Je finis par répondre : "Oui, je me sens pas bien... Mal au crâne..."
Pour avoir comme réponse : "Tu veux que je passe t'amener un médicament ? Te tenir un peu compagnie une heure ?"
Quoi ? Mais pourquoi tu veux me tenir compagnie ? Je me suis faite sautée par un inconnu alors que tu dormais tranquillement !
Pourquoi tu demandes ça maintenant et pas hier ?
"Non, je vais aller me recoucher ça ira mieux demain"
Mais ça n'allait pas mieux, j'étais plus distante, plus froide, il le remarquait et après quelques jours me fit la remarque...
J'avais honte je montais sur mes grands chevaux et provoquait une dispute, c'était ma seule échappatoire, une échappatoire de lâche.
On ne se parlait plus.
Ma meilleure amie me disait que c'était mieux et que sa proposition tenait toujours.
C'était quoi son problème à elle ?
C'est peut-être avec elle que j'aurais dû me disputer.
J'en parlais avec une autre amie, elle, elle n'avait pas spécialement de chance en amour, mais y croyait dur comme fer.
Après m'avoir écoutée, sur ma relation avec lui, lu ses messages, elle me certifiait qu'il m'aimait vraiment bien.
Et elle me conseillait de lui dire la vérité, qu'il ne devait pas se sentir coupable et non plus être blessé juste parce que je fuis.
Mais j'avais peur, et elle le savait, elle me proposait d'écrire le message et que je l'envoie si je le souhaitais, qu'elle restait à côté de moi.
"Coucou, je m'excuse pour notre dispute... J'aimerais t'expliquer, lorsque l'on s'est vus, j'ai espérée qu'il se passe plus entre nous, je voulais être avec toi ! Ça ne s'est pas fait, c'est pas grave, car je savais que tu étais sincère mais j'y pensais de plus en plus, stressais et m'impatientait ! Quand je suis sortie, j'ai bu, je t'ai fais des messages sans penser à l'heure, sans penser à toi qui devais dormir, juste parce que je ne pensais qu'à toi ! Seulement, j'ai fais une bêtise, je suis partie avec un mec... T'as pas besoin de détail et tu dois surement m'en vouloir, j'ai honte, mais je voulais être sincère avec toi, j'espère que tu me pardonneras. Je pense à toi !"
Après l'avoir lu, je l'envoyais, je n'eus pas de réponse.
Lendemain non plus, surlendemain non plus.
J'en eus un 4 jours plus tard.
"Je suis déçu, ton message est sincère, mais je saurais plus..."
Je répondis, lui demandant de lui sonner, mais pas de réponse.
Je le revis 2 ou 3 jours plus tard connecté sur l'ordinateur, j'allais lui parler, je voyais qu'il voyait, mais ne répondait pas !
1. Stp !
2. Je m'excuse !
3. Je suis folle de toi !
4. J'aurais pas du !
5. Putain je dois faire quoi ?
Je pleurais.
Je ne sais combien de messages plus loin je lui dis !
- Je te laisserais me prendre par-derrière pour te montrer que c'est toi que je veux !
C'était écrit, c'était envoyé et même lu.
Il savait que c'était hors de question d'aller là, j'avais écrit je ne sais pas combien de phrases d'excuse, et c'était mon dernier recours.
J'étais désespérée !
- Tu veux me donner ton cul pour que je te pardonne ?
- Sil n'y à que ça... Oui...
- Tu n'as vraiment pas fait attention à la personne que je suis.
- Tu veux quoi alors ?
- Tu veux donner ton cul ? Alors dans une heure, attends moi derrière ta porte à quatre pattes nue, ton anus élargi.
- Sérieusement ?
- Tu verras par toi-même, tu as une heure. Et il se déconnectait.
Je partis dans la salle de bain, pressée, mais stressée à la fois !
J'abaissais pendant et culotte et commençait à faire des tours avec mon doigt autour de mon anus avec le lubrifiant.
Je poussais mon doigt petit à petit faisant des grimaces et essayant d'y aller avec un second, je finis par me "doigter" le cul.
Je me sentais mal, honteuse, et j'avais des douleurs à mon cul !
Je tournais les clés de la porte afin qu'il n'ait juste qu'à l'ouvrir et me mis à 4 pattes dans mon couloir, ma tête penchée sur le sol, les fesses en l'air.
Attendant, "impatiemment" qu'il vienne me sodomiser.
L'attente était longue, j'avais mon téléphone à côté de moi, je regardais l'heure, si j'avais pas un message.
Je fis un message.
"Je suis prête"
Pas de réponse, surement conduit-il !
Un second.
"Stp, je suis mal à l'aise, et je suis mal mise..."
Toujours rien.
L'heure était passée de plus d'une demi-heure, je me remis à pleurer et je sonnais à mon amie qui me dis de passer chez elle.
Je me rhabillais et y partit.
En pleure tout le trajet, ça ne changeait pas chez elle, je lui expliquais tout en pleurant.
- Donc, t'attendais qu'il vienne t'enculer, tu t'es élargis le cul pour, mais tu ne veux pas faire des choses avec ton amie et mon homme ?
- Mais je suis folle de lui !
- Nous on t'aurait pas fait ça.
- Pardon, t'es toujours là pour moi..
- Embrasse-moi. Me dit-elle.
Ce que je fis, elle me caressait, je n'osais la toucher, elle me retirait mes vêtements un par un, j'étais nue, à me faire caresser par mon amie.
Elle me fit me relever et me mettre à quatre pattes sur sa table de salon pour voir mon trou dilater.
- Stp, j'ai honte...
- Il à raté quelque chose ! Ne bouge pas !
- Oui...
Elle partit et revint moins d'une minute après avec son homme, je me bougeais de la table et partit me cacher derrière le fauteuil.
- Non, replace-toi, je veux qu'il voie ça !
- Stp !
- Allais, tu dois montrer ce chef d'oeuvre.
Elle vint me prendre la main, et me remit en position, qu'est-ce que je faisais ?
Il était derrière moi et regardait.
- Écarte un peu tes fesses avec tes mains. Me dit-il.
Ce que je fis, honteuse.
- Quel cul, quel petit trou ! J'ai bien envie de le défoncer !
- Hey, mais avant je veux quelque chose ! Dis mon amie.
- Quoi ? Demandait-il.
- Viens près de moi. Me dit-elle.
Je me relevais fuyant du regard son compagnon et une fois debout face à elle, elle appuyait sur mes épaules pour me faire me mettre à genoux.
Punaise, non, elle allait me faire la lécher.
Mais elle me tendit son pied.
Embrasse-les.
Impuissante, de toute manière petite salope que j'étais, je me mis à le faire.
- Lèche !
Je passais avec ma langue sur ses pieds, elle me rentrait ses doigts de pied dans la bouche, je les suçais.
Son mec semblait apprécier le spectacle.
- Demande-moi l'autorisation pour qu'il te remplisse le cul.
- Stp...
- Allais, t'es excitée, je suis sur !
Ce nétait pas faux, mais pas à cause de lui...
- Allais, demande.
- Acceptes-tu que ton mec me prenne par-derrière ?
- Non, demande ça comme une petite chienne, supplie-moi!
- ...
Elle me regardait amusée, je dis alors :
- Stp, laisse-le me remplir le cul comme la petite salope que je suis !
- C'est un peu mieux, remet toi en place pour voir si ton trou de balle lui donne envie.
Je me remis en place.
- Ça fera l'affaire ! Dit-il en crachant sur mon trou.
Je sentis son sexe, dur, se mettre contre mon anus et pousser, et s'enfoncer progressivement pour le sentir contre mes fesses.
Il me prit par les hanches et mit une claque sur ma fesse droite.
- Tu vas gémir.
Il se mit à faire des vas et viens, lent au début plus rapide par la suite, il avait raison je gémissais et je pleurais même.
Assez vite, il vint en moi, je le sentais me remplir et il se retira, s'essuyant contre mon cul.
Il partit de la pièce et mon amie se mit devant moi, alors que je ne bougeais plus, j'avais les larmes qui avaient coulées, j'avais l'anus qui brulait.
- Que t'es belle ainsi.. Me dit-elle passant sa main sur mon visage.
Elle m'envoyait prendre une douche et les rejoindre dans le lit.
Je me fis prendre par son homme, elle me prit avec ses jouets, j'étais leur jouet...
Au petit matin, je sentais plus mon corps, ou plutôt je le sentais partout.
Je partis de là, et après deux jours, je décidais de ne plus parler à mon "amie".
Je fis un message au garçon, lui disant que je l'avais mérité et que je n'oublierais pas la personne formidable qu'il était malgré tout.
On ne se reparlait plus, ni avec mon amie, ni avec lui.
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