La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1008)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°1007) -
Il préféra sessuyer sur mes joues, alors que du foutre était encore entre les commissures de mes lèvres buccales
Puis une routière sapprocha alors. Elle était plutôt rustre dans son allure avec des cheveux courts et de grosses joues rouges et devait approcher les 100 kilos avec de gros bras de camionneuse et une poitrine qui devait être énorme. Elle détacha ma laisse, mattrapa par les cheveux et memmena jusquà une table de pique-nique. Elle me souleva, me donnant mal à lintérieur du crâne, pour que je mallonge sur un des bancs qui lentourait. Elle me chevaucha le visage, me plaquant sa chatte sur ma bouche et tandis que je mappliquais à la lécher pour lui donner tout le plaisir que je pouvais, elle attrapa la chaine qui reliait mes pinces et samusait à la tirer vers le haut au fur et à mesure quelle sentait les vagues de plaisir monter, marrachant des larmes qui se mêlaient sur mes joues avec la cyprine de la camionneuse. Au moment où elle jouit sans ménager ses longs cris de plaisirs, je découvris que cétait une femme fontaine quand mon visage fut abondamment inondé de sa mouille, et en même temps que jaurai hurlé de douleur si ma bouche navait pas été occupée car la tension dans mes tétons et mes lèvres intimes devenaient quasiment insupportable. Cependant, cela alimentait mon côté masochiste, et si elle navait pas joui si fortement, si elle nétait pas restée « ventousée » sur moi, on aurait également pu entendre le puissant orgasme que javais eu quasi au même moment que ses longs cris jouissifs...
Trois hommes, qui faisaient route ensemble, cherchèrent une branche darbre assez longue dans les alentours. Lun deux sabsenta et revint avec une grosse pelote de cordelette. Ils mattachèrent chaque poignet à une cheville quils attachèrent à la branche et me placèrent sur le plateau de la table. Lun deux menleva sans la moindre précaution le rosebud qui mencombrait lanus et mencula aussi sec jusquà la garde en me pilonnant à un rythme incroyable comme sil navait pas baisé depuis longtemps et quil était en manque de sexe, tandis que les deux autres se partageaient les deux orifices restants.
Lhomme qui mencula me remis le rosebud sans ménagement enfonçant ainsi son sperme plus profond dans mes entrailles. Une femme et deux hommes attendaient leur tour. La femme monta sur la table, sagenouilla au-dessus de moi, ordonna que jouvre grand la bouche et se mit à uriner, ne cherchant même pas à viser ma bouche et marrosant allègrement tout en me traitant de tous les noms insultants et humiliants puis elle mordonna de lui lécher sa chatte afin de lui servir de serviette hygiénique. Les deux hommes me détachèrent alors de ma branche darbre, me firent descendre de la table, exigèrent que je reprenne ma position initiale, à genoux, et ils exigèrent de se faire sucer. Alors jobéissais passant de lun à lautre. Parfois javais les deux bites à la fois dans la bouche. Mais aussi quand jen sucer un, lautre frappait mes joues avec sa queue bandée. Ils finirent par se branler devant ma poitrine jusquà ce que leur jus sortent et me couvre les seins et le ventre
Lorsque Walter, qui navait rien perdu de ce qui cétait passé car il sétait placé derrière une baie vitrée, revint à ce moment-là, il échangea des poignées de mains avec tous ceux qui avaient profité de moi ou qui étaient restés simple spectateurs. Jentendis de vives félicitations me concernant et des nombreux remerciements de la part des routiers. Puis chacun repartit à ses affaires. Le Majordome alla à la voiture et en revint avec un long imperméable quil exigea que je passe et il me remit le bandeau. Il avait également un sac dans lequel il mit le tailleur. Puis il mentraîna jusquà la station qui comprenait un coin douches.
- Nous nallons pas tarder à repartir car nous avons encore de la route à faire, mais si vous voulez profiter de cette salope, vous pouvez la baiser, alors ne vous gênez pas ! sexclama Walter
Le gérant avait un sourire vicieux et de grands yeux gourmands tel un prédateur voulant se jeter sur sa proie
Jétais restée penchée en avant les bras accoudée aux larges lavabos, ma tête dans une vasque et exhibant ainsi mes jambes bien écartées et surtout mon fessier et ma chatte car Walter avait relevé la jupe de mon tailleur et il ne fallut que quelques secondes au gérant pour défaire sa ceinture, sortir sa verge déjà durcie à la vue de mon cul et il senfila par derrière dun trait entre mes lèvres intimes, me labourant à grands coups de boutoirs. Il me prit les hanches de ses mains pour saider à mieux senfoncer en moi, alors que je magrippais aux robinets des autres vasques de lavabos de chaque côté de celle où javais la tête enfouit.
Toujours le bandeau sur les yeux, je compris que nous étions arrivés dans une ville au bruit dun camion poubelles qui sarrêtait pour repartir plusieurs fois pour quelques mètres... Je descendais de la voiture et me laissais guider par le Majordome dans une rue qui semblait déserte, au peu de bruit que jentendais, ou du moins celui qui me parvenait semblait lointain. Juste après avoir ouvert une porte, il me dit de faire attention car il y avait une marche à descendre. Puis, après quelques pas, il stoppa. Il menleva mon bandeau. Je me trouvais dans un bureau, je ne savais pas où. Walter mindiqua alors des vêtements qui se trouvaient sur une chaise et quil mordonna de passer, pour lui remettre le tailleur que je portais. Je mis alors une mini-jupe protégeant à peine mes orifices en cuir rouge, un mini top noir très décolleté, se rapprochant presque du soutien-gorge, tellement il y avait peu de tissu, des bas noirs auto-fixant, et des chaussures à talons aiguilles d'une dizaine de centimètres également rouge.
- Bien, maintenant que tu es correctement habillée en pute, dit-il avec un sourire carnassier, tu vas te rendre comme tu pourras à l'adresse qui est écrite sur le papier qui se trouve dans la petite poche de ta jupe. Tu attends d'être dehors pour regarder. Mais avant que tu ne sortes, penches-toi donc sur le bureau, que j'assortisse encore un peu plus la couleur rouge de ton derrière avec celle du vêtement qui le recouvre.
Il n'eut pas besoin de retrousser ma jupe, rien que le fait de me pencher en avant la remonta automatiquement ! Je reçus une volée de fessées pendant de longues minutes, et très vite je sentis ma peau chauffer. Pour vérifier mon état d'excitation, il passa sa main entre mes lèvres intimes, me pénétra de quelques doigts, me pinça et me tira mon clitoris si sensible, manquant provoquer chez moi des gémissements que je retins de justesse. Il s'essuya les doigts sur mes cheveux, effaçant toute trace de ma mouille qui s'y trouvait. Puis il ouvrit une porte du bureau où nous nous trouvions qui donnait directement dans une petite ruelle. Je ne savais absolument pas à quoi m'attendre, je ne savais pas dans quelle ville je me trouvais, et je n'avais pas d'argent en poche. Mais vue ma tenue, je pensais ne pas devoir avoir trop de soucis à obtenir les renseignements dont j'aurai besoin, si tant est que j'accepte de donner de ma personne
Mais pour obéir au Maître, jaurai accepté de me donner à qui le voudrait
(A suivre
)
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