Vide Couilles Au Beverley
VIDE COUILLES AU BEVERLEY
Enfin, je peux reprendre mes excursions en camping-car et aussi retrouver l'envie d'écrire
Je suis toujours à la recherche de lieux chauds, n'hésitez pas à me communiquer ceux que vous connaissez.
Merci à ceux qui apprécient mes textes, je leur souhaite une bonne jouissance. (Quant à ceux qui ne font que rechercher une faute d'orthographe je leur signale qu'il y a sur ce site une centaine d'autres auteurs)
Note : dans mes récits, les pénétrations se font avec des préservatifs même si je ne le redis pas à chaque fois.
Je suis donc dans ce cinéma : le Beverley à Paris (souhaitons qu'il vive encore longtemps pour notre plaisir)
Nous nous plaçons dans un rang central, mon maître sassoit et mordonne de me déshabiller totalement. Honteux et anxieux je me dévêt complément, je sens tous les regards tournés vers moi, je suis très visible en plein milieu de la salle, mon maître me fait rester debout quelques minutes avec interdiction de me cacher avec mes mains, puis je me suis assis à côté de mon maître, nu, les mains dans le dos. Rapidement de nombreux voyeurs, bien souvent la queue à la main, nous entourent. Même certains tenant et branlant leur voisin Mon maître me couche sur ses genoux et me demande de sucer les queues qui se présentent devant mes lèvres et m'oblige à en boire tout le jus. Je ne dois les relâcher que lorsquelles ont retrouvé leur propreté initiale.
Mon maître profite de ma nudité pour me maltraiter les tétons ainsi que le sexe, ce nest que pincement des bouts, étirements de la bite et compressions, élongations des boules. Je suis dans un état second, les queues se succèdent dans ma bouche, mempêchant de gémir. La douleur et le plaisir se mélangent pour mon plus grand bonheur. La douleur devient plaisir .De temps en temps il pose sa main derrière ma tête et moblige a avaler toute la bite qui me bloque alors la gorge, il me tient ainsi jusqu'à la limite de l, jai des hauts le cur, des larmes coulent de mes yeux, la bave coule de mes lèvres .
Quand je sens des mains sur mes fesses, des mains qui les écartent, des doigts qui caressent mon petit trou. Trop de mains pour que ce soit seulement celles de mon maître. Les doigts commencent à me fouiller sans beaucoup de précaution ni de douceur. Je ne suis plus que la salope offerte et mise à leur disposition. Mais heureuse dans mon rôle, nest ce pas la ce que je souhaitais être. Je supporte la douleur qui doucement devient plaisir. Je ne sais pas combien de doigts me pénètrent mais ils glissent de mieux en mieux et je sens mon cul souvrir. Entre deux queues mon maître me met ses doigts dans la bouche pour y récupérer de la salive et avec il me lubrifie le cul .
Puis il me dit « allez maintenant que tu es bien prêt, passons au stade suivant »
Il me fait mettre debout et me plie sur le dossier du siège qui est devant moi je me retiens sur les accoudoirs, la tête en bas et le cul bien en lair. Il mouvre largement les jambes. Je nai plus honte, je ne sens plus la douleur je suis dans un deuxième monde, je nattends plus que des bites dans ma bouche, dans mon cul, je vais devenir vide couilles, mon rêve.
Un homme sinstalle entre mes jambes, je sens son gland glisser dans ma fente a la recherche de ma rondelle. Jessaye de me détendre mais ma position est difficile à tenir, dautant plus quun autre est venu devant et me relevant la tête me baise la bouche.
Celui de derrière senfonce complètement dans mon ventre après quelques aller retour je le sens à peine, il ne doit pas être trop large, il jouit assez vite, se retirant il me laisse toutefois une impression de vide. Très peu de temps pour avoir des impressions de manque car un autre prend sa place. Bizarre je sens du froid sur mon trou, il est en train de me mettre du gel pour lubrifier, tiens pourquoi ? Ouf !!! Celui la est bien monté et je le sens passé, il est doux mais ferme et pousse régulièrement. Jai limpression quil va mexploser le fondement.
Il se retire, je suis pantelant écroulé sur le dossier, deux autres viennent encore menculer cest bon mais ils ne parviennent pas a memmener au plaisir que je recherche.
Je suis complètement vanné, je me laisse glisser à terre et mallonge entre les sièges, sur le sol. Après un moment de récupération, mon maître me conduit aux toilettes ou je peux me rafraîchir et reprendre mes esprits.
Nous retournons a notre place, jy retrouve mes vêtements et me rhabille, mon maître est assis et il me félicite disant être content de moi, et sortant sa queue il rajoute « noublies pas de me remercier ». Jai mis tout mon art pour le sucer et boire son jus.
Puis nous sommes sorti du cinéma, dans lallée, un homme ma arrêté et ma roulé une pelle en me disant « tu es une bonne salope, reviens vite nous voir »
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