Marie Ma Nouvelle Voisine - 18 - Samedi Soir (Fin)

Le dessert terminé, je propose un digestif à mes invités pour conclure le dîner et me lève pour aller chercher des verres et la bouteille de cognac. Je pose la bouteille d'alcool sur la table puis un verre devant Hervé, Laurent et moi.

Marie – Étonnée que vous m'ayez oubliée, vous toujours aussi galant, je m'exclame :

« Et moi, Monsieur Cello, je n'ai pas le droit à un digestif ? 

Cello : Pour toi Marie, j'ai prévu un digestif spécial « petite salope ».

Et saisissant le verre de sperme, je le place devant toi et dit :

« Tiens ma jolie, ce digestif préparé avec amour comme tu as pu le voir sera plus bénéfique pour ta santé qu'un cognac.

Puis je regarde Hervé et lui dit :

« Tu sais que c'est une chance que Marie aime le sperme, car c'est très bon pour le teint et je crois savoir que ça a des vertus médicinales, pas vrai Laurent, toi qui est docteur, tu dois savoir cela ?

Laurent : Oui tu as tout à fait raison Cello, riche en protéine il est très nourrissant. C'est aussi un excellent antidépresseur et anti vieillissement et de plus ça contribue à prévenir le cancer du sein. Pour être efficace il faudrait que Marie boive un mélange de plusieurs spermes différents régulièrement. En plus, une éjaculation faciale lui donnera un jolie teint.

Cello : Tu vois Hervé, même le toubib le dit. Marie doit avaler du sperme plusieurs fois par jour pour être en bonne santé. Il va falloir donc lui en fournir tous les jours et même plusieurs fois.

Herve : Heu... Oui je ne le savais pas, si c est pour son bien, alors pourquoi pas ».

Marie : Je regarde Hervé et lui dit :

« Oui mais chéri, il va falloir de grosse quantité a dit Laurent, et toi tu éjacules de petite dose et puis tu es absent toute la semaine ».

Laurent intervient et dit : 

« Je peux trouvez parmi mes clients des donneurs sains en plus de Cello qui sera ravi de nourrir Marie ».



Hervé ne comprenant pas que pour cela sa femme devra sucer beaucoup de partenaires semble ravi de la solution trouvée.

Cello – Prenant mon verre de cognac, je dis :

« Bien et maintenant cul-sec ! Puis regardant Marie j'ajoute :

« Ça fait longtemps que le tien ne l'est plus ! Ça va te changer ! »

Nous vidons aussitôt notre verre, sauf Marie qui attend que nous la regardons pour se lever et saisir son verre.

Cello – Je lui tends alors une petite cuillère et lui dis :

« Mélange bien, car les trois spermes n'ont pas tous la même consistance ».

Marie – Je prends la cuillère que vous me tendez et mélange consciencieusement les spermes dans le verre, je sens la consistance, le mélange est très épais. Puis je retire la cuillère et vous dit voila c est fait.

Cello : « Et bien maintenant lèche bien la cuillère avant de déglutir le verre petit cochonne ».

Marie - Je m exécute, et commence à lécher la cuillère, puis je me.tourne vers Hervé et lui dit :

« Et bien donc mon amour tu sais, c'est encore meilleur quand il.y a plusieurs spermes différents. Mummh, c'est trop bon ! »

Puis je le porte au niveau de mon visage, fais tourner le liquide dans le verre, puis porte le verre à mon nez, sens le breuvage, comme le ferait un œnologue avec un bon vin, puis je mets le verre au bord de mes lèvres et d'un trait je verse son contenu dans ma bouche. La bouche pleine de foutre, je fais rouler celui-ci dans ma bouche comme le ferais un professionnel du vin et avale enfin le précieux nectar avant d'ouvrir en grand ma bouche pour bien montrer à mes spectateurs que j'ai bien tout avalé.

«  Mummh mon chéri c'est vraiment très bon. Puis je m'empresse de finir le verre. Et je me met à racler le verre avec les doigts pour ne pas en perdre une goutte.

Cello – Alors que tu viens d'avaler la totalité du contenu du verre et que tu t'appliques à bien lécher les bords du verre, nous t'applaudissons pour ta prestation, applaudissement que j'accompagne du commentaire :

« Tu mérites vraiment de titre de plus belle salope de la région,

Marie : « Merci Monsieur Cello pour votre compliment »

Cello – « C'est sincère ! »

Marie : «Monsieur Laurent combien de sperme différent il me faudrait, et combien de fois par jours?

Laurent réfléchis quelques secondes.
Herve n'en revient pas, et attends de voir ce que Laurent va dire, mais il craint le pire, malgré cela ça, il continue d'être excité, car il a une belle bosse dans son caleçon.

« Au moins trois différents et si possible trois fois par jour, l'idéal serait de pouvoir à chaque fois les mélangés comme ce soir.

Cello - Et me tournant vers Hervé, je lui demande :

« Alors Hervé as tu toujours envie de me voir baiser Marie devant toi ? »

Surpris par la brutalité de ma question, Hervé bafouille avant de répondre en baissant la tête que « oui » il a envie de me voir baiser Marie, ne pensant qu'à réaliser son fantasme.
Marie - Vous lui dites qu'à partir du moment ou vous me prendrez, vous aurais la liberté de disposer de moi comme il vous plaira, n'importe quand et n'importe où, et devra obéir à toutes vos demandes.

Cello : « Et toi Marie tu es aussi d'accord ? »

Marie – Faisant semblant d'hésiter, je réponds .

« Puisque Hervé a envie de vous voir me faire l'amour, je veux bien pour lui faire plaisir »

Quel hypocrite je suis ! Je n'attendais que cela, me faire prendre ici devant Hervé et votre ami et vivre enfin ma relation perverse avec vous sans me cacher, ni d'Hervé, ni même de mes voisins, en toute impunité.

Cello : « Puisque tout le monde est d'accord, fou toi à poil et danse »

Marie – Surprise que vous décidiez immédiatement de faire valoir vos droits sur moi, je reste assise à vous regarder sans bouger, bouche bée.

Cello : « Qu'attends-tu pour obéir ? Que je te punisse ? 

Marie : Sans répondre, je me lève le plus rapidement possible de ma chaise et debout je déboutonne ma jupe qui tombe à mes pieds. Je me baisse et ramasse le vêtement que je pose sur une chaise libre ou se trouve déjà mon corsage. Puis je contourne la table pour venir vers vous, lorsque vous m'arrêtez.

Cello : « Où vas-tu ? Vas au milieu de la pièce et danse, je veux te voir te trémousser et te caresser, afin de me chauffer.
Montre-moi que tu es une bonne salope et que tu mérites que je te prenne par tous les trous devant ton mari et mon ami.

Marie – C'est les larmes aux yeux d'être ainsi rabaissée, mais aussi excitée que vous me traitiez de « salope » devant mon mari que je commence à me trémousser sur le slow que vous venez de lancer sur votre chaîne hi-fi.

Je commence par me trémousser en prenant mes seins dans mes main, toujours en bougeant mes hanches, je caresse mes seins, puis je me penche en avant pour les faire pendre et bouger avant de me redresser et de saisir les pointes pour les faire s'entrechoquer l'un contre l'autre, ceci en vous regardant dans les yeux pour bien vous montrer que c'est pour vous que je danse et m'exhibe ainsi. Puis je me tourne pour offrir à votre regard mon cul. Je caresse mes fesses et m’accroupis pour bien vous montrer mes fesses que j’écarte en me redressant pour bien vous montrer mon œillet. Je reviens face à vous, mes mains remonte sur mes hanches jusqu'à mes seins que je malaxe et pétrie avant de redescendre sur mes hanches, mes cuisses et une main remonte sur ma poitrine alors que l'autre main va vers mon sexe. Je m’accroupis de nouveau et je fais passer mes doigts sur et entre mes lèvres intimes trempée de cyprine avant de me redresser. Toujours en dansant, je m'approche d'une chaise et passe ma jambes par dessus le dossier pour poser mon pied sur l'assise et frotter ma chatte contre le dossier du siège jusqu'à la fin du disque.

C'est sous les applaudissements de Laurent enthousiasmé par mon « spectacle » que je viens vers vous en vous regardant dans les yeux dans l'attente de votre prochain désir.

Cello – Tu t'approches du canapé où je me suis assis pour regarder ta prestation. Je t’att par le bras et te dis :

« Prends moi entre tes nichons et branles moi! »

Marie – Je m'exécute immédiatement et je m'agenouille entre vos cuisses et baisse votre caleçon, découvrant votre sexe à demi dresser, mais déjà plus imposant que celui d'Hervé ou même de Laurent.
Je crache alors sur mes seins plusieurs fois pour les lubrifier et j'entoure notre queue que je commence à branler doucement. Petit à petit j'augmente la cadence, passant parfois le bout de ma langue sur votre gland. Lors que vous êtes bien excité, vous vous allongez sur le divan et m'ordonnez :

Cello : « Allez ma pouliche, viens me chevaucher »

Marie - J'obéis et vous enjambe en vous tournant le dos. Je reçois aussitôt une grosse claque sur la fesse droite.

Cello : « Non ! Mets toi dans l'autre sens, car je veux mater tes mamelles, qui tressautent dans tous les sens pendant que tu me chevauches ».

Marie – Je modifie aussitôt ma position et je commence à sauter sur votre bite, qui me remplis bien la chatte en me tenant le torse bien droit pour que vous puissiez admirer mes obus bougés au rythme de ma cavalcade.

Cello – Voir tes seins bougés dans tous les sens, m'excite encore plus et je bande encore plus fort.

« Allez ma pouliche, au galop ! »

Marie - J’accélère la cadence, mon plaisir est décuplé, car mon mari et Laurent nous mate et je sais que ça les excites. Puis pendant que je prends mon pied sur votre grosse bite je dis à Hervé :

« Oh Mummh ah mon chéri, ah je suis désolée mais c'est trop bon, oh monsieur Cello... Oui... Encore... Oh quelle grosse bite ! Encore.

Cello - Tu accélères la cadence et pour te stimuler je commence à te gifler les seins. Mes gifles sont de plus en plus forte, t'encourageant à augmenter le rythme. Épuisée par une première jouissance, tu t'écroules sur mon torse, le visage dans le creux de mon épaule, les seins écarlates Je profite de ta position pour te caresser la joue d'une main pendant que de l'autre, je caresse ton fessier, ta raie culière et glisse un doigt puis deux dans ton fondement.

Marie - Puis, vous me rouler une pelle tout en continuant à me doigter le cul, mes râles de plaisirs se font bien entendre et je fais en sorte de vous faciliter l'accès à mon cul en me trémoussant sous vos doigts.

Herve a les yeux écarquillés, car je lui ai toujours refuser de passer par la, même avec ses doigts. Mais cela ne l’empêche pas de sortir sa bite de son caleçon et de se branler en nous matant. Laurent fait de même.

Oui alors que vous me câlinez d'une main, je sens que vous caressez mon cul et que vous investissez mon petit trou d'un doigt suivi rapidement d'un second, ce qui me procure un deuxième orgasme encore plus fort que le premier

Cello – Je te laisse récupérer quelques instants en te câlinant, avant de te demander de te mettre à quatre pattes sur le canapé.

Marie – Je vous obéis, espérant juste ne pas recevoir une fessée, que je ne mérite pas. Très vite, je suis rassurée lorsque je vous sens vous placez derrière moi, que vos mains saisissent mes fesses et les écartes et que vous me crachiez sur l'anus. Je devine que vous allez me sodomiser et n'ose regarder Hervé, sachant que je lui ai toujours refusé ma pastille. La tête et la poitrine appuyées contre l'assise du canapé, vous me relevez les fesses et me demandez d'écarter celles-ci. Vous placez votre gland contre mon œillet. Je sens celui-ci me forcer. Puis d'un coup de rein, vous m'embrochez jusqu'aux couilles. J'ai l'impression d'être déchirée . Ça me brûle, puis la douleur se mélange au plaisir et rapidement je n'éprouve que ce dernier.

« Oh mon dieu, que c'est bon d'être enculée par votre grosse bite ».

Quand vous voyez que je vais de nouveau jouir, vous ralentissez vos vas et viens dans mon cul et vous commencez à le claquer en augmentant la force des coups et en alternant à chaque fois, fesse gauche, fesse droite. Lorsque vous sentez que la douleur est forte et le plaisir moins intense, vous recommencez à me pilonner l'anus et ce, plusieurs fois.

Marie - Puis vous dite à Laurent de venir me donner sa bite à sucer pendant que vous m'enculez sans ménagement.

Laurent, ne se faisant pas prier, se place devant mon visage, et m'enfonce sa bite dans la bouche, et je le suce et le lèche suivant la cadence de vos coups de butoir, jusqu'à ce que vous éjaculez dans mes entrailles. Je reçois à ce moment comme une décharge électrique et jouis de nouveau, puis Laurent sort sa bite de ma bouche et m'asperge le visage de foutre, ça coule même sur mes gros nichons, tout en me.disant :

« Tient salope ! Une bonne dose de sperme pour ton teint et surtout avale bien le tout.

 Marie : « Oui merci monsieur Laurent je vais tout avaler ».

Puis vous rétorquer :

Cello : « Quand tu aura fini de te régaler avec son sperme, il faudra que tu récupères ma purée dans ton cul pour la boire.

 Marie  : « Heu... Oui heu...D'accord monsieur Cello, Heu... Comment je fais pour ça, c'est que je n'ai jamais heu... Enfin fait ça?

Cello : « Herve apporte une assiette à ta femme pour quelle puisse faire dégouliner mon sperme que je lui ai foutu dans le fondement, quand je lui ai défoncée son cul de salope.
En attendant Marie viens nettoyer nos queues , il reste encore du sperme et applique toi bien grosse cochonne.

Marie : « Heu ... Oui très bien monsieur Cello je vais bien m'appliquer, c'est que je ne veux pas en perdre la moindre goutte. J'adore tellement ça. Ce serai dommage de gâcher..

« Laurent pour éviter que mon sperme coule de son œillet, prend un bouchon de champagne et bouche lui le cul avec pour ne rien perdre en attendant qu'Hervé arrive avec l'assiette ».

Laurent étonné par ma demande, saisit un bouchon qui traîne sur la table, et le met dans sa bouche pour le lubrifier, et dis à Marie :

Laurent : « Marie écarte bien tes fesses que je te bouche le trou de balle ».

Marie – J'écarte mes fesses espérant que je suis suffisamment dilatée par votre grosse queue pour recevoir le bouchon sans trop souffrir. Laurent place le bouchon contre ma pastille et pousse l'objet pour le faire entrer. Il force et le bouchon entre sans trop de difficulté dans mon cul, colmatant parfaitement mon orifice.
Hervé toujours la bite à main, excité par la situation, se lève sans broncher et va à la cuisine chercher une assiette.

Marie - Vous me dites des mots crus, et me traiter de salope devant Hervé et cela m'excite au plus haut point, que j'exécute tout ce que vous me dites sans broncher. et je me met à racler mon visage avec mes doigts afin de récupérer tout le foutre et je me délecte de ce nectar en léchant mes doigts consciencieusement. Puis je prends mes seins à pleine main et les porte un à un à ma bouche et les lèche jusqu'à en récupérer la moindre goutte de sperme puis je me les tête. 

Cello – Hervé revient de la cuisine avec une assiette, il s'approche de nous et dit :
« Où je la place ? »

« Pose l'assiette sur la table, et aide Marie à monté sur la table, et de se mettre accroupie au dessus de l'assiette »

« Marie écarte bien tes fesses et laisse couler le sperme dans l'assiette »

Marie – Accroupie au dessus de l'assiette, je retire le bouchon de mon cul et et écarte mes fesses en poussant pour expulser toute votre crème.

Cello :- Je demande à Hervé de t'aider à maintenir ta position pendant que tu fais couler le sperme de ton cul. Comme tu as reçu une sacré dose dans le cul, tu as besoin que quelqu'un te mette un doigt dans le cul  pour récupéré le tout, et c'est bien sûr à Hervé que je demande de te mettre un doigt et t'encourage à tout récupérer

Marie – Quand j'ai expulsé toute vos crème de mes entrailles, aider en cela par mon cocu de mari, vous me félicitez, puis vous me dites de s'asseoir sur ma chaise et de lécher l'assiette. 

Cello - Je décide de pousser ta soumission un peu plus et je te dit :

« Marie, ça ne va pas du tout, pour une grosse chienne en chaleur comme toi, il faudrait que tu te mettes à 4 pattes par terre et que tu lèches comme une chienne que tu es.

Marie : Je suis déçue que vous me traitiez de la sorte, mais cela m'excite tellement que je m'exécute, et vous dit :

« Heu... Oui très bien Monsieur Cello tout ce que vous voudrez ».

Je remonte sur la table, à quatre pattes, les seins pendant, la croupe relevée et les cuisses ouvertes. Je m'apprête à lécher le récipient, quand vous me dites :

« Lèche d'abord les doigts d'Hervé, ensuite tu nettoieras le bouchon en le mettant dans ta bouche et ensuite tu astiqueras l'assiette ».

Obéissante, je prends la main d'Hervé et mets ses doigts qu'il a mis dans mon cul, dans ma bouche et les suce consciencieusement avant de prendre le bouchon et de le porter à ma bouche. Je le garde une bonne minutes dans ma bouche, avant de le ressortir baveux mais propre de toute trace de foutre. Je plonge ensuite mon visage dans l'assiette et racle toute votre crème avec la langue, nettoyant parfaitement le récipient.

Hervé qui bande encore me demande alors :
« Cello, tu permets que je me soulage sur le visage de Marie ? »

J'accepte la doléance d'Hervé et celui-ci s'approche de Marie toujours à 4 pattes, se branle encore quelques secondes avant de maculer le visage de sa femme en la traitant de sacré salope et de grosse pute.

Alors qu'il se rhabille, ainsi que Laurent je lui dis :
« Je garde Marie une heure environ pour qu'elle me fasse un peu de ménage, et qu'elle se douche, elle ne peut sortir dans cette état ».

Hervé acquiesce et une fois revêtu, il quitte la maison en compagnie de Laurent.

Cello - Une fois seuls, je te dis : « Allez ma salope range vite la cuisine et ensuite va te laver, car tu pues le foutre à 15 mètres.

Marie – Honteuse et humiliée, je me dépêche de ranger la cuisine en remplissant le lave-vaisselle, mettre toute les bouteilles dehors dans le baquet prévu à cet effet, passe un coup d'aspirateur, retire la nappe que je mets dans le bac à linge et me dirige vers la salle de bain.

Cello – Je t'ai laisser tout faire, sans te dire un mot, te regardant t'activer ce qui avait pour effet de remuer tes grosses mamelles et lorsque tu passes près de moi pour aller te laver, je t’att par le bras et te dis :

« Ne ferme pas la porte, je vais venir te nettoyer les trous »

Marie : « Bien Monsieur Cello »

Cello – Lorsque je rentre dans la salle de bain, tu as déjà fait ton shampooing et tu es en train de laver ta poitrine. Je rentre dans la douche, et te dis :

« Pendant que tu laves tes gros pis, écartes tes cuisses, je vais nettoyer ta chatte et ton cul ».

Marie – Tout en continuant à masser et savonner mes seins, j'écarte les jambes. Vous vous approcher de moi, de côté et mettant du savon liquide dans vos mains, vous commencez à frotter ma chatte d'une main et mes fesses de l'autre, puis vous investissez mes orifices en mettant trois doigts dans mon sexe et deux dans mon anus. Si vous me nettoyez l'intérieur de mes orifices, très vite vous commencer à me branler la chatte et le cul, jusqu'à me faire jouir une nouvelle fois et je m'écroule dans le bac de la douche exténuée.

Cello – Avec tout ce que j'ai bu et le contact de l'eau, j'ai une envie soudaine d'uriner. En te voyant coucher en chien de fusil dans le bac de douche, j'ai envie de t'humilier une nouvelle fois et te faire connaître une nouvelle perversion, aussi je prends ma queue en main et te pisse dessus.

Marie – Surprise, je veux protester, mais vous profitez que j'ai la bouche ouverte pour me rincer le gosier, puis vous me relevez, m'aidez à me lever, me rincer avant de me passer votre peignoir et me séchez.

Cello – Vous retirez ensuite le peignoir et alors que je suis nue, vous me dites :

« Allez dépêche toi de rentrer chez toi ma chérie ! »

Marie : « Ma robe n'est pas encore sèche et les vêtements que je portais pour la soirée sont trop juste .
- Tu n'as pas besoin de l’habiller, puisque tu vas te recoucher dès que tu vas arriver chez toi. 
Mais, je ne peux tout de même pas sortir nue pour rentrer chez moi.
Et pourquoi pas, à cette heure, tout le monde dort, tu ne risques pas de rencontrer beaucoup de monde et puis il te faut maintenant assumer ton statue de « salope ».
Vous croyez ? Bon, puisque vous le dites »

Marie – Je vous donne un baiser et m’apprête à rentrer chez moi lorsque je vous dis :

« Mais je n'ai pas de clé !
T'inquiète, je ne pense pas que cette fois-ci, Hervé a fermé la porte à clé.

Rassurée je vous quitte et rentre chez moi, nue. Je me presse de parcourir la trentaine de mètres qui sépare nos maisons et rentre chez moi, sans encombre, et vais me coucher près de mon cocu de mari endormi.

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