Christine Et Ses Tenues

Les tenues de Christine

Christine, belle femme, grande, brune, aux formes bien rebondies et appétissantes, aimait porter et inventer des tenues afin d’offrir sous ses meilleurs jours ses charmes aux hommes et femmes. Elle avait beaucoup d’imagination et d’inventivité pour mettre en valeur son corps et son intimité
Je vais faire un petit inventaire de ses tenues et de leurs usages: jupes, robes, shorts, dessous, pantalons etc. Cela pourra donner des idées et des envies.
- Ses jupes ?
Souvent courtes, en jean, en cuir (ou skaï), elle aimait, dès que les saisons et le temps le permettaient, en porter. Aux genoux, à mi-cuisses voire franchement quasi micros. Larges en général, faciles à trousser. Bien sûr elle ne portait pas ses micros n’importe où. Soit elle prenait un taxi pour aller chez des amis, soit elle les portait chez nous lorsque nous recevions. Elle adorait s’offrir aux regards (pas seulement, mais aussi aux caresses etc.) ; les minis, elle les portait plus volontiers, même dans les transports en commun où elle aimait exciter les voyeurs, écartant plus ou moins les jambes, les croisant ou décroisant dans des poses souvent indécentes. Il lui est même arrivé, parfois avec moi, alors qu’il y avait affluence de se faire toucher sous sa jupe de façon intime par la main inconnue d’un vicelard dont elle avait apprécié les envies. Ca lui plaisait, à moi aussi.
- Ses robes ?
Légères, décolletées, elle ne portait jamais de soutien-gorge, ses seins étaient suffisamment fermes. Courtes souvent, plus longues mais fendues, zippées ou boutonnées sur le devant ou le derrière. Elle jouait des boutons, remontait le zip selon les lieux et moments. Correcte en apparence et indécente selon les circonstances. Elle en jouait à son travail où ses collègues, et surtout ses chefs, appréciaient ses tenues dont elle savait s’amuser et r.
- Ses shorts ?
Hum ! De deux sortes : en cuir et en jean, de deux coupes : large ou étroite.

C’est elle qui les faisait à partir de vieux pantalons qu’elle découpait. Petit short en jean bien large, assez court, mais apparemment correct (cuisses ouvertes sur une plage ou ailleurs, elle laissait voir facilement ses dessous), ou bien très court, porté sans rien dessous, rentré dans ses fentes – délicieux spectacles pour voyeurs lors de soirées bien chaudes.
En cuir, pareillement.
(Une anecdote racontée par Christine. Un soir, dans une boîte j’avais justement mis mon short large en cuir et fait la rencontre d’un type lui aussi en short en cuir. Je n’ai pas tardée à lui passer la main dessous et tandis que je m’amusais avec ses belles couilles j’ai senti une main qui s’étant introduite sous mon short commençait à me tripoter. Déjà bien mouillée cette situation ne fit qu’accroître mon excitation. J’entendis à mon oreille des mots bien crus : salope, pisseuse, pute… pendant que je continuais à branler l’autre. Nous avons fini tous les trois dans la back room. On a baisé. J’étais comme une chienne en chaleur devant ces deux grosses bites.)
- Ses dessous ?
Jamais de collants, parfois des bas auto-fixants. Ses culottes ou strings toujours de coton blanc. Culotte genre Petit Bateau, en coton côtelé, douces à toucher et bien absorbantes, parfois un peu larges et souvent retouchées pour être plus étroites entre les cuisses. Même chose pour les strings en même matière. Christine, sous mes impulsions et en fonction aussi de ses envies, aimait souiller ses dessous. Ils étaient toujours mouillés (cyprine abondante, pisse, salive et parfois foutre…) Elle aimait passer pour une pisseuse.
Un soir elle décida de sortir (mini en cuir petite culotte…). Elle était déjà bien humide, elle rentra toute trempée. Sa culotte témoignait de tous ses excès (combien d’hommes, de bites, de langues, de mains ? plusieurs très certainement…)
- Chaussures ?
Toutes sortes, lorsque c’était possible des bottes, souvent à talons, hautes, voire très hautes.
Bottines, escarpins… tout en fonction de ses tenues et des circonstances.
- Pantalons ?
Des jeans souvent bien moulants, portés sans rien en dessous de façon à bien rentrer dans les sillons de son cul, de sa chatte et à l’exciter.
Un jour elle me fait la surprise de me montrer ce qu’elle avait fait avec un vieux jean : elle avait découpé largement l’entre cuisses afin de bien dégager son intimité. Comment le porter, sortir avec ? Elle avait trouvé la solution en mettant une minijupe assez étroite en jean qui cachait ce qu’elle avait dessous. Sage à l’extérieur, en apparence (même très sage du fait de sa jupette qui la revêtait), en fait très salope. Quand elle sortait avec ce jean je savais qu’elle avait des idées luxurieuses. Elle l’avait même mis un jour pour aller au travail. Personne n’avait rien vu.
J’espère que ce petit catalogue aura donné des idées à toutes celles qui aiment jouer de leur apparence, exciter les regards, susciter les envies… A toutes les débauchées réelles ou qui rêvent de le devenir.

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