Son Prénom Est Plaisir...
Je peux affirmer que je me suis masturbé pour la première fois à 13 ans. Depuis, jai toujours eu un goût immodéré pour ce plaisir que lon dit solitaire. Même marié et satisfait dans le domaine des rapports sexuels, je nen ai pas moins continué à me branler. Depuis peu, je vis seul et cela ne fait quaccen mon vice.
À ce penchant sen ajoute un second, voyeur. Oui, jaime apercevoir, entrevoir, non pas en regardant des exhibitionnistes, mais en comptant sur la chance et le hasard pour pouvoir satisfaire mon goût pour les petites culottes entrevues. Je dois dire quen ce domaine je suis plutôt chanceux, et je ne puis résister à lenvie de vous raconter mon dernier « coup de chance », qui fut particulièrement bandant et qui ma procuré un plaisir extrême.
Lors de ma première rencontre avec mon avocat pour mon affaire de divorce, jarrive dans le cabinet avec quelques minutes de retard. Je donne mon nom à la réceptionniste à laccueil. Elle eut un large sourire avant de roucouler.
- Oui, vous allez prendre lascenseur face à vous et monter au deuxième étage. À votre arrivée, une secrétaire vous accueillera et vous accompagnera jusquau bureau de maître X.
Une femme, dont la grosse bouche semble faire la moue mais aux yeux dun très beau bleu, maccueille à ma sortie, et demande dans un souffle :
-Monsieur X ?
-Oui, cest bien moi, répondis-je
-Maître X vous prie de lexcuser, il est retenu par un rendez-vous à lextérieur. Il vous demande de bien vouloir lattendre. Si vous voulez bien me suivre.
Elle virevolte, et je découvre une chute de reins incroyablement cambrée, soulignée par la jupe tendue à craquer. Le léger balancement achève de me donner le vertige. Elle ne peut pas ignorer leffet quelle me fait. Arrivée dans un bureau, elle prend place sur une chaise, se tortillant pour croiser des jambes charnues, tant sa jupe est serrée. Jen ai la bouche sèche.
Elle minvite alors à masseoir sur une chaise face à son bureau.
Jai la curieuse sensation quelle se doute que je la regarde. Mon regard ne quitte plus le galbe de ses jambes. Je nai quune envie, glisser ma main entre ses cuisses. Sous ce bureau, lunivers a changé. Je nai plus en face de moi, une secrétaire mais un sexe, un minou que je meurs denvie dexplorer.
Je mattarde. Je profite du loisir de scruter ses jambes. Elle se met tout à coup à les croiser. La lumière du jour fait apparaître un léger tissu blanc. Un string en fine dentelle qui surmonte des bas de couleur chair et sensuels. Je me mords les lèvres pour ne pas lâcher un cri de surprise et denvie. Elle me regarde. A-t-elle deviné leffet quelle me fait ? Sait-elle que lespace dune seconde, jai dévoré des yeux sa petite dentelle sous sa petite jupe ? Je reste interdit. Ses moindres gestes sont rivés à mes yeux. Mon rêve prend le dessus sur la réalité.
Je la vois, elle esquisse un sourire. Soudain, ses mains descendent jusquà sa jupe et, dun mouvement vif, se glissent dessous pour ressortir aussitôt, entraînant le mince bout de tissu ce qui aussitôt captive mon regard. Lentement, elle le glisse jusquà ses genoux et le laisse continuer sa course le long de ses fins mollets avant de sarrêter sur ses petites chevilles qui surmontent de jolis escarpins noirs.
Dun geste preste elle dégage un pied, et de lautre fait tournoyer cette fine dentelle. Un coup ! Et le mince voile de tissu blanc file à travers la pièce pour atterrir à deux mètres à droite de ma place. Jai chaud. Sans un mot, elle écarte ses cuisses pour que je profite du spectacle que ses doigts moffrent. Une vue imprenable sur son con, complètement offert !
Face à un tel spectacle, je ne peux résister.
Je me concentre sur le sujet qui fait que je suis là aujourdhui, assis sur cette chaise, déviant par la même occasion mon regard, mais rien ny fait, je sens le sien. Insistant et tentant. Jai beau insister, le seul spectacle qui sinscrit dans mon esprit est le sexe de la femme face à moi, trempé et largement ouvert. À nouveau, je jette un il, incapable de résister. Le tableau qui soffre à moi est impensable. Une secrétaire modèle absorbée sur son ordinateur, mais en dessous, les cuisses largement écartées, le bassin ondulant en arrière. Cest une vraie débauche sexuelle que je découvre et qui enflamme mon bas-ventre.
La garce enfile à présent son doigt dans son minou. Ressort et replonge à nouveau, laissant apparaître à chaque pénétration un mince filet de mouille qui sécoule de son antre. Je relève la tête et croise son regard. Il est couronné dun sourire espiègle et dun regard soutenu semblant me dire : « La balle et dans ton camp mon chéri ».
Soudain, une sonnerie se fait entendre dans mon cerveau arrêtant court ma rêverie. Je maperçois brusquement que tout cela nest quillusion, que la secrétaire est sagement derrière son bureau. Pour attester sil sen faut les quelques doutes qui persistent encore, mes yeux se portent à lendroit où doit se trouver normalement la petite culotte, mais il ny a rien. « Mon pauvre Alain »
À la deuxième sonnerie, la secrétaire se met aussitôt à gigoter. Elle décroche le combiné de téléphone et je lentends dire.
-Oui !
La conversation fut brève et la femme repose lappareil sur son socle. Un homme de taille moyenne pénètre quelques instants plus tard dans le bureau, et me serre chaleureusement la main.
-Je suis désolé de vous avoir fait attendre ! Vous ne vous êtes pas trop ennuyé ? Voulez-vous bien me suivre, sil vous plaît.
Je mexécute et la précède jusquà son bureau.
Une heure plus tard, je fais le chemin inverse. Il me raccompagne jusquà la porte. Malheureusement pour moi, la secrétaire est partie.
Besoin de quelques courses, je marrête au supermarché. Poussant mon caddie, je maventure dans les allées, quand surprise, japerçois la secrétaire du cabinet davocat qui saffaire dans le rayon des conserves. Je mengage à la croiser. Elle me fixe quelques instants et, me reconnaissant, elle me sourit. Soudain, je la vois battre des paupières, voulant tirer une chose de sa poche, elle fait tomber un paquet de mouchoirs. Sans plus attendre, elle se met à éternuer à trois reprises.
Dans un réflexe, elle saccroupit aussitôt, ma galanterie moblige à faire de même, et là ce fut un magnifique spectacle. Sa petite culotte ne cache pas grande chose de son anatomie et je distingue nettement des mèches de poils séchappant sur les côtés de la bande de tissu blanc. Bonheur ! Moi qui ai horreur des minous chauves ou juste soulignés dune virgule de quelques poils, je suis gâté !
Je suis dans lincapacité de détacher les yeux sur le spectacle offert ! je brûle denvie dy fourrer la main. Je suis médusé, pétrifié, scotché par cette vision bandante. Une érection spontanée déforme mon pantalon. Je mempare avant elle du paquet et me redresse.
Que va-t-elle faire ? Mon sexe a un tressaillement au moment où, relevant la tête, elle saperçoit de ma gêne. Elle rougit, se redresse visiblement dèçus, reprend possession du paquet et de son caddie et fuit. Je me lève à regret.
Je finis mes emplettes, toujours avec une trique pas possible. Je me presse de sortir pour calmer ma libido. Après avoir chargé ma voiture, je remets le caddie à son emplacement initial au moment où la secrétaire ramène le sien. Nos yeux se croisent. Je ne peux mempêcher de lui dire.
-Je mexcuse pour ma réaction très masculine, mais ce nest pas contrôlable.
Elle sourit en me disant :
-Après tout, cette réaction est parfaitement naturelle.
Elle a tout de même conscience que le spectacle quelle ma involontairement offert en était la cause. Ne manquant pas dhumour elle ajoute :
-Jespère pour vous que votre femme, ou votre amie, sera là pour vous guérir.
Insolente, la petite, mais futée. Je lui réponds :
-Je suis en instance de divorce. Cétait pour cela mon rendez-vous avec maître X.
-Mais alors ? réplique-t-elle.
-Alors ? Je vais men dépatouiller seul.
-Vous voulez dire que vous allez vous
? souffle-t-elle, sans toutefois oser finir sa phrase.
-Cest cela, répondis-je. Je vais me branler.
Elle me tient alors ce langage stupéfiant.
-Je me sens coupable, même involontairement, de votre délit. En conséquence, je vous dois réparation. Ne voulant pas trahir mon époux, je vous propose le prêt de ma main. Si vous le désirer, je vous invite à aller jusquà ma voiture. Ses vitres teintées nous mettront à labri des regards.
Je laccompagne à son véhicule, nous nous installons à larrière.
Elle parait encore plus troublée que moi. Je cherche sa bouche. Ses lèvres à peine fardées souvrent sous mon baiser, nos langues se mêlent. Elle se laisse faire, toute molle.
Allongé sur elle, je fis à laveuglette, dune seule main descendre sa petite lingerie. Je touche la touffe épaisse, déjà collante de mouille. Mes doigts effleurent la fente ruisselante, bordée de lèvres proéminentes. Les bras refermés autour de mon cou, elle ne soccupe que de ma bouche, comme pour me faire comprendre que je peux mintéresser à tout le reste.
Tremblant dimpatience, je déloge ma queue de mon pantalon, lempoigne, loriente entre ses cuisses ouvertes. Mon gland se fraye un chemin entre les nymphes, elle ne résiste pas. Au contraire, elle souvre, tendant le ventre en avant. Dedans, elle est étroite. Quand ma queue la pénètre, elle pousse un gémissement plaintif. Et tout son corps sagite de frissons.
Je pèse sur elle pour menfoncer plus avant dans le vagin. Elle tient la tête penchée de côté, pour éviter de croiser mon regard, mais elle me frôle les fesses du bout des doigts, mincite à poursuivre mes pénétrations. Angoissé par la perspective dêtre repéré sur le parking, je me presse de jouir. Je me mets à aller et venir très vite dans le con resserré.
Quand elle comprend, au rythme précipité de mes coups de queue, que je suis sur le point de jouir, elle a une surprenante réaction. Elle referme ses jambes et ses bras sur moi, empêchant mes mouvements.
-Non
non, il ne faut pas !
Je suis trop excité pour marrêter. Dun violent coup de reins, je loblige à souvrir de nouveau. Elle pousse une plainte rauque quand ma verge heurte le fond de son vagin. Vaincue, elle sabandonne au va-et-vient de mon sexe dans le sien. Je sens mon membre se crisper, projeter de longs jets de sperme.
Une fois apaisé, elle cambre les reins pour me pousser à me retirer. Elle na pas joui. Je me sens coupable du plaisir que javais pris sans elle. Elle reste cuisses ouvertes, les petites lèvres encore écartées sur la fente dégorgeante de sperme et de mouille.
-Excuse-moi, javais trop envie !
Elle laisse passer un temps puis répond dune voix très douce :
-Ce nest rien. Cest notre première rencontre. On se revoie au-moins ?
La main sur la poignée de la portière, je la regarde, lui adresse un sourire.
-Pourquoi pas.
-Cétait bon ? me questionne-t-elle
-Merveilleux, répondis-je en ajoutant : pourrais-je savoir ton prénom ?
-Plaisir. Parfaitement, mon nom est Plaisir.
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