La Punition Des Exhibitionnistes
Cétait un soir dété, nous avions déjà bien chaud ma femme et moi.
Des idées nous trottaient en tête et trouvèrent concrétisation dans le trajet qui nous ramenait de la plage.
Cela faisait déjà quelques kilomètres quElo co-conduisait la voiture à laide de mon levier de vitesse intime et que je fouillais son petit puit damour en alternance avec des caresses sur ses seins que javais dénudé. Ceci navait dailleurs pas échappé à quelques routiers qui nous lavaient fait savoir. Mais bon, bien que légèrement exhibitionnistes, nous ne sommes pas partageurs, aussi cest une fois que nous eûmes mis de la distance entre eux et nous que nous décidâmes de nous arrêter sur une aire dautoroute où nous avions nos habitudes de gentilles exhibitions.
En effet celle-ci est bien conçue et il faut vraiment avoir quelque chose de bien précis à faire pour effec ce grand contournement et quasiment sengager dans le sous-bois bien loin du bloc sanitaire.
Je coupe le contact et incite Elo à se pencher plus avant sur lobjet de son désir, en profitant pour relever sa robe et caresser sa croupe diabolique. Ce qui est excitant sur cette partie de laire de repos cest quil ny a pas de lumière à lextérieur, aussi la moindre lumière dans lhabitacle met en évidence ce qui sy passe alors quon ne voit pas ment ce qui se passe dehors.
Ce nétait pas la première fois que nous nous prêtions à ces jeux et, si nous navions jamais formellement vu qui se trouvait derrière la fenêtre et les portières bien closes, nous avions bien entendu quelques grognements qui nous laissaient à penser que des bêtes sauvages trainaient dans le coin. Du genre à dire des « ohhhh la saloppe » et à tartiner la vitre dElo de bon sperme bien chaud.
Reprenons : Elo est à genoux sur son siège, croupe vers la fenêtre et seins à lair tournés vers moi, en train de me lécher délicatement le bout du gland, avant de menfourner en entier dans sa tendre gorge que jaime tant.
Je la doigte obligeamment, ne souhaitant la laisser démunie quand le plaisir sera venu, dautant que je sens que ça bouge à lextérieur et quil semble que nous intéressions quelque hardi promeneur qui doit bien se rincer lil.
Quand tout dun coup un flash ! Oh lenculé ! Il rompt les codes de discrétion qui président à des moments partagés entre couples coquins et voyeurs délicats : il photographie le cul de ma femme.
Dun bond je sors du véhicule furax (après être sorti de la bouche dElo), prêt à lui faire effacer ses photos, quand juste au moment où je sors on me fait tourner sur moi-même et on me colle le front contre mon SUV : « attentat à la pudeur sur une aire dautoroute fréquentée par des s, ça va vous coûter cher mon vieux ! »
.la douche froide !
Je vois que de lautre côté un autre gendarme a fait sortir Elo (et oui, jai déverrouillé toutes les portes en sortant comme un con), toujours seins nus, et la place dans la même position que moi sans quelle ait put se rajuster.
« on nous avait signalé votre présence, heureusement quil y a encore des gens pour qui la morale compte ! Allez, suivez nous jusquau camion on va dresser le procès-verbal »
Ce faisant ils nous réunissent, toujours à moitié nus, ce que je leur signifie : « mais enfin, laissez nous nous rhabiller au moins ! »
« Pas question : flagrant délit, on ne touche pas aux éléments de preuve tant que la procédure nest pas enregistrée. »
Elo est en panique, mi nue devant ces mastards, mais à la fois rassurée car ce sont des flics.
« Tinquiète chérie, on risque pas grand-chose »
« Silence ! » mintime sévèrement le gradé, et ils nous asseyent face à face sur les banquettes du camion, Elo du côté des gendarmes et moi de lautre.
Il saisit alors la radio de son véhicule : « unité 2 pour maraudeurs : on a intercepté un couple dexhibitionniste au PK 114, on applique la procédure standard. Ok bien reçu maraudeurs »
« Allez on commence : noms, prénoms, professions
ah ? ah ben cest du propre ! »
Lhumiliation est sévère, je commence à flipper sérieusement mais je tente de nen rien montrer à Elo pour ne pas la paniquer.
Pour me sortir de ma peur je la regarde et me rends compte de la situation : assise craintive les mains dans le dos, ses seins provoquants en avant et sa jupe dété remontant largement sur ses cuisses, elle est dune sensualité absolue. Ma grosse bite qui était devenue vermicelle reprend un peu dallure devant cette scène surréaliste : nus immobilisés face à des gendarmes zélés sous la faible lumière du plafonnier du trafic !
Elle répond patiemment aux questions du gradé pendant que son sous fifre nous regarde alternativement, il remarque mon début de résurrection et reste impassible même sil me semble entrcevoir un sourire discret sur ses lèvres.
« Alors, les faits : à hauteur du point kilométrique n°114, nous nous rendons sur laire sur indication de témoins bienveillants qui etc
Nous y trouvons effectivement à lintérieur de type SUV de marque Renault un couple en pleins ébats sexuels peu recommandés pour des s. Elo baisse la tête
Alors que le monsieur est déboutonné exhibant un sexe de taille - euh Roger de quelle taille ? Moyenne chef dit ce dernier en me voyant reprendre de la vigueur nous, brigadiers dûment assermentés constatons également létat de quasi nudité de sa compagne : en effet, celle-ci arbore une poitrine - comment la poitrine Roger ? je dirais un 90B chef en regardant et soupesant un des seins dElo dune de ses mains ! »
« Eh !! Faut pas vous gêner dis-je ! »
« Attention mon ptit gars, loutrage nest pas loin, je vous conseille de nous laisser faire notre travail, on sait ce que lon fait ! »
Je baisse la tête à mon tour, entendant alors la conversation reprendre :
« Tu mas dit quoi pour la taille de la poitrine, Roger ? Euh attendez chef et cette fois dempoigner carrément les deux seins dElo de ses grosses mains, de les soupeser voire même de les malaxer légèrement : 90B chef, à nen pas douter, ils ont une bonne tenue » dit-il en les relâchant enfin.
Elo est tétanisée, ne dit pas un mot, je crois même lavoir vue frémir légèrement, probablement de peur.
« Ensuite, les tétons ? Je jette un il sur les tétons dElo, il ne va quand même pas faire ça ? Si : le gendarme att alors directement les deux tétons dElo entre ses doigts, aidé en cela il faut dire par leur érection naissante, probablement le froid ?
Il les fait rouler entre ses doigts de manière parfaitement symétrique, dabord doucement puis plus franchement, finissant par tirer franchement dessus !
Jentends Elo pousser un petit cri et mapprête à intervenir, mais je ne suis plus sûr que celui-ci fut de douleur : après le cri vient un soupir et je vois les jambes dElo sécarter sans quelle sen aperçoive.
Le brigadier lui sen est visiblement aperçu, son pantalon règlementaire étant sensiblement déformé là où vous pensez.
« Suffit Roger, nabîme pas les preuves, alors ces tétons ? »
« Doux et fermes à la fois chef, bien bandés, on pourrait crever lil dun curé avec ça ! On dirait que ça excite Madame de sexhiber sur les autoroutes ! »
« Elle en subira les conséquences ! »
Cette menace qui avait clairement fait flipper Elo tout à lheure ne semble plus avoir le même effet sur elle : elle me regarde par en dessous, son regard brillant bien trop pour quelquun qui a peur de la sanction judiciaire
De mon côté que la situation la situation devient intenable : un mec, sous prétexte de vérifications administratives, pelote ma femme devant moi, et au lieu dêtre en colère je suis en érection ! Pour le dire plus clairement jai une gaule denfer qui na pas pu échapper à Elo. Jai la queue tremblante, une envie furieuse de me branler mais mes mains sont toujours attachées dans mon dos.
« Bien, on na pas vu que ça Roger ? »
« Non chef, moi jai bien vu son sexe à cette dame, et si je lai vu tout le monde aurait pu le voir ! »
« Ok, description de lobjet du délit Roger, tel quon la vu en situation dans sa voiture ».
« Bien chef ! », et de relever Elo, de la faire mettre à 4 pattes sur la banquette, cul tourné vers son supérieur.
« Jécoute Roger »
« Oui chef »: en écartant les fesses dElo. « On est en présence dune chatte typiquement moderne chef, épilée à 80 %, il ne reste quun petit duvet sur le pubis (dit-il en passant sa main dessus, ce qui fait frissonner Elo), le reste est bien dégagé. On dirait quelle est assez humide chef ».
« Précise Roger, la procédure ne souffre pas dà peu près : mouillée ou pas ? »
Le gendarme entre alors, devant mes yeux médusés, deux doigts dans la chatte dElo, qui pousse un profond soupir, et il entame quelques va et viens.
« Attendez chef, je vous précise. »
« Vas-y Roger, applique toi, tu sais que je suis à cheval sur la procédure ! »
« Je vérifie partout chef » et de tourner ses doigts à lintérieur dElo pendant quil les fait aller et venir.
« Chef je vous confirme elle est mouillée, et même, pour être plus précis, elle est trempée ! »
Le brigadier observe encore un instant son subordonné doigter ma femme, faisant mine de taper son « rapport ». Prise dans le sien, Elo commence à couiner et à aller vers les doigts du gendarme. Mon érection est douloureuse.
« Ok Roger, on a assez déléments de contexte, on va passer à la reconstitution, rassieds la dame ! »
Hein, quoi, la quoi ?
« Roger tu fais le monsieur, moi je fais les victimes ».
« Ok chef » et de sassoir à hauteur de la tête dElo, après lui avoir délié les mains.
« Alors, comment ça sest passé ? Monsieur vous nous dites et Madame nous démontre
»
Donc là clairement, je dois dire au type ce quElo ma fait, et elle doit lui refaire à lui ?? Cest dune perversion ! Ca veut dire que je vais « ordonner » à ma femme de sucer un autre ???
« Euh, je
euh
»
« Soyez précis Monsieur, on ne comprend rien ! »
« Euh, on roulait sur lautoroute et
»
Le gendarme fait mine de tenir un volant
«
et ma femme avait laissé sa main trainer sur ma jambe »
Sans attendre le moindre ordre, Elo dépose sa main sur la jambe du flic qui commence à bander
« et, euh
.elle ma caressé la jambe, puis le sexe par-dessus mon pantalon »
Là je viens de donner laccord à Elo pour quelle caresse le gars, mais je crois quelle nen avait pas besoin, sa main ayant quasiment anticipé ma phrase : je la vois ainsi poser sa main sur la bosse formée sur le pantalon du flic, jai du sperme qui commence à séchapper doucement de mon gland : je jouis doucement, sans me toucher, pas par saccades puisque je ne laide pas, mais du sperme coule de mon bout
.
« Et ensuite ? »
« Ensuite, euh, ben moi jétais excité
»
« ça texcite Roger ? «
« Oui chef ! »
« Alors je lui ai dit quelle mexcitait et que pour que ce soit plus commode elle pouvait sortir mon sexe de mon pantalon »
« Tu mexcites chérie, sors ma queue » dit le flic à Elo
Ce moment est surréaliste, on dirait que cest moi qui me fais caresser alors que ma queue men fait mal de ne pas lêtre, et en plus cest moi qui donne les directives !!
Alors Elo tire doucement sur la braguette de luniforme règlementaire et apparait une queue de belle taille, encore enfermée dans le caleçon. Elo regarde le flic dans les yeux
« Sors ma queue chérie je tai dit ! »
Alors Elo obtempère et va chercher lanimal sous le tissu. Elle sort un engin encore calotté, assez long mais surtout épais. Et me regarde : que vais-je lui dire de faire maintenant ?
« et, euh
.elle a commencé à me branler doucement avec une main
. »
Alors Elo commence à faire aller et venir sa main sur la verge de cet encore inconnu il y a une demi heure, devant mes yeux fascinés par le spectacle. Lentement elle tire de plus en plus vers la base de lengin et finit par mettre à jour un gros gland violacé. Une fois ceci fait, elle commence à accélérer son mouvement, sa main prenant à chaque fois toute la mesure du sexe du flic.
Comme un automate, et vu quil y a la place, je mentends dire
« et puis lautre main
. » ce qui est une légère déformation de la réalité : sur la mienne ya pas la place pour deux mains. Comprenant ce qui est en train de se passer dans ma tête, Elo se tourne vers moi et me souris. Elle adresse un petit baiser à ma queue en pleine érection, avant de se tourner et de mettre sa deuxième main sur la bite du flic.
Celui-ci se cale alors dos contre la banquette, je suis le mouvement :
« alors on sest arrêté parce que je ne pouvais plus conduire
»
« Et cest là quelle sest mise à genoux sur le siège passager ? » dit le chef que javais momentanément oublié. Me retournant vers lui, je maperçois quil a sorti sa bite de son falzar et se touche doucement devant le spectacle.
« euh
oui, cest ça, et elle
..ma pris dans sa bouche ! »
Cest bien moi qui ai dit ça ??
Alors Elo se met à genoux sur la banquette, la chatte sous le nez du chef, elle y passe dailleurs nerveusement sa main, comme pour se soulager dune trop grande tension, et att la queue du flic quelle commence à laper consciencieusement, avant de lengloutir, tout au moins la partie quelle peut.
Le chef observe consciencieusement la chatte qui danse devant ses yeux et lance à son acolyte :
« Ouvre la fenêtre Roger »
Ce dernier, qui commence à perdre un peu pied avec la pipe dElo, comprend néanmoins le message et fait mine de déverrouiller la fenêtre côté conducteur : « dzzzzzz ».
« Le problème avec ces inconscients dexhibitionnistes, cest quil ne se rendent pas compte du danger quils encourent : ils ne savent pas sur qui ils peuvent tomber pendant leurs pratiques déviantes ».
Il se lève alors et ni une ni deux il enfile Elo directement, bien au fond !
Surprise et jouissant dexcitation, celle-ci pousse un grand « oui !! »
« imaginez ce qui peut se produire quand on fait ce que vous faites ainsi, vous pourriez vous faire violer, heureusement que les forces de lordre sont là ! », tout cela en étant bien au fond.
« allez, répétez après moi : je/ne /dois/pas/sucer/mon/mari/sur/laire/de/repos » et à chaque mot un va et vient, et il revient taper au fond du sexe dElo.
Alors Elo essaie de répéter, mais la grosse queue du flic len empêche :
« ve/ne/goit/pa/fufer
. » et à au dernier mot elle jouit comme je ne lai jamais vu jouir : « repoooooooohhhhhhhhhh oui ! oui ! oui !
Le chef en profite pour lui claquer les fesses à coup de violentes gifles, une punition bien méritée
.
« et encore là ce nest rien dit-il : imaginez quils soient plusieurs et que votre mari ne puisse vous défendre » me désignant toujours entravé avec du sperme qui coule en continu de ma bite surtendue : « Roger ! »
Tel un manège bien réglé, le gendarme sallonge par terre à mes pieds, embarquant Elo et linstallant à califourchon au-dessus de lui. Dans la manuvre jai eu le temps de croiser son regard, que je ne reconnais pas : on dirait une bête, affairée à son seul plaisir, quimportent les conséquences
« Car il y en a qui ont des pratiques bizarres » continue le chef en sinstallant derrière Elo.
Il me jette un coup dil, constate mon état et en profite en attrapant un peu de mon sperme quil étale sur le petit trou dElo qui a déjà repris ses allées et venues sur la bite du sbire.
Sa main mélectrise, je crois quune mouche qui passerait à côté de ma bite congestionnée mélectriserait aussi dailleurs, jen ai quelques saccades de sperme qui séchappent de manière convulsive.
Le voilà qui tartine le trou dElo, y rentrant un puis deux doigts. Heureusement, sa bite est moins large que son collègue, mais plus longue. Elo va la sentir passer de toutes manières !
Elo rue maintenant du cul sur le gendarme, le chef la stoppe dune gifle sur ses fesses : « suffit ! ». Elle ne bouge plus.
Puis il colle son gland sur la rosette dElo qui, sans être opposée à ces petits jeux nen est pas non plus une afficionada, et senfonce lentement, mais sans sarrêter.
Elo ne bouge toujours pas, elle respire fort.
« « Allez en avant cochonne ! » lui lance-t-il alors.
Et Elo se remet en mouvement de plus en plus fort, embrassant goulument le gendarme entre deux cris. Si nous avons déjà joué avec des godes, cest sa première vraie fois avec des bites bien réelles, et cela semble complètement la transporter. Je ne la reconnais plus : elle na plus de limite et après les mouvements dune rare violence de son bassin, les mots arrivent : « oh oui punissez-moi, je nai pas été sage, fouettez-moi encore avec votre verge ! »
Je suis fasciné par le spectacle, le chef madresse un clin dil tout en défonçant le cul de ma femme
puis il att ma bite et me branle énergiquement ! Devant ce geste inattendu et sous la pression de lexcitation, je lâche tout ce qui me restait à lintérieur sur sa main quil sempresse de mettre devant la bouche dElo qui lape comme une bonne chienne.
Elle sait donc désormais que jai joui en la voyant se faire « violer » devant moi.
« Allez Roger on termine, ils doivent nettoyer leurs saletés maintenant ! »
Le gendarme dégage Elo et linstalle à côté de moi sur la banquette et les voilà tous deux en train de se palucher devant nous avec la perspective de se finir vraisemblablement.
Elo est toute rouge, fascinée pr le mouvement des mains, ne me voit pas.
« Prêt Roger ? »
« Prêt chef ! »
Alors tous deux avancent dun pas, la bite à la main, prêts à juter.
Sauf que le chef est en face de moi ai-je à peine le temps de me rendre compte avant de prendre une première giclée de sperme chaud en pleine figure, tandis quElo subit le même traitement à côté de moi.
Elo a instinctivement reposé sa main sur ma bite et me masturbe à une vitesse effrénée pendant que les deux flics se terminent sur nous.
Jai du sperme plein les yeux, je ne vois plus rien mais je jouis encore sous les mains dElo et lexcitation de ce moment dune rare perversité, pendant que jentends Elo à côté dire « oui, donne-moi tout ! »
Alors que la tension retombe à peine jentends un bruit de moteur et un léger coup de sirène, puis 3 portes qui claquent.
« Bonsoir maraudeur, nous venons au renfort comme promis, où sont les individus ? »
« juste ici, ils viennent à peine de finir la première partie de leur leçon » répond le chef.
A suivre
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