Camille Se Déchaîne
La fin de lannée approchait, les beaux jours, les horizons de vacances également.
Laure était toute excitée, vêtue de sa petite jupe en jean (imperméabilisé !) elle était irrésistible à mes goûts de vieux pervers. Elle désira me raccompagner à Paris dans sa petite voiture. Je sautais sur loccasion. Elle avait beaucoup à me dire, des projets en tête (en cul savant tout
)
Elle conduisait jambes plus écartées que nécessaire. Ma main ne tarda pas à aller fouailler entre ses cuisses. Elle était trempée, excitée comme jamais. Elle se confia :
« Aujourdhui avec notre terminale L. je me suis bien amusée, je leur avais donné un devoir de deux heures sur table. Pour les surveiller je métais assise sur le bureau
Jambes croisées, décroisées, entrouvertes, voire ouvertes de façon indécente, innocente. Certains et certaines me mataient jai mouillé tout le temps. Jai remarqué Camille qui semblait apprécier mes petits jeux. Cest une vraie petite salope. Je sais quelle te plait. Et que tu lui plais. Je vais la contacter. »
Laure était tellement excitée quelle me dit quelle avait envie de se faire enculer devant moi. Elle gara sa voiture sur une ère fréquentée par des camionneurs, sortie, jupe bien retroussée en attente du premier venu qui ne tarda pas à se pointer. Elle neut quà se baisser pour se faire prendre. Rentrée dans sa voiture elle me demanda de la toucher. Il lui en avait mis plein le cul. Elle me dit quelle nallait pas changer sa culotte durant toute la semaine à venir. Dernière semaine au lycée, dernière semaine pour profiter du proviseur (muté ailleurs) et de sa grosse bite de jouisseur
Elle me laisse entendre quelle a dautres projets, mais quil faudra attendre la fin des épreuves du bac pour les réaliser. Elle me tiendra au courant. Elle me touche la bosse qui déforme mon pantalon, surprise de ma bandaison
Elle me dit quelle a envie de ma queue (quelle salope, ou non salope résisterait au membre dressé dun prof de philo ? Impensable).
Le jour arrive enfin. Hommes et femmes ont revêtu des tenues aussi sexy les unes que les autres. Moi je me retrouve en short en jean. Laure est en micro jupe qui cache à peine sa culotte bien crade (mais parfumée), Camille porte une jupe en cuir, elle semble telle une lionne féroce, avide. Elle a envie de se venger de ses anciens profs (même sils lui ont permis de brillamment réussir). Elle vient vers moi, me dit quelle aime voir un philosophe en short, elle me touche le sexe, rigole sur ce quelle considère comme « infime ». «Tout dans la tronche, pas grand-chose dans le slip » me dit-elle avec vulgarité. Elle moblige daller lécher la chatte souillée de Laure. « Tu vas souper salopard, voyeur, tu as bandé à regarder mes petites culottes de pisseuse. Alors soupe ! »
Je mexécute. Alors que je suis « à table » entre les cuisses de Laure, je sens quelque chose sintroduire dans mon anus. Camille mencule avec un gode. « Jencule les enculés, jencule les philosophes
» Elle est vulgaire, ce qui métonne, mais tellement excitée que je lui pardonne ses pulsions sadiques. Je suis humilié, souillé.
Le pire mattend. Alors que Laure se retire et vient soccuper de mes couilles et me sucer, Camille, jupette relevée, vient me pisser sur le visage avant de sasseoir afin que je suce sa culotte souillée. « Tu es un vieux cochon, bouffe, lèche, bois
voilà ce que je pense des philosophes, je leur pisse à la raie, à la bouche, au cul. Je préfère être une salope pisseuse quune penseuse de tes deux
»
Violente et adorable. Elle va retrouver des types pour se faire bien baiser tout en me narguant.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!