Histoire De Rugbyman
Introduction dictons
" Un maul, c'est comme une partouze ; si on est mal placé, on se fait enculer ".
" L'amour, c'est comme le rugby : ça commence par une touche et ça finit par un plaquage ".
" Le rugby, c´est comme l´amour, il faut donner avant de prendre ".
" En rugby, il y a ceux qui jouent du piano et ceux qui les déménagent ".
" Le rugby, c´est le seul sport où l´on se rencontre, alors qu´ailleurs, on se croise ".
" Les piliers vous êtes comme les couilles et le talonneur, c'est la bite de la première ligne ... dés que vous êtes séparés vous êtes stériles ".
" Et les gars, rater un placage, c'est comme enculer un copain, ça ne se fait pas ! ".
" Vous êtes venus pour brouter ou pour jouer au rugby ? "
Chapitre 1 : Premier contact Alex/Enzo
POV Alexandre MARTIN.
Je suis Alexandre, 38 ans, 1m80 et plutôt musclé avec des abdominaux secs et bien dessinés, des biceps veineux et bien développer parce que j'aime soulever de la fonte. Je possède un fessier bien ferme et cambrer qui attire l'attention de toutes les femmes. Sans oublier un pénis de taille très honorable, dans de 18 cm, sans être Rocco siffredi, on peut satisfaire une femme. Yeux bleu azur de mon père qui est norvégien et les cheveux de jais noir mi-long et bouclé de ma mère italienne. Mes cheveux son raser sur le coter avec une coiffure fashion. Avec mes lunettes carrées, mon nez droit, mes lèvres charnues, ma mâchoire carré et ma barbe de 2 jours, je suis un homme viril et je pense séduisant. Heureux papa de deux s, que j'ai eu très jeune. Un fils de 20 ans, Quentin qui vit avec moi depuis seulement 2 ans et une fille de 18 ans qui vit chez sa mère. Divorcé depuis 9 ans, je n'ai jamais retrouvé l'amour. Mon divorce a été dur, ma femme a fui avec les s, elle ma fait porter le chapeau pour tout ce qui n'allait pas dans notre couple et les juges lui ont donné la garde principale. J'ai toujours était un bourreau de travail, mais de là à m'accuser d'avoir négligé ma famille au lieu que j'ai toujours bossé pour eux, cétait injuste, mon ex-femme n'a jamais travaillé, j'ai survenu à nos besoins pendant 11 ans sans jamais rien lui demander et voilà ma récompense.
Aujourd'hui, mon fils a invité ces potes du rugby qui vont venir peaufiner la tactique de jeux d'une manière orale bien sûr, parce que l'appartement n'a pas assez de place pour faire des entraînement de rugby et la terrasse sur le toit non plus. Lorsqu'ils arrivent, ils viennent tous un par un, me saluer. Ce sont de grands garçons, enfin des hommes pour certains. Je vois Thibaut, le meilleur ami de Quentin mon fils, ce jeune homme ne change pas, toujours aussi timide. Mais physiquement, je vois du changement, comme mon fils, il est grand et la pratique du rugby et lentraînement que cela nécessite, lui fait gagner en musculature.
Le dernier a entré, me parait plus âgée que le reste, un certain Enzo, il me serre la main d'un poigne très ferme et me détaille du regard avec un air, de jugement. Du genre moi, je suis le boss, ce genre de personne, je n'aime pas lors de mes négociations, j'ai souvent affaire à des personnes comme lui, ils pensent que l'agressivité permet d'avoir lascendant sur linterlocuteur, c'est faux. Ils dévoilent trop vite leur jeu et cela me permet de mener la partie. Je lui fais un sourire plutôt de compassion et je vois qu'il est déstabilisé, il ne comprend pas pourquoi, j'ai l'air d'avoir pitié de lui au lieu qu'il essaie de me broyer la main. Alors je resserre la poigne et il se détend. Je vois un sourire se faire sur son visage, il a compris que je ne me laisserais pas faire, il abandonne sa tentative de prise de pouvoir. Je sors une bière de mon petit frigo accroché à mon canapé en attendant que mon match de foot commence, je regarde les pubs en suivant de manière distrait leur conversation.
Japprends que le fameux Enzo et capitaine et qu'il vit à Vitry sur seine dans une banlieue parisienne assez mal fréquenter. Un rapide regard sur ma tenue me confirme, que c'est un petit lascar, un gars des cités, je ne suis pas sûr qu'il soit une bonne fréquentation pour Quentin. Mais je m'abstiens de dire mots. Nos relations se reconstruisent à peine, je refuse de les fragiliser d'avantage.
À la fin des pubs, au moment où le match va commencer comme par hasard, une puissante envie d'uriner me prend, une chance avec la pause sur la box on ne rate rien. Le temps d'aller me vider la vessie, mais la lecture a était remis, le pote de Quentin sont tous autours de la télé, certain sur le canapé d'autre au sol et bien sûr Enzo sur mon fauteuil, pire encore, il a ma bière a la main et la porte a sa bouche. Je pousse un coup de gueule
« - Hé ho Enzo, ne te gêne pas !!! Désignant ma bière du doigt
- Désolez m'sieur, j'avais soif.
- Aller regarder le match dans la chambre de Quentin, je veux être tranquille
- Non m'sieur, venez sur mes genoux »
Les garçons éclatent tous de rire. Mais Quentin vient à ma rescousse et entraîne ces amis dans sa chambre, il a un écran plat de 1m50 presque aussi grand que celui du salon. Enzo revient prendre un truc qu'il aurait oublié et me dit que la bière avait le goût de lèvre sucré et que c'était délicieux. Je rougis sans savoir pourquoi et ce dernier repart dans la chambre. Le match est une victoire de la France et j'exulte de joie, d'ici, jentends que dans la chambre les cris sont aussi fort. Je quitte le salon et vais saluer les jeunes avants d'aller me coucher.
Quelques jours sont passés, j'ai décidé de prendre des vacances bien méritées donc j'ai prévu de partir à New York deux semaines avec Quentin et peut-être Margaux (ma fille) a elle de voir. Mais pour le moment, j'ai une semaine à paris de pur liberté sans programme pré définit. Quentin a une nouvelle petite amie et ils sont sortis pour ce faire un ciné. Je décide d'aller courir pour me mettre en forme pour la journée, après dix kilomètres de course éreintant, je suis totalement lessivé, je rentre et vais directement dans la salle de bain pour une douche des plus salvatrice.
Je me fais une toilette minutieuse, car j'aime être vraiment propre et je retourne dans le salon en peignoir. C'est à cet instant qu'on sonne a la porte, je vais ouvrir et tombe nez à nez sur Enzo, encore lui. Il me bouscule presque pour entrer et me dit :
- bonjour m'sieur, j'ai oublié des affaires, je peux les récupérer
- vas-y
Il entre est va direct dans la chambre de Quentin. Je le suis pour être sûr de ce qu'il prend, il regard sous le lit, sous bureau et ne trouve a parement pas.
- Que cherches-tu ?
- Ma boite de capote ?
- Pardon ???
- Je cherche, mes condom, mes capotes, mes préserv'machin
- Mon pourquoi, tu les avais pris ?
- Je devais baiser un pti mec après la réunion
Je suis troublé, je n'ai rien contre les homo, mais lui ne paraissait pas lêtre.
- En fait, avec un pote, on devait se retrouver dans une cave et faire tourner Thibaut,
- Thibaut ? Celui de votre équipe ?
- Pas que de cette équipe. Oui Thibaut Leroy, c'est un nymphoman, il narrête pas de me supplier de l'enculer durement. Il adore quand je mets la gomme dans son petit cul et que je suis hyper rapide. Une fois, je l'ai baisé pendant deux heures, j'avais la bite en feux, elle avait doublé volume, j'ai plus jus à expulser, j'avais mal à en crever, mais lui voulais pas que cela sarrêter. C'est une vraie pute, j'ai jamais vue, sa habituellement au bout de 30 minutes denculage les filles, et même les pd supplie qu'on arrête quand sa fait trop mal. Lui au contraire plus il a mal plus il aime. Moi je suis endurant, mais il arrive à chaque fois à me crever, alors on a pris un pari, le faire supplier grasse avec cinq mecs endurants.
- OK bon, eux
- Ne soyez pas gêné m'sieur c'est la nature
- OK et mon fils sait ce que vous faite a son meilleur ami
- Je lui fais rien moi, c'est lui qui veut, il me supplie même.
- Il vous paye en plus ? Non
- Sérieux m'sieur chwi pas une put...
Il sarrête nette, il a bloqué, il est fixe alors je suis son regard, il regard mon bas ventre et je me rends compte que mon peignoir et légèrement entre ouvert et que ma bite et à demi bander. Merde ce con m'a excité avec son histoire de partouze. Il se redresse aussitôt me chope la queue et la sert fortement. Avec son autre main, il prend ma tête et la plaque violemment à la sienne et il commence à m'embrasser.
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