La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1016)
Alain au Château (suite de l'épisode N°1012)
Sur ces Mots, Monsieur le Marquis s'éloigne avec une grande élégance et une forte fierté pour disparaitre derrière la porte qu'il laisse grande ouverte
Aphrodite MDE m'enlace tendrement, m'enroulant dans une tendresse inconditionnelle et un grand réconfort, telle une chienne mère couvant son petit. Lorsque je relève les yeux, je vois son visage détendu par son large sourire et perçois cette joie débordante, cette paix intérieure vers laquelle j'aspire profondément. Elle parait si épanouie, si heureuse, que son total bien-être irradie mon âme. Je voudrais tant connaître son secret, lui ressembler, elle si paisible, si comblée... Tout à coup, ses yeux croisent les miens et je peux sentir un frisson incompréhensible mais si bon et si profond tandis que ses mains caressent doucement toute ma chair qui lui est accessible et je referme alors mes yeux pour savourer pleinement cette complicité qui m'amène vers quelque chose qui ressemble à une jouissance interne. Son évidente plénitude menvahit par sa douce présence. Je reprends conscience des douleurs présentes dans mon corps, ce cadeau que le Maître m'a fait, ce divin déflorage qui m'a fait connaître la présence du Maître dans mon humble fondement. Je sais désormais ce que je suis devenu et cette pensée dappartenance mapporte, à linstar dAphrodite MDE, un bonheur certain et si délicieux.
Et me voici de nouveau dérivant dans la succession d'images troublantes où se mélangent la prodigieuse Domination de Monsieur le Marquis, la pleine soumission accueillante de ma formatrice et la profonde douleur de mon corps sous les impitoyables coups si excitants, la puissance et la fermeté aimante du Châtelain, la joie et la gratitude de sa chienne soumise et mon corps qui explose de reconnaissance envers le Noble dans ce total bonheur d'être dominé et de m'abandonner pleinement à Lui. Ma nouille tendue implore une relâche, une délivrance de la tension qui s'est abondamment emmagasinée depuis le tout début de cette journée.
Dans un sursaut, ma formatrice me rappelle à l'ordre. Elle me fait lever et contourne mon corps comme pour faire un simple état des lieux, évaluant presque la quantité impressionnante des marques toujours présentes laissées par les pinces. Ses yeux s'arrêtent fixement sur ma hampe incroyablement gonflée, puis ils remontent vers mes tétons et, avec une extraordinaire complicité de chienne-soumise à chiot-soumis, un nouveau et large sourire apparait sur son visage, elle pince mon téton droit totalement érigé, insiste et semble satisfaite lorsque je ronronne de plaisir. Tenant toujours ses deux doigts pressés, elle me dirige vers la salle de bain où elle me fait prendre une douche, me laissant passer premier malgré ma timide réticence. Le jet réveille quelques plaies, ravive la présence du Maître quand dans mon esprit je le sens toujours présent, me forçant chaque seconde à faire de mon mieux. Dès que j'ai terminé, je peux admirer les superbes courbes du magnifique corps d'Aphrodite MDE. Elle est d'une beauté incroyable, chaque geste un modèle de souplesse et je comprends et remercie profondément le Maître de m'avoir accordé ce pur exemple de soumission pour me former. Le temps passe et elle me lance un regard noir, nous n'avons plus une minute à perdre. Ma formatrice inspecte mon corps, repousse doucement le plug bien en place, me rappelant mon tabernacle scellé où a été déversé la noble semence et qui reste ainsi bien ancré en mon fondement.
Nous sommes en position d'attente lorsque Monsieur Walter apparaît. Il semble satisfait et la vue de mon corps aux innombrables marques élargit son sourire pervers. Sans un mot, le Majordome nous ramène au rez-de-chaussée, puis vers les cuisines où règne une étrange animation effervescente que le sadique chef d'orchestre, Madame Marie, mène magistralement à la baguette, au sens propre comme au sens figuré.
Une fois l'admiration passée, je me sens mal à l'aise, n'ayant rien fait de remarquable pour mériter un quelconque honneur mais mon excitation n'en est que plus attisée. De grands plateaux dorés gravés sont fixés à la taille de chacun, verrouillés par une sorte de ceinture dorée tandis que les deux coins à l'avant sont reliés par de magnifiques fines chaînettes dorées aux seins, fixés aux tétons annelés pour certains, et pour dautres, maintenus par de jolies pinces aussi dorées qui semblent refermer solidement leurs perverses mâchoires dans les pointes de chair dressées. Les mains de chacun de ses fiers esclaves de classe supérieure sont maintenues derrière leurs dos grâce à de fines manchettes dorées assorties aux plateaux, rivées à la ceinture et verrouillées autour des poignets
Ici, le silence est total et les regards propagent une ambiance merveilleuse. Dès que ma formatrice Aphrodite MDE est équipée, les esclaves de service commencent à m'entourer. Je reçois la même ceinture immobilisée derrière ma taille... mais pas de grand plateau. Je reçois simplement un solide bâillon-écarteur à double tube fermement serré derrière ma tête et qui maintient mes mâchoires ouvertes. A l'extrémité extérieure du tube, apparaît tout à coup un embout terminé par un simple petit plateau circulaire d'une dizaine de centimètres de diamètre.
Madame Marie nous appelle et, un par un, chacun des esclaves équipés d'un plateau traverse la cuisine et reçoit de magnifiques coupes de Cristal du Val Saint Lambert remplies, sans aucun doute, du meilleur champagne. Je m'efforce toujours de suivre ma formatrice, mais je ne reçois rien si ce n'est qu'une solide claque sur mes fesses pour me faire circuler hors du chemin. Ne quittant pas Aphrodite MDE des yeux, je traverse un luxueux couloir, où je peux rapidement apercevoir que les murs de chaque côté sont flanqués dimmenses tableaux digne du Louvres représentant la vie du Château du temps de la Royauté. Ensuite, nous passons par une salle à manger richement décorée aussi. Je regarde vite fait en lair pour admirer les impressionnants et nombreux lustres dépoque au plafond qui pendent ici certainement depuis plusieurs siècles. Au centre de la pièce il y a une immense table de bois massif magnifiquement dressée et qui m'annonce qu'un important souper est organisé. Je sens une angoisse se propager dans mon corps et se transformer progressivement en excitation quand elle atteint le bout de mon gland pourpre et dégoulinant. Le chiot-soumis que je suis, va être exhibé en public. J'accélère le pas pour pouvoir suivre au plus près ma formatrice, ne pas la quitter des yeux pour pouvoir copier chacun de ses mouvements. Nous passons par une grande porte de bois sculptée et une incroyable quantité de voix différentes remplit mes oreilles tandis que mes yeux s'écarquillent au spectacle qui s'offre à moi : Des dizaines de personnes en grande tenue mondaine, somptueux smokings, éclatantes robes somptueusement colorées et rehaussées d'éblouissants bijoux d'or et de diamants sont rassemblées par petits groupes dans la lumineuse salle de réception luxueusement décorée.
Chaque esclave semble savoir parfaitement ce qu'il a à faire. Ma formatrice se dirige directement vers un petit groupe animé par une Présence à laquelle je suis si heureux de constater, Celle de Monsieur le Marquis dEvans.
(A suivre
)
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