L'Éducation D'Une Bourgeoise Bcbg Suite 6
L'éducation d'une bourgeoise BCBG suite 6
Il fait beau en ce début d'après-midi de la fin du mois de septembre. Je viens de me garer sur le parking d'une grande surface de la région de Colmar et j'attends
Pourquoi Colmar et non pas Mulhouse ; par respect pour S
qui comme moi habite Mulhouse et qui a peur de rencontrer des personnes connues voire même des amis
Disons qu'à Colmar le risque est un peu moins élevé
quoique
et c'est bien cela qui rend la situation troublante.
Sur ce parking, l'emplacement choisi est, non pas dans un endroit isolé, mais bien au contraire, une place assez près de l'entrée principale.
Pourquoi suis-je là ? et pourquoi suis-je en avance ?
Je vous dois une explication : lors de nos dernières rencontres S
m'a confirmé le plaisir et le degré d 'excitation qu'elle ressent quand elle retrouve son « statut » de bourgeoise BCBG soumise, aimant se sentir, autant que possible, exhibée, avec cette sensation d' humiliation qui l'excite au plus haut point
elle qui donne toujours l'image d'une parfaite petite bourgeoise BCBG, même parfois un peu hautaine et snob. Elle m'a demandé s'il était possible de faire l'acquisition d'un vrai collier de « chienne » avec une belle laisse aux maillons en fer
le tout accompagné, soit d'une cravache, soit d'un martinet
plus exactement d'un fouet
Elle m'a toutefois précisé que ces « ustensiles », ces « objets », devaient être utilisés avec parcimonie et avec « légèreté »
sachant qu'il n'était pas question de marquer son superbe corps selon nos accords communs...
Il est évident que je ne pouvais pas manquer cette occasion, d'une part, pour continuer la « formation » de soumission de S
mais également, pour lui faire vivre des moments de complicité intense
l'idée étant d'ordonner à S
de faire ces acquisitions dans une grande surface.
Me voilà donc en attente sur ce parking sachant que S
a reçu, le matin même, un SMS lui intiment l'ordre de se présenter sur ce fameux parking à une heure très précise.
S.. arrive sur le parking du supermarché. Je remarque qu'elle obéit aux ordres donnés : en effet, elle va se garer, non pas près de ma voiture, mais tout au bout du parking
là où il n'y a aucune voiture
Une fois garée, j'appelle S
Cette dernière qui n'a pas bougé, décroche immédiatement... Elle entend ma voix qui lui intime l'ordre de sortir de la voiture et de ne plus bouger une fois en dehors de sa voiture. Elle doit faire quelques pas pour s'éloigner de celle-ci.
S
s'exécute. Elle ne bouge plus le temps pour moi de constater que S
a bien exécuter mes ordres : en fait, elle porte son fameux imperméable de vinyle noir, de loin japerçois que ses jambes sont gainées de bas coutures noirs et qu'elles sont rehaussées d'une paire d'escarpins de 12 centimètres de hauts.. escarpins achetés le matin même
Une minute plus tard elle entend dans son téléphone un second ordre : elle doit se diriger vers ma voiture mais comme elle n'a pas encore repérer l'endroit où je me trouve je me fais un plaisir de la guider, non pas directement vers moi, mais dans plusieurs allées
Je suis sûr que ces détours doivent troubler un peu plus S
sachant que l'imperméable qu'elle porte ne comporte plus que trois boutons pour le fermer
les autres ayant été coupés par mes soins.
S
déambule sur ce parking dans les allées sachant que l'échancrure de son manteau est bien ouverte, par manque de boutons, laissant apparaître le haut de ses seins qui sont visiblement libre de toutes contraintes
et qu'a chaque pas, les cuisses de S
se dévoilent jusqu'à la lisière des coutures de ses bas
il lui faut bien cinq minutes pour arriver à la hauteur de la portière de ma voiture. S
me sourit tout en me saluant. Quant à moi, je reste assis et j'ouvre la vittre
Je lui dis immédiatement qu'elle doit me démontrer qu'elle a bien exécuter mes ordres en matière de tenue.
S
est à la fois fière et heureuse d'avoir pu satisfaire « monsieur. Elle attend que je sorte de ma voiture pour l'accompagner dans cette grande surface. S
ne me cache pas son trouble d'être ainsi vêtue et d'être obligée de déambuler dans ce magasin, à mes côtés, à l'idée d'acheter un collier, une laisse et, en plus, un martinet. Elle me précise, pour la rassurer, qu'elle a prévu une liste de course, ce qui lui permettra de « dissimuler » nos achats « particuliers » dans notre caddy.
En fait, c'est ce que pensait S
mais moi, j'en ai décidé autrement :
Au lieu de descendre de la voiture, je lui demande de me donner cette liste de course puis je lui donne simplement un jeton pour aller récupérer un caddy et je l'informe qu'elle doit entrer toute seule dans ce magasin avec son téléphone portable à portée de main et qu'elle aura des instructions précises à observer
S
reste figée, son regard est trouble. S
tente une négociation dans l'idée que je l'accompagne ce qui a le don de m'énerver un peu
j'ouvre la portière de la voiture, je demande à S
de se tenir debout devant moi et d'écarter légèrement les jambes. S
résignée obtempère. Je regarde autour de moi, personne ne nous vois, je glisse discrètement ma main entre les jambes de S
, je remonte vers son sexe tout en caressant ses cuisses gainées de bas. J'arrive à la hauteur de sa peau qui est toujours aussi douce puis ma main arrive à la hauteur de son sexe, tout lisse. Deux doigts s'enfoncent dans sa chatte. A ce moment là je regarde S
droit dans les yeux et je lui fait remarquer que sa chatte est totalement trempée. Je souris, tout en lui demandant pourquoi elle ainsi toute trempée.
S
s'exécute, va récupérer son caddy et entre lentement dans le magasin. Quant à moi, je la laisse faire et quelques minutes plus tard, je quitte ma voiture pour entrer à mon tour dans le magasin. Il me faut peu de temps pour repérer S
qui déambule sans trop savoir où aller et quoi faire, elle ne m'a pas vu. Je prends mon téléphone et je l'appelle. Elle décroche immédiatement. D'un ton ferme je lui donne l'ordre d'aller dans le rayon animalerie le plus rapidement possible et de me rappeler à ce moment là. A ce moment là je sens que S
me cherche du regard. Ne me trouvant pas, je constate qu'elle se dirige vers ce fameux rayon. Deux minutes plus tard mon téléphone sonne. Je décroche, S
m'indique qu'elle est arrivée dans cette allée. De mon côté je le savais car je la suis discrètement. Un second ordre fuse : celui de choisir un collier et une laisse
et un martinet et de placer ces acquisitions dans le caddy. Il s'en suit un long silence qui dure cinq bonnes minutes. Ce dernier est interrompu par la voix de S
qui m'indique avoir fait ses choix et que les trois objets sont dans son caddy. Je donne l'ordre à S
de rejoindre le rayon « fruits et légumes » ce qui l'oblige à traverser tout le magasin. Elle me répond qu'elle souhaite se diriger le plus directement possible vers une caisse car elle se sent honteuse de traverser tout le magasin avec uniquement ces trois articles dans le caddy. Pour seule réponse je lui dis qu'elle dois obéir et qu'elle sera punie pour avoir contester un ordre et je raccroche
J'observe discrètement S
prendre la direction du rayon « fruits et légumes » en essayant de choisir les allées les moins fréquentées ce qui n'est pas évident sachant que de nombreux regards d'hommes et de femmes s'attardent sur sa silhouette.
Une fois sur place S
entend la sonnerie de son téléphone, elle décroche et sans faire de longs commentaire je lui donne l'ordre de choisir un concombre, un seul, de le placer dans son caddy et de se diriger ensuite vers une caisse. J'abandonne momentanément S
pour me diriger dans la galerie marchande juste en face des caisses et je m'installe sur un banc.
S
n'a pas perdu de temps, je la vois arriver à la hauteur des caisses, j'arrive à contrôler le contenu de son caddy. S
a choisi son légume, et là, je constate que de nombreux autres sachets de légumes et fruits remplissent le caddy. J'appelle immédiatement S
et je lui demande, sans détour, pourquoi le caddy est autant chargé. S
m'explique qu'au moment de choisir son légume un jeune homme lui a fait une réflexion sur le choix du concombre, qu'elle se sent de plus en plus honteuse et qu'elle souhaite dissimuler, un peu, la spécificité de ses achats. J'indique à S
que je suis déçu, que je suis en colère, qu'elle doit immédiatement vider son caddy des ces acquisitions non souhaitées, et de se diriger sans tarder à la caisse n°
et qu'elle sera doublement punie
S
dépose immédiatement les sachets dans le rayons qui se trouve devant elle et se dirige vers la caisse n°
cette dernière est occupée par une jeune caissière. J'ai choisi volontairement cette caisse au regard de la belle file d'attente. S
se place dans la file, elle n'ose regarder autour d'elle, d'autant plus que je viens de lui donner l'ordre de passer le téléphone à la caissière après avoir déposer ses achats sur la bande de roulement. Elle m'explique qu'elle ne pourra pas le faire
je ne dis rien, ne répond pas et attends le tour de S
La voilà qui dépose ses quatre objets sur la bande roulement
elle s'adresse à la caissière. Cette dernière sourit alors que S
lui donne le téléphone.
Je m'adresse maintenant à cette jeune femme et je lui explique que S
est nue sous son imper et que tous les achats lui totalement réservés et je termine en lui disant que la personne qui est devant elle est une belle bourgeoise, BCBG, éduquée et soumise. La surprise est totale pour cette jeune caissière qui ne manque pas de me faire la réflexion suivante avant de rendre le téléphone à S
« ce n'est pas une bourgeoise BCBG, mais plus exactement, une belle salope soumise
S
ne sait plus où se mettre, son visage est maintenant pourpre
elle règle le montant de ses achats en évitant, non seulement le regard de la caissière, mais aussi le regard des clients qui l'entourent. S
marche rapidement dans la galerie pour sortir au plus vite de ce magasin
J'intercepte S
et je lui demande de marcher à mes côtés beaucoup plus doucement
le temps pour moi de préciser à S
que je ne suis pas du tout satisfait de son comportement et qu'elle sera punie
Le visage de S
est tout rouge, ses yeux sont larmoyants, et deux sortent de sa bouche
« pardon monsieur »
nous sortons du magasins, je demande à S
de s'arrêter dans une allée entre deux rangées de voitures. Je me place derrière elle, furtivement je glisse ma main sous les pans de son imper et constate d'une part que les seins et tétons de S
sont hyper tendus et que dire des lèvres de sa chatte qui ne sont humides, mais hyper trempées
Je chuchote à l'oreille de S
qu'elle est une belle bourgeoise aussi BCBG que salope et soumise et en plus super excitée.
Nous nous dirigeons vers ma voiture et j'indique à S
que compte tenue de son comportement et des « rébellions » elle devait être punie
à suivre
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