Une Première Expérience Très Sympathique
Jallais sur mes 40 ans, mon travail mavait conduit à Nice en plein été. Il faisait très chaud, aussi le soir après le travail, je descendais sur les promenades de la côte. Là, je flânais un moment, tout en cherchant un bon restaurant sympa qui proposait des tables en extérieur. Donc, on le voit, cétait un passe-temps très ordinaire.
Un soir, alors que les tables extérieures étaient pratiquement toutes occupées, le serveur me proposa de me placer à la table dun couple âgé. Ce que jacceptais volontiers. Le couple était manifestement un habitué des lieux. Il était connu des serveurs et il y avait là ses habitudes.
Lui était un homme denviron 76 ans ; elle était sans doute un petit plus jeune. Peut-être une ou deux années de moins. Tous les deux très bien de leur personne, propres, soignés, un tantinet bourgeois, mais plutôt affables. Je les saluais poliment bien évidemment et nous engageâmes la conversation sur des banalités, du temps quil faisait, des estivants qui déambulaient le long de la terrasse
Bref que des futilités.
De notre conversation japprends quils résident ici à Nice, une bonne partie de lannée ; que lui est un expert diamantaire à la retraite. Jai effectivement remarqué que la dame à côté de qui lon ma installé, porte de très beaux bijoux au cou, aux poignets et surtout aux doigts. Elle a des mains magnifiques, fines et bien déliées, quoique un peu marquées par lâge
Des gens huppés et friqués pensais-je, pour vivre ici sur la Côte. Mais cela nenlève rien de leur amabilité et de leur commerce très agréable.
Lui parle beaucoup plus quelle. Bientôt il me complimente sur ma tenue soignée et mon allure sportive ; elle ajoute même avec un joli sourire à mon adresse :
- " Un beau jeune homme comme on aimerait en rencontrer plus souvent ! "
Un peu surpris du compliment et certes, plutôt flatté, je prends la remarque comme si elle était venue de ma mère et je lui réponds timidement :
- " Mais comme il en existe beaucoup et heureusement.
-" Détrompez-vous mon jeune ami, vous avez des yeux magnifiques et ne changez rien à vos manières, vous êtes parfait ! ", me rétorqua-t-elle avec une pointe de malice. Je dois dire que là, je tombe un peu des nues, que cela vienne dune dame qui aurait pu largement être ma mère, cela me fait drôle. Même si ce compliment sur mes yeux très bleus je suis un brun aux yeux bleus mavait maintes fois été faite par des femmes. Il nempêche, cette fois le coup porte davantage, surtout dit comme ça, sur ce ton, et jen suis donc dautant plus flatté et un tantinet troublé.
Le repas se poursuit dans la bonne humeur et la convivialité. A plusieurs reprises jai surpris le monsieur échanger avec la dame des regards qui me semblent interrogateurs, mais dont je ne saisis pas le sens exact. A la fin du dîner, la dame sexcuse pour se rendre aux toilettes. Je vois immédiatement que cette femme a du charme : un corps mince et bien proportionné, une belle allure, de jolies jambes et de jolies fesses, une poitrine qui parait encore bien ferme. Une femme mature qui a dû être très belle en son temps et à qui il reste encore beaucoup de choses, notamment la classe et le charme. Assurément, ce quelle conserve aurait fait envie à bien des femmes de 30 ans
, me dis-je en la regardant séloigner dans lallée du restaurant.
Nous restons donc seuls un instant, lui et moi. Il en profite pour me dire avec des coups dil complices que je semble plaire beaucoup à sa femme. Il mexplique même que, jusquà il y a encore une dizaine dannées, ils pratiquaient son épouse et lui, une sorte ̏ déchangisme à trois ", cest son expression. En fait, elle a un réel désir sexuel à assouvir et, jusquà ses 60 ans passés, elle avait des aventures avec des hommes plus jeunes, soit dans des clubs très privés à Paris ou en Belgique, mais aussi dans des soirées à plusieurs couples. En entendant cela, je mets enfin un sens à ce trouble que jai ressenti à plusieurs reprises durant le dîner : elle a ce petit quelque chose "en plus", difficile à définir et à nommer, mais que je ressens fortement quand je suis en présence dune femme qui aime les hommes et le sexe.
Juste une digression à ce sujet, jai épousé par la suite (ce nétait pas le cas encore lors de la soirée dont il est question) une femme qui possède exactement cette caractéristique : elle aime les hommes, leur compagnie, aime sen faire draguer, bien les allumer et très souvent aussi faire ce quil faut pour éteindre les feux !
Le monsieur me parle encore un bon moment de leur sexualité à tous les deux
Que lui est très voyeur et friand de ces situations au cours desquelles son épouse se fait entreprendre et
prendre ensuite, par des amants de passage, parfois plusieurs à la fois. A lépoque, il en était très fier devant la gente masculine qui lenviait sa position
Mais depuis une dizaine dannées environ, ils avaient tout arrêté. Elle avait perdu beaucoup de son assurance en matière de séduction auprès des hommes, notamment plus jeunes, et nosait plus se lancer dans ce genre de situations. Je lui assure que personnellement, je trouve son épouse toujours très désirable et dune classe extraordinaire ! Il mavoue aussi que depuis plus de 8 ans, il est impuissant et ne peut plus honorer sa femme, qui elle, na rien perdu de ses envies et de ses désirs de femme
- " Je sais quelle se débrouille seule, si vous voyez ce que je veux dire
Parfois en ma présence, mais le plus souvent quand elle est seule dans la salle de bain ou dans la chambre
"
Tout en discutant je surveille du coin de lil son retour des toilettes, persuadé quà la suite de ce que je viens dapprendre, je vais la voir désormais dun autre il. Je trouve quelle met beaucoup de temps. Trop de temps, tant mon impatience est grande de la redécouvrir à laune de ce que je sais delle désormais.
Au bout dun long moment encore, elle revient enfin. Je la vois belle, élégante avec une peau dune fraîcheur éclatante, de grands yeux très bleus magnifiques, et les cheveux dun blond cendré qui vont parfaitement avec sa personnalité. Je me lève pour la laisser passer et lui permettre de regagner sa place à table.
̏ Sils me proposent un petit moment ce soir, je crois que je vais dire oui ! ".
Le mari lui fait remarquer quelle a été bien longue aux toilettes. Elle se penche vers lui et après un sourire dexcuses quelle madresse, elle lui chuchote à loreille quelque chose que je nentends pas complètement. Je ne comprends du message que trois mots : fait.., effet.., résister
Lhomme a un petit sourire ironique et dit :
-" Oui, oui, chérie, tu as raison ! " Puis dans la foulée alors que nous nous levons pour prendre congé, il ajoute :
- " Cher ami, disposez-vous ce soir dun petit peu de temps ? Ce serait sympathique que nous terminions la soirée à notre hôtel avec un petit verre de champagne ?
Nest-ce pas chérie ? "
-" Mais bien sûr chéri ! Cest en effet une très bonne idée. Notre hôtel est deux pas."
Et nous voilà dans la rue. Sur le large trottoir, pour marcher vers lhôtel, elle se place entre nous deux et donne le bras à chacun. Je commence à voir la situation comme une aubaine et à la fois comme un peu irréaliste, comme si cela était trop beau pour être vrai ! Je sens que je bande fort à la pensée de ce qui va, sans nul doute se passer, dans une luxueuse chambre dhôtel. Je sens aussi que la Belle que jai à mon bras gauche, glisse des regards qui accrochent la bosse indiscrète qui tend depuis tout à lheure, mon léger pantalon dété. Je sens sa main presser mon bras de façon insistante comme pour me dire : " Tu me plais, toi
Je te tiens et je ne te lâche pas ! "
En quelques minutes, nous sommes à la porte dentrée du "Westminster" en plein milieu de la Promenade des Anglais. Là, la belle, nous dit devoir monter seule un instant pour se rafraichir et ranger un peu la chambre, laissée en désordre à leur départ pour le dîner ; elle nous demande 5 minutes pour monter à notre tour.
Le hall est celui dun Palace. Je ne me sens pas trop à ma place dans un tel établissement où, bien évidemment, je ne mets jamais les pieds !
Quelques minutes se passent, peut-être une dizaine, puis le réceptionniste vient prévenir mon hôte que Madame nous attend. Il prend encore le temps devant lascenseur de me donner quelques recommandations :
" Jespère que ma proposition ne vous choque pas jeune homme. Si cela ne vous va pas, il est encore temps de renoncer
Par contre je crois que vous ne serez pas déçu. Elle aime les hommes et leur sexe et depuis déjà pas mal de temps, elle en est très privée ! Moi-même, comme je vous lai dit, je ne puis plus rien lui proposer
Et puis vous comprenez mon cher, que faire des démarches dans ce sens auprès de gens que nous ne connaissons pas ou a contrario, que nous connaissons trop, ne soit pas chose aisée. En tout cas mon cher ami, quoiquil arrive, je vous remercie davoir accepté et vous êtes le bienvenu ! "
Je suis sur le point de lui dire combien cette situation à vivre me tente et que cest là un de mes grands fantasmes : depuis longtemps jai très envie de faire lamour à une femme plus âgée que moi
Doù me vient ce fantasme ? Je ne saurais dire. En tout cas je bande déjà très fort et depuis déjà un bon moment.
Dailleurs, tandis que lascenseur nous emmène au 5ème étage, je surprends un regard oblique du Monsieur qui mate, lui aussi et sans doute avec envie, la bosse de mon pantalon.
Arrivé à la porte, le monsieur frappe doucement. Une voix douce lui répond :
-" Entrez "
Il me précède en sexcusant. La chambre est en réalité une magnifique suite. Une grande entrée prolongée par un salon avec un grand canapé et deux immenses fauteuils, une petite table basse de salon et 2 portes, une vers la chambre sans doute et lautre vers la salle de bain. Du moins, cest ce que je suppose.
-" Hélène chérie, lui dit-il, as-tu fait monter du champagne ou dois-je le commander ? ".
-" Non, Philippe chéri, tu sais bien quil y a tout ce quil faut dans le réfrigérateur
"
Elle sassied sur le grand canapé, face à lentrée. Elle est magnifique. Elle a conservé sa jupe noire étroite et ses bas noirs qui lui font la jambe si belle et elle un petit corsage blanc en dentelles et laine bouclée très seyant
Elle a une classe naturelle
Tandis que son mari soccupe à préparer le champagne, elle me fait signe de venir masseoir à côté delle.
-" Venez, me dit-elle, venez-vous asseoir, je vous en prie mon cher
Je ne connais pas votre prénom
"
-" Mathieu ". Je suis peu intimidé par tant daisance.
-" Mathieu, dit-elle de sa voix suave et sensuelle, cest un prénom adorable, ça, Mathieu !" Et elle me plante son regard bleu dans le mien
Je suis immédiatement sous le charme
Philippe à lautre bout de la grande pièce, minterpelle gentiment :
-" Mettez-vous à laise mon cher ami
Débarrassez-vous de votre veste "
Je mexécute, je ne me souviens pas davoir été aussi gêné quà cet instant. La belle Hélène, me regarde faire et je sens son regard caresser mon corps et lenvelopper. En plein été sur la Côte dAzur, je nai quune petite chemisette bleue à même la peau, un slip et mon pantalon tergal, comme cétait la mode à lépoque.
Je massieds près de la jolie Hélène et pour me donner une contenance, je lui dis doucement :
-" Vous êtes vraiment très belle
Hélène
" et disant cela jai immédiatement conscience de la banalité de mon propos sadressant à une femme dune telle classe.
-" Chut... Taisez-vous mon ami, cest vous qui êtes magnifique ! " me répond-elle, en posant sa main fine et douce sur ma cuisse.
De lautre main elle me tourne le visage vers le sien et me plante son regard bleu acier dans le mien.
-" Embrassez-moi plutôt, mon bel ami ". Bien que je sache parfaitement ce que je suis venu faire ici, la situation me parait surréaliste et je ne peux mempêcher denvoyer mon regard vers le
Philippe, qui continue de préparer les coupes sur un plateau nous tournant le dos
Inconsciemment, ma tête résiste à son geste
-" Voyons Mathieu, ne faites pas l
Philippe sait parfaitement ce que nous sommes en train de faire
" dit-elle doucement. Puis elle ajoute à ladresse de son mari, sans cesser de me regarder dans les yeux :
-" Nest-ce pas chéri ? "... Lhomme lui répond sans se retourner, tout naturellement :
-" Bien sûr, ma chérie
"
Sur le coupe, je nen reviens pas de tant de complicité.
Elle me tend ses lèvres et incline doucement la tête et cest elle me donne un baiser. Dieu quel baiser, vraiment je nai pas le souvenir davoir déjà reçu un baiser comme ça léger, tout en étant bien appuyé, délicat et distingué. Puis elle entrouvre les lèvres et me plante la langue dans la bouche. Cest encore une sensation inégalée à ce jour, que cette langue frémissante qui marrive dans la bouche. Un goût fruité et subtil me pénètre la bouche. Je manque de défaillir tant le baiser est immense, intense et suave
Nos langues se trouvent, se tournent et se rencontrent encore, glissent lune sur lautre se reculent et savancent... Jai la sensation dune demi-minute de plénitude dun temps qui ne sarrêtera plus
Après un instant, que je trouve trop court, elle quitte mes lèvres et je sens son beau regard bleu sur mon visage
Je lui rends son baiser essayant dy mettre la même tendresse et la même passion. Je sens sa main qui remonte tout doucement de ma cuisse vers mon bas-ventre. Ça y est, elle est sur la bosse. Et je ne vous dis pas quelle bosse ! Elle appuie juste un peu à cet endroit pour me dire quelle est là, quelle y est, tandis que nos langues se mêlent encore langoureusement
Je fonds littéralement et je sens mon membre se durcir encore. Il " lance " dans mon slip comme le ferait quelque chose qui nous gêne et dont on ne peut se défaire
Jentrevois par mes paupières mi-closes la lueur dun flash. Une seconde encore de ce baiser magnifique et je me recule un peu de ses lèvres humides. Le mari est en train de faire des photos (Photo 1)
Le temps de réaliser et il en a déjà fait 2 ou 3.
-" Jespère mon jeune ami, me dit-il, que vous ne serez pas contre le fait que je fasse quelques clichés en souvenir ?
"
Jhésitais un court instant.
-" Non, bien sûr, monsieur, si vous massurez que ces photos resterons très privées
"
-" Oh !...oui, je vous rassure, mon cher. Nous avons, nous aussi besoin dune grande discrétion
".
Puis avec un sourire enjôleur et sans enlever sa main de la bosse de mon pantalon, elle me dit :
-" Oh, oui Mathieu, sil vous plait. Jaimerais tant garder quelques souvenirs de cette soirée
.". Philippe renchérit :
-" Oui mon jeune ami, comme le dit ma chère Hélène, cela fera un beau souvenir. Et puis il y a si longtemps maintenant, quil ne sest rien passé
Enfin je veux dire
, rien passé de ce genre-là ! "
-" Oui, je comprends
", dis-je, ne sachant pas quoi ajouter.
Et Philippe dinsister :
-" Oui, dautant que les photos sont très importantes pour elle : elle se masturbe toujours en regardant des photos de ses ébats
Et les dernières maintenant remontent à pas mal dannées ! Nest-ce pas ma chérie ? " Voilà une répartie fort inattendue pour moi !
-" Oui, bien sûr mon chéri, jai besoin de ces photos, tu le sais ; Mais fais attention à ne pas offusquer Mathieu en donnant ce genre de précisions
". Puis sadressant à moi :
-" Nest-ce pas Mathieu chéri, ne prenez pas ombrage de ce que vous dit Philippe, même si cest la vérité, cela ne concerne que moi
Embrassez-moi plutôt, jaime beaucoup le goût de vos baisers
", fait-elle en me tournant le visage vers le sien.
Elle membrasse longuement, sans aucune gêne devant son mari debout devant nous, de lautre côté de la petite table du salon. Il fait encore quelques photos de nos baisers damants (Photo 1).
-" Profites-en bien ma chérie, embrasse-le comme tu aimes
Je vais servir le champagne ". Philippe contourne la petite table, vient vers nous, puis se penche sur son épouse et lembrasse passionnément dans le cou pendant que lon se roule une pelle, puis il repart vers la déserte à lautre bout de la pièce.
Hélène me prend dans ses bras et membrasse avec force et passion. Je ne mattendais pas à cela, autant de fougue chez une belle septuagénaire ! Il faut dire que je fantasme tellement sur les femmes plus âgées et surtout lorsque, comme Hélène, elles sont belles, avenantes et quelles prennent des initiatives.
La situation est tellement nouvelle pour moi
Et puis surtout cette décontraction du mari minterpelle, au point que je me dis que cela cache quelque chose
Tandis quelle membrasse avec ferveur et passion, je sens sa main qui monte vers la mienne. Elle la prend doucement et la redescend lentement vers son corsage. Oh oui, me dis-je, décidément elle prend les initiatives, vas-tu te laisser guider ainsi tout le temps ?
Il faut dire que pour moi cest une première expérience et que je suis un peu dans lexpectative de voir comment les choses "doivent" se passer ! Elle insinue ma main entre ses seins. Leur rondeur est magnifique et ils sont tendres et fermes à la fois. Elle na pas de soutien-gorge et pourtant ses seins sont très pointés et tendus. Mes doigts caressent le téton qui déjà est dressé
Ma bite dans mon pantalon se redresse encore. Elle le sent et appuie encore plus fort sur la bosse. Elle membrasse encore plus fougueusement avec un tout petit gémissement. Sans doute leffet de ma main sur ses seins ; à moins que ce soit la palpation de mon sexe à travers le tissu du pantalon
Philippe revient avec les coupes de champagne. Je retire prestement ma main du corsage de la belle. Il pose le plateau sur la table asse et sadresse à nous très gentiment :
-" Chérie, juste un moment pour une petite coupe avant que vous ne passiez aux choses plus sérieuses
Je comprends que tu sois très occupée et que tu apprécies beaucoup, mais il ne faut pas que ce soit au détriment de la convivialité !"
Puis il ajoute sans aucune gêne après un regard appuyé sur la bosse de mon pantalon : "Je vois avec plaisir que vous avez envie delle mon jeune ami, mais je serai heureux si avant, nous trinquions à votre bonheur
A notre bonheur devrais-je dire ! En tout cas merci davoir accepté notre invitation ".
-" Mais pas du tout, monsieur
cest moi
"
-" Philippe, je vous prie, mon cher Mathieu. Philippe. Jinsiste."
-" Bien. Philippe, je vous assure que cest pour moi un immense plaisir et que je ne me force nullement, Madame, enfin je veux dire Hélène
, est si charmante et si désirable !"
-" A qui le dites-vous, mon cher, je le sais mieux que quiconque ! "
-" Arrêtez grands fous, vous allez me faire rougir !", dit Hélène.
Là-dessus, elle prend ma tête dans ses mains et membrasse avec fougue, me redonnant la gorgée de champagne quelle garde dans la bouche. Jai les sens sens-dessus-dessous
Jai le membre qui me fait mal tant il est tendu et à létroit dans mon slip...
Elle me bascule sur le canapé, me chevauchant à demi et membrassant plus fougueusement encore
Je vois de nouveau le flash crépiter
Elle palpe ma bosse et maintenant elle a complètement pris en main mon membre à travers le tissu. Jai remis une main sur ses seins
Jentends Philippe qui ne sarrête pas de parler, comme sil se parlait à lui-même. Je suis incapable de comprendre tout ce quil dit tant je suis concentré sur ce que je fais avec la belle Hélène. Seulement quelques bribes parviennent à ma compréhension et je ne saisis pas toujours tout le sens de ce quil dit. Par exemple :
-" Vas-y ma chérie, ne te prive pas et je veux que tu en profites pleinement !"
Elle reprend ses initiatives : je suis couché sous elle et tandis quelle membrasse sans relâche, elle a ouvert mon pantalon, mais laissé la bite hyper-bandée dans le slip, comme pour se ménager un temps fort après celui-là, comme du plaisir à venir. Elle se frotte avec vigueur lentrejambe sur lénorme boursouflure de mon slip (Photo 2). En fait, elle se branle littéralement la motte et la fente à travers le tissu
Jentends sa respiration qui se fait plus courte en même temps quelle murmure de petits gémissements de plaisir. Lui, il continue photographier et de soliloquer :
-" Voyez-vous mon cher Mathieu, par contrat avec ma charmante épouse, jignore complétement les dessous quelle a mis sur elle pour vous draguer ce soir. Cest chaque fois pareil, je le découvre au moment où les choses se passent. Là, ce soir par exemple, je vois grâce à vos mains quelle na pas de soutien-gorge pour soutenir sa jolie poitrine ! A-t-elle mis un string, un slip fendu, une culotte ouverte, pas de slip
? Je ne sais pas !
Voulez-vous vous en assurer pour moi, mon jeune ami ? "
Cela me surprend beaucoup que le mari soit aussi " actif " par les mots et narrête pas de parler à lamant de sa femme tandis que celui-ci soccupe delle
Dans les rares expériences de ce genre que jai pu avoir par la suite - oh deux ou trois - le mari était purement spectateur, laissait faire les choses sans rien dire, se faisait tout petit, se contentant de regarder, comme pour se faire oublier
Là, jai affaire à un bavard qui commente et accompagne ce qui se passe !! De plus, tout en parlant, il prend des photos
Comme je suis tout à mon affaire dans les bras de la jolie Hélène, qui ne cesse de membrasser à bouche-que-veux-tu, il me repose la question :
-" Dites Mathieu, qua-t-elle mis entre ses jambes !". Hélène elle, a entendu puisquelle me prend la main et viens la placer entre ses jambes ; puis sans cesser de membrasser, ou à peine, elle me dit tout bas dans un souffle :
-" Réponds lui chéri !".
Je suis dans limpossibilité de dire quoique ce soit. Dabord parce que ma bouche est squatté par la langue de madame et parce que dans ces moments-là, je suis scotché à ce que je fais
Devant mon mutisme, Philippe passe derrière sa femme, soulève la jupe courte et commente :
-" Voyez, mon cher, cette fois elle na mis ni slip ni culotte
Dis chérie, cest super, tu lui offres tout en libre accès ! Il rit et il ajoute :
- " Je vois que vous y avez mis la main !
Allez-y mon jeune ami, caressez-là bien, elle adore ! Nest-ce pas chérie que tu aimes te faire caresser ta jolie fente ?... "
Je sens Hélène, qui tout à son plaisir, ne semble pas entendre son mari
Puis je lentends qui répond :
-" Oh, oui cest bon, mon Philippe
"
-" Bravo, chérie ! reprend Philippe avec enthousiasme. Jaime tentendre prendre du plaisir ! Tu sais comme je suis heureux quand toi tu jouis bien à fond ! ".
Puis, contre toute attente, elle me susurre juste dans loreille : " Tu caresses bien, chéri
Mets ton doigt dans le trou et branle-moi bien, chéri. Jaime ça !".
. Elle est à califourchon sur moi. Je passe ma main sous sa jupe, jusquà sa chatte. Celle-ci est chaude et très mouillée. Mes doigts sy promènent en toute liberté, fouillant les replis et glissant dans les trous. Il me manque de la voir, mais à défaut je suis obligé à plus de concentration et dimagination pour men révéler tous les détails. Je la branle doucement, deux doigts dans le trou principal et le pouce sur le bouton damour quelle a fort développé
Mes doigts glissent parfois du trou pour aller derrière, caresser lillet. Je sens la Belle haleter et souffler tandis quelle ouvre sont corsage, libérant ses seins magnifiques (Photo 2)
La montée du plaisir na pas échappé à lil attentif de Philippe :
-" Il va te faire jouir ma Belle
Tu aimes, hein chérie ?! Tu aimes quun jeune homme te branle et te fasse jouir ?... Tu aimes, hein ?
!".
-" Oui, cest bon, chéri
Il me branle bien
Jaime ça
!" répond Hélène, le souffle de plus en plus court.
-" Oh, oui chérie, je sais ; je sais que tu es faite pour lamour
Dis-nous quand tu jouis chérie, dis-le nous, que lon en profite aussi pleinement !!".
A son souffle, je sens que le plaisir monte en elle. Outre mes doigts dans sa chatte ouverte par le plaisir, elle me branle la bite par son ample va-et-vient au-dessus de moi. Le mouvement samplifie et je sens que je vais tout cracher dans mon slip. Pour éviter ça, je me force à porter mon attention sur sa jouissance qui monte plutôt que sur Elle retire doucement ma main de son entrejambe ; encore deux ou trois va-et-vient sur la bosse où elle se finit et elle éclate :
-" Aaaahhh !... Ça y est, je jouis !... Aaaahhh !... Putain, cest bon
Continue chéri, branle-moi encore
, narrête pas !! Aaaahhh !... Ça y est
, je décharge !... Putain, je décharge !!", et elle saffale sur moi effondrée par son plaisir. Je suis inondé au niveau de mes cuisses et du bas ventre de sa cyprine chaude. Mon slip aussi est trempé
-" Oui chérie, vas-y, libère toi bien et laisse venir ta jouissance
Jaime quand tu décharges comme ça
!". Puis sadressant plutôt à moi, il poursuit :
-" Ne vous inquiétez pas, elle décharge toujours abondamment quand elle a bien du plaisir et cela fait longtemps que cela ne lui ai pas arrivé, la pauvre chérie
Mais ce nest pas fini pour autant ! Allez venez sur le lit et vous mon cher Mathieu, enlevez complétement ce pantalon mouillé
Je vais le mettre sur le balcon pour quil sèche
Viens chérie, allons sur le lit ce sera plus confortable
"
Ce disant, il laide à se relever et va la faire asseoir sur le bord du lit de lautre côté de la table, tandis que je retire mon pantalon. Il lui donne une coupe de champagne. Il men offre une. Il sen sert une. Nous trinquons tous les trois. Je bois en observant Hélène qui, un instant sonnée par sa jouissance, refait surface doucement.
Au bout de deux minutes à peine, Philippe revenu du balcon minvite à rejoindre sa femme sur le lit :
-" Allonge-toi sur le lit dit-il à Hélène et écarte bien tes jolies jambes, ton bel amant va te sucer comme tu aimes
!"
Tiens, me dis-je cest lui qui décide ce que nous allons faire ? Curieux ! Cela confirme mon idée : cest un mari complaisant, mais aussi directeur et ce qui plus est, commentateur ! Je vois bien quil faut quil dirige et quil commente.
Bien que jai très envie de retrouver, au moins pour un temps, les baisers fougueux de mon amante, ne serait-ce que pour faire durer le plaisir, je mexécute cependant de bonne grâce, tandis que Philippe photographie tout de la scène.
Elle a écarté ses jolies jambes. Vue, splendide un bref instant avant dy fourrer ma tête : je peux enfin voir sa jolie vulve. Cette dernière est magnifique, en accord avec la personne : fine, longue avec de délicats replis dans les limbes qui donnent envie dy fouiller. Elle est très humide et lisse, sans poils, juste une petite touffe au-dessus du pubis, sans doute colorée artificiellement en blond vénitien. La chatte est bien ouverte, comme si elle venait dêtre pénétrée. Le clitoris est encore bandé et fait une belle saillie aux commissures des petites lèvres, longues et bien festonnées. La coquine a une très belle chatte qui na rien à enviée à celles de beaucoup de trentenaires. Et de plus, elle sent très bon la Femme
Je lattaque de la langue juste au niveau du trou à bites. A petits coups répétés, ma langue sefforce délargir lentrée pour sy darder le plus avant possible. Je la pousse encore dans lantre chaud et mouillé, je titille le trou à pipi par de petits coups de langue. Frottant le clitoris du bout de mon nez, je sens lentrée du con frémir. Je vois les lueurs violentes du flash de Philippe qui photographie sans relâche.
La jolie coquine mouille abondamment je sens sa cyprine qui sécoule doucement de lintérieur du trou jusque sur ma langue
-" Mon cher Mathieu, je vous préviens si elle recommence à mouiller, elle va décharger de nouveau en abondance et vous allez en a voir partout !"
Cela mest égal den avoir partout, me dis-je
Je redouble mes coups de langue et je linsinue plus profondément dans le vagin grand ouvert, tandis que dun doigt, je mintroduis doucement au trou de derrière. Plusieurs soubresauts lagitent. De sa main droite, elle porte deux doigts à son clitoris quelle branle frénétiquement un bref instant et elle décharge, soulevant ses fesses du lit comme mue par un ressort
Plusieurs jets brûlants marrivent sur le visage au point quinstinctivement je me retire.
-" Je vous ai prévenu, mon cher ami!" dit en riant Philippe
Hélène rouge et haletante se relève sur ses coudes, les cuisses ouvertes. Mon visage mouillé, lamuse.
-" Excusez-moi mon cher Mathieu, mais vous êtes tellement formidable que ce nest pas facile de se contrôler ! Vous sucez formidablement bien
Oh, oui !... Merci". Et quittant sa position à demie allongée, elle se penche vers moi menlaçant les épaules et membrassant fougueusement.
-" Hélène chérie
Ce serait peut-être un peu à toi de toccuper plus précisément de notre invité
"
-" Avec plaisir mon chéri
Cétait très, très bon, tu sais
!"
Elle se remet debout et minvite à faire de même. Puis elle saccroupit à mes genoux et sans plus de formalités, baisse complètement mon slip. Mon membre y est comprimé et frotté depuis plus dune demi-heure et le libérer est pour moi un soulagement. Baissant mon slip au niveau de ses yeux, elle le fait jaillir à son nez. Il sort avec la rapidité dun diable de sa boite, amenant son effet de surprise
-" Magnifique !" dit-elle dans un souffle comme pour elle-même. Et sapprochant doucement de la bite dressée à fond, les yeux fermés, elle caresse doucement la hampe du bout de son nez.
Evidemment, la surprise joue aussi pour Philippe qui y va de son commentaire :
-" Eh bien dis-donc, chérie ! Voilà un très joli morceau, nest-ce pas ? Tout ça pour toi ! Tu vas bien en profiter, Hélène chérie
Des bites comme ça tu nen verras pas tous les jours ! Mon petit Mathieu, elle est superbe !... Tu apprécies, nest-ce pas ma jolie ?..."
-" Oh, oui chéri ", répond-elle assez machinalement
-" Une bite denfer ! Et puis bandée à mort !...Tu as envie de la sucer
, hein chérie ?"
-" Oh oui
!"
-" Alors suce-la, chérie. Suce-la bien
Caresse et lèche bien les couilles aussi en même temps
"
Accroupie à mes pieds, Hélène prend lengin en bouche. Sans vouloir en rajouter sur la taille de mon membre, sa bouche souvre à peine assez pour lenfourner complètement
Elle suce merveilleusement bien en aspirant juste au moment où elle pose le bout de sa langue sur la papille du gland
Elle branle aussi doucement la hampe en même temps
Cest super bon. Mais je crains de décharger rapidement si cela se prolonge trop longtemps
Philippe sest approché delle il est tout près de son visage et de ma bite par la même occasion
Et il la regarde sucer avec un plaisir non dissimulé. Mais il va de nouveau prendre linitiative :
-" Tu suces bien chérie, cest magnifique, mais je sais que tu as besoin de te caresser en même temps
Mathieu, asseyez-vous sur le bord du lit, voilà comme ça et toi chérie, tu vas te mettre debout et te pencher pour le sucer le bel engin de Mathieu, comme ça, il pourra te caresser en même temps
".
Nous nous mettons comme il dit : je suis allongé sur le dos sur le lit, elle suce par le dessus ma bite dressée et tendue, ce qui nest pas plus mal (Photo 3). Je passe ma main sous sa jupe retroussée, jengage un doigt dans sa fente et autre sur le clitoris, lui aussi, il est "bandé à mort". Elle gémit doucement tout en continuant de sucer ma bite dressée avec délectation. Malgré ses 70 ans passés, elle mouille encore beaucoup et mes doigts glissent avec agilité dans sa fente ouverte
Philippe se positionne pour mater par derrière lintimité de la belle Hélène. Je sens que par moment, elle fléchit doucement les genoux pour permettre à mes doigts, de pénétrer davantage sa fente
Bientôt, fléchissant sur ses jambes, elle sécroule sur moi en déchargeant de nouveau, mais dans mes doigts cette fois :
-" Ça y est, je jouis !... Je décharge encore !... Aaaahhh !... Chéri, branle-moi encore
, narrête pas !! Ah que cest bon !!"
-" Cest magnifique, mes amis
, reprend Philippe. Je suppose Mathieu que tu nas pas envie de décharger maintenant ?... Quand je dis, pas envie, je me comprends, cest plus exactement : pas lintention, devrais-je dire, nest-ce-pas ? "
-" Oui, cest cela !... Cest exactement ça", dis-je encore sous le charme de la jouissance de la Belle. Je maperçois quil est passé au tutoiement. Je me dis peu importe.
-" Mathieu, je sais de quoi elle a envie maintenant
Toi, tu nas pas une petite idée ? ". Certes non, je nen ai pas
Je reste muet. Nu, la bite toujours au garde à vous, je me sens un peu ridicule devant ce monsieur en costume de ville et souliers vernis qui me questionne sur les fantasmes sexuels de son épouse
-" Eh bien, elle adore chevaucher son amant et se branler la chatte sur le membre de son partenaire
Un peu comme elle la fait tout à lheure quand elle est venue sur toi
Mais attention : cette fois il ny a pas lobstacle du slip, donc, vigilance, on nentre pas dans le trou, hein
on reste dehors si tu vois ce que je veux dire ! On ne pénétrera quensuite avec les précautions dusage. Tu vas tallonger sur le lit et notre Hélène va venir sur toi et se mettre comme elle aime
Ça te va ? "
-" Oh oui, bien sûr "
Bien que je pense à ce que va devoir encore endurer ma bite à être ainsi frottée sur lintérieur des lèvres sexuelles de la jolie mature
Je me mets en place. Elle vient au-dessus de moi, comme ce fut le cas sur le canapé, me chevauchant, les jambes très écartées. Elle sarrange pour que mon engin soit entre ses lèvres écartées, le gland juste à frotter le clitoris. Elle sallonge sur moi, ses seins frottent ma poitrine, et elle commence son va-et-vient. Jai la bite en feu
Elle mouille abondamment et le membre glisse davant en arrière de la fente avec une grande facilité. Trop facilement même, car il a une "fâcheuse tendance" à simmiscer dans le trou à chaque aller et retour
La vieille coquine halète et soupire doucement. Passant une main derrière ses fesses, je lui titille lillet dun doigt. Les halètements redoublent
Je fais tout pour quelle jouisse à fond le plus vite possible sinon je vais lui crépir le fond du vagin
Surtout avec sa jolie poitrine qui me frotte le torse à chaque va-et-vient.
Elle se penche à mon oreille et me susurre :
-" Oh oui, chéri caresse-moi bien comme ça cest bon
Tu me branles bien ! " Et elle me roule une pelle denfer (photo 4)...
-" Elle adore ça !", dit Philippe qui mitraille à qui mieux-mieux avec son appareil.
Encore 3 ou 4 va-et-vient et elle part en vrille, se soulevant et sarcboutant sur ses genoux au-dessus de moi, pissant littéralement sa cyprine en jets brûlants qui minondent le bas ventre et le buste :
-" Ahaaah salauds
, je jouis
! Tu me tues
Je décharge comme une folle
Je meurs ! "
sans la laisser finir, Philippe en profite pour enchaîner :
-" Chérie, tu as envie de te faire prendre
, hein, chérie ? Tu veux te faire baiser, là, maintenant ? "
-" Oh oui, Philippe chéri, oui
Sil te plait ! " Et pendant quelle termine sa jouissance elle me dit à loreille : " Prends-moi mon beau chéri
Viens, prends-moi bien au fond, jen peux plus dattendre
Tu es un amant merveilleux !"
Ça fait toujours plaisir, je dois lavouer !
En réalité lorsquelle sappuie de nouveau sur moi à la fin de sa jouissance, sa chatte sans doute dilatée par le plaisir, senfile tout naturellement sur ma bite, se baisant ainsi toute seule, jusquau fond
Oh là, quel supplice cest pour moi : si je ne la maintiens pas plaquée sur moi de mes mains et de mes jambes, afin de lui éviter le moindre mouvement, je vais tout lui envoyer dans le fond du con.
-" Tiens, mon cher Mathieu
Prends ça et enfile-le bien avant la dernière ligne droite
" me dit Philippe en me tendant un préservatif. Manifestement, il ne voit pas que mon vit bandé à fond est entré au chaud !...
Avec douceur et précautions, je décolle de moi la jolie septuagénaire. Je la désenfile discrètement de ma verge énorme et tendue. Dès que celle-ci est sortie de la fente, la vieille coquine laisse échapper un flot de cyprine que ma bite dilatée tenait comprimée dans lantre du con. Je suis de nouveau inondée
Hélène, sans doute pour me remercier, tient absolument à mettre le préservatif sur ma bite tendue. Elle en profite pour la sucer un peu. Je la repousse car je ne veux pas risquer de tout lui envoyer dans la bouche et je tiens autant quelle à la baiser. Jaime trop les jolies femmes mûres et même bien mûres, pour me priver du plaisir de les baiser bien à fond, comme cest ici le cas dHélène tant elle est avenante et experte
Pour moi, même vue de mes 40 ans de lépoque, elle vaut nimporte quelle trentenaire !
La voilà qui menfile le préservatif de ses longs doigts subtils. Tandis que Philippe prends encore de nombreuses photos, elle se glisse sur le dos, sécarte au maximum, je présente mon membre couvert au trou du con. Je ly enfonce doucement et délicatement tant ma jouissance est proche
Mais hélas rien ny fait et dans le mouvement où je lenfile, je décharge dans le préservatif
Quel plaisir libérateur, mais je suis encore tellement bandé, que je la lime encore de nombreuses minutes, comme ça, à la missionnaire, la faisant monter encore deux fois aux anges
Et que fait Philippe sur cette toute fin des opérations ? Dès que je prends Hélène comme je viens de le dire, il passe derrière moi et fait quelques photos de sa merveilleuse femme, le con complètement bouché et dilaté (Photo 5). Puis il me dit :
-" Mathieu, pour le final écarte bien les jambes mon cher, que je vois comment tu la prends. Tu sais cest un plaisir pour moi de voir comment elle se fait baiser et comme elle jouit
Et puis, jai ma botte secrète pour la faire grimper aux rideaux encore une dernière fois
Tu vas voir ce que ça lui fait
"
Et en effet, je vois tout de suite leffet produit. Sa botte à lui, cest de lui mettre un doigt dans le petit trou pendant que lautre, le grand, se fait prendre ardemment par une belle bite. Et là, elle jouit comme jamais. Elle me mord la bouche, lépaule, les oreilles. Elle décharge encore en abondance, mouillant le drap et ma bite toujours bandée
Nous restons ainsi lun dans lautre un long moment. Mêlant nos langues dans de profonds baisers
Puis nous nous relevons et Philippe nous invite à de nouvelles libations au champagne
Hélène parait complètement vidée, ce qui nest pas étonnant tant elle a déchargé ! Elle ne me quitte pas des yeux, semblant me dire quelle aurait voulu que cela dure encore
Philippe toujours égal à lui-même, ne tarie pas déloges sur sa belle
Il relate avec force détails ses habitudes sexuelles, au point que jen suis gêné.
Hélène prend le prétexte de passer un déshabillé et séclipse un court instant dans la salle de bain. Elle revient sasseoir tout prêt de moi sur le bras du fauteuil que joccupe
Le déshabillé est très transparent et elle sarrange pour que je puisse glisser mon regard entre ses jambes magnifiques
Je recommence à bander et jen profite pour reprendre rapidement mon slip. Philippe me dit :
-" Mon cher Mathieu
Je vais aller chercher votre pantalon, il doit être sec !"
Il revient en le tenant sur son bras et me dit :
-"Je vais lui mettre un petit coup de sèche-cheveux pour le sécher complètement
" Et il va dans la salle de bain.
A cet instant, Hélène me tend un petit papier et me dit.
-" Cest pour toi Mathieu chéri. Je voudrais tant te revoir dès que tu pourras. Nous deux
. En toute intimité
Nous serons sur Paris fin septembre. Tu es vraiment un amant magnifique ! " Et elle membrasse fougueusement, mettant sa main sur mon slip. Elle me regarde comme pour me dire : " Tu bandes encore mon petit salaud
mais tu me fais le même effet ". Elle me prend la main et la porte à son entrejambe chaud et humide, tandis quelle membrasse de nouveau
Philippe revient et me tend mon pantalon :
-" Allez mon jeune ami
Voici votre pantalon ! Ce fut un moment formidable
Hélène et moi vous remercions davoir accepté notre invitation. Le plaisir est avant tout pour nous
Et qui sait peut-être à une autre fois
"
Il ne croyait pas si bien dire !
Je prends donc congé, non sans avoir une nouvelle fois embrassé la belle
Dans lascenseur je prends le temps de lire le billet que ma remis Hélène. Elle y a inscrit :
" Mon cher Mathieu, mon bel amant
Voici ladresse dun salon de thé où jai mes habitudes
Passez-y entre le 5 et le 8 septembre. Je vous y laisserai un mot. Demander Noëlle de la part dHélène. Cest une amie sûre
"
Je lai revue la belle Hélène et de nombreuses fois ; et ce, durant plusieurs années. Même souvent à trois avec son amie Noëlle du même âge quelle ou à peu près
Ce fut formidable !
Mais ça, comme lon dit : cest une autre histoire
Je pense que Philippe ne fut jamais au courant de nos rendez-vous secret.
On a beau être sympathique, directif, arrangeant, aimer les commentaires et consentant (en 1 seul mot !), quand on est cocu, on est cocu ; il ny a rien à faire !
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