La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1017)

Alain au Château – (suite de l'épisode précédent N°1016) –

Je reste concentré sur le verre et je corrige tout le temps ma position de sorte qu'il ne coule pas, qu'il ne tombe pas... C'est alors que j'aperçois d'autres esclaves rejoindre le petit groupe où je suis, mâle ou femelles, visiblement selon l'affinité de la personne qu'il va servir. Du coin de l'œil, je peux voir que les coupes sur leur plateau ont été changées par différents petits objets manifestement très pervers tel un gant fait de cuir dont l'extérieur semble fortement rugueux et équipé de petites pointes brillantes. Malgré ma concentration sur la coupe devant moi, je peux remarquer et sentir la présence de ma formatrice juste en face de moi. Ceci provoque un grand bonheur, un grand soulagement, je me sens rassuré bien que... je me sens aussi fortement anxieux et terriblement excité car cette combinaison, Maîtres, esclaves et jouets sexuels, présage de longs et excitants moments de douleurs et grands plaisirs. Chacun des Invités privilégiés de Monsieur le Marquis choisit son ou ses accessoires favoris, savourant longuement le tri du petit matériel et forçant une ferme traction sur les chaînes dorées reliées aux tétons déjà rouges et gonflés. Je perçois de suite l'énergie et la force silencieuse de soumission comme chacun des esclaves s'offre avec gratitude, le visage heureux, souriant et reconnaissant.

La chienne soumise MDE du Maître est au service et avec un homme plus petit qui exhibe quelques décorations militaires. Je peux sentir sa ferme autorité. Aphrodite MDE est de suite tourmentée par le gant de cuir qui est plaqué entre ses jambes, par-dessus la peau douce et lisse de son ventre pour remonter vers sa poitrine et se refermer sèchement sur son sein gauche. Cette main pétrit douloureusement la généreuse mamelle tandis que l'autre est affairée à introduire de petites boules dentées entre les grosses lèvres vaginales gonflées d'excitation. À ma grande surprise, ma formatrice semble imperturbable et son visage irradie toujours la même joie malgré ce vicieux tourment qui semble si imposant.

A l’évidence, elle a été longuement initiée, dressée à n’émettre aucun son, aucun cris, à être ce jouet sexuel … Ses yeux semblent vides... ou complètement comblés, mais je sens toujours sa présence sur moi, m'observant, me conseillant en silence et me rassurant.

Mes efforts doivent décupler lorsque je sens la main du Maître commencer à branler cette dure nouille luisante qui LUI appartient. Les caresses sont lentes et langoureuses, expertes. Je dois contrôler ce plaisir qui grimpe de façon vertigineuse. Le Châtelain prend aussi plaisir à pincer mon gland violacé, à serrer mes couilles, à tordre ma hampe jusqu'à ce que la noble main disparaisse. Le groupe d'Invité continu sa conversation qui a, maintenant, dévié sur les plaisirs pervers et sadiques. L'un après l'autre, ils racontent quelques anecdotes de Domination et de perverses s sexuelles avec le plus de détails possibles. Lorsque l'Homme que je suppose militaire, prend la parole, il joint ses gestes à sa parole, s'appliquant à expliquer chacun de ses détails par ses manipulations sur le corps offert de ma formatrice. Je peux voir la main libre pincer chaque mamelon, les étirant, les serrant et les tordant. Sa rugueuse et piquante main gantée a disparu à hauteur de ses magnifiques fesses, pour être insérée entre elles sans ménagement. De petits soubresauts révèlent la divine cruauté du traitement mais le visage d'Aphrodite MDE montre toujours, si pas plus, une gratitude bienfaisante, toujours sans aucun son ne sortant de sa bouche...

La noble main réapparaît sur ma dure tige de chair gonflée pour Lui, mais le contact est différent. Ce n'est plus sa délicieuse peau ferme qui masse ma nouille. Je peux sentir un contact froid, métallique et piquant, ce même terrible gant qui explore tous les recoins offerts de ma formatrice. Un léger sursaut fait osciller le verre et tout mon être se concentre pour rétablir le calme. Je concentre tous mes sens sur cette coupe, j'essaie en tout cas car mes oreilles se dressent à chaque mot excitant qui est capté, ma vue se prolonge derrière la coupe de champagne vers ma formatrice, la chienne de ce chiot-soumis que je suis humblement, le modèle comme tous ces esclaves ici présents qui irradient de pleine soumission, d'un bonheur immense.
Tous, sans un mot ni un regard, m'envoient ce courage, cette force dont j'ai tant besoin. Un second souffle m'est offert tandis que ma nouille est en feu par les piquantes démangeaisons provenant du gant divinement pressé contre ma chair. Je sens cette union dans la douleur et le plaisir qui me renforce et qui terriblement m’excite. Je redouble d’effort pour ne pas éjaculer sur place...

Le Militaire semble forcer puissamment un tube de caoutchouc bien trop gros enfoncé par la voie anale d'Aphrodite MDE, tandis que l'effroyable gant fait son chemin dans son vagin déjà bien rempli des petites boules machiavéliques. C'est comme si l'Homme tentait de rejoindre ses deux mains sans se tracasser du chemin à parcourir à travers les chairs sadiquement torturées. Je peux voir l'Homme saliver abondamment n'ayant d'égal que les lèvres vaginales de la soumise qui ruissellent tout autant… Oui, visiblement le masochisme d’Aphrodite MDE est mis en exergue et elle ne peut cacher son excitation par sa cyprine qui s’écoule le long de ses cuisses. Et tout à coup, je perçois le Maître, la tête haute, me regarder fixement, IL m'adresse la parole et me fait prendre conscience du petit groupe qui rit maintenant du vilain petit chiot-soumis non formé. Sa main accélère le rythme, augmentant la plaisante malicieuse dans la chair gonflée. Je n'arrive plus à me concentrer, mes yeux errent parmi tous les visages sadiques, pervers, vicieux des Invités, les remarques pleuvent et la honte m'envahit de plus en plus.

- Si tu craches ta vile semence, tu sais que tu seras puni mais tu dois savoir que si tu ne jouis pas pour plaire à mes amis, tu seras puni.

Le Maître est trop bon expert dans ses jeux sadiques, les mains expérimentées et quelques mots de plus murmurés à mon oreille et je sens ma semence de chiot-soumis bouillonner. Tandis que mon corps lutte atrocement pour contrôler un puissant tremblement, je peux voir la joie vicieuse autour de moi. Deux hommes font même des paris.
Je suis la bête de foire malgré moi et je voudrais tant retourner dans mon cachot, dans la cage. Dans ce petit cercle débordant de malice perverse, je peux distinguer maints ronronnements en plus du mien. À travers le voile de larmes, j'entrevois le merveilleux visage de ma formatrice qui semble lutter péniblement pour contenir une jouissance proche, son délicieux tourment est si grandiose que ses yeux semblent vouloir sortir de leurs orbites, ses lèvres crispées montrent des traces d’une retenue extrême à la jouissance. Malgré cela, son attrait maternel est toujours si délicieux envers ma petite personne...

La noble main précise ses caresses et je suis perdu. J'arrive à peine à concentrer mes yeux sur le verre, ma vue devient floue. Je peux apercevoir le verre disparaître du plateau tandis que la main s'immobilise sous mon gland qui est de plus en plus serrer pour, dans une fraction de secondes, se desserrer ce qui produit en moi une montée en puissance de mon foutre alors, ne pouvant pas contrôler mon éjaculation, je ne peux m’empêcher de gicler ! Mon corps s'agite de tous les côtés, ma vue se trouble et je pompe longuement dans le poing qui a pris maintenant possession de mon dard de chiot-soumis sous les cris de joie et les encouragements. Je ne peux retenir des gémissements jouissifs quand mon foutre s’échappe par des jets saccadés… Je suis épuisé, je suis réellement perdu... Un rapide mouvement de tête, mais je ne vois plus ma formatrice et je lui lance un puissant appel muet. La ferme main gantée toujours autour de ma nouille palpitante, le Maître me conduit au centre de la pièce sous les regards amusés, ironiques de tous les Convives qui s'écartent avec des moqueries qui fusent à mes oreilles. Je suis devant une table, le buste penché en avant, les jambes largement écartées tandis que mon bâillon est retiré… Sur la table se trouve une incroyable série de différents fouets malicieux et je peux voir, juste derrière, les deux hommes qui avaient parié.
L'un deux, le perdant, saisit le plus petit fouet et puis disparait de mon champ de vision pour faire sentir sa présence par de violents coups sur la croupe, le bas du dos et les cuisses, ne laissant aucune parcelle abandonnée. J'essaie de me concentrer pour bien me comporter, ne pas bouger, surtout ne pas crier, simplement accueillir cette délicieuse punition.

Mes yeux sont rivés devant moi. Derrière la coupe de champagne presque vide du Maître et dans laquelle je peux voir une belle quantité de crème visqueuse, du jus de chiot-soumis, je comprends que le Noble a recueilli mon sperme dans la flute à champagne… Je peux discerner une formidable déformation dans le pantalon du second homme. Cette vue récompense ma bonne tenue. La rossée dure une courte éternité et le gonflement sous mon nez grossit à chaque seconde. Deux mains saisissent un fouet plus vicieux, je reconnais celles du Maître. Sans aucune interruption, je sens les volées durcir. Le Noble a pris la relève, assurant des coups plus puissants, mieux ciblés et je sens les larmes monter dans mes yeux, rendant cette bosse démesurée maintenant floue. Les cris et les acclamations, les applaudissements et les hurlements remplissent la salle. J'ai perdu toute notion de temps, même le nombre de coups reçus.

A un moment donné, je sens un imposant vide, la rossée est terminée. Sans prévenir, le gagnant du pari vient chercher sa récompense. Le plug est violemment arraché et instantanément remplacé par un membre de chair de bonne taille. Les poussées sont violentes, je subis alors une véritable et délicieuse saillie à la hussarde, jusqu’à la garde je suis sodomisé sans préambule. Rarement des coups de reins d’une puissance inouïe m’auront autant besogné quand ils se terminent rapidement par de nombreuses saccades de chauds jus qui viennent se mélanger à la noble semence pour me nourrir le fondement. Le Dominant reste immobile, planté en moi en coït anal un long moment où il en profite pour me pincer mes petits tétons de petit chien, ses bras m’ayant enlacé le torse durant son profond coït… Il se retire au bout d’un moment et pour éviter toute perte, le plug est replacé d'un coup sec, si brusquement qu'il semble déchirer mes entrailles. Mon corps est droit et ma tête renversée vers l'arrière. Je distingue à peine la coupe dressée devant mes yeux mais je peux sentir ce parfum caractéristique lorsqu'un fluide visqueux tombe dans ma bouche. Dans un brouillard, j'entends l'ordre d'avaler mon propre foutre alors qu’on me le déverse dans ma cavité buccale. Aussitôt fait, ma langue est mise dehors pour nettoyer la coupe… Malgré mon éjaculation de tantôt, cette sodomie et aussi être à avaler mon foutre m’ont apporté une nouvelle et rapide érection que je ne peux réprimer… Lorsque je reprends conscience de l'endroit où je suis, je suis entre des douces mains connues. Tous les Invités sont passés à table et la tendre Aphrodite MDE, ma formatrice me conduit dans les soubassements, vers notre cage…

(A suivre...)

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