Une Tranche De Vie 14
Au club + Bain de minuit AL raconte
Samedi 22 aout 1981
Naturellement chez les amis, nous étions en retard. Nous étions une douzaine. Nous saluons tout le monde, avec la bise classique aux femmes et une poignet de main aux hommes. Comme à lhabitude, lapéritif se prend debout, ce qui permet aux invités de se regrouper par petits groupes et de tourner dun groupe à lautre. Enfin le dîner est annoncé et tout le monde se met à table. Le repas fut agréable, chacun y allant danecdotes, de blagues du temps ou nous étions en France ou autres lieux pour certains. Nous étions jeunes, plein de vie, despoir et lavenir ne nous souciait pas trop. Le dîner terminé tout le monde prit la direction du club de nuit ou nous devions retrouver certains de la bande dont B et Véro.
En fait ils navaient pas pu venir étant invité ailleurs pour un dîner qui avait de fortes chances de se terminer tard. Jétais relativement dépitée, pensant que B aurait pu nous, enfin me prévenir. Je pense que Jean saperçut de cette contrariété et après avoir salué tout le monde, il minvita à danser et après quelques slows bien collés et très frottants et ce que nous avions fait avant le dîner, je commençais à méchauffer et je senti quil en était de même de Jean.
À un moment jétais tellement excitée que javais failli accepter la proposition de Jean de se rendre sur le parking pour y baiser. Cependant, je métais rattrapée à temps en lui disant que javais passé lâge de faire ce genre dexercice en plein air et quil y avait certainement des filles autour du club qui se prêtaient volontiers à ce genre de sport. Vers minuit nous avons quitté le club et prenions la voiture pour rentrer. En sortant du parking je dis à Jean de prendre à gauche vers la plage.
Jean : « On va à la plage ? »
Al : « Oui, à moins que tu préfères rentrer à la maison ? »
Jean : Non, mais je suis surpris. Un bain de minuit. Tu as amené un maillot ? »
Al : « Non pas de maillot, tu nest pas tenté.
Jean : « Je tadore »
Il mit sa main sur ma cuisse et commença à me caresser et à remonter lentement je le laissais faire et me dit : « Tu pourrais remonter ta jupe. » Je la remontais et jécartais légèrement les cuisses pour le laisser sapprocher de ma chatte, sans quil puisse encore y accéder. Pendant quil me caressait, en mettant la main sur son entrejambe, je constatais que la bosse était bien là, et je lui en fis compliment. Nous arrivions à la hutte. Nous sommes descendu, et y sommes allés directement. A peine arrivée la fermeture éclair ouverte jétais entièrement nue et Jean était collé contre mon dos. Javais mes mains sur ces mains qui malaxaient mes seins, puis descendirent sur mon ventre enfin il glissa une main entre mes cuisses que jécartais de façon à lui donner un accès facile à mon intimité. Je me penchais en avant, il en profita pour menfoncer deux doigts dans ma chatte alors que le pouce titillait mon petit trou. Il ressorti ses doigts trempés de ma mouille pour humidifier mon petit trou. Recommençant plusieurs fois son manège pour enfin en senfonçant dans mon minou senfoncer également dans ma rosette. Je manifestais assez bruyamment mon plaisir ce qui excitait Jean et le confortait dans son action. Je le suppliais, de me prendre, je voulais sentir ses va et vient en moi, mais il me dit : » Avant je veux que tu me suces ». Je me mettais à genoux et le pris en bouche, au bout de quelques aller et retour je lui demandais « Tu veux prendre ma bouche »
« Non pas maintenant, mais suces moi bien et fais toi plaisir ». Il savait que le suçant jaimais bien me caresser et me pénétrer. Ce que je fis.
Je commençais à nêtre quune envie, quil me prenne ce quil voulait, mais quil me prenne. Je quittais sa queue qui avait bien durci et je lui dit « Prends moi, vite, je te veux, viens, prends moi comme ça » Je le suppliais, de me prendre, je voulais sentir ses va et vient en moi.
« Oui, jai envie de toi, montes moi dessus, je veux te sentir me monter » Il se laissa tomber derrière moi, parcouru avec son sexe le sillon de mes fesses pour enfin venir se présenter dans ma moule ouverte et ruisselante. Je le prenais et le guidais en moi. Enfin mon chaud fourreau était plein de lui et laccueillait enfin. Me tenant par les hanches il commença à me travailler « à mastiquer le minou » comme il disait quelque fois. La pression montait, quand tout à coup, il sortit de moi. « Non, non, continues, ne tarrêtes » En fait il remonta le long du sillon de mes fesses et il me dit :
« écartes tes fesses, je veux prendre ton cul »
AL : « Non, pas maintenant, continues dans ma chatte »
Jean : « Jen ai envie, ouvres toi »
Tout à coup jen ai eu envie. Jécartais mes fesses et les ouvris, il se présenta sur mon petit trou et mayant préparé avant avec son pouce il commença à senfoncer lentement, et fermement jusquà ce que je mouvre et laccueil complètement. Il se mit à me ramoner régulièrement, je sentais le plaisir monter. Je glissais ma main droite entre mes cuisses dans mon minou et je me masturbais suivant le rythme imposé par mon mari.
Jean : « Je sens que ça vient » et il continua à me ramoner quelques secondes encore et explosa pendant que mes doigts se trempaient de cyprine. Et que le cri que je poussais exprimait ma jouissance, en espérant quil ny ait personne dans les environs. Faute de quoi, ils nauraient pas besoin de dessin pour deviner sur ce qui ce passait dans cette cabane.
Je me laissais aller au sol, Jean sécroula sur moi et il me prit la main et se mit à sucer, lécher mes doigts qui sortant de ma moule étaient plein de cyprine, ce qui me fit couler de plaisir, javais encore limpression de lui faire lamour. Cela faisait longtemps que nous navions pas baisé avec cette intensité. Jen avais les jambes flageolantes et je devais me coller à lui pour me relever et rester debout, ce qui était très agréable sentant entre autres, son sexe encore contre mon ventre mes seins sécrasant sur sa poitrine et ses mains me caressant les fesses.
Je lui dis : « Ça fait longtemps que tu ne ma pas fait lamour comme ça. Je tadore. »
Il ma pris par la main et sommes allés plonger dans locéan et nager quelque temps. Leau était agréable et nous avons barboté comme des gamins et avons décidé de rentrer en nous chahutant, on se poussait on sarrosait comme des gamins. Arrivant au bord de la plage, mais encore dans leau, je tombais dans leau, Jean vint sur moi et me dit :
Jean : « Je taime »
AL : « Moi aussi, je taime, même plus »
Alors je sentis sa trique contre ma cuisse,
AL : « tas envie »
Jean : « Oui, et toi »
AL: « Viens » Je le pris et le dirigeais en moi pour quil me prenne. Il commença son va et vient, rapidement et tout dun coup je sentis que jallais jouir, je me cambrais pour quil me prenne entièrement et complètement, il se vida. Cétait bon, ce nétait pas lexplosion de toute à lheure, mais une jouissance amoureuse, qui vous prenait les sens.
Jean maida à me relever et on se dirigea vers la voiture. Je navais pas le courage de me rhabiller, je menveloppais vaguement dans ma robe, Jean passa un pantalon, espérant quon ne rencontre pas de flics.
Nous sommes rentrés tranquillement à la maison, un peu fatigué par cette soirée pleine dimprévues.
Le dimanche le temps était maussade nous sommes restés à la maison. Jean avait de la paperasse à faire et moi des copies à corriger.
Une visite impromptue - Jean raconte
Jeudi 27 aout 1981
Jétais au bureau en train de bouffer de la paperasse quand ma secrétaire après avoir frappé à la porte entra pour me dire : « Chef Madame Véro veut vous voir »
« Fais la rentrer »
Effectivement lélégante Véro entra vêtue dun joli corsage très sage rose et dune jupe jean trapèze arrivant au niveau des genoux et qui se fermait par de gros boutons blancs L ensemble était agréable à voir et faisait très femme daffaire élégante. De plus elle tenait à la main un porte document.
Pendant ce rapide coup dil, je me levais pour la saluer. Véro suivit des yeux le départ de ma secrétaire. Celle-ci disparut elle vint se coller à moi « Ca fait presque trois semaines que je ne tai pas vu »
« Jétais un déplacement au siège et ça a duré plus que prévu »
« Tu aurais pu passer au magasin en arrivant »
Alors je lui dit en rigolant :
« Ou, et on aurait pu avoir ce dialogue avec ta secrétaire : Bonjour je veux voir Madame Vero »
« Oui, cest à quel sujet ? »
« Je viens juste pour lui brouter le minou. »
et elle maurait réponds, « Madame Véro est occupée, mais je peux la remplacer »
Véro : » Tu es un goujat »
Moi : « Cest pour ça que tu mas choisi. »
Pendant cet échange, elle avait ses bras autour de mon cou, moi les mains sur ses hanches, mais nos deux bassins étaient restés collés et je lui dis : « Je sens que quelque chose croit entre nous »
Véro : »Je pourrais peut-être men occuper ? Est-ce que ta secrétaire ne risque pas de venir ?» Je me dirigeais vers la porte de communication et louvrant je dis à ma secrétaire : « pendant lheure qui suit, je ne veux pas être dérangé, personne, compris » « Elle me répondit « Daccord Chef »
Véro : « On ne sera pas dérangé ? »
« Ne tinquiète pas, elle a empêché un secrétaire des TP dentrer »
Avec Véro on se recolla et Véro reprit : « Tu parlais de brouter quoi ? Je pense que cest le moment, je sens que la touffe shumidifie »
Moi : « Assieds toi sur le bureau, relèves ta jupe et montres moi cette jolie moule »
Ce quelle fit et je maperçus quelle avait un joli slip quasiment transparent. « Mais, tu caches ta chatte ? Ce nest pas dans nos habitudes.»
Véro : « Je ne pouvais pas venir nue sous ma jupe, jai mis le plus petit que jai pu trouver, mais tu peux lenlever»
Moi : « Mets toi sur le bureau exceptionnellement je vais te lenlever et tu écartera largement les cuisses pour me montrer ta chatte »
« Oui, dénudes ma chatte et je vais mouvrir à toi » Cest ce que je fis, elle sera les jambes pour me permettre de lui enlevé son petit slip et aussitôt après elle écarta largement les cuisses me donnant une belle vue sur sa chatte.
Véro se laissa glisser du bureau et me dit : « Laisse moi, jai envie de te sucer, de goutter à ta queue, pour me faire pardonner »
Mon attirail fut rapidement mis à lair et elle entreprit de le prendre en bouche et commencer un pompage énergique. Elle avait des lèvres douces et enveloppantes qui étaient accompagnées par une langue agile. Le résultat ne tarda pas à se faire sentir javais une trique dure et gonflée prête à servir. Elle le senti et me demanda : « Tu veux prendre ma bouche ? » « Non je veux ton abricot, je veux te fourrer la chatte, monte sur le bureau et ouvres toi que je vois ton abricot »
Elle ralenti la cadence puis passant deux ou trois coup de langue sur ma hampe, elle se releva et sinstalla sur le bureau en écartant généreusement les cuisses et me demanda : « Cest assez ouvert, viens prendre ma chatte avec ta bouche, viens me boire ». Ce que je mempressais de faire, mais ce jeu ne dura pas très longtemps, je lui lâchais la chatte et pointais ma queue en remplacement, quelle guida vers son intimité et qui y pénétra facilement tellement elle était prête à me recevoir. Je commençais à la travailler avec es va et vient. Elle encaissait mes coups de reins par des « Han,
oui » successifs. Le plaisir venant Véro commença à se lâcher « OuiIII,
continues,
baises moi,
.baises moi fort ,
OHHHHHH
Ouiiiiii,
remplis moi,
cest bon,
ne tarrêts pas,
». Heureusement que le climatiseur fonctionnait à fond et les moteurs des engins de latelier voisins tournaient, tout cet environnement bruyant couvrait aisément les bruits que nous pouvions faire. Véro se cambra avec des : « OUIIIIIII,
, OUIIIIII ? je vais jouir,
. restes,
. Je veux te sentir me remplir,
. » et elle referma brutalement ses jambes autour de moi, ce qui déclencha mon plaisir et je me vidais en plusieurs fois dans sa chatte accueillante.
Enfin elle se redressa et toujours assise sur le bureau et moi entre ses jambes, mettant ses bras autour de mon cou et se collant contre moi elle me dit « Cétait bon, jai eu du plaisir et toi » Je lui confirmais que javais aimé ce que nous avions fait et que jétais prêt à recommencer. Je me reculais pour la laisser descendre du bureau et me regardant dans les yeux, elle remonta sa jupe glissa quelques instants deux doigts dans sa chatte et les ressorti plein du mélange de nos jus et toujours me regardant droit dans les yeux les glissa dans sa bouche et se mit à les sucer avec des soupirs de plaisirs. Leffet sur moi, fut immédiat et elle le constata. « Jai aimé, mais il faut que je parte, rends mon slip, je naime laisser mes affaires trainer partout » Elle se réajusta, un coup dil dans son miroir, elle était prête. « A samedi soir au club ». Avec cette fin je restais sur ma faim
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