Ligoté Par La Masseuse 3
Après mêtre douché, je remontai la voir, son sac à la main. Il faisait chaud, surtout dans ma mezzanine donc je restai torse nu. Il me sembla que la chaise avait très légèrement bougé, madame avait dû, en vain, essayer de se déplacer.
-« Toutes mes excuses pour cette attente, non pas que je napprécie pas ta compagnie, mais je tiens à être propre devant une dame. »
-« Tu aurais au moins pu te presser un peu ! Hé une minute là ! Pourquoi tiens-tu mon sac ? Ne tavise pas de toucher à mes affaires ! » menaça-t-elle en madressant un regard furieux.
-« Même ligotée à une chaise, tu penses encore être en mesure de commander ? » répondis-je dun ton moqueur. « Je souhaite juste comparer le contenu de ton sac au contenu de ma mallette. » continuais-je en allant la chercher et en la déposant sur mon bureau situé quelques mètres devant elle.
Son sac contenait, en plus de ses affaires personnelles, de nombreux jouets : cordes, adhésifs et microfoam, des plugs, des godes dont un gode ceinture et un vibromasseur.
-« Intéressant ton sac mais je préfère ceci ! » lui dis-je en ouvrant ma mallette.
Elle contenait également des cordes et de ladhésif, mais en plus grande quantité, des bâillons diverses, des menottes de poignets et de chevilles, une cravache, des pinces à seins, des masques, des foulards. Bref, de quoi prendre du bon temps.
-« Bien, maintenant nous allons discuter » dis-je en masseyant, amusé par son air inquiet. « Commençons par le commencement, comment tappelles-tu ? Tu connais le mien vu quà la base je suis ton client mais je ne connais que ton nom. »
-« Élodie » répondit-elle, toujours lair inquiète.
-« Cest un beau prénom ! Quelque chose te tracasses ? Tu as lair inquiète. »
Elle hésita avant de répondra, baissa les yeux, inspira profondément et me répondit dun ton solennel.
-« Je sais bien que tu nas pas lintention de me laisser partir vu ce que je tai fait, tu dois dailleurs me prendre pour une folle.
Son honnêteté me prit de court. Elle avait réellement peur et je commençais à men vouloir. Certes, on ne peut pas dire quelle se soit souciée de moi quand je me débattais, ligoté et bâillonné comme je létais. Je décidai de lui faire une proposition.
-« Écoute, je comprends que tu aies peur. Si tu souhaites partir, je te laisserai ten aller. En revanche, si cest le cas, je récupérerai au préalable les photos que tu as prises et ne comptes pas me revoir un jour. Mais ce nest pas ce que je veux. Ce dont jai envie, cest de moccuper de toi. Je ne peux pas te promettre que tu ne seras ni frustrée ni en colère contre moi mais je ne te ferai aucun mal tu as ma parole. Ai-je apprécié tout ce que tu mas fait subir ? Non cest vrai mais tu mas donné beaucoup de plaisir, dire le contraire serait mentir. Tu disais au téléphone que tu comptais tinviter ce soir car tu tamusais bien avec moi, je pense que cest parce que tu as senti quelque chose chez moi je me trompe ? Quelque chose qui tintrigue. Alors laisse-moi te prouver que ton instinct a vu juste. »
Ses yeux sécarquillèrent immédiatement, le regard nétant plus rempli de peur mais de surprise. Son hésitation était palpable. Elle me dévisageait, essayant sans doute de sonder mes intentions. Je soutenais son regard en souriant. Dieu que je la trouvais belle en ce moment, exposée et hésitante. Elle restait silencieuse.
-« Je ne vais pas partir » annonça-t-elle finalement en me regardant.
Je ne pus contenir ma satisfaction et souris de toutes mes dents. Elle sourit à son tour en penchant la tête de côté. Le jeu pouvait démarrer.
-« Commençons par sassurer que tu ne fasses pas trop de bruit.
Elle obtempéra, jy plaçais la culotte roulée en boule et massurai quelle ne pourrait pas la recracher en scellant ses lèvres avec des morceaux dadhésifs. Un sur ses lèvres, un en dessous, un au-dessus puis une deuxième couche disposée de la même manière mais avec des morceaux plus longs, lui remontant sur les joues. Satisfait du rendu, je pris loreiller et lutilisai pour me mettre à genou à côté delle. Elle essayait de paraître calme mais sa respiration la trahissait. Maintenant bâillonnée, elle se savait complètement à ma merci. Elle frissonna lorsque je fis passer délicatement mes doigts sur sa cuisse. Japprochai ma bouche de son cou et pris soin quelle sente mon souffle avant dy déposer un baiser. Je descendis peu à peu vers sa poitrine, déposant lentement des baisers ici et là.
-« Tu es vraiment ravissante tu le sais ça ? Je naurai pas désiré une autre masseuse. »
Je la sentis sourire sous son bâillon. Je sortis un sein de du bonnet du soutien-gorge et le pris ardemment en bouche.
-« Mmmhh !» fit-elle de surprise.
Son sein durcit rapidement sous caresses de ma bouche, tantôt mordillant, suçant ou léchant ce dernier. Jattrapai le deuxième et en saisis la pointe entre le pouce et lindex.
-« Mmhh mmmghhh ! » gémit-elle.
Son excitation ne faisait que mexciter encore plus. Après mêtre délecté de sa poitrine et lui avoir soutiré dautres gémissements de plaisir, je marrêtai. Allant chercher ma chaise, je viens minstaller derrière elle.
-« Mmmhhh ? » dit-elle dun ton interrogatif en fronçant les sourcils.
-« Patience Élodie, patience » répondis-je calmement.
Je lenlaçai, embrassant son cou et ses épaules avant de descendre soudainement une main entre ses cuisses.
-« Mmmmfghhh !!! » cria-t-elle, frustrée et déçue que je ne sois pas allé plus loin.
-« Madame est déçue dirait-on ? » fis-je, amusé. « Ton plaisir ne doit provenir que de moi. Si tu essaies de participer, jarrêterai et te laisserai ainsi frustrée ! »
Elle grogna derrière son bâillon, ce qui en disait long sur son désaccord. Les va-et-vient de mes doigts reprirent avec vigueur, titillant son clitoris, alternant les mouvements appuyés et lents avec des légers et rapides. Elle pouvait difficilement me cacher dans quel état dexcitation elle se trouvait, sa culotte était trempée. Je fis descendre celle-ci sur ses cuisses et insérai un doigt dans son sexe.
-« Mmmmmhh
» gémit-elle en appuyant sa tête contre la mienne, visiblement ravie par mon initiative.
Jintroduis un second doigt et repris mes va-et-vient. Mon autre main se remit à jouer avec la pointe dun de ses tétons. Sa peau était chaude, sa respiration saccadée. Ses gémissements se faisaient plus intenses, elle commençait à trembler. Lorgasme était proche. Elle poussa son bassin en avant pour mieux accueillir mes doigts. Je souris et marrêtai immédiatement.
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