La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1019)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°1018) -
- Je peux vous aider Mademoiselle ?
Jeus une hésitation. Je ne savais pas pourquoi jétais là, si jétais attendue, comment je devais me présenter. Est-ce que je devais dire que jappartenais à Monsieur le Marquis dEvans, que je travaillais pour Lui, que je venais de Sa part ? Ce dernier choix me sembla être le plus judicieux. Que je dise que je Lui appartenais ou que je travaillais pour Lui, dans tous les cas, je venais de Sa part
- Je viens de la part de Monsieur le Marq
- Ahhhh oui ! Tu es la chienne MDE que Monsieur le Marquis dEvans menvoie pour la journée ! Je ne mattendais pas à te voir déjà en tenue
Mais cest parfait ça ! Tu vas pouvoir te mettre au travail tout de suite. Tu es là pour être ce que tu es, cest-à-dire une petite salope pute de chienne, normalement bien éduquée, qui va servir de divertissements à mes clients. Il y a des salles vidéo à larrière de la boutique. Sils le veulent, tu les accompagnes. Tu dois aussi maider à vendre, donc propose aux clients de tester sur toi les articles qui se trouvent ici. Si besoin est, tu serviras également durinoir dans la pièce qui se trouve à gauche des salles vidéo. Et enfin, il y a le petit donjon, où tu seras peut-être également amenée à aller. Et puisquil ny a personne, je vais en profiter un peu ! Suis-moi mais à quatre pattes, la chienne !
Et il se dirigea vers la pièce quil mavait désigné comme devant servir durinoir. Pour ne pas risquer de salir mes vêtements, il me fit mettre à genoux, déboutonna sa braguette, sortit sa verge molle et lenfourna dans ma bouche dans laquelle il pissa dedans directement au fond de ma gorge. Je lui fus reconnaissante de contrôler le débit de son urine, ce qui me permit davaler sans m et sans en mettre partout. Alors que je le nettoyais, une fois quil eut fini, consciencieusement et commençant une légère fellation, suite à son exigence de le sucer, on entendit de nouveau la cloche tinter.
Quand ce fut fait, et que je mavançais pour rejoindre Mario, il était en grande conversation avec un homme petit, rondouillard, les cheveux poivre et sel, avec des grosses lunettes rondes derrière lesquelles des yeux vicieux se dévoilaient dès son premier regard quand les deux hommes se tournèrent sur moi, dun seul mouvement. Je naimais vraiment pas ce maquillage trop voyant, cette tenue qui ne cachait rien et je me sentais très mal à laise. Malgré que ce soit une exigence du Maître Vénéré, à qui j'avais pris l'habitude d'obéir sans me poser de questions et naturellement, le fait de mélanger contexte vanille et situation D/s me perturbait et je me sentais rougir de plus en plus au fur et à mesure que j'approchais des deux hommes.
- Alors comme ça, voilà une vraie chienne MDE, une des possessions du si fameux Marquis d'Evans ! Pour ma part, je ne l'ai jamais rencontré et je doute que toutes les rumeurs sur les soi-disant joyaux qu'Il façonnerait soient fondées ! Les gens ont toujours tendance à exagérer les choses !
- Exagérer les choses ? Pas du tout en ce qui concerne les uvres de Monsieur le Marquis dEvans !... Mais si vous la testiez cher ami? Vous savez que je possède tout ce qu'il faut pour cela ! Et je suis certain que cette clébarde ne demanderait que cela
(puis sadressant à moi) N'est-ce pas la chienne?
- Je suis ici pour servir le Maître Vénéré, Monsieur le Marquis d'Evans, et par là même satisfaire toutes les exigences de Monsieur Mario, et donc de sa clientèle.
En parlant j'avais baissé la tête en tête de soumission acceptée et de respect. J'étais sincère et en prononçant ces mots, je me détendis. Je n'avais pas à être à l'aise et à apprécier ce que je portais. Cela importait peu. J'avais juste à agir comme ce que j'étais, une chienne soumise MDE, qui obéissait tranquillement, confiante et donc jétais prête à tout pour satisfaire le Maître que javais la chance de servir. Je ne me sentais alors plus gênée, juste prête à obéir...
- Eh bien soit. On va voir ce qu'elle a dans le ventre ! Suis-moi !répliqua lhomme rondouillard.
Et il m'entraina alors vers ce que Mario m'avait dit être un donjon. Il ne verrouilla pas la porte. La devanture annonçait du divertissement, et visiblement j'étais donc l'attraction du jour. Le donjon était annoncé. Si une personne vanille venait juste pour visionner un film porno ou pour quelques sex-toys, histoire d'animer sa vie de couple ou pour son plaisir personnel, il pouvait ne pas voir ce qui se passait. Mais tout curieux ou connaisseur pouvait profiter du spectacle. Il exigea que je me dévêtisse avant de se diriger vers un placard, qu'il ouvrit et y attrapa une sorte de filet rond qu'il posa au sol en exigeant que je m'asseye en son centre, ce que je fis sans discuter, évidemment. Il fit descendre du plafond plusieurs crochets par des chaînes à gros maillons métalliques et les attacha à intervalle régulier sur le tour du filet, puis tous ensemble à un même crochet. Il était fait d'une corde fine mais rugueuse et solide. À l'aide d'un palan, il remonta le filet. Je me retrouvais comme sur une balançoire ou le siège est un filet épousant les rondeurs de mes fesses et dans la position obscène pliée en deux, les jambes au niveau de la tête, exposant ainsi largement mes parties intimes une fois que sous les ordres du client, j'écartais les cuisses laissant un libre accès entre les mailles à mes orifices encore plus offertes. Il me glissa un bandeau, voulant que je me le mette sur les yeux.
Au début rien ne se passa. Puis petit à petit, je sentis mes parois internes vaginales et anales picoter, puis chauffer jusqu'à brûler. Habituée à subir en silence, je ne dis rien mais je ne pouvais m'empêcher de gigoter, et ma "nacelle" finit par se balancer. Lorsque ce fut satisfaisant pour mon tourmenteur, alors que les larmes ruisselaient sur mon visage, il saisit un fouet et me lappliqua au rythme de mes oscillations. Et paradoxalement, cette position inédite, cette impossibilité de bouger mais tout de même de me balancer, et cette douleur cuisante, mexcitaient au plus profond de moi et j'aurai fait n'importe quoi pour avoir le droit de jouir tant la montée du plaisir se faisaient mouiller. Il dut le sentir ou entendre mes gémissements murmurés, que je ne pouvais plus retenir tant la brûlure dans les orifices semblait intenses. De plus, je sentais ma cyprine couler le long de mon entrejambes, ce qui navait pas du échapper au petit homme.
- Alors la chienne ! Tas envie de jouir, je parie, hein ? Eh bien non ! Il parait que les chiennes MDE sont endurantes, alors tu vas supporter ces morceaux de racines de gingembre dans tes petits orifices de salope encore un petit moment et tu nauras aucun droit de jouir, en tout cas pas avec moi !
Et après avoir donné quelques nouveaux coups de fouet qui, malgré les cordelettes du filet, cinglait bien ma peau, il se saisit dune roulette de Wurtemberg et samusa à la passer sur mes lèvres intimes, mes fesses, mon anus, me faisant me tordre de plus belle de douleur mais surtout dexcitation qui se démultipliait à vitesse grand V. La divine dura une bonne demi-heure.
Cette première vague partit après avoir testé sur moi quelques fouets, badines, martinets, et même branches dorties sur mes parties intimes (mais où avaient-ils pu trouver des orties sur Paris ?). Cette dernière expérience
comment la décrire
? On me fouettait surtout lentrejambe, et cette douleur urticante sur mes lèvres intimes gonflées de désirs jouissifs, mélangée à la douleur brûlante du gingembre
Je ne cherchais même plus à retenir mes gémissements, mes cris
Je cherchais seulement à ne pas jouir ! Trop excitant étaient ce mélange de traitement ! Après tout, cest la seule chose quils avaient exigé de moi à ce moment-là. Quand ils en eurent assez de leur jouet sexuel que jétais, de leur chose pour les soulager, pour leur vider les couilles pour les hommes et pour les femmes pour lâcher leur cyprine sur mon visage, ils partirent tous. Et cest Mario qui vint me chercher, menleva le gingembre et me passa une crème apaisante à lintérieur de mes orifices et sur le passage des orties pour me soulager.
Le reste de la journée se passa ainsi. Je crois bien que toutes les tailles de plug et de vibro du magasin furent testées sur moi, mais aucune ne put me faire peur, car on trouvait des spécimens encore plus imposants au Château. Je fus régulièrement emmenée aussi dans les salles vidéo, très souvent devant de mauvais films pornos, accompagnée dhommes solitaires qui essayaient de reproduire ce quils voyaient sur lécran en temps réel. Ces moments-là ne furent pas très passionnants
Je dus également sortir dans la rue faire la pute et aguicher les promeneurs, seuls ou en couple, afin de ramener des clients à Mario. Je fus déshabillée et rhabillée un certain nombre de fois
La journée sacheva donc enfin. Mario mordonna de me mettre nue devant lui, une fois la boutique fermée, comme la chienne soumise MDE que jétais. Il se balada dans les rayons, choisit un collier et une laisse, des pinces mordantes pour mes tétons et mes lèvres intimes, et un bâillon-boule.
- Voilà tu es magnifique ainsi à ta place ! Au lieu des pinces, je taurai bien percé les tétons et les lèvres pour ty mettre des anneaux, mais tu ne mappartiens pas ! Bien reste à genoux, le temps que je fasse les comptes de la journée. (Il resta 40 minutes absorbé, puis il releva la tête avec un sourire ravi :) Mais cest que tu mas fait faire du chiffre daffaire en une seule journée ! Tu sais que presque tout ce que mes clients ont testé sur toi, ils lont finalement acheté ? Monsieur le Marquis va être drôlement content des chiffres ! (je ne bougeais pas, mais il dut voir mon air surpris) Eh bien oui ! Sache que cest le propriétaire de ce sexshop, je ne suis que le gérant. En tout cas, je naurai que de bonnes choses à Lui rapporter sur toi ! Tu auras fait honneur ton éducation, je te félicite. Et pour te récompenser, comme tu nas pas eu le droit à la jouissance de la journée, je vais toffrir un orgasme. Alors savoure-le bien ! De mon côté, jai aussi besoin de me vider les couilles alors autant en profiter.
Il me fit positionner à plat sur son bureau, et il menfila son sexe dans mon trou soi-disant le plus serré, mais létait-il vraiment après tout ce quil avait subi aujourdhui ? Et en même temps quil menculait à grands coups de boutoirs et sans ménagement, il me titillait le clitoris, le faisant rouler, le pinçant, létirant, pénétrant ma chatte de plusieurs doigts
il mordonna de jouir au moment où il laissait également échapper des mugissements annonçant sa décharge au fond de mes entrailles dans dultimes coups de reins puissants ponctués de nombreux han de bûcheron. A avoir été aussi sollicitée toute la journée, nayant droit quà dix minutes de pause dans le bureau de Mario, le temps davaler une gamelle de pâté et une écuelle deau, mon orgasme fut dune puissance incroyable ! Mais également épuisant ! Car juste après que le gérant mait libéré de son étreinte, comblée, vidée, je glissais doucement au sol, nayant plus la moindre force. Mario me prit dans ses bras et me porta à létage, dans lappartement où il vivait seul. Il me déshabilla et me coucha dans une grande panière de chien disposé au pied de son lit, et me posa par-dessus une douce couverture.
Sans aucune résistance je me laissais couler dans les bras de Morphée jusquau lendemain matin, où le tumulte parisien me réveilla tôt. Je patientai son réveil en position prosternée comme si je me trouvais en présence du Maître. Alors cétait Lui le propriétaire ? Je Lavais donc bien servi directement et cela me remplissait dune joie profonde ! Quand Mario se réveilla, je dus préparer le petit déjeuner quil prit à table tandis que je devais le sucer mais sans le faire éjaculer. Il ne le fit quà la fin de son repas, dans une écuelle, où étaient placés des morceaux de croissants. Cétait mon petit déjeuner. Il mordonna de me rhabiller et me prévint que jétais de nouveau attendu, et il me tendit un papier, semblable à celui que Walter mavait remis la veille, mais avec une nouvelle adresse, évidemment. Quallait me réserver cette deuxième journée ?
(A suivre
)
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