Nuisette Grise
La chaleur chamelle brûlait toute la ville ; les rues drainaient les touristes du Moyen Orient et d'Occident ; on vivait un samedi coupant en deux parts égales Juillet. Un couple voulait faire ses courses...
Sur le vaste parking ouvert parmi la multitude d'autres véhicules qui renvoyaient la lumière solaire et qui annonçaient la foule grouillante dans la galerie marchande comme cela était le cas tous les samedis, la voiture se gara. Quarantenaire vêtu d'un pantacourt blanc et d'une chemisette blanche, sandales en cuir pour marche, cheveux bruns courts, A descendit du véhicule. Sa femme l'imita. Elle s'appelait P, la quarantaine aux longs cheveux châtains clairs elle portait une robe rouge qui dénudait ses bras et ses pieds.
A sortit la pièce puis la prêta au chariot qu'il libéra. Les époux se dirigèrent vers la galerie marchande.
-Beaucoup de monde ! S'exclama P.
-Comme tous les samedis. Répondit A.
-Tu veux qu'on aille à la plage après ? Demanda-t-elle.
-Si tu veux... Mais c'est mieux d'y aller demain parce que ce soir t'as sport de chambre ! La nage c'est assez fatiguant...
-T'as raison chéri ! On ira à la plage demain.
-J'ai halte de vous filmer en train de...
Le centre commercial débordait d'humains. Ils achetèrent la nourriture puis retournèrent chez eux.
Trois ans qu'ils étaient mariés, pour chacun d'entre eux c'était leur deuxième mariage ; ils menaient une vie libertine ; depuis un an P se faisait prendre par un amant régulier ; il s'appelait Y, une fois toutes les deux semaines il venait rendre visite au couple ; P appréciait le corps musclé d'Y qui savait comment la faire jouir mieux que son mari ; quant à A il enviait le pénis d'Y, il aurait aimé avoir un gros chibre mais comme le sien était petit et qu'il aimait que sa femme prenne plaisir au lit il lui trouvait des amants bien montés via internet. Récemment le couple avait créé sa chaîne dans un site pornographique.
Pour le temps avant le rendez-vous galant ils se rendirent au cinéma où il regardèrent Wonder Woman. Après le film ils filèrent au restaurant. Pour la digestion ils firent une balade en se tenant la main durant toute leur vadrouille urbaine. Alors que le soleil commençait à mourir horizontalement, ils retournèrent chez eux.
La nuit amena Y. Un quarantenaire qu'on jugeait trentenaire au corps tout en muscles ; il s'ornait d'un débardeur noir qui épousait ses pectoraux comme son ventre plat et d'un jogging cotonneux gris ; sa tête totalement chauve n'élevait aucun cheveux. Le trio pénétra la chambre conjugale. « C'est mieux que vous baisiez au salon parce que ça me donnera plus d'angles pour filmer. Si vous baisez dans la chambre le lit et larmoire vont limiter mes angles »
Aidé par A, P ramassa le drap blanc et les deux oreillers blancs. Ils retournèrent tous les trois au salon. A déplaça la table basse puis la coinça où elle ne dérangeait pas. Il étala le grand drap blanc sur le nouvel espace libre que recouvrait un tapis gris et y posa les deux oreillers. « ACTION !... » dit-il activant le caméscope « ...sur le sol du salon j'ai mis un drap blanc et deux oreillers pour que mon épouse s'y fasse prendre. Y, l'amant de ma femme enlève son débardeur... il enlève son jogging... son boxeur... quel pénis impressionnant ! » commentait A alors que P et Y riaient.
L'amant allonge confortablement son dos au sol. Sur le coussin il croise les mains sur lesquelles il pose la nuque. L'épouse s'assoit près de lui. Elle fixe le membre mâle entre les puissantes cuisses. Toujours aussi ébahie par la longueur et la grosseur.
-T'as une grosse bite !
-Ouais.
-Elle est plus grosse que celle de mon mari.
Elle posa sa main gauche exhibant l'alliance-mariage sur le pénis. Sa main serra le chibre. Il durcit sensiblement.
-T'aime branler sa bite ?
-Oui ! J'adore manipuler les gros engin ! Mais là j'ai envie de goûter ses testicules.
-Vas-y ! Te gène pas.
Sa bouche rouge se pose sur les bourses fragiles. Sa longue chevelure châtaine clair masque les parties génitales mâles. Ses lèvres huileuses aspirent les testicules bonbons qu'elle suce ! Le plaisir qu'il en tire lui ferme les yeux et lui ouvre la bouche : « oh ! C'est tellement bon ! Tu suces tellement bien ! » Les lèvres rouges recrachent les testicules puis elles remontent jusqu'au gland. Là, elles s'acharnent sur cette portion ultrasensible. L'épouse essaye de gober entièrement le pénis comme dans les films pornos mais le braquemart est tellement long qu'elle ne parvient pas à l'avaler entièrement ! Alors elle fellationne le sommet du pénis pendant que ses ongles roses masturbent le chibre dans un mouvement ascendant-descendant, ascendant-descendant, ascendant-descendant, tout en s'accordant au rythme qu'impose la bouche suceuse.
« La façon que t'as de le sucer me fait bander chérie ! J'ai tellement envie que tu me suces comme lui ! » La manière dont l'épouse fellationnait le pénis rival faisait bander l'époux à travers le caméscope. La nature injuste lui avait donné un petit pénis et au rival un gros pénis ! Malgré ce sentiment d'injustice et de jalousie il aimait voir sa femme prendre du plaisir sexuellement. Plaisir qu'il ne pouvait lui offrir.
Le braquemart complètement raide l'épouse le tient encore en main et le suce vigoureusement. Sa bouche remonte du pénis au pubis, du pubis au ventre, elle embrasse follement les abdos carreaux, elle remonte sur les pectoraux, elle suce les tétons sur muscles, elle monte au menton qu'elle mordille, elle atterrit sur la bouche où elle se vautre. Les lèvres amantes s'entremêlent avec les siennes sous les yeux cocus. Elle introduit sa langue dans sa bouche. Leurs langues corps à corps vaguent et refluent, vaguent et refluent, vaguent et refluent.
Elle se déplace. Elle vient s'accroupir sur le visage amant, elle lui ouvre son gros vagin en offrande. Les lèvres buccales collent celles vaginales pour ne plus former qu'un. Il suce la juteuse vulve qui éclabousse son menton ! « Tu m'as fait jouir avec ta langue comme jamais ! Je veux ta bite ! »
Elle modifie sa position une nouvelle fois. Elle se met en cavalière sur les reins amants. Sa main à la manucure rose saisit le pénis puis l'introduit dans le canal vaginal. Il laboure. Les reins mâles claquent contre les cuisses femelles. Elle sempale profondément et délicieusement. Ses grosses fesses écrasent vaginalement dans tous les sens le pénis. Elle grimpe les aigus et il descend les graves. « Oui ! Baise-moi comme ne peut pas le faire mon mari ! Baise-moi ! Oui ! » Il répand ses eaux en elle. Les cheveux châtains clairs et la nuisette grise.
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