Deux Thaï Pour Paul
... Deux jours plus tard, Paul retrouva Jane au « Galerie Lafayette ». Comme toute bonne touriste asiatique, elle avait décidé de faire ses courses dans ce temple de la mode française. Elle était rayonnante. La veille, elle avait découvert le musée Rodin en compagnie de Paul. Il avait déambulé dans la ville Lumière comme deux amoureux. Dans les faits, il nétait quami de sexe. Une parfaite entente régnait entre eux, une complicité amoureuse. Elle le connaissait intimement, il possédait son corps régulièrement. Parfois Paul se posait la question. Cette fille était-elle réellement célibataire ? Que faisait-elle les soirs où ils ne se voyaient pas ? Avait-elle dautres amants ou tout du moins dautres hommes que Paul ne connaissait. Il nétait évidemment pas jaloux, simplement curieux.
Ils étaient ainsi au rayon des chaussures. Jane essayait diverses paires, sous lil mi-amusé, mi-ennuyé de Paul. Il aurait aimé quelle essayât plutôt une robe ou un pantalon. Il aurait eu alors la possibilité de la prendre dans une cabine dessayage
Paul sourit à lidée de ce fantasme, mais lasiatique continuait sa séance dachats presque compulsive. Paul restait alors silencieux, imaginant les positions dans lesquelles ils prendraient Jane ce soir
Ce nétait que le matin et Paul était déjà excité par cette prochaine nuit. Après les courses, ils devaient déjeuner ensemble, puis Paul avait un rendez-vous professionnel
Jusquau soir où les deux amants se retrouveraient
En attendant ces réjouissances, il suivait Jane. Il laccompagna ainsi au centre de détaxe, là où les clientes étrangères venaient chercher les documents pour bénéficier de déductions de TVA, lorsquelle quittait Paris
Jane avait donné son passeport thaïlandais et avait été accueilli par une de ces compatriotes, employée aux Galeries Lafayette. Les deux femmes échangèrent ainsi en thaï. Paul observa la vendeuse. Elle était plus jeune que Jane, 25 ans peut-être, les cheveux frisés décolorés en un brun orange.
- « Quand tu seras retournée en Thaïlande, je linviterai à boire un verre
»
Elle lui donna un autre coup de coude et continua à discuter, en Thaï, avec la jeune fille. Outre les questions toujours absconses de la TVA (en particulier en Thaï), les deux filles discutèrent des différents modèles de chaussures et des différentes tendances entre Phuket, Bangkok et Pattaya
Au demeurant, Paul nétait pas pressé. Jamais conversation ne lui avait paru aussi excitante
Finalement Jane se leva et Paul la suivit. Ils allèrent déjeuner ensemble, comme un jeune couple, dun plateau de fruits de mer, puis Paul et Jane se séparèrent pour laprès-midi. Paul fila à son rendez-vous. Ils devaient se retrouver à lhôtel à 19h00.
Paul arriva à lhôtel à sept heures précises. Il fit appeler Jane à par le réceptionniste à laccueil. Celui-ci lui indiqua simplement quil était attendu et quil devait monter. Paul fut un peu décontenancé mais lidée dune partie de jambe en lair avant le dîner au restaurant lui plu. Il prit lascenseur, se retrouva dans le couloir de ses exploits et toqua à la porte de Jane. Il se demanda si John et Rachel étaient encore présents.
Jane ouvrit. Elle portait une bustière rouge, un petit string et des porte-jarretelles écarlates. Elle ressemblait à une superbe salope asiatique, prête de donner du plaisir à une écurie détalons. Paul était déjà excité et se sentait à lembrocher immédiatement. Il tenta de la prendre dans ses bras, mais Jane se défila. Elle lui montra un foulard. Elle voulait lui bander les yeux. Paul se laissa faire, sûr que sa docilité allait être rapidement récompensée. Il attendit ainsi debout quelques secondes, les yeux bandés, lorsquil sentit une main qui déboutonna sa braguette, puis saisit son sexe déjà dur.
Soudain, il sentit comme une deuxième bouche lui lécher les testicules, puis glisser délicatement sur son dard. Il ôta le foulard et découvrit une superbe scène : la Thaï des Galeries Lafayette et Jane à genou, en train de le sucer ! Son prépuce était dans la bouche de la petite vendeuse, tandis que Jane léchait. Cette dernière croisa le regard de Paul, ébahi
Elle se releva et lui dit simplement :
- « Comme ça, tu naura pas besoin de linviter à boire un verre quand je ne serai plus là
»
Paul embrassa Jane tout en profitant de la superbe fellation de cette belle inconnue.
- « Elle sappelle Lilly précisa Jane - et apparemment tu lui as plu
Je nai pas eu de mal à la convaincre de venir nous rejoindre
»
Paul contempla Lilly. Elle était déjà nue et elle était manifestement une très bonne suceuse. Petite, un peu enrobée, ses cheveux étaient frisés, blonds décolorés. Ses seins bien ronds étaient fermes. Sa peau était blanche et soyeuse. Si Jane incarnait la grande bourgeoise thaïlandaise, Lilly représentait bien ces filles asiatiques des rues.
- « Seulement, il y a une règle
Tu vas la baisser comme je le veux. Tu vas être ma machine. Cest moi qui choisirais comment tu jouis
et comment tu la fait venir.» dit-elle en le regardant droit dans les yeux.
Paul opina de la tête. Alors Jane dit quelques mots en Thaï et Lilly se leva, telle une esclave sexuelle. Elle le regarda les yeux luisants. Le membre de Paul était désormais gros et dur.
- « Défonce la comme un soudard - ordonna Jane Fais la hurler ».
Jamais Paul navait obéi avec dempressement à un ordre. Il fit tomber son pantalon et se dirigea vers Lilly, le sexe tendu. Lilly attendait dêtre embrochée. Elle frémit lorsque Paul posa son gland sur sa vulve et senfonça en elle. Sa chatte était déjà humide et Paul sengouffra dun coup en elle. Il commença à la tringler, en accélérant les mouvements. Ses deux mains serraient les deux fesses de Lilly et ses coups de reins de plus en plus secs. Le bureau bougeait et Lilly poussait des cris. Jane ne perdait pas une miette du spectacle. Paul donnait de nouveaux coups et Lilly cria de douleur. Elle se sentait transpercée par le sexe de cet homme quelle ne connaissait pas. Elle était prise en levrette par un inconnu, qui la fourrageait sans ambages, pendant quune autre regardait. Jane sétait collée derrière Paul. Elle accompagnait les mouvements du corps de son amant. Avec sa main, elle lui caressait les testicules. Elle tenait la partie du pénis qui nétait pas dans Lilly. Elle donnait des coups de reins, au même rythme de Paul, comme pour faire mal à sa petite esclave, comme pour mieux défoncer la femme quelle offrait à son amant. Elle embrassait Paul dans le cou, avec de long suçon. Elle le mordait et lui lexcitait en lui donnant des injonctions
- « Baisse la fort
»
Paul était comme fou. On aurait dit un étalon sur une petite jument. Il sortait son manche du fourreau de Lilly et le réintroduisait dun coup sec. La petite Thaï hurlait. Il lui la fessait et la saisissait par les cheveux. Jane lincitait à être encore plus brutal. Il nétait plus quun cosaque sur une pauvre innocente
Il sentait quil allait venir. Il ralentit le rythme et se retint. Lilly gémissait. Il tourna la tête et ses lèvres frôlèrent celle de Jane.
Jane le regardait avec des yeux brulant. Alors, il lembrassa puis la força à sallonger à son tour, sur le bureau, la croupe levée, juste à côté de Lilly. Il sortit son sexe brulant de Lilly et le dirigea vers Jane. Il senfonça dun trait en elle. Il se rappela soudain de sa première fois avec Jane, quand elle avait voulu des préservatifs
Quil était loin ce temps ! Il prenait son temps, bougeant lentement dans le corps de Jane. Lilly les regardait lair interloqué, ne comprenant ce soudain abandon
Paul lui fit signe dapprocher. La petite Thaï ne se fit pas prier et vint se coller à Paul. Ils sembrassaient. Paul accéléra ses mouvements toute en caressant, les seins de Lilly. Soudain, son sexe sortit de Jane. Immédiatement Lilly se pencha et le mit en bouche
Elle le suçait très doucement, sentant sans doute Paul prêt à exploser
- « Quelle superbe salope » sexclama Paul, en soupirant.
Lilly reprit le sexe dans sa main et le remit dans Jane, qui salua ce don dun soupir aigu. Paul la tringla de nouveau. Après quelques coups de rein, il ressortit son sexe et loffrit à aux lèvres avides de Lilly. Le jeu avait repris. Il continua ainsi. Paul ny tenait plus. Sa sève le brulait. Lilly venait à peine de lavaler, quil explosa dans sa gorge. Il poussa un rugissement de plaisir, qui réveilla sans doute tout lhôtel. Il se vidait dans la bouche de Lilly qui continuait à laspirer. Jane sétait retournée. Elle souriait à Paul, regarda Lilly à genoux, dégoulinante de sperme, puis embrassa Paul.
Les jeux de Jane et Paul et la suite sur: goo.gl/cp5iCD
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