Collection Black. Le Basketteur Américain (1/1)

C’est drôle comme une vie peut basculer à cause d’un simple ballon.
Paul, mon mari est fan de basket-ball, ce soir je m’installe à ses côtés dans la salle de sport de notre ville.
Le basket et moi cela fait deux, mais aujourd’hui c’est mon anniversaire, maman est venue à la maison garder mes trois s, Laura 10 ans, Julie 7 ans et Jules 3 ans.
Jules a été le plus beau cadeau d’anniversaire que j’ai fait à Paul en accouchant deux jours avant ses 36 ans, je suis une femme épanouie entre lui et nos s.
Il gagne très bien sa vie et je suis ce que l’on appelle une femme au foyer bien que j’envisage de retrouver du travail, Jules étant propre a fait sa rentrée à l’école maternelle.
Sans compter la jeune fille aux paires que nous avons engagée, il y a un an, qui s’occupe des s afin de les emmener et les ramener à l’école, les faire goûter et contrôler leurs devoirs.
Bref, je suis oisive et ce travail va me permettre de redonner un sens à ma vie.
Paul à part son travail et le basket n’a aucune passion, sinon moi, il aime me faire l’amour depuis la première fois où je lui ai dit oui dans ma chambre de jeune fille à 25 ans.
Je sais, c’est bien tard, mais jusqu’au soir ou il m’a dévirginisé, seules mes études de psychologue m’avaient accaparé, il venait de terminer les siennes et se préparait à intégrer la banque qui depuis nous nourrir et où il a franchi tous les échelons un à un jusqu’à en prendre la direction à la mort de son père.
C’est en me déflorant que nous avons créé Laura, ce fut l’un des plus beaux jours de ma vie quand je l’ai appris, mes parents un peu moins étant catholique pratiquant.
Amener leur fille devant l’hôtel son ventre se développant était pour eux une tache noire sur ma robe blanche.
Papa a transformé ma chambre de jeune fille assez spacieuse en deux pièces l’une avec un grand lit et l’autre pour commencer avec un berceau où j’ai appris mon métier de mère et aussi d’épouse programmée pour satisfaire son homme.


Nous avions des rapports amoureux satisfaisants, mais sans grande envolée pour autant, j’ai mis un stérilet jusqu’au jour où nous avons eu notre appartement à deux pas de chez mes parents et où je l’ai enlevé pour avoir Julie.
J’essaye maintenant que j’ai mis au monde Jules à resserrer mes liens avec Julie, car j’ai eu tendance à lui reprocher d’être une fille alors que nous espérions un garçon.

Voilà, je suis une femme comblée bien qu'à certains moments, j’ai une impression de vide dans ma vie, je serais dans l’incapacité malgré mes études de dire pourquoi, mais c’est ainsi, plus le temps passe et plus je suis languissante.
En plus de ces langueurs, le fait que Paul le jour de mon anniversaire m’impose presque de commencer la soirée en allant voir ce match de basket avant de m’offrir un restaurant, ce qui fait de moi une femme au mauvais caractère.
Je dois lui faire une gueule de dix pieds de long au moment où à cinq minutes de la mi-temps où il doit aller boire une bière avec son groupe de supporters un ballon envoyé par un grand noir de l’équipe m’arrive dans la figure jetée avec force par Jeff, black américain de l’équipe meneur de jeu mais non maîtrisé par son partenaire.

Que se passe-t-il dans les minutes qui suivent, je ne saurais le dire, à part ma joue qui me brûle, j’ignore où je suis.
En fait, j’ai été conduite à l’infirmerie ou la soigneuse de l’équipe essaye de me remettre sur pied, Paul brille par son absence, mais a-t-il eu le droit de venir dans ce lieu réservé aux joueurs et aux dirigeants.
Je viens de m’asseoir sur la table de soin où l’on m’a allongé quand Jeff entre.

• Voulez-vous m’excuser, je vois que c’est la mi-temps et je dois retourner m’occuper des bobos de ces grands s qui composent notre équipe ?
Jeff, je vais t’excuser auprès du coach, attendez 10 minutes et raccompagne la dame à sa place avant de nous rejoindre.

C’est dans un mauvais Français avec l’accent yankee qu’il s’exprime en me prenant les mains, ce qui me laisse touche chose.


• Je suis Jeff et toi !
• Juliette, vous êtes grand.
• Je suis basketteur professionnel, je mesure 1 m 93 et je suis meneur de jeu, c’est petit, John mon copain d’université aux États-Unis mesure 2 m 13.
• Vous pensez avec mon mètre soixante-dix-neuf, il faudrait que je prenne une échelle pour l’embrasser.
• J’ai eu une copine de 1,66 mètre pendant mes études, au lit, c’est incroyable, la différence de taille disparaissait, mais je m’égare, je vois à votre alliance que vous êtes mariée, je n'ai pas le droit de vous donner l’impression de vous draguer.

Quand je vous rapporte ses propos, j’édulcore, le français javanais qu’il emploie serait illisible.

• Venez, je vous raccompagne dans la salle, la mi-temps va bientôt se terminer et l’équipe a encore besoin de moi.

C’est comme cela qu’au moment où je m’assoie à côté de Paul revenant d’avoir picolé deux ou trois bières, les choses bascules quand Jeff le salut et lui fait une proposition.

• Excusez-moi pour votre femme, un accident est vite venu, elle est en bonne santé, pour me faire pardonner, je vous invite au salon V.I.P afin de prendre une coupe de votre bon champagne à la fin du match.

J’ai envie de lui dire que c’est mon anniversaire, que Paul doit m’emmener au meilleur restaurant de notre ville quand sans me consulter, il répond.

• Je serais enchanté, je devais emmener Juliette au restaurant pour son anniversaire, mais aller au salon V.I.P après le match, ça s’accepte sans se poser de questions.
• À la fin du match, suivez les gens que vous voyez là-bas près du président, je vais donner des consignes pour que l’on vous laisse passer.

C’est comme cela que pendant les deux derniers quarts temps Jeff chaque fois qu’il le peut regarde dans ma direction, à la fin du match gagné avec 20 points d’avance, Jeff sortant meilleur marqueur, son regard a fait mouiller ma petite culotte moi qui depuis que j’ai rencontré Paul ait toujours regardé les hommes sans aucune envie.


• Tu viens !
• Et mon repas d’anniversaire Paul.
• Je vais téléphoner pour annuler, une entrée au club V.I.P, tu te rends compte de la chance que tu as, tu vas connaître tous le gratin de notre ville, je t’emmenais au restaurant dimanche.

Voilà comment d’un revers de manche Paul balaye sa promesse, j’ai respecté ma part du deal, lui s’assoit dessus.

• Tu es là Juliette, excuse-moi, j’ai été obligé de faire le job après ma douche, la presse locale qui voulait mes impressions, j’adore ces moments surtout après que grâce à toi, j’ai fait exploser toutes mes statistiques tellement je voulais t’impressionner.

Le rouge me monte aux joues.

• Excuse, je viens de te tutoyer, j’adore votre langue pour cela, le « You » américain est très impersonnel, ou est ton mari, il t’a laissé seule §
• Il est là-bas, il pérore au milieu du beau linge de notre ville, il en a même oublié mon anniversaire.
• C’est ton anniversaire, impossible ce soir de t’emmener moi-même au resto, la presse est là et l’on aurait les gros titres dans les journaux, je pense que tu as des s !
• Oui, trois, deux filles et mon fils de 3 ans.
• Tu as de la chance, je change de ville ou de pays, presque tous les ans et c’est mon rêve d’en avoir.
Demain midi, tu es libre, je t’offre le restaurant à midi à la Rotonde, si tu es libre bien sûr et que ton mari accepte.
• Je n’ai pas besoin de son avis !

Je suis folle, j’accepte, le restant de la soirée, je reste dans mon coin, Jeff venant vers moi chaque fois qu’il le peut, il me fait toujours un compliment pendant que Paul jusqu’à ce que nous partions, trinque avec les uns et les autres.
Au moment où je sens qu’il va comprendre qu’il faut rentrer, une dernière fois Jeff vient à moi, a un regard pour voir qui peut nous remarquer, me prend la main, la retourne et pose ses grosses lèvres sur mon poignet.
Ma culotte était mouillée, là elle est trempée, je le quitte avec regret et je rapatrie Paul qui dort dès qu’il est dans la voiture.

Je passe notre retour ou j’arrive à le laisser tomber sur notre canapé allant seule me coucher, je prends mon bain, je mets ma culotte dans la poubelle pour éviter que quelqu’un ne tombe dessus et constate que je l’ai ravagé.
Au matin, Paul rejoint notre lit et à des velléités de me baiser, j’utilise ce mot n’en voyant pas d’autre vu l’état dans lequel il est encore, je me suis masturbée en pensant à Jeff, il est grand, en a-t-il une de la même dimension ?
Je suis folle, il faut aller m’occuper des s, reviens sur terre ma belle !

Il est quinze heures après avoir mangé avec un compagnon attentionné quand j’accepte de monter dans sa chambre d’hôtel à deux pas de la Rotonde, en tous bien tous honneur, il veut me montrer des photos de son ranch près de Dallas et voisin de celui de J.R. dans le feuilleton de ma jeunesse.
Je regarde assise sur un canapé présent dans la chambre très spacieuse, les photos terminées, il me prend dans ses bras et oubliant s et mari, j’accepte d’ouvrir ma bouche à ses lèvres afro et à sa langue qui tourne autour de la mienne.
Sexuellement j’ai dit que j’étais assez simpliste alors qu’avec ce grand garçon du moins par la taille, je deviens une louve qui accepte tout ce qu’il souhaite me faire ou que je lui fasse.
Je trompe Paul sans aucune retenue quand je prends ce mat que j’ai sorti de son jean dans ma main avant de me pencher pour le prendre dans ma bouche.
Sucer, lécher, aspirer son gland difficile de le faire entrer, vu son diamètre, quand il veut me prendre, trois s permettent qu’il entre plus facilement dans ma chatte quand j’écarte ma nouvelle culotte encore plus trempée que celle d’hier et qu’il m’empale littéralement.
Nous changeons de position et je viens moi-même m’enfoncer cette verge aux dimensions de mon amant.
Jeff voit que je fatigue à force de monter et de descendre sur sa verge aussi gigantesque que lui, il me prend sous les cuisses et toujours bien planter au fond de mon vagin me porte jusqu’au lit où il me dépose comme si j’étais une simple poupée de chiffon
Il me laboure pendant un grand moment, dévasté par deux orgasmes.
Je croyais que je savais ce que le mot "jouissance" voulait dire, mais j’ignorais que j’étais capable de monter à un tel degré de dévastation jusqu’à ce qu’il se déverse en moi, ses traits de spermes me remplaçant avec délectation, le mélange de nos sécrétions que je nettoie avec délice avec ma langue fais de moi une vraie chienne, sa chienne.
Sa chienne presque tous les jours dans les six semaines qui restent du championnat français avant qu’il fasse sa valise pour aller en vacances au Texas avant de revenir en Espagne pour une nouvelle saison à Barcelone meilleur club d’Europe.

Quant à moi, j’ai aussi fait ma valise, j’ai embrassé mes s que j’ai laissés à leur père, je suis dans l’avion avec Jeff qui me tient la main amoureusement l’autre posé sur mon ventre ou son fils grandi.
Échographie nous l’a certifié hier, c’est son fils car au lendemain du ballon reçu dans ma figure et le comportement de Paul pour mon anniversaire, avant que je le quitte, nous n’avons plus jamais baisé ensemble.
Je sais, disons que je suis une mère indigne, mais qui pourrait me jeter la pierre quand Jeff me fait l’amour dans toutes les positions possibles et dans tous les endroits où il peut me prendre souvent insolite.
Après un match, il m’a même baisé, dans le bureau de son coach pendant le cocktail V.I.P, j’assiste à chaque match et comme il me l’avait dit la presse s'est emparé de notre idylle.
Malgré mes quatre mois de grossesse, dans l’avion, il souhaite aller dans les toilettes pour me prendre profitant que tous dorment, sauf une hôtesse qui se garde bien de faire du scandale quand nous arrivons à nous glisser dans ce lieu discret.
Je découvre son ranch, mes trois s venant passer le mois d’août, content de retrouver leur maman et les grands espaces sans oublier les chevaux que Jeff leur fait découvrir.
Jules a même droit à son poney, un vrai cow-boy avec son chapeau.

Nous rentrons tous en Europe, j’en profite pour signer les papiers de mon divorce avant de rejoindre Barcelone où la première chose que nous faisons après avoir baisé dans notre nouvel appartement tous confort et meublé mis à notre disposition gracieusement par le club, c’est de prendre contact avec la maternité notre fils devant venir au monde dans la capitale espagnole.
Je suis heureuse, nous sommes tous les deux devant les caméras quand Jeff annonce qu’à la naissance de son fils, en accort avec les dirigeants barcelonnais, il arrêtera sa carrière pour ramener sa famille au Texas pour que nous habitions en harmonie avec la nature.
Vive le ballon dans ma figure, dommage, il est resté dans notre ville, peut-être que Jules fera du basket et que, sans le savoir, il apprendra à jouer avec !

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