Ma Femme Et Le Le Marchant De Légumes (1)
Ma femme et le Le Marchant de légumes (1) :
Je voudrais vous raconter mon aventure ou ma confession qui mont permis de redevenir très heureux, après avoir retrouvé lamour conjugal en panne depuis plusieurs années à cause de blocages sexuels suite à des traditions séculaires dépassées. Ensuite je me suis découvert dautres penchants qui étaient cachés dans mon fort intérieur. Ce fut linfidélité de ma femme qui a tout déclenché.
Je suis un arabe traditionnel, âgé de cinquante ans et ma femme, plus jeune que moi de deux ans seulement était encore plus bloquée que moi. Mariés depuis une trentaine dannées, nous avons eu quatre s, tous mariés à ce moment et plusieurs petits s. Notre vie familiale était classique et tranquille au pays, sans problème majeur, sauf au niveau sexuel.
En effet, dès notre première nuit de noces, notre milieu traditionnel nous a obligés à faire lamour dans lobscurité de notre chambre et presque en silence. Toutes lumières éteintes, nous nous sommes déshabillés et nous avons fait le nécessaire. Je caressais ma femme qui restait presque inerte, sans un mouvement, puis je lai dépucelé et éjaculé dans sa chatte. Il fallait lensemencer dès la première nuit, cétait la tradition.
Malgré le plaisir que nous éprouvions, nos gémissements devaient rester étouffés. Tout cela à cause des interdictions de nos familles, surtout de nos mères respectives, et de leur éducation traditionnelle séculaire. Ma femme, surtout était stricte sur ce point et en conséquences, au bout de trente ans de mariage nous navons jamais vu nos corps nus mais seulement par le toucher de nos timides caresses.
Nous avons pourtant eu des s et des petits s et avons vécu dans laisance et la paix familiale si ce nest ces frustrations de nos ébats sexuels. Avec le temps, nous avons su nous adapter à tout accepter et ce point était devenu secondaire et même presque futile. Et maintenant, depuis une dizaine dannées, nous navons plus fait lamour.
Ma femme soccupait de ses filles et petits s et moi de mes affaires professionnelles. Et lorsque lenvie sexuelle me tenaillait aux couilles, je me masturbais et éjaculait en solitaire. Pourtant cette situation anormale pour le commun des mortels allait changer un jour car lamour ne peut jamais être vaincu en permanence.
Un jour nous avons éta, mon épouse et moi, seuls, invités par loncle de ma femme en France pour un mois de vacances. Loncle de soixante dix ans, ayant travaillé en France, etait à la retraite et un peu malade.
Il vivait en concubinage depuis des années avec une française assez âgée dans la maison de cette dernière. Arrivés en France, nous avons été bien accueillis, ils nous ont fait visités la région, les magasins et marchés et au bout de trois jours, nous étions complètement intégrés.
Dès le premier jour, la campagne de loncle a proposé à ma femme, pour ne pas trop se faire remarquer, de shabiller comme les émigrées de la région au lieu de la tenue algérienne, voile et foulard au visage et la tête et longue robe traditionnelle.
Alors, elle lui a choisi une belle robe claire, montrant les belles jambes de ma femme et même parfois un peu de ses cuisses juste au dessus des genoux. Par le haut, ça découvrait un peu le sillon de ses gros seins et sur la tête un léger chignon. Ce déguisement ne la distinguait plus de nos voisines émigrées et même françaises. Elle était très belle ainsi, presque une inconnue pour moi, et malgré ma gêne jai laissé faire. Npus étions à létranger et cette tenue était normale.
Nous sommes allés aux grands magasins et au marché du coin et effectivement, personne ne faisait attention à nous car nous étions presque comme tout le monde. Le troisième jour, ma femme, voulant nous préparer un plat bien de chez nous, proposa daller, seule, au marché pour bien choisir ses légumes. Ce nétait pas très loin et jai laissé faire.
Une heure plus tard, de retour, ma femme nous montra ses emplettes et nous informa quelle a fait la connaissance dun marchand issu de notre région dAlgerie.
A quinze heures, on est allé le voir et il nous a ouvert sa caravane. Cétait un grand gaillard très brun ayant une belle moustache et comme il nétait quen tricot de corps, on voyait sa large poitrine et ses gros bras très musclés et très poilus. Il se vêtit dune chemise et ma femme lui présenta son plat. Il nous remercia et nous avons bavardé en arabe pendant presque une demi-heure. Il était âgé de trente ans et vivait seul en France depuis plus de dix ans.
Jai constaté, dès le début, quil regardait ma femme avec un intérêt assez poussé. Et avant quil ne mette sa chemise, jai, également, observé, chez ma femme le même intérêt pour lui. Elle le dévorait des yeux comme hypnotisée par son corps poilu. Il faut dire quil se dégage de ce homme une sorte de puissance mâle qui a du ébranler les sens de ma femme qui na jamais été en présence dune telle chose avant notre arrivée en France.
Le gars nous interrogeait sur le pays et cest ma femme qui prenait linitiative de lui répondre sans me laisser le temps de placer un mot. Elle parlait avec assurance et ses yeux ne quittaient pas un instant le jeune marchand. Jétais un peu jaloux et fâché, mais je laissais faire.
De son coté, le marchant ne se gênait pas de scruter le sillon des seins de ma femme. Puis, il nous offrit du café et ensuite cest ma femme qui lui proposa de laver les tasses sur le petit évier du coin. Il accepta en riant et que cela lui rappelait sa famille au bled.
Ma femme était penchée sur lévier et sa robe remontait un peu par derrière. On voyait nettement une partie de ses belles cuisses et le jeune homme la regardait en permanenc et cest moi qui étais gêné. J »étais sur quil bandait sur le derrière et les cuisses de ma femme car moi-même ce tableau ma excité et réveillé un peu ma bite.
Enfin, nous lavons quitté mais il nous a invités à revenir le voir. Et encore une chose inédite, cest ma femme qui lui a répondu par laffirmative. Puis, il nous a tendu la main que jai serrée. Mais il la aussi tendue à ma femme, qui sans hésiter en a fait de même, chose toute nouvelle pour elle avec un homme. Jétais encore plus fâché de ce contact physique de ma femme avec ce jeune marchant poilu.
A la maison, je lui ai demandé son avis et sur linvitation du marchand. Elle ma répondu que cétait un nomade, que sa caravane sentait mauvais, quil était impoli car il la regardait tout le temps et quil faut oublier son invitation. Jétais étonné car javais remarqué que cétait elle qui mangeait des yeux cet homme et que sur levier, elle lui avait montré ses jambes et ses cuisses exprès et elle avait accepté linvitation. Elle ma dit que cétait par politesse, que je me faisais des idées et la question est close.
On a passé une semaine sans problèmes. La matinée, les femmes faisaient le ménage et allaient acheter le nécessaire à la grande surface pendant que jallais acheter le journal et bavardais avec loncle. Laprès midi jallais au café du coin et ne retournait à la maison quà lheure des infos de huit heures. Et nous passons ensemble la soirée.
Le samedi suivant, je quittais le café plus tôt, à seize heures car le match de rugby ne mintéressait pas. A la maison, mon oncle et sa femme sommeillaient dans leur chambre et ma femme était absente. Sans réveiller les vieux, et ayant un soupçon, je suis parti vers le marché.
Il était fermé et désert et mapprochant de la caravane du marchant Algérie, jai pu entendre des voies. Lune delle était celle de ma femme. Elle était chez le marchand et jétais sur quils étaient entrain de baiser et que, depuis quatre jours, chaque après midi, ma femme me faisait cocu avec le premier inconnu.
Jai entendu ma femme « Ah ! ya habibi ! ch7aal zebeb mtine wa 7lou ! » (ô mon ami ! comme ton zob est dur et doux !).
Puis un peu de remue ménage et jentendis ma femme lancer un « ah ! » prolongé et plaintif. Lhomme a du certainement enfoncé son zob dans sa chatte et elle lance ainsi ses cris de jouissance. Et la caravane commença à bouger et à tanguer des coups de reins de lhomme dans le chatte de ma femme. Grace à un coin du rideau de la petite fenêtre coté arrière de la caravane, jai pu les voir faire lamour avec passion et violence.
Je voyais les fesses poilus de lhomme qui bougeaient et les vas et viens de son zob dans la chatte de ma femme, dont les jambes étaient levées et croisées sur le dos du marchand. Ils étaient nus tous les deux et couchés sur une litière de lautre coté de la fenêtre. Je voyais de temps à autre, le zob brun de lhomme qui sortait et rentrait dans la chatte de ma femme.
Cétait la première fois que je voyais, à nu, le sexe de ma femme, ses jambes et ses cuisses, bien écartées et même ses fesses et parfois son anus. Elle était belle et très désirable et, oubliant lhomme qui lui pilonnait la chatte, javais envie, à cet instant, de ma femme.
Au lieu de désirer la et son homme avec, leurs ébats passionnés et qui faisaient crier ma femme de plaisir mexcitaient et me faisaient bander. Jai sorti mon zob et doucement jai commencé à me masturber, en solitaire, comme à mon habitude depuis quelques années.
Les cuisses et les fesses de ma femme étaient dune douce blancheur contrastant avec le corps très brun, presque noir et poilu de lhomme. En voyant le zob du marchant, je croyais trouver un monstre mais en réalité, même gonflé, il nétait pas plus gros que le mien. Ma femme se trompait quant elle comparait son zob au lion et le mien au rat.
Et comment pouvait-elle comparer, puisquelle navait jamais vu, à jour, mon zob nu et gonflé. Elle le sentait dans son sexe pendant nos ébats mais elle pouvait seulement fantasmer. Aujourdhui, elle pouvait voir, toucher, branler et admirer le zob poilu de ce jeune homme en pleine lumière et en jouir en toute nudité, libre de crier son plaisir et sa jouissance.
Les seules différences entre nos zobs, cest que le sien était très brun et poilu, peut-être suggestif et excitant pour ma femme, alors que le mien était plus clair et presque toujours bien rasé. Je crois quelle était totalement sous la folie du plaisir sexuel et avait envie de baiser coute que coute avec cet homme, cest tout.
Son zob netait pas plus gros que le mien qui, lorsque lenvie de baiser ma femme lui prenait, autrefois, devenait plus gros, plus long et plus épais que celui du marchant et la faisait haleter et gémir de plaisir, même discrètement.
Hélas, tout cela cétait le passé, celui de nos jeunes années de mariage. Car, durant ces longues dernières années de lassitude maritale et de gestion harassante de famille nombreuse, nous nous sommes éloignés lun de lautre et mon zob avait déserté la chatte de ma femme et ne se gonflait que par mes masturbations.
Je continuais à les observer. La puissance de cette saillie était animale. Lhomme était fort et affamé et la femme totalement soumise à ses désirs sexuels et autant affamée de sexe que lui. Ils gémissaient ensemble et ma femme couinait encore plus sous les coups de reins violents. Ça a duré plus dune demi heure et je suis resté ainsi derrière la fenêtre, patient et cocu à les observer. Je sentais en moi une rage contre ma femme et en même temps une certaine admiration pour cet homme.
Sa virilité me subjuguait à tel point que je désirais quil continue à baiser ma femme. A un certain moment jai entendu ma femme gémir de plaisir « ah ! ya zeb elikhchine ! egâratli souti ! zid nickni ! zid ! dakhlou lil claoui ! » (ah ! zob épais ! tu mas défoncé la chatte ! continues à me baiser ! continues ! enfonces le jusquaux couilles !). Elle le provoquait et lexcitait. Je ne savais même pas que ma femme connaissait ces mots et ce langage en trente ans de mariage.
Et lhomme, de répliquer « soutek skhouna wa hlouwa ! ya habibti ! zebi hbel 3aliha ! enikek 3achar marat ! » ( ta chatte est chaude et douce ! ma belle ! mon zob saffole sur elle ! je peux te baiser dix fois ! ). Moi, aussi, dans nos premières années, on baisait chaque nuit et parfois, je la reprenais encore une fois, juste avant laube, lorsque son corps était chaud, doux et sentait bon la femme à cause de son abandon à Morphée.
Il faut dire que la chatte de ma femme a toujours été très chaude et douce et que dès que mon zob sy enfonçait, le désir menflammait et je faisais des efforts pour ne pas éjaculer trop vite. Je la baisais doucement, lentement et marquait des temps darrêts pour elle et pour moi, et lorsque je laissais le plaisir jaillir, cétait un moment denchantement commun.
Cétait, il y a des lustres et la chatte de ma femme a été sevrée sexuellement pendant trop longtemps. Maintenant, elle a trouvé un bon zob gros et résistant à la mesure de ses désirs. Sa douce chatte a été, en somme, dépucelée de nouveau et pouvait senivrer en toute liberté sexuelle avec ce jeune zob puissant et résistant. Et ça durait depuis quatre jours, pendant chaque longue après midi.
Enfin, jentendais lhomme hurler « hani jeit ! hani jeit ! nfaraq ! » (jarrive ! jarrive ! je vais juter !). Puis, deux gros cris de jouissance commune minformèrent que lhomme éjaculait. Les couilles de lhomme déversaient leur sperme dans les entrailles de ma femme. Je voyais le corps de lhomme tendu et collé sur le ventre de ma femme et tête levée il hurlait comme un loup sa jouissance.
Ensuite, après deux ou trois minutes de plaisir, ils se séparèrent. Lhomme sécroula à coté de ma femme dont les jambes et cuisses étaient largement ouvertes. Je voyais sa chatte qui brillait de sperme. Ce nectar blanc et visqueux pulsait de sa chatte qui continuait à tressaillir de plaisir.
Lorsque nous faisions lamour, ma femme et moi, nous étions certes nus, mais dès que jéjaculais, elle me tendait un chiffon pour messuyer. Puis elle mettait un chiffon sur sa chatte et se couvrait totalement avant aller un peu plus tard se laver dans la salle de bain. Elle ne restait jamais longtemps totalement nue et encore moins les cuisses ouvertes avec du sperme qui suinte de sa chatte. Mais avec cet amant, elle se libère totalement. Elle se donne à fond et sa nudité doit lui procurer encore plus de plaisir et de jouissance.
La preuve, elle se leva et se tournant vers son amant, elle empoigna son zob encore tendu et commença à le sucer et à le branler. Cétait vraiment une autre femme que je viens de découvrir. On verra plus tard. Elle suça le zob un bon coup, puis, sassurant quil sétait bien durci. alors elle se redressa puis, sans pudeur, elle tourna le dos à son amant et mettant ses bras de part et dautre, elle saccroupit sur le torse velu de lhomme et commença à sy frotter. Je voyais bien sa chatte qui brillait et laissait suinter du sperme blanc et entre ses cuisses le zob du jeune homme était bien raide.
Ensuite, elle savança un peu et tenant le zob à la main, elle le pointa, non sur sa chatte mais plus bas sur son anus, et elle poussa. Lhomme laida en se hissant par un coup de rein puissant et elle lacha le zob. Elle se pencha un peu en arrière et je distinguait parfaitement le zob enfoncé déjà à moitié, dans son anus, dans cul, dans sa terma. Impossible, cette femme nest pas ma femme ! Mais mes yeux ne me trompaient pas. Elle se sodomisait avec le gros zob du marchant.
Je croyais que lhomme sétait rassasié de la chatte de ma femme mais je constate quil a réussi à la dépuceler du cul, à lui ouvrir et élargir lanus. Elle commença à monter et descendre, à danser en douceur sur le zob de son amant et sur son visage cétaient des grimaces de plaisir et non de douleur. Elle avait donc dépassé les phases de dépucelage et dinitiation pour jouir des frottements du zob dans ses entrailles.
Lhomme, allongé, la tenait par les hanches et elle se dandinait avec délectation pour bien frotter le zob la où avait le plus de plaisir dans sa terma. Jétais abasourdi, mais pas étonné. Après tout, après la totale liberté quelle a eu dans son habillement et que javais accepté sans rien dire, puis labandon de sa chatte et de soncorps à ce jeune marchant, la sodomie semble être le dernier de ses soucis, au contraire, elle en jouissait devant mes yeux.
Je voyais ses fesses et sa chatte qui se frottaient sur les poils de lhomme. Le zob bien tendu, glissait avec facilité dans sa terma. Elle sy enfonçait jusquà faire claquer les couilles sur ses cuisses largement ouvertes.
Lhomme, la tenait par les hanches et laidait à se faire plaisir au maximum. Elle bougeait en haut et en bas puis sur les cotés et gémissait en prononçant des mots que je distinguais à peine « ah ! ya zeb elmetine ! debbouz fi qari ! » ( ah !zeb dur ! gros bâton dans mon cul !). « hnach idaqdaq fya ! rani nsil ! rani nsil mine teremti ! Haya habibi ! nickni lil claoui ! « « (est serpent qui me chatouille ! je coule ! je coule du cul ! vas y ô mon ami ! baises moi jusquaux couilles !).
Et lhomme, excité, accéléra aussi ses mouvements de reins. Ses coups puissants soulevaient ma femme, puis labaissant avec violence sur son ventre, il enfonçait son zob dans la terma de ma femme jusquaux couilles. Ils baisaient et gémissaient librement, totalement prisonniers de leur plaisir sexuel.
Moi-même jai été excité par les mots de ma femme. Et ayant assez vu et entendu, jai accéléré ma masturbation et rapidement jai éjaculé trois jets puissants de sperme sur le coté de la caravane. Puis épuisé physiquement et moralement, jai décidé de méloigner.
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