Une Tranche De Vie 15
Au Club
Samedi 5 septembre 1981- Jean raconte
En arrivant, au milieu dautres couples de notre connaissance, japerçus Véro et B tendrement enlacés dansant un slow.
Véro était habillée dune robe portefeuille (jappris le nom de cette robe plus tard), rouge avec des impressions noires. Cest une sorte de kimono qui se ferme avec un nud, à droite, au niveau de la taille. Ça enveloppe le corps comme une sortie de bain. Ça souligne les formes toute en étant souple.
La série terminée, tout le monde revint à la table, nouvelle série, nouveau changement de cavalières, nouvelle série, nouveau changement de cavalières. Je dansais avec AL une série de valses, puis B vint inviter AL. Jinvitais Véro, aussitôt sur la piste on se colla. Approchant sa bouche de mon oreille, elle me dit : « Tu aurais pu minviter plus tôt » et elle me donna un coup de langue sur loreille.
Moi : « Je pense que tu ne tiens pas à ce que ton mari nous surprenne »
Véro : « Cest vrai, mais je me suis ennuyé de toi. Dis moi quelque chose de gentil »
Moi : « Jai envie de toi »
Véro : « Cest gentil, mais plus fort »
Moi : « Jai envie de te sauter et je vais te sauter, je vais te baiser comme une de ces filles dehors, tu relèvera ta robe et menfoncerais dans ta chatte bien profond »
Véro : « Ohhh, encore, jaime quand tu me dis ça. Encore, je vais mouiller. Tu as pu constater que jai mis une robe pratique et, je pense que ça va te faire plaisir, je suis nue sous ma robe. Jespère que tu aimes et que ça te donne des idées. »
Collée contre moi, je sentais ses seins libres et elle se mit à rouler des hanches, le résultat ne se fit pas attendre. Dans mon pantalon apparu une bosse, un peu gênante pour moi, mais qui permit à Véro de sy frotter.
Véro : « Jaime quand tu es comme ça. Je vais devoir moccuper de cette bosse. Quen penses-tu ? Je suis certaine que cette bosse demande à prendre lair ? »
La série étant terminée, je devais ramener ma cavalière à la table.
Elle ne mit pas longtemps à se heurter à ma bosse et me dit : « Cest Véro qui te fait cet effet là »
Moi : « Non, cest de te voir flirter enfin te frotter avec et contre B. Ça me donne des idées. Où en es-tu avec don Juan des tropiques ? »
Al : « Jai limpression que tu as trop dimagination. Il voulait que lon se retrouve dans lappart dun copain qui lui a laissé la clé pendant son absence, mais il na pas retrouvé la clé. De toutes les façons, je lui ai dit que je ne voulais pas aller ailleurs quà la maison. Il a accepté. Mardi en huit à 14,00 h, puisque le prochain vendredi nous ne sommes pas ici, et que le seul autre jour possible de la semaine prochaine est Mardi il a râlé « cest trop loin ». Tu es content ? Maintenant, occupes toi de moi, sers moi fort.»
De ce coté laffaire était donc en bonne voie. Et on continua à danser et on se frotta généreusement avec AL Il ny aurait pas eu Véro, je lui aurais proposé un petit tour dehors. Ne sachant pas dailleurs si elle accepterait, mais ce serait une option un de ces jours. Alors que jétais de retour à notre table et que je faisais une pose, Véro sapprocha de moi et me dit : « Je vais prendre lair. » et elle disparut.
Je me dirigeais vers le bar et discrètement vers la sortie, enfin lentrée et je me dirigeais vers le fond du parking ou jespérais retrouver Véro. Effectivement je la trouvais derrière un gros 4x4. Je mapprochais et la prenais dans mes bras, nous nous collâmes et sen suivit un long et sauvage baiser. Javais appris que si je voulais quelle se donne, bien que ce ne soit pas tout à fait dans mes habitudes, il fallait, lui dire ce quelle attendait et ce quelle aimait entendre. Il était pour le moins surprenant que cette jeune femme, énergique, on avait vu comment elle avait réorganisé et redressé en trois mois le super magasin dont elle avait la gérance, bien éduquée, dès quil sagissait de sexe semblait se dévergonder.
Toujours collé lun à lautre, je lui glissais :
Moi : « Viens, jai envie de te sauter. Tu disais que ta robe était pratique, montre moi »
Véro : « Défaits ce nud, la robe souvrira et tu me verra nue, comme je te lai dit »
Moi : « Montres moi, défaits le nud, tu aimes te montrer à poil, ça texcite » Ce quelle fit et la robe souvrit, Véro apparu complètement nue.
Véro : « Oui jaime me montrer à toi nue, je sais que ça te fait bander et jaime savoir que ta queue enfle et que tu vas bientôt me prendre dans ce parking comme un catin. Oui jaime que tu me le dises. »
Moi : « Donnes moi tes seins, jaime les lécher, les sucer » Ce quelle fit.
Véro : « Oui, Jaime sentir tes mains prendre mes seins à pleine main et les malaxer, jaime ta langue sur mes seins, têtes moi, aspires les »
Pendant ce temps, elle défit ma chemise.
Véro : « Attends à moi, » me caressant, membrassant le torse elle descendit, défit ma ceinture ouvrit mon pantalon et sorti ma hampe et saccroupissant elle me prit en bouche et commença à me sucer, me lécher. Elle avait toujours une bouche et des lèvres douces, un véritable fourreau chaud et humide, mais une langue active avec un bout de langue coquin. Elle sentit à mes mouvements de va et vient dans sa bouche que la pression augmentait. Elle se releva me laissant sur ma faim et me dit : « Tu prendras ma bouche une autre fois, maintenant je te veux dans moi, je veux te sentir me pénétrer, me baiser. »
Moi : « Tournes toi et relève ta robe. »
Véro se retourna et releva sa robe. Je glissais une main entre ses cuisses quelle écarta largement et je prenais sa chatte à pleine main. Je caressais ses lèvres et suivait son sillon jusquà son petit trou. Plusieurs fois je me promenais sur et dans ce sillon chaud. Sa chatte devenait de plus en plus humide.
Véro : « Arrêtes ce jeu, rentres ou tu veux, mais rentres, je nen peux plus dattendre.
Arrivant sur sa chatte Véro me bloqua la main et poussa mes doigts dans son abricot. Je la pénétrais de deux doigts, mon pouce senfonçant légèrement dans son petit trou et je faisais plusieurs aller et retour dans ses intimités.
Véro : « Ohhh
. OuiIIII
. »
Moi : « Tu aimes que je te masturbes,
Tu veux que jarrête ? »
Véro : « Oui jaime,
encore un peu,
Je veux ta queue,
je ne peux plus attendre. Viens, enfonces toi dans moi »
Je me rapprochais delle et me mettais en position dans son sillon. Sans hésiter elle me prit et me dirigea dans son fourreau chaud et trempé. Y rentrer était chose aisée tellement son jus dégoulinait. Je la tenais par les hanches, et javais sous les yeux son beau cul bien rond. Je la travaillais rudement, sortant presque pour rentrer durement, et le plus loin possible elle encaissait, elle aimait cette façon de la prendre en expirant et soufflant fort, tel le sportif.
Moi : « Tu sais que tu as un beau cul . Hein,
hein, ...»
Véro : «Ohhh
Ouii
Il te plait ? »
Moi : « Oui, beaucoup, tu as la peau douce et un joli petit trou. Hein,
hein, ...» »
Véro « Ça veut dire que tu en as envi de le prendre. Ouiiiii,
continues, jaime »
Moi : « Pourquoi pas ? Hein,
hein, ...»
Véro : « Fais moi jouir, Ouiiiii,
un gros orgasme, Ohhhh,
. Et tu lauras mon cul, Ouiiii, continues, je sens que ça vient, Ouiii,
défonces moi, Ohhhh,
Ohhhhh,
Ouiiii, ne tarrêtes pas »
Véro se cramponna au 4x4, recula son beau cul, et se cambra. Lorgasme arrivant, elle poussa un cri étouffé de plaisir, ce qui par voie de conséquence, que planté en elle, je me vidais dun seul coup, ce qui entraina chez elle un nouveau gros soupir de plaisir.
Véro : « Ne bouges pas, jaime te sentir quand tu te retires doucement »
Elle se redressa, se retourna et se collant contre moi me dit : « Jai aimé, jai bien joui, cétait bon. Pour le reste on verra une autre fois, si tu veux toujours.
Elle referma rapidement sa robe, me lança un baiser et disparu.
Je regagnais le club, pour mapercevoir que le groupe était en train de se séparer et de quitter le club. Je réussi à rejoindre le groupe, sans que personne ne saperçoive que je venais de rentrer. Au revoir, dormez bien, à demain à la plage,
et AL et moi allions à notre voiture. Je quittais le parking, quand Al me dit à gauche, ce qui nous amenait comme la dernière fois vers la plage.
Moi : « On va à la plage ? »
Al : « Oui, à moins que tu préfères rentrer à la maison ? »
Moi : Non, mais je suis surpris. Un bain de minuit. Tu as amené un maillot ? »
Al : « Non pas de maillot, tu nest pas tenté. Penser à lexpérience de la dernière fois ma excitée, jaimerais recommencer »
Moi : « Je tadore »
Le dimanche suivant nous navons pas pu aller à la plage, ainsi que le dimanche suivant devant monter dans le nord.
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