La Naissance D'Une Osmose

Cela faisait 3 semaines maintenant que Sam et moi avions passé le cap des aveux, notre relation ne s'en portait que mieux, les parties de sexe étaient de plus en plus intenses, elle me vidait les couilles à la moindre occasion, au moins 3 ou 4 fois par jour, des fois nous baisions, des fois elle me suçait pour avaler mon jus, et des fois elle se contentait de me branler à fond jusqu'à ce que je gicle partout, puis elle retournait à ses occupations . Je ne savais pas vraiment si elle faisait ça pour me combler ou juste parce qu'elle avait besoin de mon sperme, mais je ne m'en plaignais pas, même si au bout de quelques temps je commençais à avoir la bite fatiguée.
Arriva la date de notre anniversaire, 2 ans que nous étions ensembles, deux ans d'amour, de passion, de mensonges et de sexe sauvage, il fallait fêter ça. On allait commencer par prendre un verre dans un petit bar du quartier, puis j'avais réservé dans son restaurant préféré et ensuite, un film au cinéma, une petite soirée sympathique en amoureux.
Vers 19h30, j 'étais fin prêt, dans une petite chemise blanche qui mettait en valeur mon torse assez musclé, et un pantalon noir qui faisait ressortir mon joli cul. J'attendais la demoiselle qui comme d'habitude était en retard, quand elle sorti enfin de la salle de bain, elle était resplendissante, dans une robe rouge moulante assez courte, avec de jolis talons ; elle était bandante. En me voyant elle sourit et me demanda si elle me plaisait, je lui pris la main et la pose sur ma queue en train de durcir, ce qui la fit sourire de plus belle, elle se mit à genou et baissa mon pantalon, attrapa ma bite et se mit à la lécher sur toute sa longueur, puis la goba jusqu'aux couilles, tout en malaxant ces dernières. Surpris par la soudaineté de cette action, je m'agrippais à la poignée de la porte de la salle de bain d'une main, et de l'autre je l'attrapais par les cheveux, pour lui donner le rythme. Elle se mit à gémir tout en accélérant, et en me regardant dans les yeux.

Cette vue était très excitante, elle, sexy , à genou avec ma grosse bite dans sa petite bouche qu'elle suce avec avidité, j'eus l'idée de la prendre en photo, cela lui plut et elle pris même la pose, je pris donc plusieurs clichés d'elle suçant ma bite. Je ne mis pas longtemps à venir, et quand elle senti mon manche se raidir dans sa bouche, elle pris encore une fois ma queue en entier, pour me faire jouir au fond de sa gorge dans un râle de plaisir.
Une fois la dernière goutte savourée, elle se remit debout, m'embrassa à pleine bouche, me faisant goûter mon sperme qui n'était pas mauvais, puis nous sommes sortis.
Le bar n'était pas loin, nous y sommes donc allés à pieds. Arrivés là bas nous nous sommes installés dans la salle et avons commandés nos verres. En faisant un tour de salle, je vis un mec, la trentaine, grand et très costaud, qui était resté bloqué sur Sam, il n'en détournait pas le regard, il ne remarquait même pas que j'étais en train de le fixer, Samantha par contre, suivit mon regard et croisa celui du mec, qui sourit, dévoilant un visage charmeur, Sam lui rendit son sourire en disant « tiens il est vachement mignon celui là », elle lui fit un clin d’œil et passa sa langue sur ses lèvres avant de reporter son regard sur moi.
Sam : « Je suis sûre qu'il doit être dur là, il aime beaucoup ma robe on dirait .
-C'est normal tu es hyper canon ce soir.
-Tu sais pas tout ! Je n'ai rien mis dessous ».
Là dessus elle écarta les jambes, vu que nous étions assis dans des fauteuils devant une table basse, je ne pu qu'admirer la chatte de Sam, complètement imberbe, qui semblait être déjà bien mouillée. Mon sang ne fit qu'un tour et je me sentis raidir dans mon pantalon, une envie soudaine de démonter cette petite salope me pris, mais il semblait qu'elle avait d'autres idées en tête ; depuis qu'elle avait remarqué le mec au fond de la salle, elle ne cessait d'y jeter des coups d’œil, en portant mon regard dans sa direction, je vis que le mec se massait l'entrejambe, il n'avait du rien louper de l'exhibition de ma meuf. Cela eu pour effet de m'exciter, je me retournais vers Sam et lui dit : « Il te plais, tu as l'air vachement excitée.
-Oui il me fait mouiller j'avoue, je suis désolée...
-Ne t'excuse pas, je commence à te cerner, et j'avoue que t'imaginer avec lui ça m'excite aussi.
-C'est vrai ? Dans ce cas ! »
Elle se leva, se dirigea vers le mec, et le contourna en lui touchant l'épaule, puis se dirigea vers les toilettes. Le mec, une fois qu'elle fut rentrée dans la pièce du fond, me regarda, eut un sourire carnassier, se leva et se dirigea lui aussi vers les toilettes. Pris au dépourvu, je ne savais pas trop quoi faire, pris entre ma gêne, ma stupeur, et cette trique monumentale qui déformait mon jean depuis plus de 10 minutes. N'en pouvant plus, je me levais et me dirigeais à mon tour vers les toilettes. Une fois la porte poussée, je me retrouvais dans un petit sas face à deux portes, une pour les hommes, l'autre pour les femmes, d'où des gémissements s'échappaient. Je rentrais donc, pour arriver face au mec, qui plaquait Sam contre le mur au dessus du sol, elle les jambes enroulées autour de son cou, tandis qu'il lui bouffait la chatte. Devant cette scène digne des meilleurs films de cul, je restais figé, jusqu'à ce que Sam, entre deux gémissements, me dise de bloquer la porte, ce que je fis. En me voyant, le mec reposa ma copine qui lui dit que ça ne me dérangeait pas, que je n'étais là que pour regarder.
Cela le fit rire, et il baissa son pantalon devant Sam qui venait de se mettre à genou, et qui se retrouva devant une bite d'une vingtaine de cm, bien épaisse et dure, et dont le gland laissait déjà échapper un peu de jus. Elle se mit à le sucer sans se faire prier, de façon appliquée, voire passionnée. Je réalisais que j'étais avec une énorme salope, qui n'avait pas de scrupules, une affamée de bites.
Le mec avait l'air pressé, il la releva et la retourna, la faisant s'appuyer sur le lavabo, et lui mit sa bite au fond de la chatte sans même avoir lubrifié. Elle poussa un cri, de douleur et de plaisir je suppose, tandis qu'il se mettait à la pilonner. N'en pouvant plus je me mettais à me branler après avoir sorti ma queue, pendant que le mec attrapait Sam par les cheveux, tout en lui mettant 3 doigts dans la bouche pour ses cris. Je vis qu'elle me regardait à travers le miroir tandis qu'elle se faisait défoncer comme une pute. Je ne mis pas longtemps à venir, projetant plusieurs jets de sperme sur le sol tandis que le mec sortait sa queue de ma copine, et se vidait sur son cul et le bas de son dos.

Il remonta ensuite son pantalon et sorti sans un mot ni même un regard, nous laissant, moi, la bite à l'air, devant une flaque de sperme, et Sam, affalée sur le lavabo, décoiffée, essoufflée, et le cul couvert de jus, qui coulait le long de sa raie et de ses cuisses. Elle se redressa et se tourna vers moi et dit « tu as eu l'air d'aimer ça »tout en montrant mon sperme au sol et ma bite qui était à nouveau raide, en me défiant du regard.
Ni une ni deux, je l'attrapais et la remettais sur le lavabo, je me mettais à jouer du bout de ma queue avec le jus qui lui recouvrait le cul, j'en étalais sur sa rondelle pour la lubrifier, puis je lui enfonçait ma bite dans le trou d'un coup sec tout en lui claquant les fesses et, ne tenant pas compte de ses cris, lui démontais l'anus sans la moindre pitié, la traitant à juste titre comme une chienne. Je n'ai pas tardé à jouir au fond de son cul.

J'ai remonté mon pantalon tandis qu'elle remettait sa robe en place, recouvrant son cul maculé du sperme séché de l'autre mec, et encore ouvert et plein du mien, qui commençait à s'écouler doucement de son anus défoncé. Elle s'est ensuite un peu recoiffée, avant de se tourner vers moi, tout sourire, et de me dire « Merci, je t'aime et j'adore que nous ayons cette complicité, et cette folie sexuelle qui nous rassemble dans nos fantasmes.
-Merci à toi, je me sens plus libre et comblé depuis que nous avons franchis ce cap, tu es belle sexy audacieuse et vicieuse, et j'adore ça, je t'aime.
-tu es trop mignon et sexy, tu m'as défoncé le cul, et l'autre m'a presque étouffé avec sa bite ! Ça m'a donné faim, allons manger. »

Nous sommes sortis des toilettes et je suis allé régler l'addition, tandis que la serveuse me fusillait du regard, le patron lui regardait Sam d'un air affamé. Je regardais l'heure et remarquais que nous avions passé plus de 30 minutes dans les toilettes, les aimables gérants avaient du entendre notre petite partie improvisée.

Dommage, on aimait bien ce bar.