Une Tranche De Vie 16

Les achats photographiques
Mardi 8 septembre 1981 - Jean raconte
Avec Véro il avait été convenu que le Lundi je passerais à son super magasin pour acheter du matériel photographique, un appareil photo plus puissant que ce que j’avais et un petit caméscope. Elle m’avait indiqué que le responsable Isidore était parfaitement compétent et qu’il pourrait me diriger dans mes achats. Je ne pouvais pas arriver avant 11,45 h. Pas d‘importance m’avait-elle dit, Isidore sera là. Par contre le super magasin fermant à 12,00h, il me faudrait passer par l’arrière. Le gardien serait prévenu. Comme indiqué je rentrais par l’arrière du magasin et me dirigeais vers la partie photo. Isidore était là et m’attendait. Il appela au téléphone sa patronne pour la prévenir se mon arrivée. Elle lui demanda de me passer l’appareil.
Véro : « Quand tu as fini demande à Isidore de t’amener à mon bureau. D’autre part, j’ai du travail, à midi je mange au bureau. Aimes-tu le vietnamien, si oui, je t’invite. D’accord ? »
Après mes achats, Isidore m’amena au bureau de Véro.
Toc, toc
Véro : « Entrez, merci Isidore, vous pouvez partir maintenant. Tout c’est bien passé »
Isidore : « Oui Madame, bon appétit »
Isidore quittait le bureau. Véro de son bureau appuya sur un bouton d’une boite et l’on entendit un déclic.
Véro : « La porte est fermée et le feu rouge est installé »
Moi: « Le feu rouge »
Véro : » Oui, le personnel sait que je suis en réunion et que l’on ne doit pas me déranger. C’était mon prédécesseur qui avait fait installé ce système, dont je me sers que très rarement, mais aujourd’hui c’est l’occasion. D’ailleurs, je ne pense pas que ce soit bien utile, tout le monde est parti. Il a fait aussi installer une petite salle d’eau et cela est confortable.»
Elle décida enfin à quitter son bureau et vint vers moi. Elle était vêtu d’une jupe droite grise jusqu’au genoux, d’un corsage blanc et par dessus un léger lainage.

Très classe.
Véro vint dans mes bras, enfin plutôt se colla à moi. Elle avait la bouche entrouverte s’en suivit un baiser chaud et fougueux, non seulement de nos lèvres mais de tout le corps. On se détacha enfin. Elle enleva son petit lainage, le corsage n’était pas transparent mais il était possible de voir qu’elle ne portait pas de SG. Elle remarqua mon air un peu surpris et me dit : « Je savais que tu allais venir, je me suis préparé à te recevoir. Dans le magasin je ne suis pas comme ça. Je sais que tu apprécies que je sois nue sous mes vêtements, c’est de que j’ai fait. J’espère que tu es content. »
Moi : « Ravi, oh oui, j’aime tes seins. Enlèves ton corsage et montres les moi »
Véro : « Tu veux que je l’enlève moi-même »
Moi : « Tu aimes que je te le demande et tu aimes m’obéir, cela t’excite »
Véro : « Oui » et elle enleva son corsage, ce qui dévoila sa superbe poitrine. Une poitrine épanouie, des seins bien ronds, remplissant les mains.
Moi : « Donnes moi tes seins à sucer »
Véro pris ses seins et je les prenais en bouche pour les sucer et les lécher, ce qu’elle aimait. Je la soulevais et la posais sur la table, j’avais ses seins à la hauteur de mes lèvres et j’en profitais longuement et goulument. Tout cela avait enclenché des envies de son sexe.
Moi : « Aides moi à relever ta jupe »
La jupe fut remontée jusqu’à la ceinture. Elle était de nouveau assise sur la table. Je la basculais en arrière et lui écartais les cuisses.
Moi : « Ouvres toi, je vais te bouffer la chatte et après tu me suceras »
Elle mis ses mains sous ses genoux et écarta ses cuisses au maximum, j’avais devant moi sa chatte bien ouverte et déjà bien luisante de sa mouille. Cela montrait qu’elle aimait ce qui se passait.
Je plongeais entre ses cuisses et m’occupais de sa chatte d’abord avec la bouche et comme elle me l’avait dit une fois « un fruit ça se mange aussi avec les doigts », consigne que je m’efforçais d’appliquer avec ardeur.
Entre ma langue et mes doigts son abricot coulait, sa respiration s’accélérait et sa voix faisait entendre que son plaisir montait crescendo pour atteindre un orgasme qui l’a fit pousser un cri de fond de gorge et un « OUIIIIIIII…. Je jouis, …. » Et elle lâcha ses genoux, ses jambes tombèrent sur mes épaules pendant que ses cuisses enserrer ma tête.
Enfin le calme revint, elle descendit de la table, mettant ses bras autour de mon cou et son corps contre le mien m’embrassa tendrement et elle dit : « J’aime sentir mon odeur sur tes lèvres. »
Après cette mise en bouche, j’avais une trique sérieuse, Véro s’accroupit, s’attaqua à la ceinture de mon short, descendit short et caleçon et se saisissant de ma hampe la prit en bouche et entreprit de me lécher, me sucer, me pomper avec énergie, tout en me regardant droit dans les yeux. Elle aimait ce qu’elle faisait et elle émettait des petits bruits de satisfaction.
J’avais l’impression d’avoir un sexe qui gonflait et j’étais prêt à éclater et le dis à Véro qui continua à me pomper de plus belle, je me vidais d’un seul trait dans sa bouche en manifestant mon plaisir. Elle se releva et vint se coller contre moi
Véro : « C’était bon, tu as aimé, je t’avais promis que tu me prendrais la bouche, tu es heureux ? Il est temps de manger, tout est ici. »
Elle rabattit sa jupe la défroissa et entrepris de remettre son corsage.
Moi : « Ne remets pas ton corsage ».
Véro : « Tu veux que je reste seins nus pendant que l’on mange ? »
Mois : « Oui cela me paraît une bonne idée. Tu as de beaux seins et je veux en profiter »
Véro : « D’accord »
On s’installa pour déjeuner et avec une nourriture agréable, j’avais le spectacle de la poitrine épanouie de Véro, un peu lourde, bien ronde, bien pleine aux larges aréoles plus sombres que sa peau de blonde et aux pointes turgescentes quand elle avait du plaisir. Tout se passa bien, au dessert il y avait de la confiture de mangue et une idée me vint.

Moi : « Viens t’asseoir sur mes genoux, je vais manger la confiture sur tes seins »
Véro s’installa sur mes genoux et je posais de la confiture sur la pointe ses seins que je m’empressais de manger et de lécher pour son plus grand plaisir. Ce petit jeu terminé, Véro passait un coup de chiffon sur la table, pendant que je prenais mes appareils. Elle n’avait pas encore remis son chemisier, légèrement penchée sur la table je voyais Véro de dos. Et je lui dis (très galamment ???) « Tu as vraiment un beau cul, un très beau cul»
Véro sans bouger et en augmentant l’inclinaison du buste ce qui faisait jaillir ses fesses rondes: « Il te plait tant que ça »
Moi : « Oui »
Véro : « Tu es tenté, tu le veux ? »
Moi : « Oui »
Puis se retournant vers moi, un peu vivement, elle me dit :
Véro : « Ne me dis pas Oui. Je t’ai dit de me dire ce que tu voulais me faire était pour moi le début du plaisir. Alors dis moi que tu as envie de me prendre par derrière, de prendre mon cul, de m’enculer. Dis moi relèves ta jupe que je vois ton petit trou pour m’y enfoncer. Je sais, certaines femmes se coincent quand on leur dit ça. Elles en ont envie, elles ne le disent pas, elles attendent d’être es, moi pas, ça m’excite. Tu veux mon cul dis le, viens et prends le. Je t’ai dit je veux profiter de la vie, je veux jouir. J’aime le sexe et j’aime qu’on me le dise, j’aime le faire, j’aime jouier»
Moi : « Relèves ta jupe et tournes toi que je vois ton joli cul appuies toi sur la table pour mettre ton cul en valeur, voilà comme ça et maintenant écartes le cuisses que je te caresse la chatte et prépare ton petit trou »
Véro s’exécuta sans la moindre remarque, elle était en position. Je glissais ma main entre ses cuisses et pris son minou à pleine main. Elle était trempée de cyprine.
Moi : « Tu avais envie que je t’encule. Tu es inondée»
Véro : « Ohhhh, …, Oui j’en avais envie et je me demandais si tu te déciderais. »
Je glissais deux doigts entre ses lèvres et m’enfonçais en elle.
Cette pénétration entraina un soupir de satisfaction et je commençais quelques va et vient et humidifiais son petit trou avec sa mouille. Pendant mes va et vient, je lui enfonçais à chaque fois le pouce un peu plus loin dans son petit trou. Tous ces aller et retour faisaient monter des soupirs aux lèvres de Véro et elle dit : « Viens je suis prête encules moi, j’en ai envie, tu en as envie »
Je m’étais défait et ma queue parcourait sa raie pour descendre vers sa chatte.
Moi : « Écartes tes lèvres, je veux ta chatte d’abord »
Véro ne dit rien, ses mains ouvrirent sa chatte et me prenant elle me guida en elle. Je la pénétrais facilement son fourreau était trempé de mouille ce qui facilitait la pénétration. Je fis quelques aller et retour et me retirais, ce qui entraina de la part de Véro : « Oh, … non, … reste » et je lui dis : « Écartes tes fesses, ouvres ton cul, c’est lui que je veux ». Sans un mot ses deux mains se positionnèrent sur la rotondité de ses jolies fesses et les écartèrent.
Je me positionnais en face de son petit trou et commençais à l’enfoncer doucement, il y eu un peu de résistance, puis Véro se relâcha et je l’enfonçais en même temps qu’elle manifestait son plaisir par un : « OUIiii, … » explicite. J’étais sous pression, j’avais devant moi son cul rond à la peau souple. Je lui claquais deux belles tapes sur ces rotondités. Elle eu un sursaut et un « Oooohhhhh, .., Ouiiiii ». Elle semblait avoir apprécié, mais je ne m’aventurais pas à renouveler l’expérience, ce n’était pas dans mes habitudes, … si ultérieurement ça lui plaisait tant on verrait. Je la tenais par les hanches et la ramonais avec vigueur à grands coups de reins. Ce qu’elle subissait avec des « Oui , …, encore » de satisfaction et en se cramponnant à la table. N’y tenant plus je me lâchais d’un seul jet dans son fondement. Elle se cabra et eut une série de cris rauques du fond de gorge signifiant qu’elle jouissait, qu’elle venait d’avoir un bel orgasme. Elle plia les bras et se coucha pendant quelques secondes, sur la table, pour reprendre son souffle quant à moi je me cramponnais encore à ses hanches en attendant que dame nature fit son œuvre et je me retirais. Elle se releva et se retournant, le souffle encore un peu court, visible au mouvement excitant des ses seins, elle vint se coller à moi et me dit : « C’était bon, je sais que tu as aimé, on recommencera, maintenant que tu ma prise partout. Tes claques m’ont excitée» Puis revenant aux réalités, il fallait que je la quitte rapidement, les aiguilles de la montre avaient la fâcheuse tendance à avancer trop rapidement. Je pris une douche rapide ainsi que Véro et nous sommes séparés pour vaquer à nos occupations réciproques.

Essai des appareils
Vendredi 11 septembre 1981- AL raconte
Ça y est il est arrivé avec ses appareils photos, bon sang, quelle idée de vouloir prendre des photos pendant qu’on baise avec B, c’est vraiment démant. Je veux bien encore admettre qu’il veuille assister, mais des photos.
AL : « Ça y est tu as ton matériel photo »
Jean : « Performant en plus, je vais le positionner et après tu m’aideras à faire les essais »
AL : « Des essais ? »
Jean : « Oui, le cadrage, lumière, … Je ne tiens pas à les louper »
AL : « (Intérieurement) Que tu les loupes cela ne me généra en aucune façon »
Après le diner, il s’était remis à installer son matériel, entre autre sur les étagères montées, il y a peu, pour dissimuler ses appareils au milieu de bouquins et de cassettes, … , à régler les lumières
Jean : « AL peux tu venir, je voudrais faire des essais »
Je me rendais dans la chambre, la lumière était tamisée, très ambiance. J’étais plantée là au bord du lit en attendant qu’il fasse ses mises au point.
Jean : « Déshabilles toi un peu que je vois si j’ai assez de lumière »
Moi : « Tu m’agaces »
Jean : « Fais un effort, STP »
Là m’est alors venu une idée folle et à priori idiote.
Moi : « Bon d’accord, attends une minute »
J’allais mettre un CD de slow sur le lecteur de casettes et je me plantais au bout du lit face à lui et claquant des mains, imitant le bruit que fait la claquette en début de prises de vue au cinéma, je dis : « Anne Laure – Strip-tease – 1ére » et je commençais à me déshabiller comme j’avais vu les stripteaseuses le faire. J’enlevais mon petit gilet que je jetais négligemment sur le lit, puis je défaisais les boutons de mon corsage, qui, enlevé suivi le même chemin que le gilet. Tout cela en dansant, enfin en tortillant des fesses. Tournant le dos au photographe, je descendais le zip de ma jupe que je faisais glisser le long de mes hanches et qui atterrit parterre et que je balançais d’un coup de pied au fond de la chambre. Toujours de dos, je dégrafais mon SG, qui lui aussi atterrit sur le lit et me retournant, je cachais mes seins de mon bras droit, alors que ma gauche descendait vers son string et de nouveau je me mettais, dos au public enfin dos au photographe, pour enlever son string que je fis descendre avec moultes mouvements des hanches. J’étais enfin nue. Je me retournais vers le photographe et écartant les bras m’offrais ainsi à sa vue.
Tout ça m’avait un peu échauffé. Je m’allongeais sur le lit, tendais les bras au-dessus de ma tête et m’étirais langoureusement. Ramenant mes bras, ma main droite rencontra mon sein droit et elle commença à le soupeser, l’envelopper ; la main gauche suivit son exemple. Je sentais mes seins gonfler sous mes caresses et surtout en pensant à Jean qui devait se régaler à me photographier. Je ne lui avais jamais accordé un tel spectacle et j’espérais qu’il appréciait ?
Ma main droite abandonna mes seins pour descendre sur mon ventre et mon bas-ventre qui commençaient à réclamer leur part. Sous ma main gauche mes seins avaient durcis et pointaient sérieusement, alors que ma main droite continuait sa descente vers mon entrejambe. À l’arrivée de ma main mes jambes s’écartèrent légèrement pour laisser un libre accès à ma chatte, qui s’humidifiait généreusement. Oubliant ce que faisait l’autre avec ses photos, mon majeur suivi le sillon de mes grosses lèvres, qui après plusieurs allées retours finis par s’introduire dans mon intimité, je me faisais plaisir et sentant venir le plaisir j’écartais largement les cuisses, laissant libre accès à mes doigts qui se trempaient de mouille qui par leurs mouvements m’entraînaient vers le plaisir et je sentais que j’allais bientôt jouir..
Je n’avais rien entendu, quand jean arriva, me tira par les jambes jusqu’au bord du lit.
Moi : « Oh « de surprise
Jean : « T’es bien une salope, je vais te baiser »
Moi : « Oui, comme tu veux, je suis une salope, mais tu es là, viens prends moi, baises ta salope, dépêches toi j’étais en train de partir»
Alors que j’avais les cuisses largement écartées et la chatte bien ouverte et prête à l’accueillir, il m’écarta encore les jambes et me dit : « Ouvres-toi, ouvres ta chatte que je la voie »
J’ouvris ma chatte, il se positionna et le guidant un peu, me pénétra d’un seul coup de rein. J’étais tellement lubrifiée qu’il s’enfonça en moi sans difficulté. Il commença à m’entreprendre à grands coups de reins. J’avais l’impression qu’il était plus dur et plus gros que d’habitude et je me fais plaisir en pensant que cela était du au spectacle que je lui avais montré. Cette pensée fila aussi vite qu’elle était venue, car je sentais le plaisir monter alors que Jean me ramonait avec énergie. Prête comme je l’étais je ne mis pas longtemps à sentir le plaisir m’envahir et sentir un orgasme éclater, je me cambrais alors que Jean se vidait en moi et qu’un long cri de gorge m’échappait.
Affalés sur le lit, nous reprenions nos esprits et je lui demandais à voir les photos. Il m’expliqua que le vendeur lui avait recommandé un appareil Sony révolutionnaire le Mavica, les photos prises étaient stockées sur une sorte de disque magnétique et avec un lecteur approprié, qu’il avait également acheté on pouvait les voir sur la télé. Enfin il me demanda si j’avais entendu le petit bruit du déclencheur photographique. Effectivement, le sachant maintenant, j’avais vaguement entendu un petit bruit noyé dans le bruit du clim.
Des amis arrivaient et s’invitaient pour l’apéritif.

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