Une Tranche De Vie 17
Mardi 15 septembre 1981 - AL raconte
Comme dhabitude Jean devait venir déjeuner, il ma fait prévenir par son chauffeur quil serait légèrement en retard et quil serait ici vers 13,00 de façon à arriver avant B. qui doit venir aujourdhui vers 14,00 h, comme cela été convenu. Je métais habillée comme la dernière fois de ma robe saharienne beige claire, au boutonnage de bas en haut, le corsage ajusté et la jupe au-dessus du genoux et en dessous comme la dernière fois jétais nue à lexception dun porte-jarretelle tendant mes bas. Le décolleté était fermé par un bouton au niveau des seins, un de plus déboutonné et mes seins sortaient de leur niche. Quant au bas le premier bouton fermé était juste en dessous du haut des bas. Mais out ça faisait que Jean nétait toujours pas là et je commençais à angoisser sérieusement de les voir arriver tous les 2 en même temps. Javis quand même mis des livres dallemand sur la table, mais,
Puis B arriva pratiquement à lheure,
Je me levais pour laccueillir. Il me prit la main et la retournant membrassa dans la paume avec un léger coup de langue. Détail auquel je ne mattendais pas, qui me surprit et déclencha un léger frisson et je linvitais à sassoir pour le café que javais préparé en attendant. Alors que je servais le café B. me dit « tu sembles nerveuse,
tu as des soucis » - » Non, rien de bien spécial »
Je me rendis compte queffectivement, je me sentais nerveuse, que jétais nerveuse. Je minquiétais de voir arriver Jean le sourire aux lèvres en disant : « Tiens cher ami, vous ici, content de vous voir,
» et de blagasser. Etant incapable de deviner ce quil ferait. Jespère quil ne me ferait pas le coup du constat dadultère ou autre vacherie. Pour linstant il me fallait éviter que B saperçoive de quoi que ce soit et que je puisse réfléchir à la suite. Discrètement jaugmentais mon décolleté dun bouton, ce qui, quand je me baissais pour verser le café devait attirer son regard et lui éviter de réfléchir.
« Viens, on va dans la chambre, on sera plus confortable et au frais ». Sans discuter il me suivit . Arrivé dans la chambre, il déboutonne tous les boutons et menlève ma robe quil balance sur un fauteuil, je suis nue avec seulement mon porte-jarettelles et me bas. IL glisse sa main entre mes cuisses que jécarte pour lui permettre laccès à ma chatte quil entreprend de malaxer, avec un peu de rudesse, mais cest agréable et ça me fait légèrement mouillé. « Tu pourrais peut-être te déshabiller », ce que jentrepris de faire avec son aide. La chose étant faite sa bouche attaque goulument mes seins. Cest pendant cette occupation que jentendis, le petit bruit caractéristique de la moustiquaire de la porte arrière qui souvrait. Quelques instants dattente anxieuse, suivant mentalement le trajet de Jean allant
vers sa « salle de prise de vue ». Jétais soulagée il avait du avoir un empêchement sur chantier. Je pouvais maintenant me laisser aller aux mains de mon amant actuel et surtout, puisque Jean voulait faire des photos, que javais appelé porno, jallais jouer lactrice porno et déployer tout mon talent de salope de façon à lui faire regretter ce petit jeu quil voulait que je joue et le faire bander au maximum.
Il sagissait maintenant daller voir le photographe-mari, on pouvait penser que le photographe serait content des mes prestations comme actrice porno, par contre quen dirait le mari ???
Après quelques hésitations je décident de changer de robe et je décidais de garder porte-jarretelles et bas et mettre ma mini-juppe, elle était très mini à telle point que je ne la mettais plus pour sortir, mais simplement quand nous étions seuls avec Jean pour les soirées intimes. Pour le haut je mettais un corsage noir en dentelles absolument transparent et, en fait, qui se portait, quand on sortait, avec un T-shirt en dessous. Maquillage, un coup de peigne, un pschitt de parfum et jétais prête à affronter le photographe-mari. Jallais à la porte se son bureau et frappait (pendant les visites de B cette porte était toujours fermée à clé, surtout si Jean y était, on ne savait jamais) « Entre cest ouvert ». Cest ce que je fis et en balançant des hanches je mapprochais « Alors, photographe de mon cur content de ton actrice, tu as pu faire les photos que tu voulais » « Je dois reconnaître que tu as été brillante, une belle salope », « Dis donc, qui a voulu faire des photos pendant quon baisait. Jai fait à ta demande lactrice porno et je suis sur que ça ta fait bander et maintenant tu toccupes de ton actrice »
Jean se leva et vint vers moi. Il mattrapa pas la taille « Tu es une belle garce » ce faisant, il glissa une main sous ma jupe, il me dit « Tu tes préparée, dis moi que tu as envie de moi, que je te baise ». Je ressaierais les cuisses et lui bloquais la main avant quil atteigne mon abricot, que je savais déjà humide à la seule pensée de ce que nous allions faire.
Moi « Cest à toi de me dire que tu es content de ton actrice, que tu as aimé la voir se faire sauter et que cela ta fait bander et que tu as maintenant une splendide queue que tu veux lui mettre partout et la faire grimper aux rideaux. Je suis peut-être une belle salope, mais qui ma transformé en salope pour son plus grand plaisir,
hein dis-moi, tu aimes que je sois une salope, ça texcite» et jécartais les cuisses, ce qui lui permit datteindre ma chatte et de commencer à me caresser. Je mattaquais à la ceinture de son short, défaisait sa braguette et sortait son engin que je commençais à caresser puis magenouillant je le prie en bouche et commençais à le sucer et à le branler. Lavantage de cette fellation, bien que ce soit moi qui avait la bouche pleine, cela lui évitait de dire des vacheries ou autres réflexions peut-être désobligeantes. Il mis peu de temps avant dêtre en état de servir. Ce faisant, je me relevais et me collant à lui, je dis : » Viens prends moi, jai envie de te sentir » Puis me retournant, je mappuyais sur son bureau et je relevais ma mini jusquà la ceinture, il avait une vue splendide sur la raie de mes fesses et sur les lèvres de ma chatte qui devaient luire dhumidité et denvie. Il promena son sexe en suivant les différentes raies, hésitait il ? ou plus tôt il voulait me faire languir, alors que jattendais et que, non seulement ce petit jeu mexcitait mais de plus je sentais que plus ça allait plus je mouillais. Enfin, il se décida pour ma chatte et jétais tellement trempée quil senfonça sans problème et qui, dautre part ne demandait quà souvrir, laccueillir enfin à lavaler entièrement. Il commença à me ramoner à grands coups de queue, de reins, sortant presque entièrement pour me reprendre tout en disant « Je vais te bourrer la chatte, te léclater, je vais te baiser jusquà ce que tu demandes grâce » Il était cramponné à mes hanches et sactivait sérieusement et je commençais à sentir le plaisir monter dans mon corps « Oui, continues, baises moi fort,
OUIIIiiiii,
bourres moi la chatte,
., je sens que ça vient,
OUIIIIIiiii,
.» et soudainement, il se retire « Salaud, reviens,
. , ne tarrêtes pas,
STP,
» et son sexe se promène dans mes raies, caressant mes grosses lèvres et remontant vers ma rosette et tout à coup, je sens des doigts me pénétrez et qui commencent un va et vient dans ma chatte, ce qui me remet la pression et de nouveau ses doigts se retirent « « Arrêtes ce jeu,
, jai envie de toi,
, finis moi,
. Je vais exploser,
» ses doigts pleins de mon jus se mettent à caresser mon petit trou en y faisant de légères incursions et de nouveau se retirent, je ne sais plus ou je suis, quand Jean présente sa queue à lentrée de ma rosette et force lentrée un peu brutalement ce qui marrache un grand cri de surprise et,
de plaisir quand il entreprend de me ramoner mon petit trou, là, le plaisir revient rapidement et je sens décoller de plaisir, je sens la cyprine jaillir de ma chatte et couler le long de mes cuisses, alors que je pousse un grand râle de plaisir « Je JUOIIIIiiii,
OUIIIIIiiii,
. Ne tarrêtes pas,
» Il se cramponne à mes hanches et à grands coups de reins il se vide dans mon fondement. Jai alors un puissant et bruyant orgasme qui me fait me cramponner au bureau et celui ci est suivi de deux contractions de mon ventre ponctués par de puissants OHHHHH de plaisir, puis je mécroule sur le bureau alors que Jean sécroule sur moi.
Nous en sommes là quand nous entendons sonner à la porte de la concession, Jean se réajuste rapidement en criant, « Deux minutes jarrive ». Jean va les accueillir et les installe au salon.
Quant à moi, je filais sous la douche et me changeais, en mettant une tenue plus femme sérieuse, avant de les rejoindre.
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