La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1025)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode N°1019) -
Quallait me réserver cette deuxième journée ?
Mario mindiqua que ladresse où je devais me rendre se trouvait à quelques pâtés de maisons du sexshop. Je naurai donc pas trop de mal à la trouver, et je ne devrais pas avoir besoin de madresser à qui que ce soit pour y parvenir. Je pensais donc avoir un peu de répit malgré la tenue de pute que je portais, toujours la même qui ne couvrait pas grand-chose de mon anatomie. Mais bien sûr, ce ne fut pas le cas. Je ne le savais pas, mais même les heures où je quittais un endroit pour aller à un autre, étaient prévues par le Maître, et les « embûches » que je devais trouver étaient toutes programmées. Comme par exemple lhomme qui mavait déposé devant chez Mario la veille. Jen avais, daprès ce que Mario mavait dit, pour une quarantaine de minutes de marche. Il mavait prévenu que jarriverai largement en avance, mais quil ne pouvait pas me garder. En revanche, il me dit également quil métait exigé que je ne change pas la route quil mindiquait pour my rendre et que je ne fasse pas darrêt en route pour boire un café ou autre. En même temps, comme Walter mavait déposé à Paris sans argent, je naurai de toute manière pas pu me payer quoique ce soit. Je marchais donc dun pas assez vif. Je me sentais toujours aussi mal à laise dans la rue dans cette tenue de prostituée.
Cela devait faire vingt minutes que je marchais. Il me semblait quune voiture me suivait, mais je nen voyais aucune raison (mise à part ma tenue provocatrice) et je me dis que je devais faire une petite crise de paranoïa, dû au fait que jétais plus rat des champs que rat des villes, et Paris avait tendance à mangoisser. Pourtant quand la voiture sarrêta en me coupant la route en montant tout simplement sur le trottoir, je commençais à avoir un peu peur. Peur qui ne fit quaugmenter lorsquun homme en descendit, et sapprocha en quelques enjambées.
Très vite, je fus attachée, bras et jambes écartés, face à ce public. Une femme se dirigea alors vers une voiture, ouvrit le coffre et sortit une table pliante et un panier. Un homme vint lui prendre la table, la déplia et linstalla proche de la croix. La femme déposa le panier et en sortit un par un, un martinet, un pad, un fouet et une badine, un plug, un gode, des pinces et une batterie. Aucun mot ne fut échanger entre eux, chacun ayant lair de savoir parfaitement ce quil allait avoir à faire. On minstalla le plug, le gode, quon fit tenir avec une sorte de harnais, et les pinces, deux à mes tétons et deux à mes lèvres intimes, tous reliés à la batterie. Puis chacun leur tour, ils prirent un des instruments sur la table et singénièrent à me faire rougir chaque millimètre carré de ma peau. Et pendant ce temps, une femme augmentait les intensités des impulsions électriques des appareils qui me pénétraient ou me pinçaient.
Je serrais les dents, jaurai voulu pourvoir serrer les cuisses, je faisais tout pour me contrôler, ne pas avoir dorgasmes, ne pas gémir
Après le traitement que javais reçu de face, je fus détachée pour me retrouver contre le bois et leur présenter mon dos, mon cul... Ils ne sarrêtèrent que lorsque je fus bien rouge, assez pour que la couleur reste un bon moment, sans pour autant que cela ne mait blessé. On aurait pu croire, lorsquils me laissèrent me rhabiller, avec difficultés vu la sensibilité de ma peau, que javais pris des coups de soleil sur lensemble de mon corps, mis à part mon visage. En dehors de la douleur sourde qui ne me quittait pas, javais de plus une grosse tension excitante dans mon bas-ventre. Je navais pas eu le droit de jouir, et mon excitation était à son comble. Jaurai pu jouir à cet instant, sans le moindre attouchement, rien que sur un ordre donné ! Ils ne mavaient pas laissé partir sans accessoires. Ils avaient enlevé le plug et gode électriques, mais ils les avaient remplacé par des modèles vibrants à piles. Javançais donc dans la rue, surexcitée, sur le point de jouir, la douleur ne me quittant pas et ne faisant quaugmenter, paradoxalement mon excitation. Heureusement jarrivais bientôt. En memmenant dans le garage privé, les hommes qui mavaient « nappée » mavaient rapprochée de mon lieu de destination.
Lorsque jarrivai à la bonne adresse, je me demandais ce qui allait encore marriver ! Car je me retrouvais devant la devanture dun cabaret, qui, à lheure quil était, était fermé à la clientèle.
- Vu la couleur de ta peau et ta tenue, tu dois être la chienne MDE que jattendais ! Entre, tu peux rester debout pour le moment. Mais reste silencieuse, je ne veux pas tentendre jusquà nouvel ordre.
Une fois le pas de la porte passé, il mordonna décarter les bras et les jambes, et il me palpa, me caressa, me pétrit. La peau toujours si sensible, je ne pus empêcher quelques grimaces, mais aucun son ne sortit de ma bouche. Il passa également ses doigts entre mes lèvres intimes, et sourit vicieusement en y découvrant lhumidité qui y régnait, et prit un malin plaisir à frictionner mon clitoris, bien érigé, provoquant des décharges électriques, cette fois-ci naturelles, de plaisir que jeus du mal à contrôler. Lorsquil sarrêta, il exigea que je me tienne à genoux, me laissant toutefois reposer mes fesses sur mes talons.
- Tu es là pour participer au spectacle de ce soir, qui sera un peu spécial car cest une soirée BDSM. Tu dois donc apprendre, dans la journée, la chorégraphie et la savoir parfaitement. Les danseuses de ce soir sont toutes des soumises, les miennes, plus celles de certains des Invités qui seront présents. Toutes travaillent sur ce spectacle depuis une semaine. Tu auras donc beaucoup de travail pour être à la hauteur, et je superviserai à laide dun fouet tes progrès. Jai été prévenu par le fameux et si célèbre Monsieur le Marquis dEvans de tes tendances masochistes, donc je sais que ce pourrait être pour toi plus source de plaisir que de sanctions. Alors sache dès à présent que selon le nombre de fois où tu seras amenée à sentir mon fouet, ce sera dune manière que seul Monsieur le Marquis décidera, un certain nombre de jours où Lui te sanctionnera à Sa manière à ton retour au Château, si tant est que tu obtiennes le droit dy retourner.
Je le suivis, toujours sans connaître son nom, à travers le bâtiment jusquaux coulisses, où les soumises étaient en train de se préparer, costumées et maquillées, faisant des exercices déchauffement et dassouplissement. Quand nous arrivâmes, toutes arrêtèrent ce quelles étaient en train de faire pour se prosterner tout autour de lui, les mains dirigées vers ses pieds, formant un soleil. Il mordonna de ne pas bouger, puis il fit le tour des soumises et toutes eurent droit au même traitement. Il caressa les culs relevés, les claqua à cinq reprises, fit cinq va et vient dans leurs chattes offertes, puis dans leurs anus, pour finir par une caresse sur la tête. Pour ma part, jétais toujours à quatre pattes, appareillée par des accessoires qui vibraient sans discontinuer. Et si ça avait été terriblement excitant pendant un temps, cela commençait devenir douloureux. Lhomme me présenta et expliqua ce quil attendait delles. Jappris ainsi que si je ne progressais pas assez rapidement, je serais sanctionnée, mais elles aussi chacune pas le Maître auquel elles appartenaient. Heureusement pour nous toutes, jadoré la danse, jétais souple, et japprenais vite. Sans compter que ma meilleure motivation était la volonté de satisfaire à tout prix le Maître que je vénérais et donc de pouvoir retourner un jour à Ses pieds au Château. Donc nous fûmes toutes exemptes de sanctions...
(A suivre
)
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