Une Femme Couguar.
Âgé de 25 ans, je suis depuis deux ans avec une femme qui est plus âgée de 15 ans et nous sommes parfaitement en harmonie au point de susciter des jalousies.
Avec ma sur Marie-Astrid, ma cadette dun an, nous avons été élevés par notre, mère, rapidement divorcée après la venue au monde de ma sur. Un jour, notre père a quitté le domicile familial et nous nen navons plus jamais entendu parler.
Episodiquement ma mère ramenait un homme à la maison après une sortie en boîte avec des collègues de travail mais ces liaisons ne duraient jamais plus de quelques semaines.
Par contre, elle avait une amie de son âge qui venait assez souvent à la maison pour prendre le café le samedi ou le dimanche après-midi.
Cétait une amie denfance qui vivait seule elle aussi, mais dans le village, elle avait une réputation quelque peu sulfureuse : elle passait pour une croqueuse dhommes.
Véronique, cette amie de ma mère était une belle grande femme brune, avec une poitrine et des fesses opulentes sans exagération. Dans la maturité dune trentaine finissante, elle avait dans ses yeux noirs un magnétisme qui attirait le regard et ses lèvres toujours maquillées dun rouge vermillon semblaient appeler le baiser et dautres délices...
Combien de fois, grand adolescent, jai eu le regard attiré par louverture de son corsage où je distinguais lamorce du sillon séparant les seins ou par une vision fugitive du haut en dentelle dun bas. Je nimaginais pas que cest avec elle que je découvrirais les jeux de lamour.
Bref, un samedi dhiver, elle est venue à la maison.
Je me suis réfugié dans ma chambre pour écouter de la musique et me masturber en regardant des revues quun camarade de lycée mavait passées pour le weekend, peut-être aussi en ajoutant Véronique à mon trip.
Le casque avec les écouteurs sur les oreilles, je ne lai pas entendue entrer. Elle venait simplement me dire que le goûter était prêt mais elle a découvert les revues et ma bite à moitié sortie de ma braguette.
Alors que je sentais mon visage sempourprer de honte, elle ma souri gentiment :
Ça te manque ? Je suis sure que tu es encore puceau !
Je bafouillai la réponse entre mes dents :
Oui, je nai jamais vu de filles autrement que dans ces revues !
Cela ne métonne guère
Ta mère veille au grain ! Là, nous navons pas le temps, viens demain chez moi en début daprès-midi. Je te ferai découvrir ce que tu cherches.
Nous en sommes restés là et nous avons retrouvé ma mère et ma sur dans le salon autour du gâteau danniversaire de Marie-Astrid dont nous fêtions ses seize ans dans lintimité.
Le lendemain après-midi, je me suis précipité à lautre bout du village où Véronique mattendait dans son immense maison. Lorsque je sonnai à linterphone situé sur la rue elle me dit :
Viens, entre vite, viens te mettre au chaud...
Je suis entré rapidement et dès quelle a fermé la porte derrière moi, au lieu de nous faire la bise comme nous en avons lhabitude, elle ma enlacé et embrassé à pleine bouche, glissant sa langue entre mes lèvres. Je navais jamais eu le moindre flirt et tout ce que je connaissais des baisers, cest ceux que javais pu voir dans les films.
Je sentais contre mon torse la chaude rondeur de ses seins et contre les miennes, le contact de ses hanches na pas tardé à faire naître une belle érection dans mon boxer. Véronique me pressait contre elle en passant ses bras derrière mon dos et je sentais son bassin tournoyer contre le mien. Bientôt elle me dit doucement :
Viens, allons dans ma chambre, cest mon nid damour.
Dès que je suis entré dans sa chambre, jai tout de suite compris, sa grande chambre meublée dun lit immense et de meubles précieux était garnie de tableaux et objets décoratifs suggestifs qui se reflétaient dans des miroirs. Ces derniers renvoyaient à linfini la vision du lit.
Devant ma surprise, Véronique mexpliqua que son grand père (un grand libertin comme elle, précisa telle) avait acheté cette maison à la fin de la Seconde guerre lorsque les maisons closes avaient été contraintes à la fermeture.
Javais posé mon blouson dès lentrée et Véronique a continué de me déshabiller en même temps quelle membrassait à pleine bouche, faisait virevolter sa langue entre mes dents, envahissant ma bouche dans une série de baisers chauds. Bientôt je navais plus sur moi que mon boxer et mes socquettes quand elle ma invité à la déshabiller et découvrir son corps !
Jai fait glisser son boléro et découvert ses épaules nues. Jai dégrafé la ceinture de sa robe bustier et elle a fait descendre le zip dorsal de la robe qui a glissé jusquau sol.
Waouh, quelle jolie femme avec ses formes de jeune mature
Véronique était maintenant en soutien gorge, string en dentelle et serre taille pour maintenir des bas fumés avec une bande de dentelle en haut.
A nouveau, elle ma encouragé :
Vas-y, continue, naie pas peur ! Je suis entièrement à toi ! Je vais te dépuceler aujourdhui, ensuite tu reviendras me voir, je tapprendrai comment faire jouir une femme et prendre du plaisir avec elle.
Quel beau programme ! Je suis allé dans son dos défaire lattache du soutien gorge. Véronique était collée contre moi et elle caressait ma bite dune main en la faisant rouler entre ses fesses.
Je bandais comme un taureau
Lorsque les seins ont été dénudés, jai apprécié leur blancheur avec ces veinules bleutées qui courraient sous la peau.
Les tétons étaient sortis des aréoles. Je les ai palpés lun après lautre ! Quils étaient doux et fermes à la fois !
Puis, jai fait glisser le string qui couvrait à peine son mont de Vénus avec une toison taillée en en fine bande de poils drus et noirs Cest à ce moment que Véronique a basculé en arrière sur le lit ouvrant au large ses cuisses et la vision de son sexe rose qui semblait mappeler
Elle ma décrit sa vulve, montré son clitoris qui était encore caché par le capuchon, détaillé les petites et les grandes lèvres et lentrée de son « puits damour » comme elle la nommé à ce moment-là et la rosette plissée en disant :
Tu pourras me prendre aussi par là ! Tu verras cest très bon et jouissif.
Elle a pris ma bite dans la main droite et elle la placée à lentrée de son vagin. Je sentais sur mon gland la chaleur humide de sa fente puis, comme aspiré par une force inconnue, je me suis retrouvé le pubis en contact avec celui de Véronique, mon sexe planté au fond du sien. Elle ma demandé de faire des mouvements de va-et-vient mais sans me précipiter. Nous avions le temps
mais hélas, mes efforts pour retenir ma jouissance ont été vains
.
En moins de cinq minutes, jai craché mes premiers jets de sperme. Je nétais plus puceau et cétait bien meilleur que la masturbation. Mais jétais allé trop vite :
- Ce nest pas grave, cest presque normal la première fois mais il faut que tu apprennes à te maîtriser si tu veux que la fille jouisse en même temps que toi !
Si javais craché mes premiers jets précipitamment, je navais pas débandé.
Je me sentais si bien dans la chaleur humide du vagin de Véronique.
Je suis resté ainsi de longues minutes pendant lesquelles elle faisait courir ses doigts aux ongles effilés dans mon dos, descendant le long de la colonne vertébrale des omoplates à la raie de mes fesses.
Javais relevé le buste et je contemplais ses seins magnifiques qui bougeaient doucement.
Sur la plage ou à la piscine, javais reluqué plus dune fois les seins des femmes ou des filles que je croisais pour imaginer comment ils étaient faits, quelle forme, quelle taille
mais là, je pouvais me repaître de cette vision tant espérée et çà navait rien de comparable à ce que je voyais sur le papier glacé des magazines.
Au bout de quelques temps, jai repris plus lentement les mouvements de va-et-vient dans la chatte de Véronique qui me guidait en me disant daccélérer ou de ralentir, de ressortir pour mieux rentrer dans son sexe.
Je me doutais en sentant sa respiration se précipiter que son plaisir montait. Lorsque pour la seconde fois, jai éjaculé en elle, elle sest mise à jouir également.
Ce jour-là, jai découvert les zones érogènes dune femme et elle ma fait découvrir les miennes par diverses caresses. Puis pour terminer cet après-midi de découvertes, nous avons fait un 69 au cours duquel jai pu voir de très près son sexe accueillant pendant que ma queue allait et venait dans la bouche de Véronique pour la sucer : Que cétait bon !
Suivant ce quelle me disait, je mappliquais à lui faire minette, léchant la fente entre ses lèvres et en faisant coulisser un doigt dans son vagin.
Je sentais mon sperme monter dans ma hampe. Au moment où jai senti que jallais à nouveau cracher ma jouissance, je suis sorti de la bouche de Véronique et elle a guidé mes jets sur le haut de son buste et sur ses seins où elle a répandu ma semence en jouissant sous ma langue.
Nous sommes restés de longues minutes à bavarder sur son lit. Elle me racontait sa vie de libertine et continuait mon éducation de jeune amant en mexpliquant diverses positions dont elles me montraient les gravures dans un livre ancien avec une belle reliure.
Pendant près de six mois, je suis allé presque tous les weekends chez Véronique avec qui je faisais lamour avec de plus en plus de passion et de technique, mais lété arrivant, elle ma dit que désormais, jen savais assez pour satisfaire mes petites amies.
Pendant les vacances, je travaillais dans une grande surface de la région pour me faire un peu dargent de poche. Parmi le nombreux personnel féminin, jai fait quelques conquêtes dun soir ou un peu plus puis le lycée en terminale et les études supérieures mont permis de faire dautres rencontres.
Je papillonnais, je butinais les jolies fleurs qui soffraient parfois très facilement à moi mais aucune ne ma procuré le plaisir ressenti avec Véronique.
Je me sentais plus à laise avec une femme plus âgée ou alors mes conquêtes dun soir étaient trop coincées pour que nous nous sentions bien en faisant lamour.
Lorsque je suis entré dans la vie active dans un grand cabinet dassurances de la ville voisine où javais fait deux stages, je me suis aperçu que là encore, je recherchais volontiers des relations avec des femmes un peu plus âgées que moi. Pendant quelques mois, jai eu une liaison torride mais clandestine avec une femme mariée qui travaillait dans le même service.
Je lavais taquinée et complimentée sur sa tenue très seyante et quelque peu sexy et elle avait répondu que cétait pour attirer les hommes : Javais compris le message
Le soir même je la baisais sur la banquette arrière de sa voiture dans un petit chemin au bord de la rivière.
Quelques mois plus tard, je rencontrais la femme avec laquelle je vis désormais.
Javais débrouillé pour elle un dossier assez complexe. Le jour où elle est passée récupérer son chèque à la comptabilité, elle ma invité à prendre un pot dans un bar pour me remercier.
Le pot sest transformé en diner puis elle ma entrainé dans son appartement tout proche.
Javais deviné ce quelle voulait !
Autant Véronique était brune et un peu ronde, Amélie était blonde, avec une silhouette longiligne de sportive. Sans être maigre, elle avait des belles formes, un bassin relativement étroit et deux beaux seins en forme de dôme pas très développés.
Nous nous sommes revus souvent et nous avons partagé des étreintes fougueuses.
Jétais jeune et endurant au lit et Amélie semblait insatiable, toujours partante pour une nouvelle partie de galipettes.
Finalement, jai quitté le domicile de mes parents et je me suis installé chez elle à sa demande. Lorsque nous allons au restaurant ou au spectacle, des personnes nous regardent dun il curieux, jugeant que notre couple nest pas sain
mais nous nen avons cure ! NOUS SOMMES HEUREUX AINSI !
Amélie veut maintenant que je lui fasse l quelle na jamais eu le temps de faire quand elle était jeune championne dathlétisme. Je crois quà près de quarante ans, il est temps dy penser !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!