Avec Ma Collègue Et Copine Lily

Visite chez ma collègue Lily.
Histoire vraie d'un moment de baise avec ma copine actuelle.
Elle habite un petit appartement dans Nantes. Un quartier pas super. Il fait vraiment chaud, nous sommes au mois de juin. Je sonne à la porte de l'immeuble. Elle commande l'ouverture, je traverse un couloir qui sent le renfermé et je monte l'escalier en pierre jusqu'à son logement. Une porte en bois de chêne assez lourde. Elle m'ouvre en souriant avec déjà son regard gourmand.
Elle, c’est Laurélyne, surnommée Lily, ma copine du moment avec laquelle j’aime baiser. Une belle rousse, cheveux coupés à hauteur de la nuque avec une frange devant, 28 ans, 1m75. Une bombe, pas mince, mais pas grosse non plus, la peau blanche, laiteuse avec quelques taches de rousseurs. Des formes là où il faut : de belles fesses bien rondes et de beaux seins, un peu lourds. Elle me fait penser un peu aux Pin-up d'avant guerre. Je suis fou de son corps. J’ai 30 ans, brun, grand. Pas mince, ni gros non plus. On va dire normal, avec un peu de ventre, n’étant pas très sportif.
Je n'en reviens pas d'être avec cette bombe. C’est le début de nos parties de baise. Nous n'habitons pas ensemble. Nous sommes tout les deux professeurs. Moi professeur d’histoire géographie et elle de français. Je me la suis faite la première fois pendant un voyage scolaire en Espagne que nous encadrions il y a deux mois. Depuis nous baisons un peu partout. Aujourd'hui par exemple, on a fait un petit coup vite fait pendant la récréation du matin dans une salle de classe. Nous sommes vite rentrés dans une salle vide, on a fermé la porte à clef puis, elle s'est retournée, penchée, j’ai soulevé sa petit jupe d'été, écarté son string ficelle blanc et hop : 15 minutes à lui taper ma bite directement bien au fond de son cul non stop sans préparation avant. Une sodomie sans imagination, nous ne sommes pas rentrés dans les détails et j’ai terminé dégoulinant dans sa bouche. Mon sperme qu'elle a avalé jusqu'à la dernière goutte sans laisser de trace au moment où la sonnerie annonçait la fin de la pause.

Juste le temps pour moi de fermer ma braguette et elle de déglutir.
Je ne vous raconte pas ma célébrité quand mes lycéens et collégiens ont compris, découvert, que je sortais avec la fameuse prof de français en me voyant dans la rue me promenant avec elle ! Surtout qu'avant, je sortais avec une collègue d'histoire du même établissement…

Ce soir, quand elle m'ouvre la porte, Lily s’est changée : elle est vêtue d'un top noir, moulant, qui laisse entrevoir son nombril, avec dessous, je le vois aux bretelles, son soutif rouge en dentelle. Elle porte également un mini short en jean et, dépassant un peu, je repère qu’elle a son string rouge en dentelle également.
Je l'att tout de suite, assez brutalement, mes mains sur ses hanches charnues, sa peau nue à cette endroit, et l'embrasse, prêt à la dévorer. Elle est onctueuse. Ma langue contre sa langue, un beau mélange de salive. Elle se colle à moi, sur la pointe des pieds puisque je suis plus grand qu'elle, je mesure 1m89. J’aime être le dominateur.
Elle me regarde et ne perdant pas de temps, sans rien dire, je la retourne. Elle colle ses fesses contre moi, ondule du bassin, et ma main droite, à plat, descend de son nombril, glisse doucement entre son ventre et le short en jean, descend jusqu'à ce que mon majeur s'enfonce dans sa fente déjà bien humide. Elle m'attendait car elle sait que, quand j'arrive chez elle le soir après le travail, on ne dit rien et baisons tout de suite, sans perdre de temps, profitant de chaque minutes ensemble.
Mon doigt s'insinue dans sa chatte, et je commence à faire des va-et-vient. Ma main gauche remonte, glisse sous son soutif, et prend à pleine main son sein gauche bien en chair, le malaxe, le presse, le téton est dur et sort tellement il pointe. Elle gémit et commence à transpirer, je le sens et j’aime cette odeur. Il fait chaud, nous sommes en juin mais je sens que je lui fais de l'effet et cela me plait. Je glisse deux autres doigts dans son sexe bien ouvert et accélère la cadence.
Sa main droite se pose sur mon sexe bien tendu, à l'étroit dans mon jean, et commence à me masser. J'accélère encore les va-et-vient, elle se tord de plaisir, se crispe, gémit, mettant sa main droite sur mon bras en signe d'encouragement. Sa main gauche a glissé entre ma peau et mon pantalon, et est entrain de me branler délicatement. Je mouille, elle s’en aperçoit, mets ses doigts dans la bouche, me montrant qu'elle apprécie, puis remet sa main au chaud dans mon pantalon, en me masturbant.
Ma main droite remonte le long de son corps. Mes doigts sont dégoulinants, je les lui mets dans la bouche. Elle les suce goulûment également, en me laissant de la salive dessus. Je les mets dans ma bouche.
Elle se tourne vers moi et me glisse qu'elle veut sucer quelque chose de plus intéressant. Je lui enlève son top et je découvre effectivement son fameux soutien-gorge rouge en dentelle. Elle me regarde avec un petit sourire, et fait glisser son mini short en se contorsionnant en une sorte de petite danse qui fait balloter ses seins dans leur étui. Je ne m'étais pas trompé non plus de ce côté, puisqu'elle porte bien, sous son short en jean, son string rouge.
Elle enlève mon teeshirt, et se mettant à genou, ouvre ma braguette et sort ma queue déjà bien dressée qui jaillit tel un ressort. Elle la regarde quelques secondes, vient se coller très près comme pour la sentir, et lui donne des coups de langues pendant que sa main me branle cette fois vigoureusement. J'adore ça : la voir à genou devant moi, ses yeux absorbés par ma bite tendu devant elle. Enfin elle ouvre la bouche et j’enfonce d'un coup de bassin ma bite dedans. Elle salive dessus, sa langue tournoyant autours, faisant des dessins sur le gland enfin décalotté, sa tête allant et venant sur la hampe tendu au maximum maintenant. Je vois ma bite dans sa bouche faire des allés retours avec des bruits de succions. Une véritable ventouse. Je lui att ses beaux cheveux roux et lui imprime les mouvements. Je sens son nez frotté contre mes poils, mes couilles tapants contre son menton.
Après plusieurs mouvements, je retire son visage de ma bite dans un beau bruit de succion. Un filet de bave relis sa bouche à ma queue. Elle me regarde, rigole, se passe la langue sur ses lèvres.
Elle est belle, j’aime ce côté vulgaire. Ça me change de ma précédente copine qui était plus réservée, timide.
Elle se relève et prenant ma bite dans sa main droite, me guide vers sa chambre. Je l'arrête juste avant, devant la table du salon. Je lui arrache son soutif, ses seins lourds tombe un peu sous le poids, les auréoles sont assez larges, les tétons pointent vers moi d’excitation. Je pose mes mains sur les anses de son string, attends un petit moment en faisant glisser mes pouces dessous, elle est à ma merci, me regarde de ses beaux grands yeux verts à la Emma Stone. Je joue un petit peu avec son string, l'écarte. J’ai une vue plongeante : je vois la vallée entre ses deux seins, son petit ventre, son nombril avec son piercing, et enfin le petit duvet roux de sa chatte. Je descend son string, découvrant enfin sa montagne de venus avec un petit ticket de métro roux, un petit duvet adorable.
Je pose mes mains sur ses hanches et la pousse, la porte sur la table de son salon, lui écarte ses cuisses et plonge ma langue directement dans sa chatte. Lui titillant son clito, puis lui insérant ma langue entière dans sa fente. Je fais des mouvements de tout les côtés. Elle gémit de plaisir, se crispe, se cambre et d'un coup, quand j'en suis à lui titiller le point G avec ma langue et mon doigt, sa cyprine vient me gicler au visage. Elle a jouit. Son visage est rouge, suant, des gouttes entre les seins luisent. J’enlève rapidement mon jean et mon caleçon, ma bite bondit littéralement, dressée au maximum, puis monte à genoux sur la table fragile et grinçante sous mon poids, tend ma bite vers sa chatte. Elle l'att rapidement et se la rentre directement dans la fente. Je commence mes aller-retours, lentement puis accélère. Je m'accroche à ses seins. Je vois son visage ruisselant, il fait chaud, je l'embrasse puis ma langue vient lui lécher les joues.
Elle est douce, j’aime ses taches de rousseurs qui grêlent sa peau laiteuse. Ma bite fait des bruits de ventouse en rythme dans sa fente bien humide et chaude, c’est un régal. Lily sert les jambes autours de mon dos. Je me courbe et vient en même temps lui sucer, téter goulûment ses beaux seins lourds, blancs. Je lui mordille les tétons bien durs, lui gobe le mamelon droit puis le gauche, lui lèche la peau en dessous du mamelon droit qu’elle a de plus sensible. Elle crie maintenant, ses mains posées sur mes fesses, me les attrapant, me les griffants avec ses ongles. Je m'arrête et, essoufflé, je me couche sur elle, toujours bien enfoncé dans son vagin. Je sens sa fente palpitante qui m’aspire vers ses tréfonds. Ses seins montent et descendent rapidement au rythme de sa respiration. Elle est essoufflée. Sa main droite s'approche de mon anus et son doigt s'enfonce, faisant des petits cercles à l'intérieur. Elle m'explore.

Tu es quand même une belle salope !
Non, je suis même plus : une vraie pute, ta pute !
Ma bite est toujours en toi, tu la sens ?
Oui et mes doigts sont entrain de bien rentrer dans ton cul d'ailleurs.

Je me redresse, on descend de la table. Je la retourne. Son cul blanc est bombé, elle a une belle cambrure. Je lui tâte le cul des deux mains. Elle est un appel à la jouissance. Je lui malaxe ses fesses, je les écarte et je vois son petit trou.
Quand elle écrit au tableau ou bien se penche au dessus d'un élève pour lui expliquer une consigne, ils doivent avoir une superbe vision… Elle s’habille habituellement de manière plutôt sage mais parfois un peu plus sexe, comme le jour où nous discutions assis face-à-face en salle des professeurs : elle portait une robe verte, un peu décolleté on pouvait apercevoir son soutien-gorge, une robe légère d'été qui s'arrêtait juste au dessus de ses genoux. Elle portait également des bottes noires montantes. A un moment, elle a croisé ses jambes et j'ai pu admirer le haut de ses bas. Quand elle se levait, on devinait, à certains mouvements de cette robe, ses fesses séparées en deux par une belle ficelle de string noire…
Lily est nue devant moi, je la fais pencher et, sans préparation, je glisse un doigt, le majeur, jusqu'au bout dans son cul. Très rapidement j’en rentre deux autres, puis les remplace par ma bite. Elle est accoudée à la table. Je pose mes mains sur son cul, mon gland dressé en face de son trou, il est prêt à plonger dedans, il palpite et dégouline de mon liquide mais aussi de celui de Lily ainsi que de sa salive. Je pousse un petit peu : le trou s’entrouvre délicatement, je pousse encore, le gland seulement est rentré, la peau de son cul glissant autour, tendue. De la sueur sur son dos, je me penche et de la langue ramasse toutes les gouttes et les avale. Mon gland rentre et ressort doucement. Elle se cambre et veut reculer pour prendre entier ma bite dans son cul mais je l’en empêche, juste le gland qui entre et sort de son anus. Elle est frustrée, en manque puis, d'un coup, sans prévenir, je rentre ma bite jusqu'à la garde au fond du gouffre, elle hurle de plaisir. Je me penche, mon torse sur son dos, mes gouttes de sueur tombant dessus, mes mains attrapant ses mamelles, les malaxants, les pinçants, les tirants, pendant que j'enchaîne les coups de bite dans son cul, avec de grands mouvements ou ma bite sort entièrement et, tendue, rentre de nouveau explorer ses intestins, plonger dans ses profondeurs, mon pied prenant appui sur la table devant Lily, pour que mon sexe rentre vraiment de tout son long dedans. Je lui prends des deux mains ses seins et la redresse. Maintenant Lily est debout, droite, empaler sur mon manche. Quand il ressort, il est luisant puis rentre de nouveau. Mes poils vont chatouiller le bas de son dos là où la peau est encore rougit par la marque de son string, mon ventre contre son dos se collant avec la sueur. Elle hurle. Ma main gauche lâche son sein, celui-ci garde d'ailleurs son emprunte rouge, et cette main descend vers sa belle chatte et rentre ses doigts dans son vagin. Elle est prise par les deux trous cette fois et adore ça. Elle est littéralement écartelée, triturée des deux côtés. Elle penche la tête en arrière et la repose ainsi sur mon épaule. Je lui mordille le cou, j’ai envie de la dévorer cette peau blanche qui se marque rapidement. J'accélère le mouvement, elle n'en peut plus, c'est une marionnette entre mes mains, elle saute, désarticulée, ses seins ballottent. Je l’empale le plus profond que je peux, puis enfin, je ralentis pour ne pas exploser dans son cul.
Je retire ma bite, son trou du cul est rouge, ouvert, béant, palpitant, des gouttes perlent au bord du gouffre. Je me penche dessus et lui lèche avec ma langue, ma main étant toujours occupée dans sa chatte.

Putain, qu'est ce que c'est bon ! Tu m’as détruit le cul !
Oui il est tout rouge et bien ouvert, ta chatte dégouline.
Oui c’est trop bon, je suis en nage.

Elle se retourne, me pousse dans sa chambre, me fait asseoir sur son lit, monte sur moi, un pied de chaque côté de mes hanches, ses bras autour de mon coup et s'empale d'un seul mouvement sur ma queue. C’est elle la maîtresse, elle qui imprime le rythme par ses coups de reins. Elle saute littéralement dessus, le lit grince, tangue. Je glisse mes doigts dans son cul et lui pratique ainsi une petite double pénétration : par ma bite dans sa fente et par mes doigts dans son petit trou béant et chaud. Mon visage est à la hauteur de ses seins. J’att ses mamelles avec ma bouche, les tétant goulûment, les mordillant parfois, tentant d’en extraire un lait qui ne vient évidement pas. Elle gémit. Je lutte pour ne pas exploser, gicler en elle.
Lily se calme enfin. Elle me regarde. Elle se penche vers moi et tout en restant bien empalé sur ma queue, me suce mes tétons qui se redressent et pointent vers elle. Ça me chatouille, sa bouche pompe, sa langue me titille le bout. Elle se redresse, elle est rouge, écarlate même maintenant, de la sueur coule de son front, glissant la rampe de son petit nez. J'ouvre la bouche, elle a compris et me fait couler sa sueur dans la bouche. Elle m'embrasse puis me crache dans la bouche. Je place mes mains sous son cul, lui écartant ses deux fesses, la soulève, ses jambes sont autours de mon dos, nouées. Je plaque son dos contre le mur et reprend les va-et-vient. Le mur tremble, je la défonce littéralement, elle hurle de nouveau, ferme les yeux. Je sens qu'un liquide, chaud, coule de sa chatte et ensuite le long de mes jambes. Je tape son dos contre son mur. La photo d’un paysage accrochée sur ce mur vibre à notre rythme. Elle écarte les jambes, les tend derrière moi. Je la porte du bout des bras, la faisant descendre sur ma queue puis remonter. Je m'arrête et enfin la repose.
« J’ai soif » me dit-elle
Elle se met à genou, me pompe et très rapidement, je lui déverse ma jouissance dans sa bouche fermée hermétiquement autour de ma bite. Elle me suce encore et encore, je lui dis d'arrêter mais elle continue à pomper jusqu'à la dernière goute. Elle a la bouche remplie à ras bord de mon liquide blanc et chaud.
Quel bonheur, j’ai l'impression de me vider littéralement tout ce que j’ai dans les couilles. Je suis vraiment à sec, l’impression que je ne pourrai plus jamais rien lui fournir comme liquide blanc crémeux dont elle est friande. Je me couche sur le lit. Je suis trempé. Elle vient à hauteur de ma bite sur le lit et suce encore un petit peu puis, libère le sperme de sa bouche sur ma bite maintenant molle. Elle s'amuse avec, prenant le sperme en me regardant, me massant avec sa bouche mon sexe maintenant tout mou, flasque. Un gros filet de sperme et de salive la relie à ma bite qu’elle reprend en bouche. Elle en a plein les lèvres et le menton. Elle adore le sperme et sucer.

Tu es vraiment une pute !
Oui regarde !

Elle reprend tout dans la bouche, aspire toutes les gouttes, me suce une dernière fois, me montre le liquide dans sa bouche, remonte à genou sur moi tel un félin en tortillant du cul, les seins avec la marque rouge de mes mains ballottants, balayants mon torse, et placée enfin au dessus de moi, me regardant, elle ferme la bouche et avale enfin !
Lily se couche sur moi de tout son poids, sa tête sur mon torse, ses cheveux roux en batailles, ses jambes autours des miennes. Elle frotte par de petits mouvements de bassin son entrejambe sur mon sexe encore décalotté mais fatigué. Il ne réagit pas mais cela fait quand même du bien. Elle est vraiment intenable ! Mes mains se pose sur ses fesses et nous nous endormons de fatigue. J’ai hâte du moment où nous nous réveillerons…


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- L’histoire avec ma collègue d'histoire.
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La fois où on l’a fait avec une de ses copines.
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