La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1026)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°1025) -
Donc nous fûmes toutes exemptes de sanctions.... Et la journée se passa très rapidement. On eut droit à une pause pour manger toutes à quatre pattes, les unes à côté des autres, dans des gamelles posées au sol, une sorte de pâté insipide, mais visiblement nourrissante car je me sentis rassasiée. Quand le moment du spectacle arriva, jétais assez stressée. Il y avait longtemps que je nétais pas montée sur une scène. En tout cas, pas depuis que javais eu le droit de minstaller définitivement au Château, et que javais laissé ma vie vanille. Et ce nétait pas dans le domaine de la danse mais de la musique. Et javais peur de décevoir celui qui aurait à faire un rapport à Monsieur le Marquis, et qui dune certaine manière avait un pouvoir sur mon retour potentiel dans la région lyonnaise.
Le spectacle était une sorte de Lac des cygnes, mais mélangé dune certaine manière aux plumes dune meneuse de revue. Nous portions toutes des masques également de plumes. Nos seins à lair comme au Moulin Rouge. Toutes étaient vêtues de rose fushia, sauf moi qui était en blanc. Au fur et à mesure que le ballet avançait, les plumes se détachaient et senvolaient, dévoilant un peu plus nos corps, jusquà ce que, pour le final, nous arrachions dune main les dernières qui cachaient notre sexe, et de lautre main, notre masque et que nous envoyions tout cela vers le public. La seconde partie du spectacle fut des danses lascives, autour des barres de pole dance, et en se baladant au milieu du public qui en profitait, sans pour autant perturber notre rythme, pour nous caresser furtivement, ou nous claquer ce qui passait à portée de leur main. Puis arrivant à la fin, la dizaine de soumises que nous étions sur scène, se rapprochèrent, se caressèrent, sembrassèrent, les unes les autres, avec lordre de faire correspondre le dernier accord musical avec un orgasme simultané et commun, chacune devant en faire jouir une autre
Et nos cris saccordèrent avec les dernières notes sonnantes dune sarabande qui navait fait quaugmenter en intensité jusquau bouquet final.
Pendant quelles se sustentaient et que, pour la plupart, elles sendormaient, jétais toujours allongée, immobile sur le plancher de la scène. Une fois tous les Dominants revenus dans la salle (en plus dêtre une soirée spéciale BDSM, cétait également une soirée entre Dominants et soumises et donc il ny avait aucune Maîtresse présente, ni aucun chien mâle), Maître Fernando, lhomme dont jusque-là je ne connais pas le nom, mais que je venais dentendre se faire appeler par lun des clients Dominants, mannonça quen tant que chienne MDE marquée, jétais à leur disposition pour répondre absolument à toutes les exigences quils pourraient avoir. Tous montèrent alors sur scène, visiblement impressionnés et excités quune soumise du fameux Marquis dEvans soit présente ici... Ils me firent mettre debout, et comme Maître Fernando lorsque jétais arrivée, ils mexaminèrent sous toutes les coutures, lun dentre eux se mettant même à genoux pour avoir sa tête au niveau de mon entre jambes, et y donna un coup de langue, faisant mine de réfléchir, comme sil avait dégusté un grand cru.
Un autre sapprocha de moi, et me demanda dexpliquer les raisons de ma peau, qui, si elle avait un peu perdue de sa couleur rouge très appuyée, était tout de même restée plus foncée quhabituellement et que par rapport à mon visage, et portait des marques des différents instruments qui lui étaient passés dessus. Je racontais donc ce quil métait arrivé, sans me plaindre aucunement, en relatant seulement les faits. Là-dessus Maître Ferdinando rajouta que, comme jallais porter un costume blanc sur scène, il avait été trouvé de bon ton de me faire rougir la peau afin daccen le contraste des deux lun sur lautre. Celui qui avait posé la question estima alors que ma peau avait dû perdre trop de sa couleur et réclama de nouveaux instruments. Il se saisit dun martinet quil mania avec force, sans toutefois réussir à me provoquer le moindre cri. Il y mettait pourtant du cur et il ne sarrêta que lorsquil se fut fatigué. Si la fatigue se faisait ressentir dans son bras, il nen était pas moins excité, et il sortit alors son sexe dur et tendu et me lenfila sans ménagement ni préambules dans ma chatte pour me baiser à grands coups de reins cadencés, presque brutaux. Une pénétration des plus sauvage, bestiale, voire animale si on considère la façon à laquelle il me baisa : En effet, il meuglait à chaque coup de boutoir tel un taureau, ses mains me maintenant les hanches fermement... Ayant eu le droit de jouir durant le spectacle, je neus aucun mal à retenir les vagues de plaisir qui montaient doucement.
Lorsque tous me furent passés dessus, et se furent soulager, Maître Fernando les invita à venir se désaltérer dans une autre pièce, et je fus laisser là attachée et souillée, pendant un bon moment, le corps souillé de sperme... La faim ne maurait pas tenaillée, je me serais certainement endormie sur la table basse. Il revint après avoir raccompagné ses clients puis il commença à ranger et à nettoyer la pièce. Ce ne fut que lorsquil eut fini quil me détacha et maccompagna enfin rejoindre la pièce où ses soumises sétaient endormies, les autres étant parties en même temps que les Dominants quelles avaient accompagné. Je ne pus pas me laver, mais je pus manger, boire et me reposer un peu. Il était tard et je mendormis sans aucune difficulté, en pensant au Maître Vénéré, dans Son Château, heureuse davoir pu une fois encore répondre à Ses exigences indirectement en ayant commis aucune faute lors de cette seconde journée. Jeus juste le temps de me demander ce qui pourrait se passer le lendemain, si jallais pouvoir rentrer ou si dautres épreuves mattendaient, avant de sombrer entre les bras de Morphée. Maître Fernando nen avait soufflé mot
(A suivre
)
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