Collection Zone Rouge. La Confession De Maman (2/2)

Je viens d’enterrer maman dans sa Bourgogne natale, dans un tiroir de son armoire, je trouve un cahier avec couverture de qualité dans lequel elle me raconte comment étant une oie blanche ne connaissant rien au sexe, elle s’est retrouvée enceinte par Léon, son patron.
Ne s’inquiétant pas si elle avait un moyen de contraception, il la baisait tous les matins pour finir par l’engrosser.
Maman ignorant ce qu’ils avaient fait, est allée voir Madame, sa patronne et lui a avoué que c’était Monsieur qui lui mettait son bâton dans la minette, ce qui avait entraîné la disparition de ses règles.
Les conséquences de ma naissance ont été immédiates, maman a été isolée dans une ferme avec une indemnité mensuelle qui devait nous permettre de vivre si elle ne parlait jamais de ce que ce fumier lui avait fait subir.
Je suis devenu avocat pénaliste dans un des plus grands cabinets parisiens.
Madame a divorcé et je me rends à Levallois-Perret dans une belle résidence où il a refait sa vie avec une femme ayant une fille d’un premier mariage.

C’est cette fille qui m’ouvre, je me présente et elle me dit s’appeler Véronique, elle m’entraîne dans ce quel appel son antre au premier étage de ce magnifique hôtel particulier.
Je lui fais lire le cahier de confession de maman, elle relève la tête, me regarde et doit comparer dans sa tête ma photo et celle de mon géniteur.

• Je vais te raconter l’histoire vue de mon côté, Geneviève ma maman a été l’attachée parlementaire de ton père quand il a rebondi après avoir été viré par sa femme qui possédait tous les biens, comme il est dit dans le cahier de ta maman.
Il était le maire de votre commune et il a profité des élections qui suivaient pour représenter son parti aux sénatoriales et a été élu.
Il venait d’acheter cette maison à Levallois quand maman m’a pris sur ses genoux pour me dire qu’elle avait rencontré le nouvel homme de sa vie.
Elle avait divorcé, car papa l’avait aussi trompée avec la secrétaire de son cabinet dentaire, elle était venue à l’improviste, car elle était allée dans une boutique à deux pas.


J’étais à l’école et j’ai appris, quand j’étais plus grande, qu’elle l’avait trouvé en train de baiser cette femme sur le siège orientable des consultations.
Elle a rencontré Léon qui cherchait une attachée, c’est un autre sénateur qui lui a recommandé cette jeune femme qu’il aurait bien embauchée, mais il avait déjà sa femme pour faire le travail.
J’ai compris un soir où je traînais dans le jardin à regarder la nuit étoilée que maman avait été sa maîtresse et qu’il espérait pouvoir la baiser dans le bureau qu’il avait au Sénat.
Les deux hommes parlaient derrière la haie du jardin que tu as vu en entrant.
Les choses ont été différentes, c’est Léon qui l’a embauché, mais maman était maligne et elle n’a cédé que la bague au doigt.
Nous sommes venues ici, Léon bien que je sois adolescente me regardais avec concupiscence, j’évitais de me retrouver seul avec lui, je vois que j’avais raison en lisant les confessions de ta maman, il était capable de tout pour me baiser.
Le temps a passé à jouer au chat et à la souris, je venais d’avoir 18 ans quand il a réussi, un matin, ce qui semble le moment où il est le plus chanceux, à me coincer dans ma chambre, j’avais oublié de fermer ma porte à clef.
J’étais nue devant mon lavabo, tu vois la porte à droite, c’est ma salle de bains particulière, il est venu derrière moi et c’est frotter sur mon derrière, comme pour ta mère.
Il bandait, mais j’ai eu la chance d’avoir une épingle de nourrice ouverte sur le lavabo, je l’ai saisi et je l’ai planté dans sa verge, il a hurlé et quitté ma chambre.
J’ai entendu maman hurler quand il est retourné dans leurs appartements, j’ai su quelques jours plus tard qu’il était venu voir, maman, n’arrivant pas à l’enlever lui-même, en plus d’un salopard, c’est un couard.
Depuis, c’est la guerre froide, mais parlons de nous, embrasse-moi.

C’est comme cela que notre relation commence, quand je suis venu pour voir mon père, j’étais loin de me douter que j’allais rencontrer la femme de ma vie, elle m’entraîne dans sa chambre, je la déshabille.


• Véronique, dis-moi, où sont tes épingles de nourrice !
• Tu ne crains rien, c’était Geneviève, notre employée de maison qui l’avait oublié, elle l’avait apporté pour enlever le calcaire dans le pommeau de ma douche.
• Tu es sûr !

Nous nous embrassons, elle finit pour casser notre duo pour descendre jusqu’à ma ceinture et sortir ma bite qu’elle prend dans sa bouche pour me pomper.
Je suis aux anges, j’ai beaucoup cherché une partenaire sans tabou et c’est Véronique légèrement plus jeune que moi, qui m’apporte cette plénitude, elle sait se servir de son corps comme jamais une fille s’est servie du sien pour le plaisir de son homme.
Je me mets à l’unisson et moi aussi je la fais jouir.
Contrairement à maman, elle est loin d’être une oie blanche, mais le suis-je aussi bien que je sois un garçon, j’arrête vite cette pensée machiste, car Véronique que je regardais dormir en redemande ce qui est loin de me déplaire.
Elle veut que je la prenne en levrette, mais bien vite, je m’aperçois que cette demande et cette position font partie de ses préliminaires et je rentre mon sexe dans la seule cavité très resserrée, je dirais même beaucoup resserré que je n’ai pas encore exploré.
C’est même elle, sortant ma verge de sa chatte en s’avançant et la saisissant la place sur son anus.

• Christophe, encule-moi, je te jure que je suis vierge de l’anus, j’ai eu beaucoup d'amants, enfin un nombre raisonnable, plusieurs ont voulu me sodomiser, mais je voulais garder cette partie de moi pour l’homme avec qui je sentirais que c’est pour la vie.
• Merci ma chérie, c’est donc toi qui me demandes officiellement en mariage.
• On ne va pas philosopher sur le pourquoi du comment, encule-moi, on verra la suite plus tard.

C’est comme cela dans la nuit avec juste la lueur du réveil électronique que je suis entré dans son cul très resserré, mais je l’ai déjà dit.
Après que j’ai déchargé dans la fin de ses intestins de longs jets de sperme, nous nous endormons repus de sexe et de luxure.

Grâce au réveil, j’ai vu quand j’ai enculé Véronique, mais c’est lui qui sonne alors qu’il n’est que 7 heures.

• Mince, mon réveil, je venais de le mettre quand tu as sonné à la porte et que je suis descendu, je savais que j’étais seule, Geneviève finit son service à 15 heures, elle est là depuis 6 heures pour préparer le petit déjeuner.
Attends, on est réveillé, habille-toi.

Elle prend un téléphone et appuie sur le seul bouton.

• Geneviève, mon beau-père est-il déjà venu prendre son petit déjeuner ?

J’ignore la réponse, car je suis trop loin en train de mettre mon boxer.

• Mettez deux tasses de plus, je descends avec un ami.
Geneviève, c’est un ami.
Oui, je le reconnais, il a passé la nuit dans ma chambre, vous savez que c’est la première fois que l’un d’eux vient chez moi, mais j’ai besoin de voir mon beau-père, il faut que je m’habille surtout devant ce chaud lapin.
Christophe, thé ou café, elle veut savoir.
• Comme-moi, tu vois, on est fait pour s’entendre.
Vous avez entendu dans cinq minutes en bas, pas un mot de Léon, je sais, on va vous aider à empêcher ses mains baladeuses malgré la fidélité à votre mari qui vous a fait 6 s.
Après ce que l’on va lui montrer, ça va bien le calmer, vous verrez.

En disant ces mots, Véronique s’approche de moi et me met sa main aux couilles.

• Dommage que nous ayons rendez-vous avec ton géniteur, j’aurais bien aimé que tu me sodomises une nouvelle fois, j’ai un peu mal au cul, mais j’ai trouvé cette pratique très intéressante.

Nous nous embrassons et après qu’elle est mise un simple peignoir, nous rejoignons le salon où sur une table un déjeuner est servi, mon père n’est pas là.
J’entends une porte qui claque et l’homme de la photo en plus vieux entre, il me voit et semble interloqué, aurait-il reconnu en moi le garçon qu’il était à mon âge et qui lui ressemble un peu !

• Pourquoi ce garçon est chez moi, tu connais notre convention, tu peux baiser tout ce qui bouge comme la salope que tu aies, mais jamais dans ma maison et là encore tu as de la chance que j’aie cédée devant ta mère ?
Je vais te dire, elle croyait que tu deviendrais une pute pour vivre, tu n’as jamais su faire quoi que ce soit, elle savait qu’un chien ne donnait pas des chats, c’est une pute que j’ai épousée.

• Oui, Léon, Christophe cette nuit m’a magnifiquement baisée ce que je t’ai refusé, fait voir à ton fils le trou que l’aiguille t’a fait et que tu ne voulais même pas retirer, tu es douillet mon coco, yaooouh, il a eu mal à sa grosse quéquette le subordinateur de jeune fille.
Lit, ce sera plus intéressant que ton journal de bourge qui encense des salopards comme toi.

Elle fait glisser sur la table, les confessions de maman, qui atterrissent près de sa tasse, il le prend, le feuillette et lui renvoi.

• Jeune homme, qu’espérez-vous faire de ce torchon, les témoins ont disparu, même votre mère vous a quittée, la pauvre petite, elle ignorait qu’un homme avait une verge et qu’elle risquait de se faire engrosser chaque fois que je la fourrais.
Elle était bonne, quand j’ai vu qu’elle était une oie plus blanche que blanche, j’ai pris des panards phénoménaux avec elle, d'autant plus que j’avais épousé une coincé du cul.
Le notaire m’a prévenu que la pension que j’étais obligé de lui verser cessait faute de combattante, avec cet argent, je vais pouvoir me payer de jeunes putes comme toi Véronique à moins que tu ne veuilles être ma pute à domicile !
• Monsieur, vous venez d’insulter ma fiancée, demain je vous enverrais mes témoins.
• Laisse tomber ce gros porc Christophe, il serait capable de te blesser, beau-papa, si vous ne faîte pas le nécessaire pour reconnaître votre fils, je vais de ce pas voir mon copain du journal que vous connaissez bien, le « Coin Coin. Il sera enchanté d’apprendre que le sénateur Léon est un subordinateur de jeune fille.

Je vois mon père réfléchir, quelques jours plus tard la presse titrait.

« Le sénateur Léon découvre qu’une jeune fille qu’il avait follement aimé avait eu un fils que ses parents lui avaient caché, il vient de le reconnaître malgré le décès de sa dulcinée. »

J’ai épousé Véronique après quelques mois, le mardi soir, les gros titres des journaux publiaient sa photo, le « Coin Coin » annonçait en une.

« Preuve en main, le sénateur Léon n’avait pas conçu son fils par amour de sa dulcinée, mais en étant dans l’adultère, car il trompait sa femme qui a divorcé.
La jeune fille qu’il avait abusée avait été placée dans une ferme et il lui versait une pension jusqu’à sa mort.
Cette façon d’r les jeunes filles à un nom, mais seule sa conscience doit le guider. »

Trois jours après, il se pendait dans le bois de Boulogne, depuis je vis des jours heureux par notre mariage, Véronique a hérité par sa maman d’une partie de ses biens, j'ai aussi un beau capital grâce au portefeuille d’action et autres valeurs qu’ils possédaient.
Belle-maman est montée d’un étage dans la partie de la maison que Véronique habitait et où je lui ai dépucelé l’anus, nous nous sommes récupéré leur appartement au rez-de-chaussée.
Belle-maman est absente tous les soirs, la rumeur lui prête une liaison avec un autre sénateur qui vient de divorcer, Léon avait raison, la mère de ma femme est une belle salope qui sait retomber sur ses pattes.
C’est peut-être une autre histoire.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!