Trois Complices

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Avec ma jeune sœur Amélie qui va avoir 17 ans à la fin de l’année et Caroline, qui a sensiblement le même âge que moi, c'est-à-dire 20 ans, nous avons toujours formé un trio très joyeux. Dès qu’elle est arrivée dans la famille lorsque notre père s’est mis en ménage avec sa mère, nous l’avons acceptée tout de suite comme une grande sœur à part entière.
Nous étions de jeunes adolescents et nous comprenions volontiers que notre « papounet » (comme nous l’appelons) ne pouvait rester seul après le décès accidentel de notre mère. Trois ans avaient passé ! A 40 ans, il pouvait et DEVAIT refaire sa vie…

Nous sommes installés dans un grand corps de ferme dont la grange était utilisée par notre père pour son atelier de sculpture tandis que la mère de Caroline s’essaie avec un succès naissant à la peinture des paysages qu’elle repérait lors de nos randonnées pédestres dans notre région du Jura ou ailleurs. Le plus souvent, elle levait rapidement une esquisse complétée par une série de photos mais parfois elle partait peindre directement sur place et s’absentait plusieurs jours.
Alors qu’Amélie poursuivait ses études au lycée, Caroline et moi, nous étions inscrits en première année à la faculté de la ville voisine distante d’une quinzaine de kilomètres. Nous étions dans deux filières différentes. Tous les trois nous pratiquons des sports individuels, Amélie est orientée danse moderne où elle se donne à fond. Caroline et moi, nous pratiquons des sports de combat, judo pour elle, karaté et musculation pour moi.

L’habitation proprement dite est vaste et très conviviale. Au rez de chaussée, il y a une grande pièce à vivre avec une grande cheminée rustique. Moitié salon – moitié salle à manger avec une grande cuisine à l’américaine, c’est une pièce où il fait bon vivre en toute saison. C’est génial car quand l’un ou l’autre est au fourneau, il ne perd pas le fil des conversations qui très souvent vont bon train sur des sujets divers, parfois légers ou un peu lestes…
Il y a également une grande pièce qui sert de bureau aux parents.

Ils occupent à eux seuls le premier étage avec une chambre plus dressing et la salle de bains attenante. Une chambre d’amis avec cabinet de toilette complète l’aménagement de ce niveau. Les s se partagent le second étage sous les combles aménagés. Nous avons chacun une chambre très vaste et un cabinet de toilette indépendant. Nous avons également une grande salle de jeux avec un téléviseur grand écran et lecteur de DVD. qui parfois se transforme en dortoir lorsque des cousins ou des copains viennent nous rendre visite.

Nous sommes très libres car dès notre plus jeune âge, nos parents nous ont fait aimer la nature et le naturisme… Dès que les beaux jours arrivent et que rien ne risque de venir nous déranger, c’est totalement nus que nous nous ébattons dans et autour de la piscine. Caroline et sa mère Véronique se sont immédiatement mises au diapason de ces habitudes.

Au cours de l’adolescence, les deux filles ont pris des formes et développé des poitrines différentes. Autant Caroline a pris des seins opulents, fermes, dressés d’une manière arrogante, ressemblant beaucoup à ceux de sa mère, autant Amélie n’a eu jusqu’à ces derniers temps des seins à peine bombés qui faisaient un peu sa désolation…
Je voyais souvent son regard se poser sur les poitrines de Véronique et de Caroline, les yeux brillants d’envie. De mon côté, j’avais développé une pilosité discrète sur le torse et mon bas ventre s’ornait désormais d’un sexe de taille correcte quand je le comparais à ceux que je voyais sur les plages naturistes. Mon père était quant à lui doté d’un phallus plus que généreux au dessus de bourses pendantes. Parfois les gémissements de plaisir de Véronique parvenaient jusqu’à nos oreilles indiscrètes lorsque nous prolongions la soirée en bavardant dans la chambre d’Amélie qui se trouvait juste au dessus de celle des parents…

Bien évidemment ces râles et cris de plaisir nous émoustillaient quelque peu… Je ne sais pas ce que ressentaient les filles mais moi, j’avais tendance à bander et c’est souvent qu’en regagnant ma chambre je me branlais jusqu’à cracher quelques beaux jets de sperme en matant des filles plus ou moins dénudées posant dans des magasines ou même un film X sur mon ordinateur !*
Certes, je n’étais plus puceau depuis quelques années… une fille plus âgée que moi m’avait entraîné discrètement dans un creux sur la plage naturiste où nous étions en Vendée et avait fait mon éducation sexuelle.
Je m’étais perfectionné lors du séjour passé lors des dernières vacances de printemps chez une des sœurs de ma mère, tout juste âgée de 25 ans. En fait, elle m’avait démontré diverses positions de baise et m’avait fait découvrir la sodomie, que naïvement je croyais réservée aux couples d’homos !



Finalement c’est peu après l’annonce des résultats du bac d’Amélie que tout à basculé…
Ce jour-là, nous sommes tous les trois allongés au bord de la piscine. Caroline et moi, nous taquinons gentiment Amélie qui en début d’année scolaire avait annoncé que pour réussir son bac avec mention, elle renonçait à flirter jusqu’au résultat…
Le bac était en poche avec une mention « bien », elle allait donc reprendre là où elle en était et conquérir un petit ami pendant les vacances au bord de mer qui approchaient.
Elle venait d’avoir 18 ans en mai et il restait moins d’une semaine avant notre départ en famille pour les iles du Levant. Je l’interrogeais :
• Comment le vois-tu ton satyre ?
• Tu vois, Arnaud… un peu comme toi… mais avec un sexe comme celui de papa. J’ai envie d’en avoir un vrai de cette taille !
• Oh ! Ne me dis pas que tu as déjà goûté à des godes de cette dimension ?
• Si ! Et même plus gros encore et en plus des doubles pour agrandir mon sphincter ! Ils sont bien cachés dans le fond de mon armoire.
Aussitôt, elle reprit :
• J’ai envie de tout connaitre… Ce n’est pas mon dépucelage vite fait de la boum de fin d’année qui me suffit ! J’ai envie de jouir !!! Et cette fois pour de vrai, avec une bite bien ancrée en moi !
Caroline renchérit aussitôt :
• Ne crois pas qu’il n’y a qu’un homme pour te donner du plaisir… Tu peux en avoir aussi avec une autre femme !
• Je sais, mais je n’oserais jamais faire des avances à une copine !
• Pourquoi une copine ? Ne suis-je pas là pour t’initier si tu veux !
C’était la première fois où une de nos conversations dérapait ainsi vers des sujets plutôt scabreux… et je tentais de dissimuler mon sexe qui se dressait fièrement entre mes cuisses.
Poursuivant la conversation, Caroline se lève et après avoir échangé un baiser langoureux avec Amélie, elle lui dit :
• Attends moi, je n’en ai pas pour longtemps… Je reviens tout de suite.



Moins de 5 minutes plus tard, elle revient portant un sac de plage et dit en fouillant dans cette sorte de besace :
• Moi aussi, j’ai des godes de toutes les tailles, tu vas voir, on va bien s’amuser ! Mais avant, laisse-moi t’embrasser… Tu verras comme c’est bon !
Si tôt dit, si tôt fait !
Caroline enlace Amélie, pose ses lèvres sur les siennes et entreprend un baiser profond dans le quel je vois sa langue lutiner celle de ma sœur qui écarte les cuisses et pose sa main droite sur sa chatte…
Waouh ! ça commence bien ! Je n’en perds pas une miette ! Pourvu que les parents ne reviennent pas trop vite !!! Mais non… ils sont absents pour deux jours…

Je vois les lèvres de Caroline descendre sur la poitrine d’Amélie, lécher les aréoles puis sucer un des bourgeons qu’elle a fait saillir. Amélie s’enhardit en posant une main sur le sein gauche de son initiatrice et lui rend sa caresse, triturant entre ses doigts le téton qui s’allonge. Caroline encourage Amélie :
• Oui, comme cela, caresse bien mes seins, cela me fait du bien ! Suce le bourgeon comme je le fais avec les tiens...
• Oh oui… ce que tu me fais est boooonn !
Après quelques minutes, Caroline fait s’allonger Amélie sur un des matelas de plage et après avoir relevé les cuisses, elle se penche sur la vulve de ma sœur offerte à ses caresses. Je la vois parcourir les lèvres intimes, débusquer le bourgeon caché et pénétrer du bout de sa langue le sexe de ma sœur…
C’est chaud…
Ce n’est pas la première fois que je vois deux femmes commencer à faire l’amour ainsi…
A chaque fois, j’avais joué le voyeur d’un peu loin mais là, j’étais à moins de deux mètres…
Désormais, c’était une histoire sans parole !
En tendant le bras, Caroline se saisit d’un gode à tête vibrante dont elle met le mécanisme en marche avant de le poser entre les lèvres vulvaires de ma sœur tout en pénétrant la chatte de plusieurs doigts :
• Sens comme c’est bon !
Etant placé de trois quarts dans un fauteuil, je ne perds pas une miette du spectacle…
Les tétons d’Amélie sont sortis comme jamais, je vois la poitrine opulente de Caroline se balancer doucement sous son torse et ses fesses bien fendues où j’aperçois l’œillet secret qui palpite.

C’est hyper chaud et je bande de plus en plus au point d’avoir envie de me branler en lorgnant sur les deux filles.
Jamais des photos ne m’ont fait autant d’effet…
C’est vraiment Top !!!
Soudain Amélie exhale un grand cri ! Elle vient de jouir !!!
• Ooohhhh ! Aaahhhh ! Oouuuiii ! C’eeest boooonn !
Caroline se tourne vers moi en disant :
• Veux-tu rester sage ! Je m’occuperai de toi après ! Amélie a besoin d’une leçon de chose vivante !
Je ne vois pas trop ce qu’elle veut dire mais j’obéis pendant qu’elle se met en 69 au dessus de ma sœur en lui disant :
• Rend moi les caresses que je vais te faire… Tu me feras jouir et tu auras ton plaisir aussi !
Waouh ! Je n’aurais jamais pensé qu’un après midi de farniente se déroulerait ainsi…
Puisque je dois rester « sage », je me contente de reluquer les deux filles qui échangent force caresses et léchages de chatte…
Je vois en gros plan le fessier un peu rebondi de Caroline et je découvre un bijou intime enfoncé au plus profond de son sphincter ! Décidément, c’est une vraie coquine. Je tends la main et doucement je retire ce Plug puis le réintroduit à plusieurs reprises…
Je suis surpris tant il entre facilement malgré une taille plus que respectable !
Sous cette double caresse, Caroline ne tarde pas à jouir mais elle se maîtrise et amène Amélie à une seconde jouissance et s’écroule à ses côtés sur le dos pour retrouver le calme…
Les deux filles sont tête-bêche, chacune une main posée sur le sexe de l’autre comme pour encore ressentir les spasmes de la jouissance. De mon côté, j’ai le sexe au « garde à vous », raide comme un bâton avec du liquide qui suinte du méat…
Cette partie lesbienne m’a excité au plus haut point… cela n’avait rien à voir avec les séquences que j’avais pu regarder sur des DVD !



Après quelques temps Caroline se lève et se dirige vers moi en disant :
• Puisque tu as été sage et que ta petite sœur n’a jamais fait une pipe à un garçon, nous allons lui montrer !
• Oh oui ! Je n’en peux plus de vous mater ! Vous m’avez excité au point que si je ne m’étais pas retenu, j’aurais giclé sans même me toucher !
• Viens Amélie… je vais te montrer comment donner du plaisir à un garçon sans coucher avec lui ! Tu as vu comment deux filles peuvent se contenter… c’est nettement meilleur que de se branler avec un gode ou les doigts.
• Oh oui, montre moi ! Je le veux !
Caroline s’approche de moi et s’agenouille entre mes cuisses. D’une main, elle saisit ma hampe et achève le retrait de mon prépuce et dit :
• Regarde, on a tellement excité Arnaud que du liquide suinte déjà ! Je vais aller doucement pour qu’il ne jaillisse pas trop vite !
• Oh oui ! Caro, prends ton temps ! Ce sera meilleur que la veuve Poignet !
• Tout d’abord, tu prends le membre entre tes doigts, tu le masturbes un peu pour qu’il raidisse… mais là ce n’est pas la peine, il est déjà bien en forme. Ensuite, tu l’approches de ta bouche… tu taquines le méat du bout de ta langue puis tu fais glisser la bite dans ta bouche pour bien l’enduire de salive.
Sitôt dit, sitôt fait… Caroline avale ma bite jusqu’à ce que sa bouche soit en contact avec mon pubis et après quelques aller-et-retours :
• Tu vois, je l’ai avalée jusqu’à la garde… C’est ce qu’on appelle une gorge profonde… Il faut y être habituée si tu ne veux pas avoir des hauts le cœur ! Il faut ensuite alterner les succions du gland qui, tu t’en doutes, est très sensible et du mat sur lequel tu joues avec ta bouche…un peu comme cela !
La démonstration se poursuit et je sens que je ne vais pas tarder à partir.
• Attention Caro, tu fais monter la pression !
• Retiens-toi encore un peu ! Je veux que tu gicles abondamment sur mes seins ! Comme cela Amélie pourra goûter au sperme ! En même temps tu peux masser les boules ou même les prendre en bouche pour les faire rouler… Les mecs apprécient mais là, ce n’est plus le moment !!!
Sentant surement que je ne puis plus me retenir, Caro sort ma queue de sa bouche, la reprend en main et la masturbe rapidement jusqu’à ce que je crache abondamment sur ses seins dénudés :
• Waouh ! Que c’est bon ! Quelle suceuse tu fais !
• Oui, il parait que dans ce domaine, j’ai un talent certain ! Allez Amélie, viens me lécher les seins ! N’en laisse pas perdre… Tu verras, il me semble qu’Arnaud a bon goût !
En moins de cinq minutes Amélie a fait disparaître tout ce que j’ai déversé sur la poitrine de Caroline sur laquelle ne subsistent plus que des traces humides… et les deux filles s’embrassent, leurs langues se mêlant dans un duel humide qui m’excite à nouveau mais pour nous calmer un peu, nous plongeons tous les trois dans la piscine…



C’est bientôt l’heure de rentrer… la fraîcheur tombe avec le soir. Nous passons par la cuisine où nous préparons un solide plateau de victuailles avant de gagner la chambre de Caro où nous nous retrouvons assez souvent pour bavarder quelques minutes avant de nous coucher sagement dans nous chambres respectives.



Nous sommes toujours nus… Nos jeux reprennent bientôt ! Caroline sort de sa besace aux secrets un double gode avec des lanières et nous explique ce qu’elle veut faire :
• Regardez, vous avez vu que deux filles peuvent se faire plaisir en se mangeant mutuellement la chatte… Avec cet engin, c’est encore meilleur. Une partie se loge dans la chatte de l’une d’elle et un méplat sur le plastron vient agacer son bourgeon. Avec l’autre extrémité, elle peut posséder une autre fille, voire même sodomiser un homme !
• L’as-tu déjà utilisé ?
• Non, pas encore, justement ! Je l’ai acheté il y a quelques jours…et nous allons l’étrenner !
Amélie et moi nous crions en cœur :
• Oh oui ! Montre-nous comment on l’utilise !
• Puisque vous êtes d’accord, je vais harnacher Amélie. C’est elle qui va le porter… J’ai une idée… Vous allez voir !

Aussitôt Caro se penche vers le sexe de ma sœur, passe un doigt indiscret dans la fente pour faire gonfler le bourgeon et humidifier le vagin. Dès que le sexe factice est bien en place, elle noue les brides sur les hanches de ma sœur et en fait passer une entre les jambes. Cela me fait drôle de voir ma sœur ainsi… Elle invite Amélie à se coucher sur son lit et, en l’enjambant, elle commence à se frotter sur la partie saillante puis elle la fait entrer dans sa chatte qui s’ouvre sans peine…
Il est vrai que l’excitation est à nouveau à son comble !
Les mains posées sur les seins de ma sœur, elle commence des mouvements de va et vient lents mais appuyés pour que ma sœur sente bien la pression sur son clitoris et dans sa chatte.
C’est chaud ! Je ne peux qu’admirer la coquinerie de Caro qui a l’air d’en connaitre un rayon dans ce domaine !
• Arnaud, puisque tu bandes déjà, je ne vais pas me priver… Prends une capote dans le tiroir de ma table de chevet et couvre-toi. Ensuite, tu mets du gel lubrifiant dans mon sphincter… Tu as vu, il est bien ouvert mais il faut quand même le lubrifier… et tu vas me prendre le cul ! C’est ce qu’on appelle une double pénétration !!!
• OK ! ça marche, je suis à ta disposition !
• Je n’ai encore jamais trouvé deux garçons pour cela… toutes mes copines disent que c’est le pied !
Caroline s’allonge sur le buste de ma sœur et elle l’embrasse en disant :
• Tu vas voir, je crois que je vais prendre un pied d’enfer !
Ce mouvement me permet de voir à nouveau l’œillet plissé qui s’offre ainsi à moi. Après avoir introduit une belle dose de gel lubrifiant, je m’approche et place mon gland juste à l’entrée.
• N’aie pas peur ! Vas-y ! Qu’est-ce que tu attends ?
• C’est juste que cela me gêne de te baiser ! On est presque frère et sœur !
• Justement, tu dis « presque » ! Alors vas-y !



Alors sans attendre plus longtemps, je pénètre l’antre secret de Caroline jusqu’à la garde… Waouh ! Que c’est bon ! Ma bite se coule au plus serré de ce pertuis que je sens se mouler en l’enserrant au plus près. Dès que je suis en elle Caroline commence un savant mouvement des ses muscles internes au fur et à mesure de mes mouvements alternatifs tout en basculant son bassin pour faire sentir à Amélie les mêmes mouvements…



Quelques copains m’avaient parlé de double pénétration mais je n’imaginais pas comment cela pouvait être jouissif pour les trois partenaires. Amélie était partie dans un délire érotique, prononçant des mots sans suite pour exprimer son plaisir pendant que Caroline m’encourageait à la fourrer plus fort. Finalement nous avons joui presque tous les trois en même temps… Quand j’ai senti qu’Amélie jouissait, je me suis lâché au fond du préservatif et nous nous sommes écroulés bras et jambes emmêlés pour nous endormir rapidement.

La période des vacances commençait bien !!!

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