Emilie Et Tamara, La Rencontre

Bonjour à tou-te-s,
Impossible de publier le récit ci-dessous plus tôt suite problèmes internet et boulot.
Tamara est actuellement rentrée dans sa famille aux Antilles pour les vacances (voire les récits précédents), j’en profite donc pour modifier quelques peu les installations du garde meuble ces 2 mois.
Voici donc la suite :
Tamara est décidément une jeune femme surprenante, j’ai relu son bulletin de A à Z, en long en large et en travers. A la différence de Léa, elle à l’aise dans les matières où il est nécessaire de réviser et apprendre, c’est là où il y a des développements à faire que les choses se compliquent.
Afin de vérifier mon raisonnement, je lui prépare 2 dossiers différents, l’un sur ses leçons, l’autre sur les matières nécessitant un raisonnement.
Après une matinée bien remplie, nous nous séparons et repartons l’un et l’autre de notre côté. Malgré l’excitation provoquée par les fantasmes de ma belle métisse, je garde la tête froide et me concentre sur l’ensemble du travail que nous aurons à faire avant qu’elle reprenne les cours.
J’ai 2 jours devant moi pour la remettre en confiance avant l’arrivée d’Emilie et certainement de nouvelles tempêtes. C’est du moins ce que je croyais.
Vers la fin de l’après-midi, alors que je recherche de quoi combler la miss dans tous les sens du terme, le téléphone sonne. Emilie m’annonce qu’elle arrivera finalement le lendemain en soirée.
J’appelle donc Tamara pour la mettre au courant, elle me dit avoir hâte de la rencontrer. Vraiment très surprenante.
Le lendemain midi, nous nous retrouvons au garde-meuble. Elle a mis un jean et un haut à manches longues. J’ai dans les bras un carton qui intrigue la demoiselle. Nous entrons dans le box, alors que Tamara se dirige vers le bureau, je la rappelle et l’invite à poser ses jolies fesses dans le canapé, ce qu’elle fait.
Je prends le carton et lui pose sur les genoux. Elle reste sans voix quand je la vois découvrir le contenu.


De la corde, un monogant, des chaines, un collier de chien, des menottes, un nouveau bâillon et du lubrifiant, beaucoup de lubrifiant.
J’ai passé plus d’un quart de ma paie dans du matériel pour la miss. Elle lève les yeux vers moi, je pense qu’elle oscille entre fuir à toutes jambes et me sauter au cou. Elle doit me prendre pour un dingue.
Elle me demande alors si cela impactera son coaching. Je lui réponds que son coaching et la réalisation de ses fantasmes sont deux choses bien distinctes et que l’un n’influencera en aucune façon l’autre.
Elle est intriguée par le monogant et le nouveau bâillon. A la différence du tout premier, celui-ci comporte un phallus en plastique conçu spécialement pour qu’elle puisse avoir quelque chose de plus sympathique qu’une simple boule dans sa jolie bouche.
Sachant qu’aujourd’hui, j’ai décidé de la faire travailler sur ses leçons sans faire de contrôle, je lui ferais essayer tout le matériel arrivé nouvellement si elle travaille bien et peut être, je dis bien peut être, qu’elle vivra quelques instants sympathiques. Durant près de 3 heures, je l’interroge inlassablement sur ses cours, elle connait la théorie hormis dans une matière.
C’est barbant, qu’elle me dit. C’est présent à l’examen que je lui réponds. Dans l’ensemble, elle se débrouille très bien, je comprends mieux pourquoi les profs ne l’ont pas enfoncé sur son bulletin malgré sa moyenne assez basse. Ce n’est pas par manque de travail qu’elle patine mais par manque de méthode et de raisonnement.
Alors que la miss range ses affaires dans son sac, je m’approche d’elle doucement et passe une main sur ses fesses tandis que l’autre passe sous son haut pour aller caresser ses petits seins. Elle se redresse et colle son bassin au mien. Avant que nous nous laissions aller à des folies avec nos corps, je me sépare d’elle et att le collier. Il est vert et or et s’adapte à merveille à sa couleur de peau.
J’enlève ensuite son haut et dégage son soutif.
Je profite de n’avoir rien d’autre à enlever pour lui passer les menottes avant de retirer complètement son jean et de la laisser en culotte, les seins à l’air. Je détache ses cheveux et la fais mettre à genoux devant moi comme une véritable adepte de la soumission. J’att le nouveau bâillon et lui enfile doucement. Quand j’ai terminé le réglage des lanières, je regarde la miss qui a l’air assez émoustillée par ce qu’il se prépare. Pour m’en assurer, je plaque une de mes mains sur sa chatte ; c’est chaud et humide en surface, j’y rentre un doigt, c’est trempé à l’intérieur.
J’écarte sa culotte, prend l’un des godes et lui rentre dans la chatte, ce n’était pas prévu mais il faut ce qu’il faut pour la faire patienter.
Je la relève et commence à lui lier les genoux et les chevilles en faisant un nœud simple pour m’assurer que la corde ne la blesse pas et qu’elle ne fait pas de réaction allergique à quoi que ce soit.
Quand je lui enlève les cordes, tout va bien, aucune marque. J’enlève alors les menottes et lui enfile le monogant. Cela lui impose de serrer les poignets et les coudes dans le dos et la met dans une position très sympathique quand je la remets à genoux. Elle a les cuisses écartées pour rester stable, ce qui fait que j’ai une vue imprenable sur sa culotte qui est détrempée maintenant, ses tétons pointent au maximum. Elle est à ma merci et ça a l’air de lui plaire. A l’extrémité du gant se trouve un petit anneau, je regarde où je pourrais le relier au plafond afin de varier les plaisirs.
Je ne trouve rien, tant pis, je bricolerais quelque chose.
Quoi qu’il en soit, pendant que je me creuse la cervelle, la température monte encore pour la demoiselle. Quand je me retourne vers elle, elle essaie de faire bouger le gode en elle, gênée par le gant. Je la relève et la penche sur le bureau, j’abaisse sa culotte doucement et enlève le gode. Nul besoin de préliminaires tellement elle est mouillée, d’un coup, je mets ma bite en elle et commence à la baiser en profondeur.
Ses mains entravées par le gant, elle ne peut s’appuyer nulle part et est donc complètement soumise à ma volonté.
Pendant plusieurs minutes, je besogne ma belle métisse, m’assurant à profiter de ce moment jusqu’à ce que je sente son vagin se contracter sur moi, elle jouit et m’emmène avec elle au 7ème ciel.
Je la libère du monogant et nous allons nous installer dans le canapé pour récupérer un peu. L’un dans les bras de l’autre, elle me confie que cette expérience lui a plu mais que fait d’être encordée et d’avoir un collier la gêne et ne lui plait pas beaucoup. Pas bien grave, des cordages ça peut servir à autre chose que ça et c’est toujours utile.
Le reste, le monogant, les godes, les menottes et son nouveau bâillon lui plaisent. Nous sommes nus l’un et l’autre, sa magnifique poitrine juste à hauteur de mon nez, je ne peux m’empêcher de mordiller ses petits tétons tandis que ses mains retournent vers ma bite. Quelques caresses plus tard, l’ami Popol est de nouveau bon pour le service actif. Nous nous mettons en 69 et je commence à la lécher tandis qu’elle me suce, et mon dieu, qu’elle fait ça bien. Il ne faut pas longtemps avant que je n’envoie ce qui me reste de sperme dans sa bouche alors que l’action de ma langue et de mes doigts sur son clitoris l’envoient elle aussi au nirvana. Nous nous allongeons l’un contre l’autre dans le canapé, elle est magnifique dans son plus simple appareil.
Quand nous nous relevons, je remarque que le temps a passé bien vite. C’est sûr que quand on s’envoie en l’air, c’est pas à cela qu’on fait le plus attention. Quoi qu’il en soit, il est temps de prendre la route de la gare pour aller chercher Emilie.
J’ai l’esprit créatif ce soir et j’ai une idée. Alors que Tamara est en train de se reculotter, je l’en empêche et att le plus petit gode que j’ai en réserve et un autre d’une dimension légèrement inférieure à ma bite. Elle renfile son haut tandis qu’elle reste culotte et pantalon à mi-cuisse. Je la penche vers l’avant et lui fait sucer le petit gode tandis que je lui enfonce l’autre dans la chatte.

J’appuie bien pour qu’il reste en place tandis qu’elle me rend le plus petit tout dégoulinant de salive, vous devinez aisément la suite (tout comme elle), j’enfonce très progressivement le jouet entres ses jolies fesses jusqu’à ce qu’il soit complètement enfoui en elle. 10 cm plus tard, la miss est complètement rhabillée, je ferme le garde meuble et en route. Tamara a une démarche particulière, c’est discret mais un œil avisé décèle tout de suite que sa démarche n’est pas naturelle.
Quand nous atteignons la voiture, je lui ouvre la portière et cède à la tentation. J’appuie légèrement sur le gode dans son cul, arrachant un gémissement à la miss. Il est vrai que son cul n’est pas habitué à recevoir de la visite. Arrivés à la gare, nous découvrons avec surprise… que la SNCF est en retard. Surprenant n’est-ce pas ? Quoi qu’il en soit, nous retournons à la voiture et patientons, Tamara me confie qu’être ainsi remplie l’excite énormément. Voilà qui me fait plaisir.
Quelques minutes plus tard arrive le train, et encore un peu plus tard, Emilie apparaît, vêtue d’une jolie robe rouge et blanche, je la serre fort dans mes bras et la lève de terre. Elle est un peu plus menue et légère que sa sœur, j’en sais quelque chose…
Je fais les présentations, Emilie ne s’attendait pas à rencontrer une aussi jolie demoiselle, même chose pour Tam. Je prends la valise de la voyageuse et nous partons vers la voiture.
Elle est assez fatiguée et je pense que finalement nous ne ferons rien ce soir.
Nous repartons vers le garde meuble pour déposer Tamara et sur le trajet du retour, Emilie s’endort.
Profitant du sommeil de la jumelle n°2, ma belle antillaise me confie qu’elle aimerait bien s’occuper d’Emilie. En voilà une bonne idée.
A l’approche du garde meuble, une odeur âcre commence à se faire sentir et en arrivant sur le parking, nous trouvons pompiers et policiers sur place. Au fond, 2 voitures encore fumantes, celle de Tamara et celle du propriétaire du garde meuble en vacances.
Tandis que la miss s’occupe de ce qu’il reste de sa voiture avec les pompiers, j’appelle l’autre personne pour lui annoncer la mauvaise nouvelle.
Une fois fait, je vois Tamara revenir vers moi avec l’un des pompiers.
Verdict : Ce n’était pas un feu accidentel
Tandis que celle-ci appelle son assureur, je rentre dans le garde meuble et part vers mon box. Je constate que la porte n’a pas été e ni ouverte en mon absence, c’est déjà ça.
En ouvrant la porte, je vois qu’une enveloppe a été glissée sous la porte et git juste devant moi.
Je l’ouvre, lit les premières lettres et je reconnais tout de suite l’écriture de Lucie…
La suite bientôt…

Merci d’avoir lu cette histoire, bien réelle, je le rappelle. N’hésitez pas à laisser un commentaire ci-dessous ou à m’envoyer un mail si vous avez envie de discuter : dmnmaitrefesseur@gmail.com
PS : Je précise que Léa a eu son examen avec mention bien, encore une fois toutes mes félicitations miss.

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