Collection Cocu. La Roue De Secours (1/3)
Rue du Château, cest bon, mon G.P.S. est programmé.
Georges me fait, jallais dire chier, mais je suis une femme de bonne éducation alors je dirais que si jen avais, il me casse les couilles.
Javais rendez-vous avec Marie-Chantal, nous devions aller faire les boutiques, il faut bien que je dépense le fric de mon mari, il le gagne, je le dépense, croyez-moi, avec Marie-Chantal, la femme du premier adjoint de mon mari chef dentreprise dans les travaux publics et maire de notre petite ville, ma copine et moi, savons faire chauffer leurs cartes bleues.
Je vais tout avouer, Marie-Chantal, cest dans son dos que nous lappelons comme ça, ses parents lont appelée Roselyne, ils ont beaucoup de bien immobilier géré par Marc, son mari.
Je lavais dissuadé de lépouser, un coureur de jupons, reste un coureur de jupons et ma copine refuse de voir quelle a des cornes qui bientôt lempêcheront de passer dans les portes de leur villa avec piscine.
En ce qui concerne la villa, nous les battons, nous sommes deux et nous avons deux chambres de plus, ainsi que deux garages, bref nous sommes deux bourges de trente ans, car nous étions dans la petite école ensemble.
Mon père était maire de notre ville avant Georges qui dirigeait le club de judo, cest là que je lai connu le jour où, mon père sétant cassé une jambe en glissant sur une merde de chien ma demandé de le conduire au tournoi de fin d'année devant remettre les médailles.
Cest ce soir-là vers 22 heures, alors que je venais davoir vingt ans que jai perdu mon pucelage, papa était rentré avec maman qui était venu me remplacer, le regard que me portait Georges faisait mouiller ma petite culotte.
Alors que je mapprêtais à partir, Georges a vu que jembrassais mes parents et est venu minviter à rester pour le vin dhonneur, deux coupes de champagne mont tourneboulé, un par un les judokas et les invités sont partis.
Une fois seul, les tapis rangés dans un coin de la pièce, cest dessus que Georges ma couché sans beaucoup de résistance de ma part et ma pénétré, jétais là sans y être, javais rêvé à la robe blanche et à la nuit de noces.
La robe blanche, je lai eue en urgence quand jai vu mes règles m'abandonner, cest en pleurs que je suis allée voir mon père qui est venu voir les parents de Georges qui ont décidé de nous marier pour que notre bébé naisse dans des temps possibles pour un prématuré.
La nature est ainsi faîte, jai perdu mon bébé 15 jours après mon mariage, personne na su dans la ville que javais été enceinte, mais depuis même si mon mari a été le coup dun soir, je nai jamais eu de nouvelles grossesses.
Je nai jamais prise la pilule, si ça vient, cest que comme la première fois, la nature aura voulu que je sois mère.
Une dernière chose avant de revenir au fait quil me casse les couilles, mes parents mont appelé Bénédict plus joli nom que Roselyne.
Revenons à mon G.P.S. que je programme pour la rue du Château dans la ville voisine.
Bénédict, il faut porter des papiers à la préfecture et nous navons pas le temps, vu la charge de travail, aucun de nous ne pouvons y aller, je compte sur toi.
Jappelle Marie-Chantal, jai son répondeur, je lui laisse un message, la prévenant que pour la carte bleue s'est remis à plus tard.
Ma C1 est à sec, il va falloir que tu ailles acheter du gazole.
Je tai dit que cest pressé, il y a une réunion de commission cet après-midi et jaimerais que ces papiers soient présentés, prends mon Crossover, jai fait le plein hier.
Cest ainsi que je programme le G.P.S et que je pars, jarrive rue du Château ¾ dheures après, cest bizarre, la préfecture dans un tel quartier, mieux, la rue du Château est à voie unique et ma grosse voiture passe, mais avec difficulté.
Un bruit bizarre, cest vraiment ma journée de merde, je marrête sur le bateau dune espèce de hangar, jai crevé arrière gauche, comment change-t-on une roue, Dieu seul le sait, jignore même où elle est.
On peut vous aider petite dame !
Le garçon qui vient de sortir du hangar est grand, le crâne rasé, tatoué à faire peur pour une femme de bonne famille comme moi, il a un marcel crasseux et pour compléter le personnage aux coins des lèvres, un mégot éteint semble placé là depuis des siècles.
Tu ne vois pas que tu es garée devant chez moi, tas un problème.
Excusez-moi monsieur, je devais aller à la préfecture rue du Château et je viens de crever, jignore comment changer ma roue, pouvez-vous maider, je suis très pressée.
Tout doux ma belle, cest pas parce que tu as un joli petit cul quil faut me prendre de haut.
Dabord, ici cest la rue du Château alors que la préfecture, cest lavenue du Château, pour ta roue, jappelle mes copains.
Il prend son portable et appelle, cinq minutes après quatre gars aussi balèzes que celui qui les a appelés arrive, le plus costaud un magnifique noir semble le chef.
Nayez pas peur madame, on va vous dépanner, Yvon ouvre ta grange, on va rentrer la voiture, il plombe aujourdhui, nous serons à lombre.
Jaurais dû me méfier, mais rien danormal quil souhaite être à labri du soleil dans cette journée de canicule.
Le noir se met au volant et les autres poussent sans démarrer le moteur et entre ma voiture dans ce qui avait dû être la grange dune ferme qui a disparu avec lextension de la ville.
Que font-ils, le grand noir semble chercher quelque chose, il se penche même sous la voiture ?
Madame, où est placée votre roue de secours ?
Vous men demandez trop, jignore même comment changer ma roue.
Je vois son emplacement, mais elle ny est pas, avez-vous déjà crevé ?
Georges a dû crever et placer la roue de secours pendant quil réparait lautre, quel con, il aurait pu me prévenir même si ça navait pas changé grand-chose.
Yvon prend ta voiture et va réparer la roue à la station, on tattend.
Cest toujours moi qui suis de corvée.
Arrête de chouiner, madame est pressée.
Bien Abdou, jy vais.
Il charge la roue quils ont démontée et la charge dans la voiture du dénommé Yvon garé devant le hangar.
Que fait ont pendant lheure quil va mettre.
Une heure, il faut que jappelle mon mari.
Inutile de lalarmer, j'ai bien une idée.
Que voulez-vous dire, je vous vois venir, je vais crier !
Arrêtez petite dame, nous sommes loin dêtre des violeurs, on taide et tu nous traites comme des moins que rien.
Excusez-moi, vous êtes des gars bien.
Cest mieux, tu vas voir, cest toi qui vas prendre des initiatives, enlève ta petite culotte.
Je dois dire quà ce moment, je vois ou le beau black veut en venir, il veut me sauter, mais il veut que ce soit-moi qui soit à linitiative.
Les choses se précisent me faisant chavirer, depuis mon dépucelage, Georges me baise, mais cest toujours pareil et jaimerais voir la verge de cet homme qui me fait envie.
Même si cest lui qui savance jusquà moi, cest moi qui magenouille et qui sors sa bite, je trouve ce que jespérais cacher dans son jean.
Je nai jamais sucé dhomme et je prends plaisir à le prendre dans la bouche, je suis novice, mais je trouve rapidement le rythme pour avaler le gland assez monstrueux et qui a du mal à entrer dans ma bouche.
Tony va chercher le coussin dYvon dans sa chambre, madame risque davoir mal aux genoux.
Jaime quil prenne soin de moi, Georges aurait-il autant de prévenance, je lui en veux, cest lui qui ma dit rue du Château, ça jen suis certaine, cest encore lui qui ma laissé partir sans roue de secours.
Le coussin arrive, Abdou me prend dans ses bras et me soulève, sa bouche cherche la mienne, cest moi qui ouvre mes lèvres et qui accepte sa langue qui vient chercher la mienne.
Il me repose les genoux et je reprends sa verge.
Ma belle tourne ta tête, mon copain à un cadeau pour toi.
Je regarde du coin de lil, ma bouche occupée, Tony a fait sortir sa verge, bien moins imposante que celle du chef, il récupère une de mes mains et je le masturbe, incroyable, il a raison personne ne me contrainte, lorsque de lautre côté une main prend ma dernière main pour la poser sur sa bite, je masturbe et je suce trois des quatre garçons qui sont près de moi.
Le quatrième que je ne vois pas est derrière moi, il ouvre mon chemisier, quand je me suis levée ce matin, la chaleur était telle que je suis restée seins nus, je dois dire que cest souvent ayant horreur quils soient bridés.
Les agrafes de ma jupe suivent, je sens quelle me tombe sur les jambes mabandonnant aux désirs de mes quatre subordinateurs.
Qui force qui, quand je quitte la verge dAbdou de ma bouche pour la poser sur le sexe de Tony, je passe de lun à lautre, le quatrième dont je ne connais pas le nom pousse son copain pour me présenter sa verge.
Je le prends facilement au fond de la bouche, je lui passe une main derrière le dos pour mieux lui tenir les fesses, mon doigt rencontre sa rosette, jy fais rentrer un doigt, je suis devenue folle, je nai plus aucune retenue.
Bien que ce soit le dernier que je me suis occupé, je sens sa verge tressauter et avant que jaie eu le temps de faire le moindre mouvement, une grande giclée de sperme frappe ma glotte.
Je lai dit, je nai jamais fait de fellation à mon mari, pour la première fois je bois du sperme, cest doux, mais un peu fade.
Tony qui se masturbait décharge lui aussi sur ma figure, je sens du sperme couler sur ma poitrine sans rien voir, le début de la giclée marrive dans les yeux me faisant perdre la vue.
Ne voyant plus rien, un autre me fait tourner la tête et lui aussi arrose mon visage, dommage que je sois incapable de me voir, je dois avoir une tête impossible, celle dune salope sentant sa chatte couler tellement ces moments de luxures me met en joie
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