3 Ans De Pénitence - 8

3 péchés capitaux.
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Pendant près de 2 h je vais travailler plus que je ne l'ai jamais fait de ma vie. Je ramasse tous les détritus, frotte le sol avec la brosse dure, rince, essuie. Tout ça en prenant encore quelques coups de cuiller sur les cuisses et les fesses, pour me stimuler soi-disant. Moins qu'au début, heureusement, elles finissent par se lasser et par se chuchoter des choses, assises l'une contre l'autre. Je dois encore m'occuper du feu. Je mets toutes les cendres dans des seaux et nettoie l'âtre avec la brosse.
J'en peux plus ! Je me tourne vers elles, rouge, suante, les fesses et les genoux douloureux. Je leur dis :
— J'ai fini, Maîtresses.
Le titre leur plait. Elles viennent voir.
Lucie me montre un endroit du bout de sa sandale en disant :
— Il y a une trace, là. Lèche !
Jeanne s'y met, aussi. Du bout de son pied, elle montre une trace en disant :
— Et ça, cochonne ?
— Pardon, Maîtresse.
— Et ici - et là - tu ne sais pas lécher, stupide. Attends, on va s'occuper de tes fesses.
— Nooon, Maîtresse regardez !
Je lèche en mettant plein de salive sur les traces imaginaires. Il restera toujours de la saleté dans les joints du carrelage. Un goût de terre et de crasse se mélange à celui de la moutarde que j'ai toujours en bouche.
La Mère revient seule, quand je suis encore occupée à lécher une vague trace au bout de la chaussure d'une de ces deux petites garces. Aussitôt, elles lui font une profonde révérence. La mère leur dit :
— Alors elle a bien obéis ?
— Oui, ma mère, mais on quand même dû la stimuler.
— Vous avez bien fait.
Ben, voyons ! Elle se tourne vers moi en disant :
— Allez remet ta culotte. Il y a les poubelles à nettoyer, maintenant.
Oh, non !
Elle s'assied dans son fauteuil derrière la table et nous donne des ordres aux deux filles et à moi. Moi, je dois récurer les poubelles et les deux filles doivent préparer notre repas gastronomique dans une grande marmite.

Elles mettent des patates, le contenu de boites de corned beef qui doivent dater de rations militaires de gi de la guerre 40, des carottes... Elles ajoutent le contenu d'une grande bassine avec les restes des repas des nonnes et des invités. Bonjour l'hygiène. Elles terminent enn mettant encore divers ingrédients que je distingue mal, mais qui doivent être tout à fait comestibles pour des porcs...
Ce sera notre repas.
On toque. Entrent deux hommes d'une bonne quarantaine d'années. Manifestement, ce sont des paysans. Ils apportent des caissettes de salades, de carottes et de pommes. J'attire tout de suite l'attention des hommes Il y a un gros rougeaud avec un ventre énorme, l'autre est roux et barbu. Il ressemble à un viking... rural. Ils sont vêtus de pantalons de velours côtelés marron et de vestes militaires. Le tout constellé de taches diverses. Ils embrassent la mère, puis le viking me regarde et dit :
— Ah voilà la petite nouvelle qui a tapé dans l'oeil d'Henri, elle est mignonne.
La Mère fait la moue et répond :
— Mouais... un peu maigre... sauf son cul.
L'autre homme, le gros, lui dit :
— On peut les baiser vos filles, ma mère ? Mes couilles me font mal, tellement elles sont gonflées. Si ça continue, je vais tirer ma truie !
Ça fait rire tout le monde, sauf moi qui trouve ça terriblement choquant !
Le mère lui dit :
— Et ta femme ?
— J'peux faire ceinture, depuis que je lui ai refilé des morpions ! Alors, on peut les baiser ?
La Mère prend un vague air de vertu outragée et leur dit :
— Eh ! Vous prenez ma cuisine pour un bordel, les gars ?
— Mais non, ma Mère, mais, on s'est dit, que pendant que vous preniez un petit en cas, on pourrait s'amuser un peu.
La mine de la Mère ne reflète plus la vertu, mais une extrême convoitise, elle leur dit :
— Et ce serait quoi, comme genre d'en cas ?
Le gars sort de sa poche une boite qu'il mets sur la table en disant :
— 250 grammes de caviar et le meilleur, du beluga.
Piqué ce matin.
La mère se met presque à saliver comme un boxer devant un paquet de biscuits. Elle prend la boite, lis tout ce qui est écrit dessus, puis elle dit :
— D'accord. Les filles sont à vos pour une demi-heure. Mais, vous ne pouvez pas baiser la nouvelle, l'évêque veut la primeur.
— Elle peut nous sucer ?
La mère ouvre un paquet de pain en disant :
— Sucer, pas de problèmes. A poils, les filles !
On se déshabille, aussitôt toutes les trois.
Nonne ET goinfre ET nympho ET maquerelle ou c'est tout comme. La luxure, la gourmandise, la cruauté : trois péchés capitaux, elle ira en enfer, la Mère. Pour la cruauté, je ne suis pas sûre que ce soit un des péchés capitaux, mais ça devrait...
Je me dis que n'importe quoi peut arriver, ici, même d'être obligée de sucer la bite d'un gros paysan ! Quand mon père saura ça... Oui, pas la peine que je continue à me dire, ça. Manifestement il n'en a plus rien à foutre de moi !
Les hommes discutent de qui prend qui. Le viking dit :
— J'essayerais bien la nouvelle...
Le gros aussi. Il répond :
— Moi aussi. Si tu prends les deux autres, je te paie l'apéro ce soir.
— D'accord.
Le gros est pour moi, à tout prendre je préférerais encore l'autre. Il me dit :
— Viens chez papa, viens, t'asseoir sur mes genoux. On va regarder un peu et puis tu vas me bien téter le bite.
Je vais m'asseoir contre son gros ventre. Il m'embrasse dans le cou tout en me caressant les seins. Il sent la sueur et la campagne, mais pas la campagne par un joli matin de printemps frisquet, non, la campagne, en été, près des écuries !
Pendant qu'il glisse sa grosse patte dans mon soutien gorge, je regarde la mère qui bouffe son caviar comme une truie ! La bouche pleine, elle leur dit :
— On a dit une demi-heure les gars... chomp... chomp...
Le viking se couche par terre, sur le dos. Il sort un énorme sexe de son pantalon en disant :
— Grimpe là dessus, Jeanne.

— Oui, Monsieur. Dans ma chatte ? S'il vous plait ?
Oh ! Il lui met parfois dans le derrière ? Quelle horreur !
Il répond :
— Demande ça mieux.
Elle s'agenouille près de son visage et l'embrasse sur la bouche. Au bout de quelques minutes, elle reprend sa langue et dit :
— Dans ma chatte s'il vous plait Maître chéri.
— Voilà ! D'accord.
— Merci Maître.
Elle se trousse enlève sa culotte et va s'accroupir sur le sexe énorme. Elle grimace, mais finit par s'asseoir complètement sur l'homme, avec au moins 25 cm de bite dans la chatte !
Le viking dit :
— A toi Lucie.
— Oui Maître.

Elle s'assied carrément sur le visage du viking, le visage vers ses pieds. C'est à dire vers sa copine qui se fait aller est venir sur l'énorme bite.
La mère vient d'engloutir sa dernière bouchée et dit :
— Déjà 20 minutes les gars, traîner pas.
Le gros qui a maintenant glissé sa grosse patte dans ma culotte me dit :
— Debout !
J'obéis tout de suite. Il va dans sa poche et en sort une petite boite de conserve. Il me dit :
— Va donner ça à la mère.
Je vais déposer la boite devant elle, tandis que le gros lui dit :
— Véritable truffes noires du Périgord, ma mère.
Ça, c'est comme du miel qui coule dans ses oreilles. Sa main devient serre de rapace pour se saisir de la boite.
Le gros me dit :
— Fais moi une petite danse et montre bien ton cul, petite.
Tout en boulottant ses truffes, cette fois-ci, je peux vraiment dire, comme une truie puisqu'on se sert des cochons pour repérer les truffes, elle dit :
— Si elle n'obéit pas.. chomp... chomp... prend le martinet qui est au clou.
C'est magique, je me mets à danser et même à me pencher en avant pour bien lui montrer mes fesses.
Il siffle et dit :
— Pas mal... tourne-toi. C'est des marques de cuiller en bois sur tes fesses ?
— Oui, Monsieur.

— C'est joli, ça décore bien ton cul. Bon, fais moi une pipe.
NON !
— Oui Monsieur
Il extrait de son pantalon une grosse asperge blême qui repose sur deux énormes patates. Oui, c'est un maraîcher ! Il me regarde puis baisse les yeux sur l'asperge.
Je vais me mettre à genoux entre ses cuisses.
Loin de moi l'idée de dire que ses légumes ne sont pas frais. Ils l'ont été mais, il y a très longtemps. J'ambrasse son sexe, il est gros mais mou, il ne bande pas. Je tire sur la peau du prépuce. La vision du martinet pendu à un clou et bien en évidence a été suffisante pour que je me décide à faire ce qu'on me dit. Le gland est mouillé. Je le prends en bouche. Vite beaucoup de salive pour noyer le goût. Cette cuisine c'est l'enfer : j'ai dû avaler de la moutarde, lécher le sol tout en recevant des coups de cuiller en bois sur les fesses et, maintenant, j'ai cette ce gland dégoûtant en bouche. Je le fais aller et venir dans ma bouche, au plus vite il jouira, au plus vite j'aurai finit...
Il me caresse la nuque de sa grosse patte. En levant les yeux, je vois qu'il regarde son collègue occupé avec les deux filles.
Ma bouche et le spectacle doivent l'exciter suffisamment parce que son gland grandit dans ma bouche. Il se met geindre et à faire des bruits rauques.
La mère vient me donner une assiette à soupe et me dit :
— Quand il jouit, crache là-dedans.

Oh ! C'est vraiment gentil, je ne dois pas avaler ! Si je n'avais pas la bouche pleine je le remercierais. ça y est, le gland grossit encore dans ma bouche qui s'emplit par saccades de foutre chaud. Pouah ! C'est chaud, gluant et ça a un goût horrible. Je laisse tous couler dans l'assiette.

A suivre.

PS : Que vous vouliez, me féliciter ou m'insulter, je suis ici mia.michael@hotmail.fr
J'en profiterai pour vous parler (un peu) de mes livres...


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