Stagiaire Dans Un Restaurant Parisien - 03

Lors de mon réveil, Raijan dormait toujours alors je pris la fuite pour éviter une discussion post-baise embarrassante. Je rejoins ma copine et nous passons la journée ensemble. Je n’ai pas de nouvelles de Raijan et je me dis que de toute manière je le verrai demain. La journée se déroule sans grands évènement et je finis par me coucher tôt.
Le lendemain, je débarque au boulot de bonne humeur. Je dis bonjour à toute l’équipe et en particulier à Thomas et Raijan. Ce dernier avait un petit sourire en coin, ce qui n’échappe pas à Thomas qui demanda ce qui pouvait bien nous faire sourire comme ça. Comme tous les jours, les services s’enchainaient et je n’avais pas le temps de penser à autre chose.
Trois jours passèrent normalement et le travail devenait routinier. Ce soir-là, je restai plus tard afin de pouvoir ranger un peu le bar du restaurant. Je nettoie tranquillement le comptoir en chantonnant quand je me sentis pousser contre le bar. Je n’avais pas entendu Thomas sortir de son bureau et il était là, collé contre moi, me bloquant contre le bar.
« Alors comme ça t’as baisé avec Raijan ! C’était donc ça vos sourire en coin toute la semaine ? »
Il ne semble pas en colère mais pas non plus très content de la nouvelle. Son bassin commença à se frotter contre mes fesses et j’avais beau me débattre, il me bloquait toujours contre le bar. Je n’avais que la parole pour me défendre
« Oh ça va tu vas pas faire ton jaloux ! t’avais qu’à être plus réceptif le dernier coup au lieu de me tenir à distance ! »
« Humm à distance !? Et là ça va je suis assez près ou tu veux me sentir encore plus près ? »
Il accompagnait sa réponse en mimant la pénétration contre mes fesses. Cela m’excitait fortement et je commençais à me frotter à sa queue, ce qui ne passait pas inaperçu.
« Ah, le petit veut se prendre une bonne queue dans son cul ? Qu’il ne s’inquiète pas, il va bien la sentir. »
Thomas lâcha un peu de lest de manière à pouvoir déboutonner son pantalon et baisser le mien juste en dessous des fesses.

J’avais maintenant la tête écrasée contre le bar par sa main et le cul à l’air. Son autre main s’agitait à me palper les fesses et à y insérer un doigt humide dans mon anus.
« Hummm tu vas kiffer te faire défoncer ! »
Sur cette parole, il retira son doigt pour y mettre sans ménagement ses vingt centimètres directement. Un hurlement sorti de ma bouche qui se fit vite recouvrir par une de ses mains.
« Tais-toi et encaisse ! Tu vas tellement kiffer que dans cinq minutes t’en redemande ! »
Ses vas et viens étaient rapide et profond. Je sentais mes parois anales souffrir car un peu trop sèche. J’aurais voulu lui donner tort mais au bout de quelques minutes je poussais des gémissements de jouissance et le suppliait presque pour aller plus fort. Il lâcha prise et demanda de me déshabiller et de monter sur le bar. Je m’exécutai et il vint au-dessus de moi pour reprendre son pilonnage intensif. Il avait un regard animal et intense et je sentais sa queue veineuse et dure comme de la pierre me bourrer le cul.
Il finit par redescendre du bar pour me reprendre debout la tête contre le comptoir, avec les mains dans le dos. Il ne contrôlait plus ses vas et viens très puissant qui me faisait hurler de plaisir. Je sens le rythme s’accélérer encore plus. D’un seul coup, je me retrouvai le souffle coupé contre le bar tant le coup de rein fut fort. Je sentais dans le même temps quelque chose me remplir le ventre. Il venait de se finir en moi ! Les spasmes finaux se font ressentir et il relâcha la pression. En sortant de mon cul, je sentais ce trou béant, suivit de l’écoulement de son sperme le long de mes cuisses. J’étais épuisé et je ne bandais même plus tant l’excitation est redescendue après son éjaculation. Thomas était assis à reprendre son souffle. Sa bite avait du mal à dégonfler après cette baise torride. Il me regarda puis sourit
« Putain cette défonce ! Ça va t’as pas trop le cul détruit ? Désolé si j’allais un peu fort mais j’ai toujours rêver de défoncer quelqu’un contre et sur le bar ! Et à chaque fois que je te voyais servir, je m’imaginais te péter le cul comme ça. »
J’étais satisfait et après quelques échanges et après m’être habillé, je rentrai chez moi. Je dû tout de même me branler pour trouver le sommeil.