Ancienne Eleve

Je suis allée à un rendez–vous dans un café, non loin de la fac où j'ai fait mes études. Des souvenirs sont remontés à ma mémoire.

Quand j'avais une trentaine d'années, j'étais dans ce même café et y attendais un des professeurs de la faculté voisine afin de corriger avec lui un article que nous devions faire paraître dans une revue spécialisée.

A la table, à coté de la mienne, une jeune fille dans les 20/22 ans travaillait, laborieusement, sur un livre que je connaissais bien pour en avoir écrit certains chapitres. Le titre, rébarbatif : "La Constitution annotée" semblait la laisser perplexe bien que concentrée.

La fille était jolie, cheveux blonds, coiffés en queue de cheval, joli sweet bleu assorti à ses yeux, un kilt d'un bel écossais vert et rouge, des collants ou des bas qui luisaient langoureusement. Elle avait de belles mains dont les fins doigts tournaient les pages et ceux de l'autre main tenaient un surligneur qu'elle maniait avec dextérité.

Manifestement elle ne portait pas de soutien gorge car l'on voyait ses seins se mouvoir sans entrave. Je la trouvais très jolie et étais persuadée que sous des airs de "petite fille sage" elle avait un tempérament de feu.

Elle s'est rendu compte que je la regardais et m'a dit d'une voix suave.

- Je n'y comprends rien!!! Et j'ai un devoir à faire sur le sujet.

- Puis-je vous aider, j'ai quelques connaissances en la matière ?

Je trouvais le sujet, qu'elle devait traiter, complètement bateau : "Pourquoi la Constitution a-t-elle été modifiée pour réduire le mandat présidentiel de 7 à 5 ans ? Avantages et inconvénients ?

J'ai approché ma table de la sienne en lui disant :

- Le plan est très simple, c'est celui suivi dans le manuel que vous avez.

- Comment le savez-vous ?

- Simplement j'ai collaboré avec le professeur C. pour la rédaction de ce manuel et le chapitre que vous lisez, c'est moi qui l'ai écrit.



- Vous êtes professeur ?

- Je le fus, mais j'ai démissionné..

- Vous avez été professeur?


- Oui est titulaire de chaire de droit Constitutionnel puisque je suis agrégée de droit public et spécialisée dans les Constitutions comparées..

Son sourire était superbe.

- En qu'elle année êtes-vous ?

- En cinquième année, mais c'est très dur pour moi de pouvoir me concentrer, car je suis de province et je dois trouver un autre logement, le loyer étant devenu trop cher pour moi et Paris est hors de prix!

J'ai posé ma main sur la sienne en lui disant que son problème était résolu, sa peau était fine et douce, sa respiration devenait plus rapide car elle ne comprenait pas ce que je venais de lui dire.

- J'habite un grand appartement et la chambre de bonne est libre. Si tu veux, tu peux l'occuper et je ne demande même pas de loyer.

- Mais pourquoi faites-vous cela ?

- Par ce que tu es ravissante. Arrêtons les manières et tutoyons-nous mon nom est Florence.

- Moi Isabelle.

- Tu es vraiment jolie Isabelle, veux-tu que nous allions chercher tes affaires maintenant. Et si tu dois quelque chose à tes affreux propriétaires je vais le régler, tu me rembourseras quand tu pourras.

Nous avons quitté le café et elle a pris place dans ma voiture.

- Je peux t'embrasser pour te remercier ?

- Bien sur! Et pendant que ses lèvres venaient se poser sur ma joue j'ai posé mes mais sur son genou dont la douceur me paraissait suave malgré les collants.

- Je suis sure que tu aimes les femmes ? Me dit-elle.

- Pourquoi cette question ?

- La manière que tu as de me regarder, de me toucher….

- C'est vrai, j'aime les femmes, mon mari le sait et ne trouve rien à y redire.

- Moi aussi j'ai eu des expériences avec des filles quand j'étais au collège..

- Tu as aimé?

- Beaucoup et mes petits amis n'ont jamais réussis à me faire jouir comme l'a fait une de mes camarades.


J'ai souri de façon énigmatique en pensant qu'elle avait partiellement raison, la manière dont une femme me fait jouir est totalement différente de celle avec un homme, mais les deux sont délicieuses.

Arrivées chez elle je l'ai aidé à faire sa valise, elle avait peu de choses, mais j'ai remarqué que les collant, étaient inexistants mais les bas à profusion, que ses dessous étaient essentiellement des strings aussi mini que possible.

Nous sommes reparties vers son nouveau "chez elle" elle s'est extasiée sur la décoration et le confort. Elle m'a dit être confuse d'accepter aussi rapidement ma proposition .et m'a sauté au cou pour me remercier; je l'ai embrassé en faisant volontairement riper mes lèvres vers les siennes; elle n'en fut pas étonnée et à même ouvert les siennes, sa langue cherchant la mienne. Mon ventre était en feu et ma culotte devait absorber une grande quantité de cyprine. Il fallait que nous nous quittions car je voulais faire durer les plaisirs.

Je lui ai dit de s'installer tranquillement et qu'elle avait à sa disposition un téléphone dont une touche sonnait directement à l'appartement.

Je suis descendue chez moi, pleine de pensées lubriques, Mon clitoris gonflé d'attentes, il fallait que je le satisfasse et j'ai donc décidé d'aller prendre un bain.

Sortie de mon bain, volontairement insatisfaite, je me suis préparée pour recevoir ma nouvelle pensionnaire. Un tee-shirt blanc, pas trop moulant, sous lequel mes seins pouvaient se mouvoir à loisir; une jupe noire, courte est droite, assez ajustée pour laisser voir, si je me penchais, que mes petites fesses n'étaient prisonnières de rien. Un brin de maquillage. Il ne me restait plus qu'à attendre l'arrivée de la radieuse Isabelle.

Radieuse elle l'était, ses longs cheveux blonds tirés en queue de cheval, que je me ferai un plaisir de dénouer pour caresser mes seins de leur masse fluide. Un chemisier rose largement ouvert sur sa petite poitrine dont les pointes de seins tendaient légèrement le tissu.
Le kilt qu'elle avait l'après midi et un bouquet de fleur illuminant son grand sourire.

- Je suis très touchée, mais il n'est pas question que tu dépenses ton argent à ce genre de choses.

- Mais tu es si gentille et ta proposition m'enlève une telle épine du pied!!!

- D'accord, mais elle n'est peut être pas si honnête que tu crois! Lui ai-je dit en souriant.

- Mais je ne suis pas un petit chaperon rouge et n'ai pas peur du loup, même si j'ai encore beaucoup de choses à apprendre!

- Je vais essayer de me souvenir du temps ou j'étais professeur, d'autant plus que je vois que tu as apporté un dossier avec toi et que tu veux me demander des conseils. Allons nous asseoir et tu vas m'expliquer.

Je l'ai prise par la main, si fine et douce, pour la conduire sur le canapé où je l'ai fait assoire à côté de moi. Nos cuisses se touchaient et je sentais des fourmillements me parcourir le corps. Elle s'est penchée sur ses notes et mes yeux se sont rivés sur ses seins, bien visibles, dans l'échancrure de son chemisier. Ils étaient ravissants avec des aréoles claires. Je n'avais qu'une envie y passer le bout de mon index pour en faire saillir des pointes encore invisibles. Son sujet était assez difficile, (Internet et Wikipadia), n'existant pas encore. J'ai mis ma main sur son genou pour lui donner les explications nécessaires.
Elle a posé la sienne sur la mienne et a entrelacé ses doigts aux miens. Je sentais que je ne pourrai pas résister plus longtemps et me suis levée pour aller chercher à boire en lui tendant un verre je me suis penchée sur elle et mes lèvres sont allées au devant des siennes qui se sont ouvertes et sa langue est venue chercher la mienne.

Elles se sont enroulées, déroulées ré-enroulées tandis que je me mettais à genoux et que ma main allait à la découverte des merveilles entrevues dans sont décolleté. Ses seins tenaient juste dans la paume de ma main et avaient la fermeté propre à la jeunesse.

Le bout de mon doigt caressait, tour à tour, chaque aréole et je sentais les pointes commencer à s'ériger comme des bourgeons qui vont éclore. Ses mains, elles aussi, étaient passées sous mon tee-shirt et cherchaient mes pointes, déjà bien tendues. Nos langues continuaient à s'activer et nos salives à se mêler. Pour ma part je sentais une autre salive venir lubrifier les lèvres de mon pubis et j'avais hâte d'aller me rendre compte s'il en était de même pour elle ?

Je l'ai fait basculer pour l'allonger sur le canapé, la tête appuyée sur l'accoudoir. Elle fermait les yeux mais sa respiration avait changé de rythme. J'ai couvert son visage de baisers par petites touches, sur les lèvres, les yeux, passant ma langue derrière son oreille ce qui la fît frémir. Elle pinçait doucement mes pointes de seins ce que je trouvais délicieux. Après lui avoir enlevé ses chaussures j'ai commencé à faire glisser ma main le long de sa jambe dont le galbe du mollet était parfait, ma main crissait sur le collant. Qu'allais-je découvrir ?
Elle avait quitté mes seins pour m'attirer par le cou vers ses lèvres que je dégustais avec délectation. Mais ma main continuait sa reptation au-dessus du genou, j'arrivais donc en territoire, inconnu, à explorer!

Sa cuisse était aussi agréable que son mollet, j'allais du genou à la cuisse toujours de plus en plus haut à chaque aller retour. Elle laissait échapper de petits râles et a replié une jambe pour mieux écarter ses cuisses. Il était temps, pour moi, de partir explorer les trésors cachés et encore protégés par les collants. J'étais tellement excitée qu'il me fut impossible de ne pas aller parcourir ma fente ruisselante de mouille.
A ma grande surprise ma main a senti qu'elle ne portait rien sous son collant et que ce dernier était ouvert à l'endroit stratégique. Ma main a donc atteint, sans entrave, un coussinet de mousse des plus soyeux plein d'une rosée odorante et des plus suaves. Mon doigt était inondé de mon propre miel et je le lui ai donné à sucer, ce qu'elle fît comme un l'aurait fait d'un sucre d'orge.
C'est trop bon! me dit-elle.

- Toi aussi dois être succulente, mais allons dans ma chambre nous serons plus à l'aise.

Elle s'est mise debout, d'une main j'ai défait la boucle de son kilt pour qu'il tombe et de l'autre les boutons de son chemisier pour pouvoir contempler les petites merveilles que ma main avait déjà découvertes et mes yeux sa blonde toison moussue couverte des gouttes de sa rosée.

- Tu es une égoïste, moi aussi j'ai envie de voir ton corps avant de le parcourir de mes mains et de mes lèvres.

- Mais tu va le voir! Et j'ai prestement dégrafé ma jupe et enlevé mon tee-shirt apparaissant dans toute la nudité qu'elle souhaitait.

- Que ta toison est amusante, cette bande autour de tes lèvres, je n'avais jamais rien vu de semblable. Tu es épilée ? On ne voit pas la moindre repousse donc tu ne te rases pas.

- Non, mon implantation est telle quel naturellement, je coupe simplement mes poils quand je les trouve trop longs.

Nous nous sommes enlacées, étant de la même taille, il nous était facile, en nous cambrant un peu de frotter nos seins et nos pubis l'un contre l'autre tandis que nos langues se retrouvaient avec ardeur.
Pour lui montrer le chemin de la chambre j'ai pris, dans ma main, une de ses petites fesses à la douceur d'une peau de pêche et la fermeté d'une petite pomme tandis qu'elle me prenait par la taille pour se laisser conduire.

J'avais pris soin, avant son arrivée, de régler le rhéostat de l'éclairage pour que la lumière soit la plus douce possible. Je lui ai dit de s'allonger sur le lit, jambes écartées, afin de me permettre de m'assoire en tailleur entre ses jambes. Tu as remarqué que pendant que je découvrais tes jambes ravissantes je me caressais la fente en même temps; je vais continuer en face de toi jusqu'à l'orgasme, celui que tu me donneras ensuite, après que je t'aurai fait jouir, n'en sera que plus intense.

Elle a rivé son regard sur mon doigt qui parcourait ma fente de plus en plus vite tandis que mon clitoris, bien décalotté, pointait tel un dard. A peine ai-je commencé à le toucher qu'une onde de plaisir est partie de mon mont de Vénus pour se diffuser dans tout mon corps, qu'un cri de plaisir a fusé et qu'un jet, venant de ma fontaine intime est parti arroser son coussinet mousseux et blond..

Tu n'as pas eu envie de faire comme moi ? Si, très envie mais je n'ai pas osée, je me caresse souvent quand je suis seule et que des pensées lubriques me traversent l'esprit mais j'ai toujours un peu honte. Dans ma famille le sexe on en parle jamais et ma mère m'a simplement dit un jour qu'il ne fallait pas se toucher là, sauf pour se laver et que si par hasard on en ressentait un certain plaisir c'était encore plus grave. Or cela me procure toujours du plaisir. Excuses moi mais que de conneries peut-on dire au nom de je ne sais quelle morale !!! La masturbation, sans même se faire jouir comme je viens de le faire, est une chose normale et même excellente pour le moral et la relaxation. Se caresser, n'importe quand, n'importe où est très agréable! Pourquoi se priver d'un tel plaisir, d'autant que nous les femmes pouvons le faire plus discrètement que les hommes.

Ma chérie je pense que tu as besoin de conseils et pas uniquement en droit constitutionnel, mais avant de commencer je pense que nous devons prendre des forces car à mon avis la nuit sera longue.

J'avais fait livrer quelques gourmandises par un traiteur et me suis levée pour aller chercher une table roulante.

Pendant que je prépare les douceurs, commence tes travaux pratiques et caresses toi. Quand je reviens je veux voir que les draps sont mouillées entre tes jambes!………

Je me suis absentée quelques minutes pour préparer une table roulante avec des canapés et des boissons. En revenant dans la chambre, Isabelle était étendue, les yeux clos, une main sur le ventre, les jambes légèrement écartées. Une auréole, sur le drap, en haut des cuisses ne laissait aucun doute du sérieux avec lequel elle avait fait ses travaux pratiques.

- Je vois que tu as bien travaillé, mais il faudra que tu refasses l'exercice en ma présence pour que je sois sure que tu ne triches pas. Lui dis-je en riant.

Elle est devenue toute rouge mais je me suis approchée pour prendre ses doigts, encore brillants, et les porter à ma bouche pour les sucer avec délectation. Elle avait un goût de fruit de mer tout à fait délicieux.

- Pourquoi rougir, il n'y a aucune honte à faire ce que tu as fait, mais j'ai aussi envie de te voir et de te contempler pendant que montera ton plaisir, sois sure que cela me fera mouiller aussi!

- Je dois t'avouer que quand je le fais ou même avec d'autres filles, au pensionnat, c'était toujours sous les draps et dans le noir.

- Nous allons remédier à ces lacunes.

En m'allongeant sur le lit à coté d'elle, j'étais sur le flanc, ma tête reposant dans ma main. De l'autre j'ai attrapé une mèche de ses cheveux et l'ai passée, comme un pinceau, sur ses seins pour en faire jaillir les pointes. Délaissant les cheveux j'ai continué avec mon index à aller d'un sein à l'autre en passant par la vallée entre les deux, repassant dans cette vallée pour la descendre vers son nombril pour arriver à la blonde forêt couronnant son mont de vénus, rêvant d'explorer sa petite grotte dont les bords étaient ourlés de jolies lèvres longues et claires.
Son souffle commençait à être plus rapide et ma fente de plus en plus humide.

- Je vais te proposer un jeu, nous allons nous mettre face à face assises en tailleur, installes toi je t'expliquerai la suite.

- Je pense deviner où tu veux en venir.

- Ce n'est pas bien difficile, c'est à nous faire jouir mutuellement, que les doigts de l'une soient pleins de la cyprine de l'autre et que nous les dégustions mutuellement.

Nous nous sommes installées comme je lui avais dit: Tu vas suivre mes mouvements et me faire les mêmes, tu me diras si tu aimes?

J'ai quand même attrapé un canapé pour le lui mettre dans la bouche et une flûte de champagne et prenait de même.

- Donnons-nous des forces nous en aurons besoin. Je veux que nous sortions toutes les deux épuisées de jouissance.

- Oh! Oui fait moi jouir, je sens que je n'ai encore jamais eu un orgasme aussi fort que celui que tu organises.

J'ai commencé par l'embrasser, j'aimais beaucoup sentir sa langue chatouiller la mienne qui le lui rendait bien. Mes mains caressaient ses seins afin d'en faire dresser les pointes pour permettre à mes lèvres de venir les sucer comme des friandises. En même temps l'une de mes mains descendait vers son coussin de mousse pour le peigner de mes doigts et introduire mon index dans sa fente pour en sentir venir l'humidité. Mon doigt la parcourait, sans pénétrer trop profond mais remontant jusqu'à son bouton d'amour que je sentais durcir et se dresser. Je sentais ma liqueur intime devenir de plus en plus abondante, par le plaisir que je savais lui donner et par le jeu de ses mains qui suivaient celui des miennes.

Malgré sa respiration, haletante et les petits gémissements qu'elle émettait elle parvint à me dire:

- Encore plus fort, encore plus profond!!!

Il ne fallait pas m'en prier, mon majeur s'est enfoncé aussi loin que possible dans sa fente tandis que mon index massait son clitoris avec vigueur. Le résultat ne se fît pas attendre, elle a poussé un cri déchirant tandis qu'un jet puissant inondait ma main, me prouvant que ses glandes de Skene fonctionnaient à merveille. Mes cuisses et ma toison étaient couvertes de ce liquide clair et sublime que l'on obtient seulement lors de grands orgasmes.

- Tu as aimé ! Maintenant tu vas venir lécher ta mouille pour en savourer toute la volupté et ensuite tu me suceras le clitoris pour obtenir le même résultat.

Dans le même temps je me suis affalée sur le lit, jambes bien écartées. Elle est venue, en douce reptation, chercher mes lèvres pour y murmurer.

- Tu ne peux pas savoir comme c'était bon !!!!!!!

Oh! Si, je le savais et avais très envie de sentir le même plaisir inonder mon corps.

Petit à petit elle est descendue vers mes seins et leurs pointes en déposant ça et là de légers baisers ou me caressant du bout des doigts comme un souffle de brise.
Elle faisait une lente reptation pour descendre sur mon corps en caressant ses seins sur ma peau. La sensation était incroyable de douceur et d'érotisme et dans la demi-conscience où elle me plongeait, je me demandais comment serait mon sexe quand elle atteindrait mon mont de vénus ?
Je sentais mes lèvres suinter la cypine dont le flot augmentait au fur et à mesure que ses lèvres descendaient, mon clitoris devenir douloureux tellement il durcissait.
Que sa bouche descende vite vers ma fontaine d'amour pour me soulager et que je sente le plaisir me submerger comme une déferlante, me permettant enfin de pousser un cri de jouissance avant de retomber pantelante sur le lit, pour que son doigt remplace sa bouche sur mon bouton encore dur et le fasse encore jaillir de son capuchon pour me donner encore un orgasme!

Mes souhaits commencèrent à se réaliser quand ses seins atteignirent mon ticket de métro naturel. De ses doigts elle a écarté mes lèvres pour passer dedans la pointe de l'un de ses seins. J"adore cette caresse où la peau un peu rêche des pointes râpe cette partie sensible de mon sexe. La lubrification devenait de plus en plus intense, elle allait pouvoir s'abreuver tout à loisir. Sa pointe, quittant ma fente fût remplacée par ses lèvres dont elle fît jaillir une langue chercheuse de mon clitoris. Mon bassin se soulevait en cadence pour mieux se coller à sa bouche pendant qu'elle aspirait mon nectar.

- Je veux jouir en même temps que toi pendant que ma langue te fouille.

- Oh! Oui ma belle passe ton doigt dans ta fente, vas chercher ton joli clito, il doit être tout dur et attend ta caresse pour te conduire en même temps que moi à l'orgasme que je sens venir.

Elle fît comme je le lui disais de faire et un râle est venu se perdre au fond de ma grotte pendant que je m'effondrais vaincue, tout comme elle, par le plaisir.

Elle est remontée, lentement, pour venir se blottir au creux de mon épaule, je l'ai serrée tendrement tandis que sa main caressait doucement mon torse.

D'un commun accord nous nous sommes accordées une pause pour faire honneur au plateau des friandises apportées par mes soins et nous désaltérer avec un peu de champagne pour changer de la cyprine.

Après ces gourmandises terrestres je me sentais d'attaque pour aller en déguster d'autres mais je voulais que le festin soit partagé, en même temps, par ma partenaire ce qui allait être l'occasion de faire découvrir à Isabelle de nouvelles sensations.
Je me suis pliée en deux pour atteindre ses pieds et les caresser en remontant sur ses jambes, fines et douces; je l'ai enjambée pour que mon sexe soit à hauteur de sa bouche et que le sien vienne naturellement au devant de mes lèvres. J'ai écarté ses jambes en ouvrant bien les miennes.

- Je vais te faire découvrir les plaisirs du 69.

- Je ne connais pas encore mais ce doit être délicieux, se faire sucer en même temps que l'on fait couler l'autre.

- Tu vas faire suivre à ta langue les mêmes mouvements sur mon sexe que la mienne dans le tien, nous verrons laquelle de nous deux commencera à couler la première.

Ma bouche a atteint son sexe dont la toison était laquée de sa mouille et dégageait une suave odeur d'amour et de plaisir. Délicatement ma langue a écarté ses lèvres, claires et longues, brillantes de ce merveilleux liquide au goût iodé et qui était la preuve de son excitation et de son plaisir.

Respectant mes consignes sa langue suivait, sur moi, les mouvements de la mienne et décuplait mes sensations de plaisir, surtout quand, comme moi elle a commencé a excité mon clitoris. Le sien était raide, jaillissant de son capuchon, pour que je puisse mieux le sucer avec délectation. Tout en me suçant de même elle laissait échapper des soupirs de jouissance et les mouvements de son bassin laissaient présager que son orgasme était proche. Elle a éjaculé brutalement, inondant ma bouche d'un liquide transparent et suave. Je me suis retournée rapidement pour l'embrasser et partager avec elle le suc de son plaisir. Je lui ai murmuré:

- Je vais me finir; mais tu vas venir entre mes jambes pour laper le jus quand il va sortir!

J'ai violemment trituré mon bouton, elle a tendu sa langue pour me boire et en passer le bout dans ma fente afin de ne pas en perdre une goutte.

- Penses-tu qu'un garçon soit capable de me faire jouir autant que tu l'as fait ?

- Bien sur qu'il pourra, mais ce sera à toi de le guider et je suis sure qu'il aimera.

Nous étions épuisées et enlacées nous nous sommes endormies malgré les draps humides de nos sécrétions intimes.

Bien souvent nous avons recommencé nos jeux.

Un jour elle est venue me voir l'air ennuyé.

- Que t'arrive-t-il ?

- J'ai un problème, je ne sais pas comment te le dire, mais j'ai rencontré un garçon et je vais habiter avec lui.

- Mais c'est formidable, je suis heureuse pour toi et saches que si tu as besoin de conseils pour tes cours ma porte te sera toujours ouverte. En fait, tu es une ancienne élève………

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