Je Suis Une Femelle Salope 12 - Rencontre Amoureuse
JE SUIS UNE FEMELLE SALOPE 12 RENCONTRE AMOUREUSE Le lendemain de la rencontre avec mon enculeur des environs dOrléans, je prenais la route pour le Maine-et-Loire à la rencontre dun autre mec désireux de me faire connaître les plaisirs de Sodome. Le ton de nos échanges en messagerie était très différent, cétait un dialogue entre deux amoureux, il était en manque de tendresse en plus de la recherche dune femelle, et cela mavait séduit. A dire la vérité, jai eu du mal à mendormir les nuits précédant notre rencontre et seule une bonne branlette en pensant à lui ma permis de me calmer.
Une fois le trajet effectué, 300 km, il faut vraiment que jaime me faire enculer, jarrive chez lui et après un guidage par portable, je trouve enfin sa maison.
Sa description était fidèle, je me trouve face à un colosse de près dun mètre quatre-vingt-dix et il ne doit pas faire beaucoup moins des cent kilos annoncés. Ses mains sont de vrais battoirs, je mimagine déjà blotti entre ses bras, je me régale à lavance de ses mains sur mon corps.
Nous nous embrassons, dabord amicalement, puis bien vite, les bisous amicaux se transforment en pelles amoureuses. Je lui suce les lobes des oreilles, il membrasse dans le cou, nous nous serrons lun contre lautre, je deviens complètement folle de désir, je me frotte contre lui en lui murmurant des mots damour, jai vraiment envie de me donner à lui, de lui donner mon corps, dêtre sa femme, sa chienne.
Nous passons dans sa chambre et très vite, nous sommes tous les deux nus comme des vers, prêts à laction. Nous nous étendons sur le lit et recommençons à nous caresser, follement, amoureusement, comme deux amants, ce que nous sommes vraiment à cet instant. Je ne me contrôle plus, je me lâche, je le supplie de me prendre, de jouir en moi.
Je le caresse, je lui suce les tétons, jembrasse son cou, ses bras, jhume ses aisselles, je les lèche, jembrasse son ventre, je titille son nombril, ma langue descend plus bas, je lèche sa queue, déjà très dure, je vais me régaler !
Ses couilles sentent assez fort mais cela mexcite plutôt et je les lèche furieusement, je les gobe, je les malaxe avec ma langue, je le branle avec une main pendant que lautre le caresse, je lui lèche les couilles, elles ont bien pleines, sa queue me fascine, je le supplie à nouveau de me pénétrer, de me prendre, de jouir dans mon ventre, de me bourrer la chatte.
Il ne reste pas inactif et me caresse partout lui aussi. IL me doigte lanus, je grogne de plaisir, il insiste et me met un deuxième doigt.
Il entreprend de va-et-vient dans mon anus, je suis aux anges.
Je lui demande comment il souhaite me prendre, il me répond que la levrette lui plaît bien, je mexécute et me mets à quatre pattes, les fesses bien cambrées, la tête sur loreiller.
Il me pénètre presque brutalement, sa queue tient toutes ses promesses, elle est bien dure, il me remplit bien et ses mouvements rapides, ponctués de grognements, mexcitent particulièrement. Il me besogne longuement, ses cuisses claquent contre mes fesses, jai le cul en feu mais cest divin. Cette enculade est la meilleure que jai jamais endurée et jen redemande, je le supplie de me défoncer, de cracher son foutre dans mon ventre, de me traiter comme une salope. Je suis déchaîné, lui aussi et il me défonce vraiment mais cest incroyablement bon.
Il pèse sur mon dos de tout son poids et bientôt, je maffale sur le ventre pendant quil continue ses mouvements entre mes fesses. Au bout dun temps qui me semble à la foi interminable et à la fois trop court tant jaime ce quil me fait, il jouit bruyamment en moi et nous restons quelques minutes sans bouger, sa queue toujours enfouie en moi.
Quand il se retire, doucement, jen redemande tellement il ma fait du bien.
Une fois la capote retirée, il revient se coucher à mes côtés et recommence ses caresses ; je ne suis pas en reste mais comme jai envie de jouir à mon tour, je lui demande de me caresser la rosette, « ma chatte », pour me faire du bien.
Il ne se fait pas prier et mintroduit un doigt dans lanus. Il sen sert comme dune queue et je lui demande de lubrifier un peu mon orifice car son doigt est à limage de sa queue, dure et large. Il me tartine lanus de lubrifiant et me doigte à nouveau. En bonne salope que je suis, je lui dis « mets men un deuxième, sil te plaît ». Puis je réclame un troisième doigt, puis un quatrième.
« Tu aimes me mettre tes doigts dans le cul ? » « Oui, beaucoup » « Tu veux bien me mettre ta main dans le cul ? » « Je ne lai jamais fait » « Sil te plaît, mets la moi
. »
Il commence à mintroduire un cinquième doigt mais sa main est tellement grosse quelle butte à lentrée de ma chatte.
« Mets du lubrifiant mon chéri, jen ai tellement envie
»
Il sexécute et reprend son intromission.
Je pousse somme pour aller à la selle, il pousse de son côté, je me branle en même temps, tous nos effort conjugués portent enfin leurs fruits, sa main rentre dun coup dans mon anus, je la sens en moi, je suis complètement distendu, il me remplit le ventre.
Cest tellement bon que je nai pas besoin de me caresser longtemps la queue pour éjaculer en hurlant. La jouissance est tellement forte que le jet de sperme marrive jusquau menton.
Après quelques minutes, il retire sa main de mon derrière, doucement, le laissant béant ouvert et va se laver. Quand il revient, ma corolle sest refermée, elle est très élastique, heureusement pour moi.
Nous nous quittons enfin après nous être encore câlinés un bon moment sous les draps, comme deux amoureux.
Sûr que nous nous reverrons, sûr que je me donnerais encore à lui, sûr quil me donnera encore plus de plaisir.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!