La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1027)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°1026) -
Maître Fernando nen avait soufflé mot. Cette fois-ci, en plus de ladresse, il y avait une lettre et un numéro, J-15. Tout en déambulant dans la rue, je me demandais donc à quoi cela pouvait correspondre. La lettre pour un bâtiment, le nombre pour un appartement, peut-être ? Je commençais à mhabi à ma tenue. Jusque-là en intérieur, je finissais rapidement par la perdre, et à lextérieur, mis à part les personnes mandatées par Monsieur le Marquis, finalement, bien peu de gens faisait attention à moi ! Les parisiens étaient bien trop occupés, bien trop pressés dans et par leur vie pour lever les yeux et prêter attention à une petite provinciale. Je me sentais fatiguée. Deux journées intenses, trois nuits écourtées, mise « sur le trottoir » sans vraiment prendre un petit-déjeuner. En effet, monsieur Fernando ayant dû quitter son établissement précipitamment, il me servit juste un café dans une gamelle, le temps que lui buvait le sien dans une tasse. Au bout de quelques minutes, je commençais à me sentir mal. Je manquais dair, jétais prise détourdissements, peut-être dhypoglycémie, ma démarche était mal assurée, et je finis par mévanouir dans la rue
Lorsque je me réveillais, jétais nue, attachée, allongée sur un matelas recouvert de draps de satin, de ce que je pouvais ressentir sous ma peau, car javais également les yeux bandés. Je ne pouvais pas parler, car jétais aussi bâillonnée. Je me sentais toujours vaseuse, comme dans un brouillard. Mon corps régulait mal la glycémie, je connaissais donc les effets que je pouvais ressentir lorsque je ne mangeais pas, mais cela navait rien à voir ! Je commençais à me douter que je devais avoir été e, certainement par le café de Maître Fernando. La peur monta dun coup, et je magitais dans mes liens, la corde qui mattachait les poignets et les chevilles aux montants du lit finissant par mentamer un peu ma peau.
Une main, gantée de velours, me parcourut le corps, me faisant délicieusement frissonner. Pas un millimètre carré de ma peau néchappa à ces douces caresses qui me chatouillaient, provoquant de temps à autres de petits sursauts. Mais un coup de cravache sur ma chatte offerte, accompagné dun « Chut ! » sec et froid me fit tenir tranquille, au prix de gros efforts. Après quelques minutes de cette douce , les mains baladeuses vinrent se concentrer sur mes seins généreux, les massant dabord doucement puis de plus en plus forts, les pressant lun contre lautre. Puis elles sattaquèrent à mes tétons qui ne pouvaient sempêcher de pointer fièrement vers le plafond sous lexcitation profonde que je ressentais. Les mains faisaient des cercles tout autour de ses petits morceaux de chair érigés et sensibles, sen rapprochant sans les toucher pour sen éloigner de nouveau. Ce manège dura quelques minutes, jusquà ce que dun coup, les mains fondirent sur eux comme un oiseau sur sa proie et les tordent douloureusement. Malgré la surprise qui me fit légèrement sursauter, je réussis à bloquer un cri qui faillit méchapper. Puis elles les étirèrent vers le haut. Une main relâcha sa proie, attrapa quelque chose tout prêt, certainement sur une table de nuit.
A la taille des mains, je pensais avec raison que cétait un homme qui était en train de soccuper de moi. Il monta sur le lit et sinstalla entre mes cuisses largement ouvertes. Je sentis le bout de son nez me caresser sur leur intérieur, sur toute la surface de mon pubis parfaitement épilé, pour finir par se glisser entre mes lèvres ouvertes pour y humer mon odeur de femelle en chaleur. Ensuite sa langue remplaça son nez. Une seule personne au monde mavait déjà léché ainsi, sachant me mettre de suite au bord de lorgasme, sans jamais me laisser y succomber, enchainant léchage et mordillement, du clito, des lèvres, des cuisses, buvant ma cyprine avec appétit. Mais je me dis que je devais être encore sous leffet de la drogue, car cétait impossible quIl soit là, et de tels cunnilingus étaient de véritables cadeaux, des récompenses quIl naccordait que très rarement. Mais ce ne pouvait être Lui. Comme de ces quelques jours à Paris dépendait mon retour au Château, je devais sûrement mattendre à une série dépreuves, et donc Il ne pouvait pas sêtre déplacé juste pour moi. Et je savais que mon « parcours » nétait pas terminé puisque javais au moins une autre adresse à visiter.
Après mavoir laissé surexcitée par cette langue experte, lhomme quitta le lit, et je ne tardais pas à sentir les lanières dun fouet me caresser le corps. Cétait très doux, et très excitant en même temps. Puis le fouet sabattit plus fortement, sans toutefois que je réagisse.
- Vas-y, jouis Ma chienne ! Maintenant ! JE LE VEUX !
Les coups de reins puissants mélangés à la formidable surprise, le total bonheur de reconnaître la voix dominante au timbre inimitable du Maître, me firent avoir un des plus puissants orgasmes quil mait été permis davoir ! Je hurlais de longues minutes ma jouissance, je tremblais de tous mes membres ! Alors que je commençais à me remettre, le Maître me détacha et me prit dans Ses bras, sans menlever mon bandeau.
- Jétais de passage à Paris, jai donc remplacé la personne que tu aurais dû voir à ma place. Je voulais récompenser Ma petite chienne si obéissante. Cela ne veut pas pour autant dire que ton temps loin du Château soit fini, il te reste dautres choses à vivre, dautres Exigences à accomplir. Mais continue comme tu as commencé, Me satisfaire pleinement. Tu as un comportement pour le moment exemplaire.
Jobéis avec le cur remplit dune douce joie, des larmes de bonheur mouillant mon bandeau. Le Maître Vénéré naurait pas pu me faire de plus belle surprise, un plus beau cadeau ! Je pris Son sexe qui avait encore une belle taille malgré son éjaculation récente. Je le suçais avec gourmandise et envie et lorsque plus aucune goutte de sperme ou de cyprine ne sy trouva, je descendais du lit et me prosternais, cul relevé et tourné vers Lui. Je contractais au maximum les muscles pour ne pas laisser échapper la si précieuse semence du Châtelain. En être honorée, était un privilège dont jétais consciente et si reconnaissante. Je ne savais pas ce qui mattendait, mais je savais que pour Lui, pour mériter Sa fierté, je serais prête à tout !
LorsquIl fût parti et que je pus ôter mon bandeau, je vis que jétais dans une chambre dhôtel. Il y avait, au milieu de la pièce sur une table, un copieux repas sur un plateau dargent et une rose rouge dans un petit vase de cristal étroit et haut. Une carte de visite au nom de Monsieur le Marquis du Château dEvans sur laquelle le Maître avait écrit ces quelques mots laconiques, mais ô combien ils résonnèrent et résonneront toute ma vie en mon esprit :
- Tu es Ma propriété absolue.
Je pris le temps de manger et boire, ce qui me fit vraiment du bien, puis je me dépêchais de me préparer et je partis à la recherche de ladresse où je devais me rendre. Je la trouvais très rapidement, cétait la rue juste à côté. Je remerciais intérieurement le Maître de mavoir amenée si proche de ma destination. Je me retrouvais devant un bâtiment de pauvre apparence, aux murs sales, avec une pancarte en mauvaise état sur laquelle je déchiffrais difficilement « Cinéma X ». Jentrais et lintérieur valait bien lextérieur. Lambiance était glauque, lodeur âcre et tout était sombre, les personnes, tous des hommes, qui se trouvaient là me regardèrent tous avec concupiscence, prêts à me sauter dessus. A lenseigne mais aussi aux affiches placardées aux murs, je compris que cétait un cinéma spécialisé dans la diffusion de films pornos. Il ny avait quune salle, où je pénétrais avec un peu dappréhension. Je compris de suite à quoi correspondaient la lettre et le chiffre qui était indiqués sur le papier que mavait remis Monsieur Fernando. Ils désignaient le siège sur lequel je masseyais en plein milieu de la salle. Cinq minutes après un film commença. Je jetais un rapide coup dil autour de moi. Les quelques hommes que je voyais avaient déjà sorti leur sexe mou de leur pantalon et commençaient à se branler visiblement sans grande motivation. Je ny connaissais pas grand-chose en filmographie porno, mais cela navait pas lair dêtre une grande production
Un homme que javais croisé dans lentrée vint sasseoir près de moi. Il sortit lui aussi sa queue, sans me regarder. Mais il posa sa main sur mes cuisses quelques secondes pour ensuite saisir ma main et la posa sur sa verge dressée. Je le regardais avec stupéfaction.
- Ben quoi ? Tes bien venue ici pour te faire des bites, non ? Les femmes qui viennent ici ne demandent que ça. Alors astique-moi donc !
A sa réflexion, je compris pourquoi le Maître mavait envoyé ici. Jallais devoir en satisfaire plus dun et pendant une durée indéterminée. Je commençais donc à le branler et dès quil commença à prendre un peu de volume, lhomme appuya de sa main sur ma tête pour que je le prenne en bouche. Au goût et à lodeur, ainsi quaux vêtements, à mon avis lhygiène de cette personne était plus que douteuse. Mais je faisais une confiance aveugle au Maître, je savais quIl ne me mettrait pas en situation de danger. Je mis donc du cur à louvrage. La position nétant pas idéale, je me mis à quatre pattes entre deux sièges. Cela donna envie à un autre homme que je ne vis pas arriver, mais qui sinstalla derrière moi et menfila son sexe sans préliminaire, ni parole, dans mon cul. Jeus un petit sursaut de surprise, mais lhomme nétait pas spécialement bien monté et mon trou étant habitué à recevoir de bien plus gros calibres, je ne souffris pas malgré lassaut non préparé. Lorsquils se vidèrent tous les deux, ils changèrent de place.
Je ne restais pas très longtemps inactive. Plusieurs hommes vinrent se faire sucer ou menfilèrent ou les deux. Mais bientôt, ils trouvèrent que lespace entre les sièges était trop restreint. Lun deux mattrapa par les cheveux et me traina vers le devant de la pièce, en bas des rangées de fauteuils. Mon corps ainsi que ceux qui venaient me baiser firent de belles ombres chinoises sur le grand écran et javais limpression dêtre dans le film ! Là tous mes trous furent utilisés en même temps, ils se succédaient les uns après les autres. Cétait à croire que ce qui avait déjà pu se vider étaient sortis pour aller chercher des copains pour quils puissent aussi en profiter. Je passais ainsi de nombreuses heures, à recevoir du foutre dans tous mes orifices, mais aussi sur tout le corps y compris les cheveux.
Le cinéma fermait à 14h. Tous quittèrent le bâtiment. Et moi je restais là, ne sachant pas quoi faire. Je ne me voyais pas sortir dans un tel état dans la rue. Et je ne savais pas où aller. Les fois précédentes, une personne maccueillait, mhébergeait et me donnait une nouvelle adresse. Là je navais rencontré personne qui semblait devoir remplir ce rôle. Alors au bout dun long moment, je me décidais à sortir de la salle de projection, et pensais partir à la recherche des toilettes, histoire de me nettoyer un peu quand je me heurtais à un homme en costume.
- Cest toi que je venais chercher. Suis-moi !
Et il me passa un collier et une laisse, et claqua des doigts en montrant le sol, pour me faire comprendre que je devais me tenir à quatre pattes pour le suivre. Il me fit monter un étroit escalier de bois en colimaçon, qui se situait derrière une porte dérobée. Au-dessus du glauque cinéma, il y avait un petit appartement qui, lui, était neuf, propre, agréable ! Mais on ne sy arrêta pas, on prit un autre escalier qui menait, celui-là dans les combles visiblement aménagés en donjon. Là, il mentraîna dans un coin de la pièce où il y avait une petite cage et il voulut que jentre dedans. Je dus me contorsionner un peu pour y arriver. Et la position dans laquelle je me trouvais était très loin dêtre confortable. Et il me laissa là, sans un mot, sans explication
De là où jétais jentendais faiblement une horloge qui devait se trouver dans lappartement, et je passais ainsi trois longues heures sans quabsolument rien ne se passa. Il ne mavait même pas exigé que je me déshabille.
A 18 heures, il revint et déposa sur un tapis deux écuelles, et vint mouvrir la porte de la cage. Il dut maider à en sortir et il me fallut quelques minutes, pendant lesquelles, il joua de la badine sur mon corps, avant que je ne puisse déplier celui-ci et non sans douleur et grimaces, dues autant à la position gardée si longtemps et aux coups qui pleuvaient sur moi. Lorsque je pus bouger et que son poignet se fatigua, il me tira sur la laisse pour mapprocher des deux gamelles, remplies pour lune deau, et pour lautre de purée de carotte. Et tandis que je lapais le contenu des deux récipients, il se positionna derrière moi et rentra sa grosse queue bien tendue dans ma chatte offerte. Il me baisa avec force, mobligeant parfois à arrêter de manger pour ne pas risquer den mettre partout ou de m. Après avoir éjaculé, alors que je donnais les derniers coups de langue pour ôter toute trace de purée de la gamelle, il mentraîna dans le coin opposé de la pièce. Un grand bac carrelé était posé au sol. Il me fit me dévêtir et maspergea avec un tuyau deau froide pour que je puisse enfin me nettoyer de mon après-midi cinéma porno. Ensuite, il me tira sans douceur jusquà un radiateur qui était éteint. Juste dessous était posée une couverture fine. Il mattacha à lappareil et me laissa jusquau lendemain matin.
Je fus réveillée par un martinet dont les lanières me laissèrent de belles marbrures sur tout le corps. Comme la veille il mavait apporté deux écuelles, me baisa longuement pendant que je mangeais en levrette, toujours sans un mot. Et tout aussi silencieusement, il me descendit en quadrupédie jusquà la porte de son établissement. Il tira sur la laisse vers le haut, enleva la laisse et le collier et me tendit un papier, avant douvrir la porte et de me pousser à lextérieur. Nouveau jour, nouvelle adresse, nouvelle aventure
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!