Série Insolite. Épisode 13 « Sarah » : La Jeune Secrétaire Se Fait Baiser Pour Obtenir Un Emploi. Partie 4/13
Mon héroïne pour ce récit sappelle Sarah. Âgée seulement de 32 ans, mariée aujourdhui à William, elle est physiquement magnifique ayant des courbes renversantes. Avec son 1,68 m, ses 55 kg, ses longs cheveux auburn de sa couleur naturelle, châtain-clair tirant sur le roux à reflets cuivrés, avec un visage ravissant, une jolie poitrine bien ferme, ses fesses charnues sur de longues jambes, elle ressemble beaucoup à Raquel Welch étant jeune, avec les yeux de Jane Fonda. Très naturelle, avec un maquillage discret, elle nest ni vulgaire, ni prétentieuse. Je la laisse vous raconter son histoire qui fait suite aux trois épisodes précédents.
Depuis mon adolescence, lorsque mon corps frêle de petite fille se transforma en celui dune jeune femme avec des formes avantageuses, je me rendis compte que je plaisais beaucoup aux hommes de tout âge et cela ma toujours plu dêtre désirée à ce point. Je ne vais pas vous parler de la perte de ma virginité qui fut une véritable catastrophe, ni des relations sexuelles que je connus avec des garçons de mon âge pendant les années suivantes car celles-ci ne furent pas exceptionnelles. Cependant elles mavaient fait comprendre que javais une grande libido.
Ce ne fut quà lâge de vingt ans quun homme de six ans mon ainé, mavait fait découvrir les vrais plaisirs charnels. Adieu les embrassades sans sensualité, les pelotages sans vergogne, les doigtages vite fait et les coïts rapides où seuls, mes partenaires prenaient vraiment leur plaisir. Avec lui, javais ressenti mes premiers orgasmes, il me fit découvrir mon corps, tout était dans les caresses, les préliminaires magiques. Dès quil membrassait, sa langue senroulant autour de la mienne me faisait mouiller dexcitation et que dire lorsquelle léchait mon intimité dans des cunnilingus fantastiques. Javais beaucoup appris avec lui, malheureusement, ma relation navait duré que deux ans et je ne fus, par la suite, quà la recherche de mes plaisirs.
Au début, afin de trouver mes amants, jaccentuais leffet séduction, malgré les reproches incessants de mes parents, je mhabillais très sexy et me maquillais à outrance, je métais vite aperçue que mes partenaires me prenaient tous pour une salope et ne voyaient en moi quun corps quils prenaient pour une poupée gonflable. Ce nétait pas du tout cela que je recherchais, je navais pas ce plaisir tant recherché. Javais des difficultés à trouver la perle rare. Pendant mes années de FAC, ayant toujours ce besoin de sexe, javais eu de très nombreux partenaires.
À vingt-deux ans, à la fin de mes études, devant rentrer dans la vie active, sous les conseils avisés de ma mère, je changeai catégoriquement de style vestimentaire afin de faire bonne impression lors de mes entretiens dembauche. Jarborais volontiers de jolis chemisiers et vestes me saillant parfaitement la taille et le torse, ne dévoilant quune petite partie de mon sillon mammaire dans un décolleté discret. Sous mon tailleur strict, je portais des jupes droites arrivant au-dessus du genou et étant suffisamment grande, je me chaussais de souliers dont les talons ne dépassaient 6 cm mais mettaient en valeur mes mollets et faisaient cambrer mon fessier.
Ainsi vêtue, jadorais voir les hommes me regarder de la tête aux pieds, en imaginant mes formes sans les voir, cétait très stimulant. À cette époque, jhabitais dans la banlieue dijonnaise et je ne vous cache pas que mon physique mavait permis de travailler. Néanmoins, je ne cumulais que des CCD pendant les deux années qui suivirent. Jusquau jour en mai 2013 où mon dernier employeur de lépoque, un très bel homme, charmant, la petite quarantaine, assez bien bâti, tomba sous mon charme. Je navais pas les qualités requises pour ce poste au service qualité de lusine et il le savait mais il membaucha tout de même, en me faisant miroiter un poste plus adapté à mes compétences.
Malheureusement, ce fut un nouveau CCD.
Lorsque jétais entrée dans son bureau, je sortais de lusine, je nétais pas en tailleur BCBG. Comme il faisait très chaud, je portais uniquement une petite robe légère et assise en face de lui, je devais le séduire. Javais donc remonté un peu le tissu afin de dévoiler un peu le haut de mes cuisses et croisait et décroisait les jambes plusieurs fois. Ce qui eut leffet escompté, pendant quil faisait le point sur mes trois mois dans son entreprise, il regardait sous ma robe en se demandant probablement quelle couleur était ma petite culotte. Je savais ce que je voulais, cela mavait très excitée.
Soudain, il se leva, contourna son bureau pour se placer derrière moi et posa ses mains sur mes épaules et me caressa le cou, de la gauche tandis que la droite descendit sur ma gorge. Puis ses doigts sinsinuèrent sous le tissu quil écarta pour me prendre le sein quil massa délicatement. Voyant que je navais fait aucun geste pour lempêcher de le faire, il pencha sa tête sur moi et me mordilla loreille en disant : « Jai tellement pensé à ce moment. » Tout en étant sincère, je lui répondis dans son oreille : « Moi aussi Mathieu. »
Je métais levée à mon tour en lui faisant face, le pris par le cou et nous nous étions embrassés fougueusement. Mathieu était très délicat, il descendit le zip arrière de ma robe qui tomba à mes pieds. Ses mains douces se mirent à parcourir mon corps avec sensualité. Puis il descendit ma petite culotte afin de caresser mon intimité avec une grande délicatesse.
Il mavait fait assoir sur le bureau et son sexe sétait enfoncé avec douceur, sans aucune difficulté. Je me cramponnais à lui, après plusieurs minutes de plaisir commun, jétais au bord de la jouissance lorsquil se retira : « Non pas maintenant, cest trop triste, les hommes sont tous pareils, ils ne pensent quà eux. » Me dis-je dans ma tête. Je me trompais, Mathieu ne faisait pas partie de cette catégorie, il me retourna sur le bureau et me pris par derrière, mon désir revenait, cet homme était très résistant, ses va et vient lents et réguliers me firent jouir comme une folle, mon orgasme fut très violent et mavait fait hurler de plaisir.
Il se retira enfin pour éjaculer puissamment sur mes fesses, il prit des mouchoirs sur le bureau et prit soin de messuyer avant de remonter son slip et son pantalon, pendant que je remettais ma petite culotte et renfilais ma robe. Il se rassit dignement dans son fauteuil de boss et minvita à massoir à mon tour, nous nous retrouvions comme si rien ne sétait passé. Je pensais vraiment quil allait me dire quil membauchait mais ce ne fut pas le cas :
Je suis désolé Sarah, je ne peux pas te garder
Ce nest pas vrai ! Lui dis-je en lui coupant la parole.
Attends la suite. Ici je nai pas de place pour toi mais à la maison mère, il y a un poste en CDI. Le PDG me fait confiance. Si ça tintéresse, je te promets que jappuierai ta candidature.
En effet, au siège à Boulogne Billancourt, la société recherchait une hôtesse daccueil standardiste en CDI, maitrisant parfaitement langlais, avec un plan de carrière vers le service de la clientèle étrangère. Javais donc donné mon accord et avant de sortir, en regardant sa montre, Mathieu me demanda si nous pouvions nous revoir. Nayant rien de spécial ce soir-là et désirant refaire lamour avec lui, rien que pour le plaisir, je lui répondis : « Si tu veux, je suis libre.
Après avoir mis son gland dans ma bouche tout en lui caressant les testicules, je le suçais non seulement pour lui faire monter son désir, mais avec plaisir. Au bout dun moment, je nobtenais pas de résultat probant. Tout en regardant sa montre une nouvelle fois mais surtout vexé de ne pas parvenir à bander, Mathieu me dit : « Tu nes pas obligée de faire ça pour avoir ce poste. » je me relevai toute énervée, javais envie de gifler ce goujat. Néanmoins, je ne voulais pas gâcher mes dernières cartouches en me fâchant avec lui : « Je pense que vous avez raison Mr. Excusez-moi. » Depuis ce jour, je compris que je ne devais plus servir de jouet entre les mains de ces hommes de pouvoir, mais au contraire je devais profiter de leur faiblesse, en jouant moi-même avec eux.
Lors de mon premier entretien avec la Directrice des ressources humaines, je maperçus que javais toutes les compétences pour ce poste. Ayant une bonne allocution, en maitrisant langlais et un peu lallemand, je pouvais gérer à la fois les appels externes des clients et des personnes qui contactaient lentreprise et les communications en interne pour permettre aux collaborateurs de se joindre entre eux ou pour faire passer des messages. En même temps, avec mon physique agréable, jétais bien capable dassurer laccueil, derrière le comptoir dans hall dentrée ouvert au public. Je devais également, à loccasion des salons événementiels de la société guider et informer les visiteurs et les clients.
Après avoir rencontrée Mme Pascale L, la DRH, une femme de 57 ans très élégante avec un certain charme, encore bien faite pour son âge, je fus reçu par Mme Sophie J, la directrice administrative, une dame de 52 ans, dapparence stricte et sévère, cependant avec un petit air coquin. La chance ne fut pas de mon côté car si je plaisais aux hommes, ce nétait pas le cas pour ces personnes du même sexe. Je sus quelques minutes plus tard que ces deux femmes avaient donné un avis défavorable à ma candidature auprès du PDG qui me reçut en fin de journée.
Arrivée dans le bureau directorial, André G qui avait mon CV avec ma photo entre les mains, fit comme tous les messieurs que je rencontrais, me dévisageant puis inspectant toutes les surfaces de mon corps sans aucun scrupule. Sans fut presque gênant, heureusement que Mathieu mavait averti quAndré adorait les femmes. Après quelques secondes qui me parurent des heures, il me fit massoir et me dit de but en blanc :
Je pense que Sophie et Pascale ont vu en vous une concurrente directe Mademoiselle. Ce sont des femmes célibataires encore très désirables, elles peuvent se consacrer entièrement à leur travail et me sont plus que dévouées, si vous voyez ce que je veux dire. Vous commencerez demain Sarah, si je peux vous appelez par votre prénom.
Bien sûr Mr G ! Merci encore.
Vous venez de Bourgogne il me semble. Savez-vous où dormir ?
Justement, javais prévu de rester demain pour visiter Paris mais je nai pas encore trouvé dhôtel et je nai que très peu de vêtements de change.
Ne vous inquiétez pas, je men occupe personnellement.
Avec ses 65 ans, Mr André G ne me plaisait pas, il était plus petit que moi, très menu malgré sa petite bedaine. Cet homme était très soigné, il était chauve avec une couronne de cheveux blancs taillés très court, ses lunettes à montures épaisse et les rides profondes sur le front donnaient à son visage un air sévère. Pourtant il semblait très agréable lorsquil souriait mais cela ne devait pas être dans ses habitudes avec son personnel. Comme le patron me lavais demandé, jétais descendue dans ma voiture afin de prendre ma valise et jétais remontée. En attendant, le PDG avait téléphoné pour donner les consignes à Sophie afin que celle-ci fasse le nécessaire.
En sortant du bureau directorial Mr G posa sa main sur ma hanche quil frôlait et galamment me fit passer devant lui. Puis fit la même chose lorsque nous avions pris lascenseur. Arrivé sur le palier du dernier étage de limmeuble, il y avait deux portes espacées de cinq mètres environ, où un petit écriteau indiquait : Privé. André me désigna la porte de gauche en disant : « Cétait théoriquement mon logement de fonction, cependant ma femme na jamais voulu vivre ici. Je lutilise donc comme garçonnière. Cest un luxueux meublé, de trois pièces cuisine. » Puis nous nous étions dirigés vers le fond du couloir et il ouvrit la seconde porte.
Cette grande pièce était magnifique et meublée avec gout, elle me faisait penser à une suite dhôtel avec fauteuils, table basse, bibliothèque, armoire et un lit immense King Size, en face duquel se trouvait un immense miroir de la taille dune large porte. La salle de bain avec douche italienne et baignoire, était attenante : « Cest un endroit douillet que je réserve à mes meilleurs clients ou à mes amis. Vous pourrez dormir ici, jespère que vous y passerez une bonne nuit. » Me dit-il en me reposant la main sur la hanche avant de dire : « Jai fait le nécessaire, ce soir vous dinerez au restaurant La taverne juste en face dans lavenue. Le chef est un ami, nos cadres y déjeunent souvent les midis. »
Avant de partir, il me tendit un badge à mon nom, en mindiquant que je devais, avant de pénétrer dans limmeuble, le présenter aux hommes de la sécurité, en charge du gardiennage. Il me prit la main et au lieu de me la serrer en guise dun au revoir, me la bisa en disant :
Vous êtes très ravissante Sarah, je mise beaucoup sur vous.
Vous ne le regretterez pas Mr G, je saurai faire le nécessaire afin que vous ne soyez pas déçu.
Je lespère Sarah. À demain matin !
Après le diner, javais fait la connaissance des trois gardiens, ils étaient au courant de ma venue et mattendaient. Javais passé la soirée sur internet, à la recherche dun appartement. Cétait une vraie galère pour en trouver un de correct et leurs prix étaient bien trop élevés pour le salaire que jallais percevoir. Cependant, javais passé une excellente nuit dans un lit magnifique. Pourtant avant de mendormir, javais beaucoup pensé à Mr André G, je me demandais ce quil attendait de moi. Je me doutais bien que mon corps lintéressait, cétait une évidence. Toutefois il devra se montrer patient, car si cétait le passage obligé, je ne reculerais pas devant cet écueil. Jétais prête à moffrir à lui mais jattendrais la fin de la période dessai.
Il faisait une telle chaleur dans cette chambre que je dus dormir nue au-dessus des draps. Il était 6h30 du matin lorsque je fus réveillé par un bruit, telle une porte qui coulisse sur un rail. Jouvris les yeux regardai autour de moi, cependant je ne vis personne. Il était encore bien trop tôt pour que je me lève, javais rendez-vous quà 9 heures avec la DRH afin de finaliser mon contrat. Javais soif, heureusement, une bouteille deau se trouvait dans le mini bar réfrigéré de la chambre. Je métais rallongée et sachant ce que je devais faire pour me rendormir, je métais masturbée.
Une bonne trentaine de minutes plus tard, jentendis un nouveau bruit qui semblait venir de lappartement dà côté, comme le bruit dune machine à café : « Quelquun habiterait-il dans ce logement ? » Il était 7h15, je me levai pour déambuler nue dans cette immense pièce, en regardant partout puis je pris ma douche. Jentendis une nouvelle fois le bruit de la porte qui coulisse, jétais encore en train de me rincer, lorsque soudain quelquun frappa à ma porte. Je vis Mr André G pénétré avec son plateau à la main.
Il mavait vu nue mais à peine deux secondes, car javais eu juste le temps denfiler le peignoir éponge que javais préparé. Il mamenait le petit déjeuner en disant : « Excusez-moi, javais cru entendre Entrez. » Puis en déposant le plateau sur la table basse et en sasseyant sur le fauteuil, il me dit avec une grande désinvolture : « Vous êtes vraiment ravissante Sarah, ce fut un bonheur pour mes yeux. Venez prendre une tasse de café. » Rajouta-t-il en me désignant le deuxième fauteuil à côté de lui :
Mais enfin Monsieur G que voulez-vous ?
Uniquement votre bien être, Sarah ! Cest très difficile de trouver un logement à Paris, restez ici le temps nécessaire. Je peux même vous laisser lappartement. Cela vous conviendrait- dit ?
Et que dois-je faire pour cela ? Je suppose bien quil y a une contrepartie, nest-ce pas ? Dois-je coucher avec vous ?
Vous voir nue me suffirait.
Ses propos me rassurèrent, pourtant je savais que ce vieil homme aimait vraiment les femmes, je ne comprenais pas sa proposition, cependant ce quil me demandait nétait pas la mer à boire. Je retirai mon peignoir et me présentai devant lui, il madmira un moment avant de me toucher, de me caresser et mavoua que Mathieu, mon ancien patron, avait glissé dans une conversation : « Sarah est la femme parfaite, celle que vous recherchez. Je vous jure quelle ferait bander un impuissant. Cet homme a lair de bien vous connaitre Sarah, il a raison vous êtes superbe. » Il en avait ri puis rajouta en me souriant :
Jai une proposition à vous faire. Jai de grands projets pour vous qui mavez lair dêtre une femme ambitieuse, ne reculant devant rien. Voulez-vous devenir ma favorite ? Vous vous montrez avec moi comme si vous étiez ma maitresse, je dois écarter Sophie et Pascale, elles se font vieilles.
Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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