Ligoté Par La Masseuse 4 (Fin)
-« MMMMFFFGHGH ! MMNG ! MMMMHHH ! » cria-t-elle en remuant la tête comme une furie.
De rage, elle tira sur les liens, soufflant et grognant derrière son bâillon. Je comprenais parfaitement sa frustration. Après tout, elle mavait fait subir la même chose. Mais ligotée et bâillonnée comme létait, elle navait pas dautre choix que de subir.
-« Je tavais pourtant dit de ne pas intervenir mais tu ne peux pas ten empêcher nest-ce pas Élodie ? » dis-je. « On va essayer autre chose qui, je pense, te plaira ! » continuais-je en me mettant à genoux devant elle.
Je rapprochai lentement ma bouche de son sexe, voyant son ventre se soulever à intervalles rapides. Elle gémit de plaisir lorsque ma bouche se posa enfin. Je goûtai son sexe avec plaisir, suçant avec fougue son clitoris. Pour son plus grand plaisir, mes doigts reprirent leur place. Cette fois-ci, jétais bien trop excité pour arrêter quand elle accompagna mes va-et-vient avec son bassin.
-« Mmhh
mmhh
mmmffhh ! MMMHHH ! MMMMMFFFFFGH ! » hurla-t-elle, son corps secoué de spasmes.
Dieu merci, elle était correctement bâillonnée ! Des hurlements pareils mauraient à répondre aux questions de mon voisin bien trop curieux. Je déposai de légers baisers sur son sexe et sur ses cuisses avant de me relever. Ses yeux étaient à demi ouverts, sa respiration était encore forte même si elle ralentissait. Bien quelle semblât comblée, je voulais la combler encore plus. Je détachai ses chevilles et défis avec délicatesse le harnais. Lui ordonnant de rester assise, je lui massais ses bras et ses épaules tout en vérifiant que ses mains étaient encore chaudes. Lorsquelle se releva, elle retira sa culotte et manqua de tomber. Je la rattrapai et lenlaçai tendrement par-derrière.
-« Tu mexcuseras si tes mains sont toujours attachées et si je nôte pas ton bâillon, je nen ai pas fini avec toi et je crains fort que tu ne fasses encore du bruit.
-« Mmmhhh ? » fit-elle en tournant la tête pour me regarder, à la fois intriguée et amusée.
-« Tu es bien trop libre à mon goût, ne bouges pas » dis-je en reprenant ma longue corde rouge.
Cette fois-ci, je modifiai mon harnais de manière à mettre ses seins en évidence dune manière assez indécente. Ils nétaient pas gros mais bien proportionnés par rapport à son physique ce qui donnait à ce dernier un aspect très harmonieux. Une fois ligotés, ses seins paraissaient avoir pris du volume. Elle les regardait avec un air amusé. Je terminai une nouvelle fois mon harnais par une poignée. Agrippant cette dernière, je la tirai contre moi et embrassai son cou. Ne pouvant pas me rendre ces baisers, elle frotta ses fesses au niveau de mon sexe de manière provocante. Ma réaction ne se fit pas attendre, je bandais comme un âne.
Je lui ordonnai de sinstaller confortablement sur lit. Une fois quelle fut installée, je mallongeai rapidement entre ses jambes, empoignai ses hanches et attirai son sexe directement dans ma bouche. Elle mexcitait terriblement et être entre ses cuisses mexcitait encore plus.
-« Mmmmfphph ! Mmmhhh !!! » gémit-elle, surprise de ma fougue.
La zone autour de son vagin devenait toute rose, celui-ci plus sensible. Sa respiration saccéléra, elle tenta de reculer mais je maintenais fermement ses hanches. Relevant la tête, elle mobservait agir et sentait son excitation croître en elle, en témoignait lagitation de ses jambes. Je soutenais son regard, la voir défaillir peu à peu me procurait une grande satisfaction. Ma charmante masseuse sétait transformée en machine à gémir ! Il nen fallut pas beaucoup pour la conduire à un second orgasme qui la laissa à demi-consciente sur le lit.
Je passai à sa hauteur et laidai à se rassoir mais elle seffondra immédiatement dans mes bras. Doucement, je lui retirai son bâillon.
-« Bienvenue parmi nous Élodie ! » dis-je en souriant.
En guise de réponse, elle membrassa longuement.
-« Exténuée mais conquise ! » répondit-elle en me rendant mon sourire.
-« Désires-tu quelque chose à boire ? »
-« Oui volontiers, de leau sil te plaît. »
Je laidai à sadosser confortablement contre le mur avant daller nous chercher de leau. Je revins rapidement auprès delle et lui fit boire un grand verre deau.
-« Tu sais, si tu me détachais, je pourrais boire toute seule comme une grande ! » dit-elle dun ton taquin.
-« Madame pense que jen ai fini avec elle ? » répondis-je sur le même ton en promenant ma main sur sa cuisse.
-« Quoi ?! Tu plaisantes jespère ?! Enfin je veux dire, tu mas déjà fait jouir plusieurs fois, que veux-tu de plus ? » fit-elle, mi amusée mi inquiète.
-« Pourquoi pas te faire jouir à nouveau ? »
-« Je nai pas lhabitude que lon soccupe de moi de cette manière, je ne sais pas si mon entrejambe peut continuer à être stimulé comme tu las fait jusquà maintenant
»
-« Et cest compréhensible mais il existe dautres moyens tu sais. Ce nest quune supposition mais vu lattention que tu portes à mon cul, je suis presque sûr que le tien na jamais goûté ce genre de choses. »
-« Tu comptes me sodomiser ?! Hors de question !!! Je nai jamais subi ça et ne compte pas le subir de sitôt ! » cria-t-elle, effrayée.
-« Doucement, doucement ! » dis-je en prenant son visage dans mes mains. « Je ne compte pas te faire quoi que ce soit dont tu naies pas envie. Tai-je donné une seule raison de ne pas me faire confiance jusquici ? »
-« Non
» admit-elle.
-« Dans ce cas, continue de me faire confiance ! »
Nous échangeâmes quelques baisers et quelques regards puis je me levai.
Le dossier de mon canapé était constitué de deux gros coussins rouges rectangulaires, je les pris et revins auprès delle.
Ma première claque la fit sursauter. Je ne frappais pas fort et à intervalles irréguliers, juste ce quil faut pour surprendre et faire prendre un peu de couleur à ses fesses. Je les embrassais, passais ma langue entre elles. Ma captive émit ses premiers gémissements. Au fur et à mesure que ces derniers gagnaient en intensité, je me rapprochais de son anus. Son excitation était montée en flèche et elle bougeait de manière à accompagner les va-et-vient de ma langue dans celui-ci. Maintenant la cadence, je passai une main au niveau de son sexe que je gratifiai de nouvelles caresses. Je la voyais sagiter dans ses liens, tentant en vain dattr mes cheveux avec ses mains.
-« MMMMHHH ! MMMGHH ! MMMMMPHFPHFF !!!! » hurla-t-elle lorsque de nouveaux spasmes se firent sentir.
Elle venait à peine de simmobiliser quelle essaya de me dire quelque chose à travers son bâillon. Je lui retirai immédiatement.
-« Arrête
je ten prie arrête
je nen peux plus !» dit-elle avec le sourire. « Cétait vraiment
intense
très intense
jai limpression que je vais mévanouir
»
Jentrepris de la détacher tendrement.
-« Je nen peux plus dattendre, je te veux en moi ! Maintenant ! »
Brièvement surpris, je retrouvai rapidement ma lucidité. Son regard menivrait, jen oubliais même que, quelques heures plus tôt, jétais totalement à sa merci, prêt à assouvir ses désirs pervers. Je remerciais je ne sais qui de la tournure quavaient pris les événements. Au comble de lexcitation, nous fîmes lamour avant de jouir violemment lun dans lautre.
Épilogue
Allongé sur le lit, jobservais Élodie, blottit contre moi. Je passais ma main dans ses cheveux. Jadore sa coiffure dégradée, ses cheveux arrivants juste au-dessus de ses épaules.
-« Dis-moi
» commença-t-elle en plongeant son regard dans le mien. « Tu penses que ça pourrait marcher entre nous ? »
-« Hein ? » répondis-je bêtement sur le coup de la surprise.
-« Cest ridicule je sais mais tu as vu certains de mes fantasmes pervers et pourtant tu mas bien traitée. Tu ne mas ni frappée, ni insultée. Depuis que jassume mes fantasmes, je nai jamais envisagé de me remettre en couple. Supporter les commentaires et le regard des gens qui ne respectent pas les goûts de chacun est trop difficile pour moi
Tu avais raison en disant quavec toi jai ressenti quelque chose. Javais limpression que tu pourrais devenir mon jouet à plein temps en quelque sorte. Bon je sais maintenant que cest raté, tu es un dominant. Mais vu la manière dont tu tes occupé de moi et ce que jai pu ressentir, égoïstement, jai pensé que nous pourrions apprendre à se connaître. »
-« Pardonne mon silence, tu mas surpris ! Jaccepte avec plaisir ! Tu sais, si cela doit se faire, je ne vois pas dinconvénient à inverser les rôles quand tu en auras envie. Je ne peux exiger de toi que tu renonces à tes fantasmes ou à tes envies. » dis-je en souriant.
-« Vraiment ?! » dit-elle, le regard remplit despoir. « Tu acceptes et tu me laisseras jouer avec toi ?! Cela parait trop beau pour être vrai ! » fit-elle avant de membrasser.
-« Hahaha oui je le conçois mais je suis un gentleman ! »
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