Salem, Homme De Couleur, Marchant Ambulant Dans Les Ruelles De La Médina (1)
Je mappelle Salem, homme de couleur comme on dit et âgé de 40 ans et je suis marchant ambulant de vêtements divers en majorité féminins, de petits ustensiles de cuisine, de jouets divers pour s et quelques sachets de bonbons. Cest avec ma grande charrette, à grosses roues et pleine de marchandise tirée par mon âne que je circule, très peu en ville, mais surtout, dans les cités à grands bâtiments populaires, loin du centre ville. Et, ce que je préfère le plus, cest la périphérie populaire, avec ses quartiers anciens pleins de maisons traditionnelles, avec chacune un jardin adjacent et des ruelles ombragées, de longs couloirs couverts protégeant parfois trois à quatre maisonnettes. Ces rues et ruelles étroites, sinueuses longées de petites maisons au contenu mystérieux et où on peut trouver des clients parmi les gamins et gamines mais surtout parmi les femmes dintérieur. Elles ont besoin dune robe, dun châle et même dun sous vêtement à bon marché et elles le trouvent chez moi, Salem, lafricain, létranger noir, au corps puissant et plein de mystère sexuel et érotique, et juste devant leur porte ou leur sombre couloir presque intime, où elles peuvent entre ouvrir leur porte où même y sortir à labri de la rue extérieure. Elles ont besoin dune casserole car la leur a cassé son bras, ou des jouets et cadeaux pour leurs s ou, plus secrètement, de sous vêtements. Comme je savais cela, je pouvais tout vendre, du nouveau à loccasion en bon état et pas cher, tout à bon marché et à proximité, après marchandage ou même discussions pleines de confidences. Je peut aussi acheter, récupérer ou échanger des vêtements, surtout de femmes, encore remplies de leurs odeurs et de leurs sueurs.
Après quelques années de ce travail, je connaissait presque la majorité des s et des familles des cités et des quartiers périphériques. Mais je connaissait surtout mes clientes dont certaines, surtout veuves ou épouses délaissées sexuellement parleurs époux et que que jai souvent baisé avec mon gros zeb noir aux veines gonflées et qui a ensemencé plusieurs dentre elles de ses abondantes éjaculations.
Par contre, pour les femmes encore mariées, jai toujours été étonné des stratagèmes quelles trouvaient pour profiter de ma queue. Souvent, elles attendaient le départ de lépoux au travail et des s à lécole, pour me faire infiltrer dans leur maison et baiser sur le lit conjugal. Par sécurité je voulais baiser seulement dans lentrée, pour fuir rapidement le cas échéant, mais elles trouvaient un plus de plaisirs en baisant dans sur le lit conjugal encore chaud du corps de leurs époux, et elles me disent et ça amplifie les désirs de mon zob. Mais aussi, parce que certaines y trouvent, sur le grand lit conjugal, des positions et des fantasmes quelles noseront jamais avec leur mari. Et moi, Salem lAfricain et son gros zeb noir et épais, nous sommes toujours preneurs. Parfois, quant le mari doit sabsente hors de la ville pour quelques jours et nuits, elles minvitent non seulement dans la journée mais souvent toute la nuit surtout si elles nont pas d ou ce sont seulement des bébés. Jallais garer mon chariot et mon âne chez moi, puis je retournais chez la femme, pour la nuit, jusquà laube ou plus. Certaines moffrent de largent ou un bijou, que jacceptais parfois juste pour ne pas les fâcher, et jagrémentais ce don souvent en faisant danser la dame sur mon zob, étant moi-même allongé sur le lit.
Mais jai eu aussi quelques problèmes. Deux ou trois fois, jai été obligé de méchapper en douceur du lit des plaisirs, à cause de larrivée inopinée dun mari ou dun parent de la femme. Mais, heureusement, en majorité jai réussi à me tirer daffaire, toujours avec la complicité de l épouse concernée. Une fois, en récupérant en vitesse mon pantalon, jai oublié mon slip et ce nest quà la fois suivante, la femme, qui lavait caché, me la montré comme un trophée des plaisirs de sa chatte contre son mari. Mais jai eu quant même quelques problèmes, au moins deux fois en tout cas. La première, cétait avec une jeune étudiante dune vingtaine dannées. Javais souvent lhabitude de baiser sa mère, en cachette et en absence du mari et de sa fille. Mais un jour, sa mère a mal calculé et létudiante nous a surprit en pleine action de baise, et tout nus, sur le lit conjugal.
Ensuite elle a fréquenté un camarade étudiant, et rapidement ils ont couché ensemble.
Le second problème sérieux, que jai eu, ce fut avec une femme mariée. Elle était chaude et enflammée par mon zeb et surtout par labondance de ses éjaculations. Elle prenait toujours ses pilules et sa poudre de henné car elle mobligeait à éjaculer à lintérieur de sa chatte et de son cul, le cas échéant. Mais ce jour là, elle avait oublié ou ce nétait pas assez suffisant contre la puissance de ma semence. Quelques jours plus tard, elle semblait avoir ressenti les approches des envies de la femme enceinte, alors quelle ne couchait plus avec son mari depuis bien longtemps. Elle men a parlé et je lai convaincu de reprendre ses relations sexuelles avec son mari, de le pousser à éjaculer chaque soir en elle et de garder sa semence en elle toute la nuit et ne se doucher que le matin. On a suivi mes conseils et on arrêté nos relations quelques temps. Et ça a marché, elle a été bien enceinte et quelques mois plus tard, elle accouché dune fille. Celle-ci était assez brune alors que la femme et son mari étaient de teint clair. Cétait certain que l était de moi, mais la chose est passée facilement sous le nez du mari qui était content de retrouver des relations étroites avec sa femme. Mais celle-ci, toujours ensorcelée par mon zeb na jamais voulu arrêter ses relations avec moi, même quant elle était largement enceinte avec un ventre bien rond. Je la baisais et je lenculais sur le coté, sans problème car la longueur de ma queue pouvait satisfaire à nimporte quelle position.
La dernière de mes aventures, ce fut en pleine journée de juin. Pour me reposer du soleil et de la chaleur, je me suis arrêté dans une ruelle, bien ombragée par les arbres qui pendaient de part et dautre, des jardins. Jai enlevé ma large gandourah que jai étalé par terre, sous ma charrette et, torse nu, je me suis allongé pour gouter le silence et la solitude de la ruelle. Dans la ruelle étroite et vide, de lautre coté de ma charrette, à moins de deux mètres, jai entendu des bruits légers sur la porte de la maison juste en face. Pensent que cétait un animal, un chat peut-être, je ne me suis pas inquiété. Mais soudain, la porte bougea lentement pour sentre ouvrir un peu. Sur mes gardes, je me sui soulevé un peu pour voir ce quil en est. Cest alors que je vis un grand il noir et fardé dans le bâillement de la porte. Me levant avec précautions, jai jeté des coups dil à droite et à gauche mais la ruelle était déserte. Me rapprochant de la porte, jai avancé mon visage de lil indiscret et, avec un large sourire, jai chuchoté un bonjour. Je ne savais pas à qui appartenait ce grand il fardé mais jétais sûr quil était féminin. Immédiatement mon zeb gonfla sous le pantalon. Comme vous le savez, javais un large pantalon arabe pour être à laise et je ne portais jamais de slip. Donc dès que mon zeb gonfla, il forma un gros chapiteau au niveau de ma braguette. Jai constaté que le regard de lil sétait déplacé de mon visage vers le bas, vers la braguette gonflée. Je savait maintenant que cétait une femme ou une grande fille. Jai répété le bonjour et elle ma répondu de même avec aussi un chuchotement complice. Jai avancé pour montrer ma poitrine nue et légèrement brillante de sueur mais jai aussi dégagé vers lavant mon bas ventre juste devant lil inquisiteur.
Puis, je me mis un peu sur le coté pour montrer le long profil de mon zeb qui était maintenant totalement bandé et pointait même un peu vers le haut. Image excitante qui toucha la femme dont jentendais maintenant le souffle accéléré et haletant. Pour amplifier son désir, jai un peu secoué mon bassin et mon zeb bougea à droite et à gauche avec la toile du pantalon. Soudain la porte souvrit encore plus pour laisser apparaitre la femme.
Elle était en robe de maison, large et ample pour évacuer la chaleur et jétais sur quelle devait être totalement nue par-dessous et je grognais de désir. Elle mentendit grogner et son regard plongea encore vers ma braguette. Alors, encouragé, jai plongé ma main dans ma braguette et en un éclair, jai sorti mon gros et large zeb noir et gonflé.
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