Jacques Suite 2
florence se dévoile
Nous sommes restés une quinzaine de jours sans avoir de leurs nouvelles, et je dois dire que nous étions un peu inquiets, regrettant de les avoir sollicités dans ce jeu libertin ; mais il faut dire que les envies de jacques avaient servi de déclencheur. Nous nous préparions à les contacter, quand un matin, le téléphone sonne et cest florence qui me demande si elle peut venir me parler ; par correction, je lavertie de labsence de Nini, partie au travail ; « prépares le café jarrive ; »
Vite une petite douche, la cafetière en marche, je lattends, malgré tout un peu surpris ; quand elle arrive, je suis à nouveau surpris à la fois par sa beauté, elle est finement maquillée, mais aussi par sa tenue, loin des robes sac à patates quelle porte quand elle est chez elle ; non là cest carrément sexy, à savoir un corsage transparent couvrant ses seins, les pointes très visible sous le tissu, et une jupe courte, croisée en portefeuille, dévoilant sa cuisse quand elle marche ; je me penche pour lui faire la bise et hasard, cest le bord de ses lèvres que je rencontre. Café et discussion usuelle, puis percevant un peu son embarrât, je lui demande ce qui lamène de si bon matin. Croissant et décroissant ses jambes, je peux rapidement apercevoir le pli de son pubis et constater quelle ncertainement pas de slip ; bien évidement, le résultat se fait vite sentir dans mon short. Mais je la laisse venir ; enfin elle se décide :
« après votre départ lautre soir, jacques ma fait un peu la gueule , pas de mêtre fait prendre , mais parce que je métais refusée ensuite à lui ; il sen ai suivi une longue discussion, quil avait été étonné de me voir me livrer à toi mais il a avoué avoir eu du plaisir à me voir me faire prendre , car cela faisait partie de ses fantasmes de me voir avec un autre homme et que si je le voulais bien, il aimerait que cela se reproduise, mais quil navait pas compris pourquoi, je métais refusé à lui ensuite ; il ma fallu lui expliqué, en choisissant mes mots, quen raison du plaisir que javais ressenti, tellement puissant , javais envie de garder pour moi ce moment ; je lui ai aussi dit que cétait aussi parfois la réaction de Nicole quand son amant lui avait procurer une jouissance très supérieure ; »
« Et il la bien pris ? »
« Il a un peu tiqué mais jai été jusquau bout et quand il ma demandé si mon plaisir avait été plus grand quavec lui, jai répondu oui car cétait pour moi une sensation de liberté de pouvoir disposer de mon corps.
Et cest pour cela que tu es là ?
« oui et non ; car ensuite, il ma posé la question sur ma réaction, si lui faisait lamour à une femme devant moi je lui ai répondu que javais bien compris quil avait envie de Nicole et que si nous étions daccord, je ny verrait pas de problème, tout en sachant que je suis très jalouse ; cela a dû lui plaire , car le lendemain, alors que je venais de lui céder, nous en avons reparlé et ma avoué que nini le faisait bander depuis longtemps ; à un moment, jai même cru quil avait déjà fait lamour avec elle , tellement il était excité, et je dois dire que jen ai bien profité ensuite »,
« Et cela te plairait quil la fasse jouir ? »
« Avec Nicole oui, même si je ne suis pas là, mais je ne veux pas quil en ait une autre »
« Autrement dit, tu veux bien le faire cocu, mais tu ne veux pas le contraire »
« Oui, comme vous ; nini ma dit quelle avait eu beaucoup damant, avec ou sans toi, mais que pour toi, elle naimait pas te voir avec une autre femme, sauf moi à priori »
« Tu as dit le non, maintenant, vient au oui, tu es venu pour que nous jouions ensemble, pour moi, je suis daccord, mais tu dois savoir vraiment où tu vas ; simplement tu faire baiser quand nous en avons envie, et dans ce cas, je suis daccord, ou parce que tu es un peu amoureuse de moi, et dans ce cas cest non, pour deux raisons : jaime nini et de plus jacques est mon ami ; daccord pour se faire cocu consentant, cest ce que Nicole ta expliqué, pas autrement. »
« Tu dois savoir que lautre jour, tu mas apporté un plaisir immense ; jai joui comme jamais je ne lavais ressenti, pas parce que je suis amoureuse mais parce que jai aimé être baisée autrement, non pas comme une épouse, mais comme une femme que lon désire et qui soffre sans arrière-pensée ; je sais que pour beaucoup damis, je passe pour être prude, mais cest sans doute que lon ne ma jamais donné loccasion de me livrer, ce que vous avait fit ce jour-là » ;
Jai tendu la main vers elle, et elle sest jetée dans mes bras « jai envie de toi, fais-moi jouir, fais de moi la même femelle que Nicole », son corsage na pas résisté longtemps et la couchant sur le canapé, je lai embrassé fougueusement , lui fouillant la bouche, alors que sa langue répondait à mes invites, très vite la pointe de ses seins , triturée sans ménagement a grossi, libérant ses premiers gémissements ; fis des préliminaires, la prenant par la main, je la jetais sur le lit et écartant les pans de sa jupe, ma bouche sest posée sur sa chatte, déjà très humide , le clito saillant sous mes lèvres ; javais envie de la prendre, sans ménagement, à la hussard, comme elle semblait le vouloir, et quittant mon short, je posais mon gland à lentrée de sa grotte et sans coup frémir, je lai possédé complètement, ma queue enserrée dans son vagin encore peu dilaté ; un cri de surprise ou de douleur, je ne sais pas, puis un bassin qui se cambre à la recherche dune pénétration profonde ; agrippée à mes épaules elle nas pas tardé à réclamer que je la prenne avec force et pendant de longues minutes, je lai baisé, me retirant quand ma jouissance était trop vive ne voulant pas jouir trop tôt, pour mieux menfoncer brusquement, dans sa cramouille de plus en plus ouverte ; à ce petit jeu, elle sest livrée totalement, jouissant plusieurs fois, réclament que je la défonce et quand je me suis risqué à la traiter de petite salope qui aimais se faire baiser, elle a répondu de la même façon :
« Vas défonce moi, possède-moi, je suis à toi, prends-moi, je moffre à toi sans réserve, apprends moi à devenir une petite salope »
La retournant, je la positionne en levrette, et ma queue senfonce à nouveau profondément ; sa chatte déborde de cyprine et je lui en tartine lanneau ; à se contact, elle se cabre « non pas çà » mon doigt continue et dilate difficilement ce petit cul serré ; jai limpression que sil nest pas vierge, il na pas dû servir souvant.
« Tu ne las jamais fait ? « « non je nai jamais voulu et de plus jacques na jamais essayer »
« Laisse-toi faire ; je vais aller doucement et tu verras ensuite tu vas y prendre un grand plaisir »
Tout en parlant, cest maintenant deux doigts qui la pénètrent, et quand je me retire de sa chatte pour frotter mon gland sur lanneau légèrement dilaté, je la sens se contracter. La suite est classique : une claque sur les fesses et je pousse ma queue en continue ; quand lanneau cédé, elle ne peut retenir un cri ; « voilà tu viens de perdre un nouveau pucelage et tu vas voir que ton plaisir va vite revenir » en effet après un moment au fond de son cul, je commence doucement à me mouvoir, je la sens se détendre , puis alors que je viens daccélérer, la possédant totalement, ma queue la perforant , elle colle son visage sur le lit , offrant encore plus son postérieur ; jen profite et cette fois je la pilonne , ressortant ma tige , pour percuter de nouveau lanneau cette fois complétement dilaté ; ses gémissements de douleur ont cédé la place et maintenant elle râle, mais de plaisir et elle mencourage, manifestement envahie par la jouissance. Pour moi aussi le plaisir vient et je me déverse, tout au fond ; elle réagit lorsque que mes jets lui frappent les parois « oh oui, je te sens juter, cest chaud, cest la première fois, prend moi encore, encules moi, fais-moi jouir
. Ses paroles se coupent et un long feulement traduit son plaisir. Quand je me retire de son anneau grand ouvert sécoulent des filets de sperme ; se blottissant dans mes bras, elle ronronne, puis me regardant droit dans les yeux « je suis à toi, fais de moi ce que tu veux ; fais de moi comme de Nicole, une petite salope qui soffre à tes désirs.
Long moment de repos, puis une douche en commun, sagement, laissant le temps à ses esprits de comprendre quelle vient de franchir un nouveau cap et que sa vie sexuelle va sans aucun doute changer ; cest dailleurs la base de notre conversation.
« Jacques est au courant que tu es là »
« Oui, et il sait que javais envie que tu me possèdes à nouveau »
« Tu crois quil aurait aimé te voir te donner sans réserve »
« Je le pense car il ma avoué son plaisir de me voir avec un autre homme et je pense que si je le veux, il acceptera dêtre cocu consentant comme le dit Nicole. Et toi, tu aimes la savoir ou la voir avec son amant ? »
« Oui cela fait partie de nos jeux et jaime lentendre jouir sous les assauts de celui qui la possède. Parfois quand elle est seule avec lui, elle ouvre son téléphone pour que je lentende jouir, et alors cest le pied »
Pour moi, mon excitation revient et ma tige se dresse, à portée de ses doigts, puis bientôt cest sa bouche qui vient me sucer ; ses lèvres se posent su mon gland, alors que sa langue sinfiltre dans mon méat ; puis , vorace, elle engloutit tout le membre pour une sucette qui fait vite monter mon désir ; mais ne voulant pas jouir, je lécarte et alors que mes doigts jouent avec son clito , je lui propose quelle appelle son homme, juste pour quil sache que tu prends du plaisir, et si tu le veux, tu pourras le laisser ouvert et ainsi, il pourras tentendre jouir. Un petit moment dhésitation, puis prenant mon téléphone elle lappelle :
« Coucou, mon jacques ; tu vas bien ? « « oui et toi, tu es toujours chez, jean ? « Oui, il vient de me prendre et de me sodomiser ; jai pris un pied terrible ; je crois mon cur que tu es cocu, ce que tu voulais, » silence « tu ne dis rien ; cela te plait ? » puis « oui, tu le sais bien » « tu sais il ma baiser comme jaime, je me suis livrée comme une petite salope, pour notre plaisir à tous les deux ; il mfait jouir plusieurs fois, et sil continue , je crois que je vais à nouveau moffrir à lui ;si tu veux , jean propose que je laisse le téléphone ouvert, tu pourras ainsi entendre lorsquil me prendra et aussi mentendre jouir entre ses bras , sous ses assauts qui me plaisent tant » puis le silence car jai posé le combiné sur la table de chevet, et sans autre préliminaire, très excité, je la chevauche ; quand ma queue lui troue la chatte, elle ne peut retenir un cri, et sans attendre ,je commence une nouvelle saillie, et surprise, elle commente pour son homme :
« Oh oui, il vient de me percuter, sa bitte est tout au fond de mon con, et je sens son gland taper contre mon utérus.
Quand le silence revient, nous distinguons facilement un halètement dans le combiné, puis un râle ; il vient sans doute lui aussi de jouir. Prenant à mon tour le combiné, je lui propose , sil a envie dassister comme lautre jour, à loffrande de sa femme devant lui de nous rejoindre. Longue hésitation, puis il accepte .
A suivre lépilogue
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