Mes Vacances Torrides Au Mexique

Cette histoire parle d'une jeune femme très perverse appelée Marie-Charlotte. Et qui part dans une villa au Mexique chez son amie Clémence.
Merci de me donner ton avis en commentaire et les améliorations a y apporter.



Ces vacances chez Clémence et son père commençaient à devenir de plus en plus excitantes. Vous me connaissez maintenant, je suis une belle petite salope qui aime quand les choses deviennent de plus en plus hard. J'avais déjà remarqué à plusieurs reprise le beau jardinier mexicain, et j'ai décidé de m'en servir comme d'un outil pour montrer à Clémence tout le plaisir qu'une bite d'homme pouvait procurer.

Mon amie ne laissait pas le jardinier indifférent, sa petite chatte en abricot et son petit cul était une invitation au viol. Je décidais de mettre un plan à exécution qui avait pour objectif d'amener Clémence à aimer la bite, qu'elle devienne une vide couille aussi perverse que moi et prête a servir de banque à sperme à une dizaine de mâles en rut.

Mais pour cela je devais y aller petit à petit. mon expérience de salope m'a appris qu'on ne transforme pas une petite fille timide en chienne aussi rapidement, surtout quand elle est lesbienne de surcroît. Mais j'étais motivée et mon challenge était de faire découvrir le monde merveilleux d'une bite de mâle à mon amie.

Je savais que l'après midi était le moment ou le jardinier arrosait les fleurs près de la piscine. Je décidais d'enfiler le maillot que j'avais achetée en juillet avec mon père et qui l'avait si bien excité, j'étais certaine de partir sur de bonnes bases avec le jardinier. Dois je à nouveau vous décrire ma tenue de salope ? C'était un maillot de bain fait de fines lanières de latex noires, il était échancré sur les cotés pour bien laisser voir mes courbes et ma cambrure naturelle de bonne petite femelle en chaleur.
Il suffisait que je tire sur les lanières du haut pour serrer mes gros seins et qu'ils en deviennent rouge écarlate.

Humm,j'adorais serrer les lanières jusqu'à ce que mes tétons en deviennent super sensibles. Les sensations étaient alors multipliées par cent. Il suffisait alors de passer une plume ou une langue sur le bout de mes tétons pour me faire partir au quart de tour.

Je décidais de m'allonger sur le transat près de la piscine, là ou j'étais sur que le mexicain pouvait m'admirer tout à son aise. Les parents de Clémence étaient partis faire du shopping toute la journée et ma petite lesbienne était occupée avec ses devoirs de vacances. J'étais donc seule à profiter du soleil, j'adorais imaginer des scènes toujours plus hard pour me donner du plaisir. Le soleil venait chauffer ma petite chatte qui commençait à s'humidifier avec les scènes de viol que je m'imaginais. Sans m'en rendre compte mes mains caressèrent mes seins et tirèrent sur les lanières jusqu'à en avoir le souffle coupé. Mes doigts passait de long en large entre mes grandes et petites lèvres, hummm j'adorais sentir mon petit bouton d'amour durcir sous mes caresses.
Je ne sais pas ce que j'aurais donné pour sentir un mec me gifler avec sa grosse bite et m'obliger à l'avaler jusqu'à en tomber dans les pommes. J'adore ces moments où un mec me défonce ma petite gueule de salope soumise jusqu'à ce que ma bave vienne lui caresser les couilles.

C'est à ce moment là que vint Ricardo le jeune jardinier mexicain. Ses muscles saillants me faisait penser à un merveilleux rebeu que j'avais connu sur Sky et qui m'avait offert des nuits de folies. Je décida de tester si la comparaison était à son avantage.
Il avait son tuyau d'arrosage à la main et passait de l'eau dans les thuyas. Je me postais sur le ventre, le cul bien cambré et les cuisses écartées comme si j'imaginais que ma petite clémence venait me bouffer la chatte. Mes doigts continuait à jouer avec mon clito par dessous les lanières de mon maillot.
J'étais perdue dans mon monde obscène quand je sentit une main venir caresser mes cuisses.
Je rouvris les yeux surprise, c'était Ricardo qui n'en tenant plus était venu s'asseoir près de moi. Son autre main passait et repassait sous la bosse de son jean.Il attrapa ma main pour que je fasse la même chose. Mon dieu, c'était énorme. J'avais pensé qu'il me faisait une farce en ayant caché le tuyau d'arrosage dans son jean, mais je devais me rendre à l'évidence une fois ma main entrée à l'intérieur : c'était gros, c'était chaud , c'était veineux...hummm. Juste la toucher me donnait des frissons de plaisir. Il tenait ma main en me répétant "Chupa, Chupa.." .Mes cours d'espagnol n'était pas des plus récents mais j'avais cru comprendre que cela voulait dire "Suce, Suce". Chose que je ne lui fit pas répéter deux fois.

Je sortis son énorme engin de son boxer blanc, le tissu était déjà taché de goutte de pré-sperme. Je portait son gland à la bouche pour bien en aspirer les gouttes, le goût exquis n'annonçait que du bon pour la suite des événements.
Ma langue venait lui chatouiller son énorme gland circoncis, je lui donnait de petits coup de langue comme une chatte qui lape son lait. Humm, ses gémissements me montrait qu'il devait aimer ça. Puis je pris son chibre à pleine main, et commença a passer ma langue sur ses couilles. On les sentais pleines et prête à exploser. Les scènes que je lui avait imposée avec Clémence ne devait pas être étranger à cela. Ma main avait du mal à faire le tour de sa queue et j'essayais d'imaginer comment il arriverait à me la rentrer dans le cul. Vous le savez mes chères lecteurs, je n'ai rien contre une bonne bite dans mon cul de salope, mais celle ci avait l'air bien trop grosse pour moi. Vous comprendrez par la suite comment mon cher jardinier s'y est pris pour me la rentrer entièrement.

J'avais donc ma langue posée sur ses couilles quand il décida de passer à la vitesse supérieur. Il m'attrapa comme une brute par les cheveux et essaya de forcer l'entrée de ma bouche. Il devait croire que je faisais exprès de ne pas laisser entrer sa bite dans ma bouche mais elle était tellement énorme qu'elle avait du mal à passer.
Il décida de me gifler pour m'amener à plus de coopération, sa grosse main calleuse de mexicain venait claquer contre ma joue. Je n'étais plus que son vide couille personnelle et plus la charmante amie de sa bourgeoise de patronne blanche. Pour lui montrer toute ma bonne volonté j'écartai ma bouche à deux mains comme je l'avais vu faire tant de fois dans des films porno. Il en profita pour me cracher un gros mollard dans la bouche pour m'aider à lubrifier sa queue afin qu'elle vienne me chatouiller la glotte. Je me sentais humiliée, rabaissée comme un déchet humain, mais toute cette humiliation décuplait mon plaisir de me faire baiser la gueule, ho oui cher lecteur, j'aurais pu jouir rien qu'en suçant ce beau chibre de mexicain.
Ses coups de bites allait toujours un peu plus loin, je me vis surprise quand il arriva à caler ses 24 cm jusqu'au fond de ma gorge. Il faut dire que ma bave qui lui coulait jusqu'aux couilles l'avait bien aidé. Chacun de ses coups de queues m'arrachait des cris étouffé, je me suis surprise à lui demander de me baiser la gueule en état d'. Il compris tout de suite quand je pris sa main pour me pincer le nez. Il lacha sa main de mes cheveux et ne me tenait plus que par le nez, son autre main venait écarter les lanières de mon maillot pour glisser ses gros doigts dans ma chatte de femme fontaine. Ses grands bras lui facilitaient la tache et pendant qu'il me baisait la gueule en me pinçant le nez, sa main chaude et calleuse commençait a se frayer un passage dans ma grotte humide.
Humm, quel plaisir de sentir ses mains viril entrer ses cinq doigts avec autant de facilité, il les tournait en moi comme l'avait fait mon rebeu de Sky quand on s'était rencontré à Paris. La même technique unissait ces deux hommes, d'abord les doigts replié en crochet venait frotter à l'intérieur de ma chatte dans le sens des aiguilles d'une montre. Puis il commençait des va et viens en sortant son pouce pour bien appuyer sur mon clito. C'est à ce moment là que je lacha un torrent de mouille que je ne m'étais jamais cru capable de produire, l'orgasme m'avait laissé haletante mais j'en voulais toujours plus.
Je n'ose pas imaginer ce qu'aurait pris Clémence dans la figure si elle avait posé sa bouche sur ma chatte à ce moment là.

C'est justement cachée derrière les thuyas que j'entendis le soupir de Clémence, cette petite vicieuse lubrique nous matait en se mettant des doigts dans la chatte. Je ne sais pas depuis combien de temps ma petite élève vicieuse était en train de nous espionner mais notre scène avait l'air de lui faire beaucoup d'effet.
Je lui fit signe de la main de venir nous rejoindre, elle parut hésitante mais la scène que je lui avait offerte l'avait tellement excitée qu'elle décida de se joindre à nous.
Je me mis à 4 pattes le cul bien cambrée et dit à Clémence : "Demande lui de m'enculer. Je veux qu'il me baise fort jusqu'à ce que je ne puisse plus marcher droit."
Ses paroles finirent de convaincre ma petite élève de participer à notre jeu, elle cria à Ricardo : "Marîcon, fuerte ! hasta que no pudo caminar en línea recta"

Le mexicain plaça alors son gland contre mon petit anus, mais celui ci n'avait plus goutté à la sodomie depuis bien longtemps et refusait de laisser passer l'énorme queue du jardinier. Ma mine contrite fit tellement de peine à ma Clémence que celle ci décida de faciliter la tache à mon petit trou à l'aide de coups de langue.
Humm, quel plaisir de se faire lécher le fion par une langue experte. Elle y mettait autant de cœur que si elle me léchait la chatte. Sa langue en pointe entrait sans peine dans mon fondement et m'arrachait des rales de plaisir, chaque coup de langue m'envoyait au paradis. Elle écarta ensuite mon cul à deux mains et comme le passage n'était pas encore assez dilaté, elle décida de s'aider de ses doigts. D'abord elle récupéra avec sa bouche un peu de la mouille qui coulait encore de ma chatte et le recracha à l'intérieur de mon trou. Puis ses doigts agiles, d'abord par deux, tournèrent pour me masser le fion de l'intérieur. Un troisième doigts vint à la rescousse, mais malgré tout ça le trou de mon anus n'était pas encore assez gros. Et ce n'était pas la petite main de mon amie qui allait tenir tête à la puissante queue du jardinier.
J'allais me décider à abandonner la sodomie quand Clémence eut une idée : La manguera, rapîdo !

Quand il entendit cet ordre, Ricardo repris sa queue en main et fit demi -tour chercher le tuyau d'arrosage. Cette petite salope profita de ce court laps de temps pour me faire lécher un par un les doigts qu'elle avait sortis de mon cul. Humm, le goût de mon anus était délicieux. J'avais cru y déceler quelques gouttes du sperme de mon ami Sofien qui avait réussi à m'enculer alors que mon anus était beaucoup plus entraîné. Ces souvenirs me refirent mouiller de plus belle. Clémence s'en aperçut et récupéra ma nouvelle mouille pour l'étaler sur le tuyau d'arrosage que lui avait passé Ricardo. Puis elle commence à me le glisser au fond de l'anus en faisant de petit va et vient afin de bien me préparer le cul. Elle leva alors la main et fit signe à Ricardo de brancher l'eau au tuyau. Je sentis alors des flots incessants me remplir de l'intérieur, je serrais les dents pour endurer tout ça. Décidément cette petite salope de Clémence allait dépasser sa maîtresse en terme de perversité. Elle fit arrêter le jet d'eau et me donna une grosse claque sur les fesses en disant "Alors petite pute, on aime se faire enculer bien profond c'est ça ? Tu va voir comme je vais t'ouvrir le fion, c'est comme ça que je me masturbe en pensant à ta gueule de salope"

je ne put résister à pousser un "Ouiii" de plaisir, maintenant c'était moi la soumise et Clémence ma maîtresse qui me dominait comme jamais on ne m'avait dominée. J'étais comme la dernière des putes à me faire explorer le cul à coup de tuyau d'arrosage, mon anus se dilatant à chaque fois que Ricardo rebranchait l'eau au tuyau. Tous ces lavements avaient enfin aidé mon anus a bien se dilater et je peut dire sans peine que j'aurais pu accueillir la bite de Sofien et de Ricardo en même temps.
C'est quand cette pensée me traversa l'esprit que je sentis enfin la bite de Ricardo se frayer un chemin dans mon cul. Clémence l'encourageait en espagnol. je n'y comprenait pas grand chose mais des mots tels que puta, forte, culo me laissait à penser que mes fesses allait prendre cher. J'avais raison quand je senti le jardinier me soulever comme une plume par le bassin. Seule mes deux mains touchaient le sol dans un équilibre précaire, j'étais dans la position de la brouette japonaise en train de me faire pilonner le cul comme une damnée. Chaque coup de rein du jardinier faisait claquer ses grosses couilles contre mon cul, je n'étais plus qu'un vide couille et un garage à bite. Je ne sais pas ce que j'aurais donnée pour voir mes autres orifices remplis par d'autres queues bien épaisses. Clémence devina mes pensées et sortit son téléphone portable de sa poche pour le glisser dans ma chatte. C'était un vieux téléphone Nokia, assez petit de taille mais bien lourd et compact. Elle commença à me masturber la chatte avec en faisant des va et viens au rythme de son jardinier. Ça ne valait pas une bonne queue mais c'était toujours ça de pris. Soudain un orgasme fulgurant me pris le cul et la chatte en même temps, c'était le téléphone de Clémence qui était en mode vibreur et venait de recevoir un appel.

Elle enleva tout de suite le téléphone de ma chatte et décrocha le combiné pendant que je me faisait baiser juste à coté : "Allo papa ? Oui je suis dans la Villa avec Marie-Charlotte. Oui tout va bien, on se repose au bord de la piscine. Prend le téléphone Marie-Charlotte ,il veut te parler. Elle pris son sourire le plus pervers en disant ça. Ricardo refusait de me lâcher le cul et j'étais dans un équilibre précaire. cette fois ci une seule main me maintenait en équilibre. Vous aurez compris que l'autre main tenait péniblement le téléphone: Hannn hannn bonjour monsieur Christian...Oui Hummm non tout va bien, on fait du sport près de la piscine."
Clémence se saisit alors du combiné et déclara " Tu me croiras pas papounet chéri, mais cette salope de Marie Charlotte est en train de se faire exploser le cul par le jardinier. Et tu sais comment est la bite de Ricardo, je sais que tu l'a déja vu dans la chatte de maman le jour ou tu étais rentré du travail beaucoup plus tôt."

Je n'en croyait pas mes oreilles, Clémence qui parlait comme ça à son père, elle décrivait la moindre de nos actions. Comment elle avait réussi à m'ouvrir le cul pour laisser passer la bite énorme de Ricardo, comment ses couilles et ses cuisses claquait avec force sur mes fesses jusqu'à les rendre rouge. Elle poussa même le vice à poser le téléphone près de mon anus pour que son père constate que tout ceci était vrai. Si Christian n'était pas persuadé que j'étais une salope, là il ne pouvait plus en douter un instant. Sa fille reprit le combiné et dit "tu sais quoi papounet, maintenant Marie-Charlotte va venir me bouffer la chatte pendant qu'elle se fait déboîter le fion, hummmm si tu voyais comme son anus est ouvert"
Ces paroles finirent de rendre furieux Christian. Elle posa le téléphone en kit main libre, se mit sur le dos et passa ses cuisses autour de mon cou. Elle commença a onduler du bassin pour bien frotter ma langue contre sa chatte exquise. C'était irréaliste, moi en train de me faire pilonner le cul les deux mains au sol et les jambes en l'air. La magnifique queue de Ricardo faisant des allers et retours puissant dans mon cul, et Clémence qui m'obligeait à lui bouffer la chatte, j'étais au paradis.

J'entendais Christian me traiter de vide couilles, de sale trou à bite, de chiennasse, que j'allais brûler en enfer à force de sucer autant de bite et de me faire sodomiser l'anus. Ces paroles qui auraient du me faire peur, en tout cas c'est ce que croyait Christian, me firent au contraire encore plus grimper au rideau. J'étais devenu complètement folle et je proférais des insanités à Christian comme "Humm, la chatte de ta fille est trop bonne. Rentre vite à la maison Il reste un trou à remplir etc..." J'enchaînais orgasmes sur orgasmes et les insultes de Christian au téléphone n'y étaient pas indifférent.
C'est quand Christian se décida à raccrocher que le jardinier laissa un gros flot de sperme m'inonder le cul. Hummm j'adore cette sensation d'avoir l'anus rempli de foutre, et quand il y' en a autant c'est encore meilleur.
Le jardinier me lâcha enfin et sorti son tuyau de chair de mon trou béant. Des filets de sperme me coulait le long de l'entrejambe.Clémence qui était devenue très excitée passa sa langue contre ma cuisse pour goûter au sperme de son jardinier. Humm dit elle, c'est délicieux. c'est encore meilleur quand c'est chaud et qu'il sort de ton cul.

Je plaqua alors sa tête contre mon cul et poussa le plus fort possible pour en extraire tout le sperme du jardinier. "N'avales surtout pas, j'en veux moi aussi" dis je suppliante à Clémence. Sa langue venait me fouiller le cul à la recherche du moindre recoin où une goutte de sperme pouvait se cacher. Une fois qu'elle eu récoltée tout le sperme, elle me regarda d'un air provocant en faisant mine de tout avaler.

"Pitié, dis je. je t'en supplie laisse moi en". Je la regardait en tremblant comme si le sperme qu'elle avait en bouche avait le pouvoir de donner la vie éternelle.
Elle cracha le sperme dans sa main et le fit couler de sa paume jusqu'à sa bouche. Quelques gouttes tombèrent sur le sol de la piscine que je me mit à lécher aussitot, mais ce n'était pas assez pour la petite salope gourmande que j'étais devenu. C'est à ce moment là que je compris que ces vacances n'allait pas se passer exactement comme je l'avais imaginé.
En signe de soumission je me mit alors à genoux, les deux mains en l'air , paumes vers le sol comme un chien qui fait le beau et la langue sortie. Clémence cria à Ricardo "Ricardo, la correa perro " Le jardinier lui amena alors une laisse qu'elle me passa autour du cou. C'est à ce moment là que j'ai su que j'étais vaincue et que ma belle soumise avait dépassée le maître. En récompense elle recracha une partie du sperme sortie de mon cul jusque dans ma bouche. Hummm quel sensation de sentir ce sperme mélangé à la salive de ma nouvelle maîtresse couler le long de ma gorge jusque dans mes entrailles. Elle m'ordonna de ne pas tout avaler car elle voulais que l'on embrasse son père une fois qu'il aurait terminé de faire les courses avec sa femme. Je hochais la tête en signe d'approbation en montrant la petite quantité de sperme que j'avais gardée sur le bout de ma langue.
La suite des événements allait s'annoncer très très chaude.

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